Ce mercredi, le tribunal départemental de Tivaouane a rendu son verdict contre les deux Chinois et leur interprète Ibrahima Sory Traoré, arrêtés et placés en détention depuis le 11 juin dernier. Ils avaient brutalisé un de leurs employés du nom de Ibrahima Fall pour reprendre […]
justiceAmeth Suzanne Camara vient d’être arrêté par les éléments de la Sûreté urbaine (SU) du commissariat central de Dakar, a appris Seneweb d’une source autorisée. L’arrestation de ce responsable de l’APR est consécutive à ses propos tenus hier dans l’émission « Ultimatum » de Seneweb. Il est […]
justiceNeymar a annoncé la naissance de son troisième enfant, ce vendredi 19 juillet, sur son compte Instagram. Révélant des photos de l’adorable poupon, le papa a également dévoilé son prénom. C’est une fille ! Depuis ce vendredi 19 juillet, Neymar est l’heureux papa d’une petite fille. À présent […]
SPORTSCe mercredi, le tribunal départemental de Tivaouane a rendu son verdict contre les deux Chinois et leur interprète Ibrahima Sory Traoré, arrêtés et placés en détention depuis le 11 juin dernier. Ils avaient brutalisé un de leurs employés du nom de Ibrahima Fall pour reprendre […]
justiceCe mercredi, le tribunal départemental de Tivaouane a rendu son verdict contre les deux Chinois et leur interprète Ibrahima Sory Traoré, arrêtés et placés en détention depuis le 11 juin dernier. Ils avaient brutalisé un de leurs employés du nom de Ibrahima Fall pour reprendre le salaire qui lui a été versé, sous prétexte qu’il avait refusé de décharger.
Face aux juges, les deux chinois (le comptable et le manager d’une entreprise chinoise basée à Darou Khoudoss) et leur interprète ont été condamnés à une peine de 3 mois de prison ferme. Incarcérés depuis le 11 juin dernier, ils resteront donc en prison pendant un peu moins de 2 mois. Ils ont également été condamnés à verser 5 millions Fcfa à ibrahima Fall en guise de dommages et intérêts.
Lors du procès, l’avocat de la partie civile avait demandé 100 millions Fcfa aux accusés. Le juge a finalement décidé de n’accorder que 5 millions.
Ameth Suzanne Camara vient d’être arrêté par les éléments de la Sûreté urbaine (SU) du commissariat central de Dakar, a appris Seneweb d’une source autorisée. L’arrestation de ce responsable de l’APR est consécutive à ses propos tenus hier dans l’émission « Ultimatum » de Seneweb. Il est […]
justiceAmeth Suzanne Camara vient d’être arrêté par les éléments de la Sûreté urbaine (SU) du commissariat central de Dakar, a appris Seneweb d’une source autorisée.
L’arrestation de ce responsable de l’APR est consécutive à ses propos tenus hier dans l’émission « Ultimatum » de Seneweb. Il est soupçonné d’avoir offensé les hautes autorités de la République.
Le procureur de la République s’est autosaisi de l’affaire en ordonnant au commissaire Bara Sangharé, le chef de la SU d’arrêter M. Camara. Il sera placé en garde à vue après son interrogatoire.
Neymar a annoncé la naissance de son troisième enfant, ce vendredi 19 juillet, sur son compte Instagram. Révélant des photos de l’adorable poupon, le papa a également dévoilé son prénom. C’est une fille ! Depuis ce vendredi 19 juillet, Neymar est l’heureux papa d’une petite fille. À présent […]
SPORTSNeymar a annoncé la naissance de son troisième enfant, ce vendredi 19 juillet, sur son compte Instagram. Révélant des photos de l’adorable poupon, le papa a également dévoilé son prénom.
C’est une fille ! Depuis ce vendredi 19 juillet, Neymar est l’heureux papa d’une petite fille. À présent le père de trois enfants, il n’a pas caché son immense joie, vivement partagée par ses deux autres enfants : le jeune Davi Lucca, né en 2011, et la petite Mavie, née en 2021. Cette heureuse nouvelle vient agrandir la famille du footballeur et unir davantage la fratrie, bousculée depuis sa séparation avec Bruna Biancardi.
En légende de sa publication, Neymar a simplement écrit le prénom de sa petite fille : Helena. En commentaire, ses fans et amis ont tout de suite félicité le papa et la maman, qui est restée inconnue !
Imam Dramé désapprouve le comportement de certains leaders du Parti Pastef, qui selon lui, sont désormais injoignables. « J’assume mes propos, ces deux là sont injoignables et ce n’est pas normal. Ils devraient être proches du peuple. C’est de la trahison », dit-il, citant les ministres El […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEImam Dramé désapprouve le comportement de certains leaders du Parti Pastef, qui selon lui, sont désormais injoignables.
« J’assume mes propos, ces deux là sont injoignables et ce n’est pas normal. Ils devraient être proches du peuple. C’est de la trahison », dit-il, citant les ministres El Malick Ndiaye et Ousseynou Ly.
Il accuse le ministre El Malick Ndiaye, et le ministre Conseiller Ousseynou Ly d’être injoignables. Puis, Imam Dramé de remercier des leaders comme les députés Ayib Daffé, Abass Fall, le ministre Moustapha Sarré, qui selon lui, sont toujours disponibles.
Imam Dramé accuse le ministre El Malick de refuser de prendre ses appels #karimwade #kebetu #politique #senegal pic.twitter.com/R5Rvep43Wq
— Reum Tami Teum (@AmoulSeral4) July 23, 2024
Affaire Mansour Faye/Aminata Touré : L’audience est prévue ce La date de l’audience du procès Mansour Faye/Aminata Touré est connue. Ce sera demain jeudi 25 juillet 2024. C’est le camp de l’ex PM qui donne l’information à travers une note. « Bonsoir chers amis, je […]
justiceLa date de l’audience du procès Mansour Faye/Aminata Touré est connue. Ce sera demain jeudi 25 juillet 2024. C’est le camp de l’ex PM qui donne l’information à travers une note.
« Bonsoir chers amis, je vous informe que je serais le 25 juillet au Tribunal de Dakar salle 3 à 9 heures pour le dossier m’opposant à Mansour Faye. À cet effet, nous exhortons toutes les structures et militants de MIMI 2024 à se mobiliser massivement très tôt le matin pour accompagner notre leader à cette audience», lit-on dans le texte du mouvement MIMI 2024.
Pour rappel, le maire de Saint-Louis, Mansour Faye, a porté plainte contre Aminata Touré qu’il accuse de l’avoir diffamé par rapport à sa gestion des 1 000 milliards des fonds Covid.
La date de l’audience du procès Mansour Faye/Aminata Touré est connue. Ce sera demain jeudi 25 juillet 2024. C’est le camp de l’ex PM qui donne l’information à travers une note.
« Bonsoir chers amis, je vous informe que je serais le 25 juillet au Tribunal de Dakar salle 3 à 9 heures pour le dossier m’opposant à Mansour Faye. À cet effet, nous exhortons toutes les structures et militants de MIMI 2024 à se mobiliser massivement très tôt le matin pour accompagner notre leader à cette audience», lit-on dans le texte du mouvement MIMI 2024.
Pour rappel, le maire de Saint-Louis, Mansour Faye, a porté plainte contre Aminata Touré qu’il accuse de l’avoir diffamé par rapport à sa gestion des 1 000 milliards des fonds Covid.
Balla Gaye 2 a terrassé Tapha Tine dans l’enceinte de l’Arène nationale dimanche mais il perd le plus après les sanctions financières infligées par le Comité national de gestion (CNG) de lutte. L’instance a amassé au total 3,7 millions de francs CFA sur le reliquat […]
A LA UNE ACTUALITÉ SPORTSBalla Gaye 2 a terrassé Tapha Tine dans l’enceinte de l’Arène nationale dimanche mais il perd le plus après les sanctions financières infligées par le Comité national de gestion (CNG) de lutte. L’instance a amassé au total 3,7 millions de francs CFA sur le reliquat des lutteurs, chiffre Les Échos.
« Le Lion de Guédiawaye a perdu 1 million soit 10% de son reliquat [pour avoir] outrepassé les mesures en accédant au stade par un accès non autorisé. Il a aussi perdu 1.000.000 pour surplus de bouteilles et 166 000 F CFA pour dépassement de 13 minutes sur le temps de préparation mystique, soit une somme de 2.166.000 », détaille la source.
De son côté, Tapha Tine a été défalqué de la somme de 1.060.000. Il lui est reproché, explique le quotidien d’information, « 6 minutes de retard sur son temps de préparation mystique [60 000] et surplus de bouteilles dans l’enceinte [1.000.000] ».
Pour les combats préliminaires, le CNG a retiré 100.000 des reliquats de Mama Lamine et Ordinateur pour avertissements, surplus de bouteilles, et coups irrégulier. Leur adversaire respectif, Sokh et Mboul, après avoir été défaits, perdent chacun 50.000 pour avertissements, entre autres sanctions.
Le couronne d’empereur de l’arène remise en jeu. Vers l’acte 3 entre Balla Gaye 2 et Eumeu Sène ? Source A informe que l’affiche est démarchée par Albourakh Évents. « Aziz Ndiaye a entamé les démarches depuis très longtemps avec le chef de file de […]
SPORTSLe couronne d’empereur de l’arène remise en jeu. Vers l’acte 3 entre Balla Gaye 2 et Eumeu Sène ? Source A informe que l’affiche est démarchée par Albourakh Évents.
« Aziz Ndiaye a entamé les démarches depuis très longtemps avec le chef de file de l’écurie Tay Shinger. Avant même la victoire [acquise dimanche] par le Lion de Guédiawaye aux dépens du Géant du Baol [Tapha Tine]», renseigne le journal. La même source confie qu’Eumeu Sène est d’accord sur le principal. L’ancien roi des arènes avant que Modou Lô ne lui chipe la couronne pose toutefois ses conditions : il réclame entre 130 et 150 millions de francs CFA.
Eumeu Sène, bourreau des lutteurs de Guédiawaye, a battu Balla Gaye 2 (à deux reprises) et son jeune frère, Sa Thiès, rappelle le quotidien d’information.
Khalifa Sall, candidat malheureux à la Présidentielle du 24 mars dernier, était aphone depuis lors. Les Échos rapporte dans son édition de ce mardi 23 juillet que le leader de Taxawu Sénégal a refait surface le week-end dernier. La même source précise en ce sens […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEKhalifa Sall, candidat malheureux à la Présidentielle du 24 mars dernier, était aphone depuis lors. Les Échos rapporte dans son édition de ce mardi 23 juillet que le leader de Taxawu Sénégal a refait surface le week-end dernier.
La même source précise en ce sens « qu’il a été aperçu samedi dernier en train de présider une réunion de certaines des structures de son parti ». Il s’agissait, poursuit le journal, « de faire l’évaluation de l’élection présidentielle ».
L’ancien maire de Dakar est arrivé à la quatrième place avec 1,56% des suffrages exprimés, loin derrière le tandem Diomaye Faye-Ousmane Sonko (54,28%), et l’ancien Premier ministre Amadou Bâ (35,79%).
Mamoudou Ibra Kane, ancien journaliste et actuel président du mouvement politique « Demain c’est maintenant », critique sévèrement le nouveau gouvernement sénégalais. Lors de l’élection présidentielle du 25 février 2024, il avait soutenu Amadou Ba, qui a recueilli 36 % des suffrages et a été éliminé dès […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEMamoudou Ibra Kane, ancien journaliste et actuel président du mouvement politique « Demain c’est maintenant », critique sévèrement le nouveau gouvernement sénégalais. Lors de l’élection présidentielle du 25 février 2024, il avait soutenu Amadou Ba, qui a recueilli 36 % des suffrages et a été éliminé dès le premier tour. Mamoudou Ibra Kane prédit un avenir sombre pour le président Bassirou Diomaye Faye et son premier ministre Ousmane Sonko.
Invité à la radio RFM ce mardi 23 juillet 2024, Mamoudou Ibra Kane a mis en garde contre la politique de continuité adoptée par le gouvernement actuel. Selon lui, « ce qu’ils sont en train de faire, c’est tout simplement de la continuité. Ils sont en train de faire tout ce contre quoi ils se battaient, c’est-à-dire tout ce qui a provoqué des catastrophes dans ce pays, humainement et économiquement. Effectivement, quand on regarde leurs actions, cela ressemble à du je-m’en-foutisme. Non seulement ils n’ont pas mis en œuvre la rupture pour laquelle ils ont été élus, mais ils sont en train de faire ce que l’on appelle le clonage. Ils sont en train de cloner les pratiques qui se faisaient sous le régime d’Abdoulaye Wade ainsi que les pratiques qui se faisaient sous le régime de Macky Sall. Si c’est une continuité des bonnes pratiques des anciens régimes, cela est une bonne chose. Mais si c’est une continuité qui va à l’encontre des raisons pour lesquelles ils ont été élus, cela risque d’avoir un effet très négatif. Les Sénégalais qui les avaient élus sont en train de les observer. Il ne faut pas qu’ils oublient qu’ils ne disposent que d’un seul mandat et que les Sénégalais qui les ont élus peuvent les sanctionner très sévèrement. »
Mamoudou Ibra Kane avertit également que cette politique risque de provoquer une révolte populaire dans les trois prochains mois. Il explique que « ce qui se passe actuellement au Sénégal risque de mener à une fronde ou à des moments très sombres où les populations vont nécessairement se retourner contre le pouvoir actuel ». Il donne rendez-vous aux Sénégalais au sixième mois du mandat de Faye et Sonko, prévoyant des troubles importants. Mamoudou Ibra Kane souligne que « quand on gère un pouvoir, on doit également observer la réaction des populations. Regardez ce qui s’est passé ces derniers jours au Kenya et dans d’autres pays. Prendre des décisions lourdes de conséquences sur une population peut coûter très cher. Si vous êtes élu et que vous pensez que vous avez le droit de faire tout ce que vous voulez, je dis que c’est une erreur. Si le pouvoir ne fait pas attention, non seulement leur état de grâce est terminé, mais s’ils ne font pas attention également dans les trois mois à venir, c’est-à-dire au moment où ils vont boucler leurs six mois au pouvoir, cela risque de chauffer énormément pour eux. »
Mamoudou Ibra Kane appelle les Sénégalais à organiser un grand rassemblement pour exiger l’arrêt des décisions injustes prises par le gouvernement. Il lance un appel à l’opposition et à la société civile, incluant syndicats, patronats, jeunes et femmes, pour qu’ils se mobilisent ensemble. « Je profite de l’occasion pour lancer un appel à l’opposition et à la société civile, qu’il s’agisse des syndicats, des patronats, des jeunes, car les jeunes continuent d’émigrer, et des femmes, car leurs difficultés continuent. Qu’ils se mettent tous ensemble pour organiser un grand rassemblement, pour faire face au gouvernement et leur demander d’arrêter certaines décisions injustes qu’ils sont en train de prendre. La démocratie, ce n’est pas seulement parce qu’on t’a élu que tu as le droit de faire ce que tu veux. Non, la démocratie est aussi contrôlée par les citoyens. »
Le ministère sénégalais du Travail, de l’emploi et des relations avec les institutions a publié hier, son rapport annuel des statistiques du travail. pour l’année 2023. Le document révèle que 61 036 contrats ont été enregistrés et que 2 012 établissements sont ouverts contre 123 entités fermées, […]
A LA UNE ACTUALITÉ économieLe ministère sénégalais du Travail, de l’emploi et des relations avec les institutions a publié hier, son rapport annuel des statistiques du travail. pour l’année 2023.
Le document révèle que 61 036 contrats ont été enregistrés et que 2 012 établissements sont ouverts contre 123 entités fermées, soit un solde positif de 1 889 établissements.
Dans son « rapport annuel des statistiques du travail 2023 », la Direction des statistiques du travail révèle qu’un total de 61 036 contrats de travail a été enregistré en 2023, soit 15% de moins par rapport à l’année 2022 (72 268 emplois).
Retraçant la dynamique du marché du travail, le document indique que ces 61 036 emplois créés en 2023 sont constitués de 30 999 (50,79%) contrats de travail à durée déterminée (Cdd), dont 23 194 pour les hommes et 7 805 pour les femmes.
Il y a également de 19 159 (31,39%) contrats de travail à durée indéterminée (Cdi), dont 12 925 pour les hommes et 6 234 pour les femmes, de 3 856 (6,32%) contrats de stage, dont 2 212 pour les hommes et 1 644 pour les femmes, de 3 230 (5,29%) contrats de travail saisonnier, dont 2 524 pour les hommes et 706 pour les femmes, de 3 016 (4,96%) contrats de travail temporaire, dont 2 090 pour les hommes et 926 pour les femmes, et de 776 (1,27%) contrats d’apprentissage, dont 543 pour les hommes et 233 pour les femmes.
Outre ces contrats visés par les Inspections du travail et de la sécurité sociale (Itss), il a été relevé 739 contrats de travail de travailleurs déplacés visés par la Direction générale du travail et de la sécurité sociale (Dgtss).
Concernant la situation des déclarations d’établissements et de l’emploi, le rapport souligne qu’il a été dénombré 2012 établissements ouverts contre 123 entités fermées, soit un solde positif de 1 889 établissements.
Le document précise également que les ouvertures et fermetures d’établissements ont induit des créations et pertes d’emplois. Relativement aux emplois générés par les établissements ouverts, ils s’élèvent à 12 670, contre 579 perdus suite aux fermetures, soit un solde de 12 091 emplois.
En outre, le rapport révèle qu’en 2023, les Itss ont enregistré 2160 déclarations d’établissement contre 1927 en 2022.
Ces déclarations sont, pour la plupart, des ouvertures d’établissement (1 933 établissements) et des réouvertures (79 établissements), soit un cumul de 2 012 déclarations correspondant à 93,14% du total.
Les fermetures (72 établissements) et les cessations (51 établissements) ont fait l’objet de 123 déclarations d’établissement, soit 5,69% du total.
L’Inspection du Travail a contrôlé 5275 établissements
Les changements de statut juridique (14 établissements), les Cers «Changement d’employeur ou de raison sociale» (5 établissements), les changements d’activité (3 établissements) et les transferts (3 établissements), ont aussi fait dans une moindre mesure l’objet de déclarations d’établissements avec un total de 25 établissements, soit 1,16% du total.
Ainsi, en 2023, les ouvertures d’établissement ont concerné essentiellement les branches du commerce, de la construction et des activités de services administratifs et d’appui qui ont enregistré respectivement 572 (soit 28,43%), 280 (soit 13,92%) et 247 (soit 12,28%) ouvertures. Ces trois branches cumulent 54,62% du total.
En termes d’emplois générés par les ouvertures d’établissement, la construction reste la branche la plus pourvoyeuse d’emplois avec 19,53% (2 474 emplois).
Le commerce et les activités de services administratifs et d’appui suivent avec respectivement 18,67% (2 365 emplois) et 16,98% (2 151 emplois). Comparées à 2022, ces branches d’activité ont toutes connu une hausse, tant dans les ouvertures d’établissements que dans les emplois générés.
Les branches «activités professionnelles, scientifiques et techniques», «information et communication», «boulangerie» et «transport et entreposage» avec respectivement 4,62%, 3,93%, 3,43% et 3,38% des ouvertures et 3,08%, 4,14%, 1,98% et 4,51% des emplois générés ont connu elles aussi, par rapport à 2022, un accroissement dans les ouvertures comme dans les emplois générés.
Les «activités immobilières» (37 ouvertures et 98 emplois générés), «activités financières et d’assurances» (29 ouvertures et 239 emplois générés), «activités des ménages privés employant du personnel domestique, activités non différenciées de production de biens et de services des ménages privés pour usage propre» (19 ouvertures et 69 emplois générés), «arts, spectacles et loisirs» (17 ouvertures et 200 emplois), «activités extractives» (14 ouvertures et 292 emplois), «activités des organisations et organismes extraterritoriaux» (8 ouvertures et 91 emplois) et «collectivités territoriales» (4 ouvertures et 25 emplois), malgré leur pourcentage relativement faible en ouverture et en emplois générés, ont connu une hausse par rapport à 2022.
BTP
Par contre, la branche «activités de fabrication» qui a enregistré 4,27% des ouvertures et 3,46% des emplois, a connu une baisse significative de 41% par rapport à 2022. Il en est de même pour les branches d’activités «agriculture, sylviculture et pêche» et «production et distribution d’électricité, de gaz, de vapeur et climatisation» qui ont enregistré respectivement des taux d’accroissement négatifs pour les ouvertures (-13% et -57%) et pour les emplois générés (-35% et -54%).
Par ailleurs, la branche «activités d’hébergement et de restauration» avec 123 établissements ouverts (6,11%) et 1 063 emplois générés, a connu une baisse de 13% (141 contre 123) de ses ouvertures et une hausse de 63% (651 contre 1063) de ses emplois par rapport à 2022.
Cette tendance est aussi notée dans les branches «activités éducation» avec 73 ouvertures et 458 emplois générés (contre 75 ouvertures et 448 emplois en 2022) et «autres activités de services» avec 59 ouvertures et 353 emplois (contre 65 ouvertures et 338 emplois générés).
Enfin, une hausse des ouvertures et une baisse des emplois générés par rapport à 2022 sont notées dans les branches «santé et activités d’action sociale» avec 32 ouvertures en 2022 contre 53 en 2023 et 250 emplois en 2022 contre 211 en 2023 et «distribution d’eau, réseau d’assainissement, gestion des déchets et activités de remise en état» avec 7 ouvertures en 2022 contre 10 en 2023 et 31 emplois générés en 2022 contre 25 en 2023.