Le marabout Mame Bara Niane, connu sous le surnom de « deff guiss », a été arrêté par la Sûreté urbaine de Dakar pour escroquerie et charlatanisme, suite à une plainte déposée par K. Dème pour le compte de son frère S.M. Dème. Selon Libération, […]
ACTUALITE People«Fermer l’ère de l’Afrique des problèmes et ouvrir la voie de l’Afrique des solutions», «rendre opérationnelle la Force africaine en attente» pour lutter contre le terrorisme, mettre en œuvre la «Déclaration de Dakar sur la sécurité alimentaire et la résilience» ainsi que la «Déclaration conjointe […]
ACTUALITE DIPLOMATIELa société de production Marodi a été condamnée par le tribunal de commerce à verser la somme de 21 millions d’euros à la réalisatrice Kalista Sy. Cette affaire concerne le paiement des retombées de la troisième saison de la série « Maîtresse d’un homme marié ». Les […]
ACTUALITE SOCIETÉLe marabout Mame Bara Niane, connu sous le surnom de « deff guiss », a été arrêté par la Sûreté urbaine de Dakar pour escroquerie et charlatanisme, suite à une plainte déposée par K. Dème pour le compte de son frère S.M. Dème. Selon Libération, […]
ACTUALITE PeopleLe marabout Mame Bara Niane, connu sous le surnom de « deff guiss », a été arrêté par la Sûreté urbaine de Dakar pour escroquerie et charlatanisme, suite à une plainte déposée par K. Dème pour le compte de son frère S.M. Dème.
Selon Libération, S.M. Dème avait pris le numéro de téléphone de Mame Bara Niane après avoir vu ce dernier à la télévision en novembre dernier, prétendant pouvoir le soigner.
Ayant une santé fragile, S.M. Dème a versé de l’argent à plusieurs reprises au marabout, notamment 1,8 million de F CFA pour une bague et des bains mystiques qui, selon le charlatan, devaient lui ouvrir les portes de la richesse après avoir recouvré la santé.
Mame Bara Niane a ensuite réclamé à son client 1,5 million de F CFA, puis 7 millions de F CFA pour des séances de prières et d’autres rituels, en prétendant que les Djinns lui offriraient une mallette d’argent.
Au total, S.M. Dème a remis 14,244 millions de F CFA à Mame Bara Niane, jusqu’à ce qu’il reprenne ses esprits en retirant la bague, suivant les conseils de sa mère. Le marabout a été arrêté et a avoué les faits, mais a prétendu avoir effectué des retraites spirituelles en faveur de son client.
«Fermer l’ère de l’Afrique des problèmes et ouvrir la voie de l’Afrique des solutions», «rendre opérationnelle la Force africaine en attente» pour lutter contre le terrorisme, mettre en œuvre la «Déclaration de Dakar sur la sécurité alimentaire et la résilience» ainsi que la «Déclaration conjointe […]
ACTUALITE DIPLOMATIE«Fermer l’ère de l’Afrique des problèmes et ouvrir la voie de l’Afrique des solutions», «rendre opérationnelle la Force africaine en attente» pour lutter contre le terrorisme, mettre en œuvre la «Déclaration de Dakar sur la sécurité alimentaire et la résilience» ainsi que la «Déclaration conjointe sur la sécurité alimentaire issue du Sommet Etats-Unis – Afrique de décembre dernier»… : le chef de l’État a ainsi indiqué les défis qui interpellent le continent à l’heure où finit son mandat à la tête de l’organisation continentale. Nous vous proposons l’intégralité de son dernier discours en tant que président en exercice, prononcé ce samedi à Addis-Abeba à l’ouverture de la 36e session ordinaire de l’institution.
LE DISCOURS DE MACKY SALL
En votre nom et au mien propre, je remercie le gouvernement éthiopien pour son accueil convivial et les dispositions prises en appui à l’organisation de notre Sommet.
Je salue et remercie tous les collègues, chefs de délégations et invités ici présents.
Nous tenons nos assises alors que nos pays continuent de subir de plein fouet les effets combinés du réchauffement climatique, d’une crise sanitaire inédite et d’une guerre majeure, qui plonge le monde entier dans une séquence dangereuse et incertaine, dont personne ne peut prédire comment et quand elle finira.
S’y ajoutent l’avancée du terrorisme sur le continent, la persistance de conflits anciens ou nouveaux, et la recrudescence des coups d’Etat ; même si la tenue d’élections libres et transparentes confirme l’ancrage de la démocratie dans nombre de nos pays.
Au cours de mon mandat, je me suis efforcé à soutenir le règlement des différends et accompagner les transitions politiques, avec l’appui de la Commission, et des Communautés économiques et Mécanismes régionaux.
Force est de constater que la pacification du continent reste encore un objectif à atteindre.
J’appelle instamment à la mise en œuvre des engagements du Sommet extraordinaire de Malabo de mai 2022 ; à savoir, rendre opérationnelle la Force africaine en attente, créer une Unité de lutte contre le terrorisme et financer de façon plus conséquente et plus prévisible nos efforts de lutte contre ce fléau.
Cette lutte, comme je l’ai indiqué dans mon adresse à la 77ème Session de l’Assemblée générale des Nations Unies, relève aussi de la responsabilité du Conseil de Sécurité, garant du mécanisme de sécurité collective ; parce que l’avancée du terrorisme en Afrique est une menace à la paix et à la sécurité internationales. Comme il l’a fait ailleurs, le Conseil doit mieux s’engager dans la lutte contre le terrorisme en Afrique, avec des mandats plus robustes et un financement plus adéquat.
En tout état de cause, le défi de la paix, de la sécurité et de la stabilité du continent nous engage à déposer les armes, et à trouver des solutions pacifiques à nos différends afin de mieux nous consacrer aux tâches de développement économique et social.
Avec la reconfiguration géopolitique du monde, une opportunité historique s’offre à nous de fermer l’ère de l’Afrique des problèmes et ouvrir la voie de l’Afrique des solutions.
Nous en avons tout le potentiel ; parce qu’un continent de 30 millions de Km², plus d’un milliard trois cents millions d’habitants, doté en abondance de toutes sortes de ressources, ne peut être condamné à rester à la traine du monde.
L’émergence de l’Afrique est à notre portée.
Mais pour y arriver, nous devons accorder plus de temps à l’agenda pour le développement économique et social du continent, que nous avons actualisé cette année avec la tenue des Sommets sur :
Ces thématiques rappellent les urgences auxquelles nous devons nous attaquer afin de réaliser l’Afrique que nous voulons pour nous-mêmes, pour nos enfants et pour les générations futures.
En raison de la persistance des violences faites aux femmes et aux filles, et de notre grand retard en matière d’infrastructures, j’appelle l’Union à prendre des décisions urgentes pour la mise en œuvre des conclusions des rencontres de Dakar sur ces deux thématiques.
S’agissant de la 2èmeConférence de Dakar sur l’agriculture et la sécurité alimentaire (Dakar 2), co organisée par le Sénégal et la BAD du 25 au 27 janvier dernier, sous le thème « Nourrir l’Afrique, souveraineté alimentaire et résilience », la participation record de haut niveau en a fait un sommet orienté vers l’action, pour une l’Afrique qui se donne enfin les moyens de se nourrir par elle-même et contribuer à nourrir le monde.
Ainsi, sur la base de leurs programmes prioritaires, plusieurs pays ont signé avec les partenaires bilatéraux et multilatéraux des Compacts visant à stimuler la production, la transformation et le commerce agricoles, pour un montant total de 36 milliards de dollars annoncés, dont 10 milliards de la BAD.
J’exprime notre gratitude à tous nos partenaires bilatéraux et multilatéraux pour leurs contributions.
Je remercie vivement notre frère Akinwumi Adesina, Président du Groupe de la BAD, pour l’enthousiasme et le leadership avec lesquels il continue de mobiliser la BAD pour aider à libérer le potentiel agricole du continent et mettre fin à sa dépendance alimentaire vis-à-vis de l’extérieur. Les excellents résultats de Dakar 2 en témoignent.
Je suis sûr que nous pouvons compter sur lui pour la mobilisation effective des financements annoncés.
Afin d’assurer le suivi adéquat de la conférence, je recommande que le Sommet endosse la Déclaration de Dakar sur la souveraineté alimentaire et la résilience, et instruise la Commission de travailler à sa mise en œuvre en collaboration avec la BAD.
Il serait tout aussi indiqué d’intégrer dans le même processus le suivi de la Déclaration conjointe sur la sécurité alimentaire issue du Sommet Etats-Unis -Afrique de décembre dernier.
A cette fin, j’ai mis en place une task force conduite par l’ancien Premier Ministre Hailemariam Desalegn qui travaille déjà avec la Commission et la partie américaine sur la mise en œuvre des objectifs de la Déclaration.
Il s’agit, à court terme, d’assurer à nos pays l’approvisionnement en produits céréaliers et en fertilisants, aux conditions normales du marché.
A cet effet, nous pourrions utiliser la plateforme ATEX en collaboration avec AFREXIMBANK afin de faciliter les transactions.
A moyen et long termes, la Déclaration de Washington nous engage à travailler avec la partie américaine et d’autres partenaires, pour améliorer les performances agricoles du continent dans tous les aspects, y compris les infrastructures.
Excellences, Mesdames, Messieurs,
L’Afrique que nous voulons, c’est aussi une Afrique qui réfléchit par et pour elle-même ; une Afrique qui sait ce qu’elle veut et ce qu’elle vaut ; une Afrique pleinement intégrée dans la gouvernance mondiale, et qui s’engage avec ses partenaires dans une éthique relationnelle réinventée, fondée sur des partenariats co-construits et respectueux de la diversité des valeurs de cultures et de civilisations.
C’est le plaidoyer que j’ai porté en votre nom au 6ème Sommet Europe-Afrique de Bruxelles, au Conseil de l’OCDE à Paris, au Sommet du G7 d’Elmau, à la TICAD 8 de Tunis, à l’Assemblée générale des Nations Unies, à la COP 27 de Sharm El Sheikh, au Sommet du G20 de Bali et au 2ème Sommet Etats-Unis-Afrique à Washington.
A toutes ces étapes, j’ai réaffirmé qu’en ces temps de mutations profondes, travailler ensemble requiert une autre façon de penser le monde, une autre façon d’agir entre partenaires respectueux de leurs valeurs communes et de leurs différences.
Sur la gouvernance mondiale, il est clair que la réforme du Conseil de Sécurité ne connait pas encore d’évolution significative.
Par contre, s’agissant de la gouvernance économique et financière mondiale, je suis heureux d’annoncer que le processus d’adhésion de l’Afrique comme membre de plein droit du G20 est en bonne voie, suite aux démarches que j’ai effectuées dans ce sens aussitôt après ma prise de fonction.
A ce jour, 10 des 20 membres du Groupe nous ont exprimé leur soutien ; notamment et dans l’ordre chronologique : l’Union Européenne, la France, l’Afrique du Sud, la Chine, la Russie, l’Arabie Saoudite, les Etats-Unis d’Amérique, le Japon, la Turquie et la Grande Bretagne.
En votre nom, je leur renouvelle nos chaleureux remerciements pour ce soutien amical et solidaire. L’Afrique s’en souviendra.
J’espère que les autres membres du Groupe rejoindront cet élan consensuel pour que l’adhésion de l’Afrique soit actée au prochain sommet du G20 en Inde.
D’autres défis non encore résolus demandent une prise en charge continue.
Je pense à l’Initiative du G20 sur la suspension du service de la dette et à la réallocation partielle des Droits de Tirage spéciaux. L’une et l’autre, censées accompagner nos efforts de résilience et de relance économique, restent encore dans l’impasse. Je pense à la transition énergétique juste et équitable, qui nous permet d’exploiter nos ressources disponibles, pour satisfaire nos besoins d’industrialisation à des coûts compétitifs et assurer à nos pays l’accès universel à l’électricité dont plus de 600 millions d’africains restent encore privés.
Je pense à la perception exagérée du risque d’investissement en Afrique.
Dans mon adresse de prise de fonction du 5 février 2022 ici même, je disais que nos économies sont sous financées et mal financées, parce que nos pays continuent de payer de façon injuste des taux d’intérêt trop élevés, à cause d’un système inéquitable d’évaluation du risque d’investissement.
Cela a été confirmé par plusieurs études, dont le Rapport 2022 sur le financement du développement durable publié en avril 2022, qui a relevé en termes explicites la sévérité des Agences vis-à-vis des pays du Sud et leur relative indulgence à l’égard des pays industrialisés.
Ainsi, en pleine pandémie en 2020, 18 des 32 pays africains évalués par au moins une des grandes agences ont vu leur notation dégradée ; soit 56% contre une moyenne mondiale de 31%.
A l’inverse, et je cite le Rapport : « Les pays développés, qui ont connu une augmentation de leur dette et un ralentissement économique beaucoup plus important, ont largement échappé aux dégradations, ce qui renforce leur accès à un financement de marché abondant et abordable ». fin de citation.
Le document relève en outre la défiance des Agences de notation vis-à-vis de l’Initiative de suspension du service de la dette, pourtant décidée de façon consensuelle par le G20, instance habilitée en la matière.
Plusieurs pays africains ont ainsi vu leur notation mise sous surveillance, avant même leur participation à l’Initiative ; ce qui a contribué à aggraver la perception du risque dans ces pays et à dégrader leur notation ; comme si les agences s’érigeaient en instance de régulation au-dessus des Institutions intergouvernementales.
C’est pourquoi le Rapport recommande l’adoption de « méthodologies transparentes afin de ne pas miner la confiance dans les notations ».
Je rappelle que cette étude qui fait autorité a été réalisée par une soixantaine d’institutions multilatérales, dont le FMI, la Banque mondiale, le Comité de Bâle sur la supervision bancaire, l’Association internationale des régulateurs de l’assurance et le Conseil de stabilité financière.
Tout cela montre que nos efforts de développement ne pourront prospérer tant que perdurent certaines règles et pratiques de la gouvernance économique et financière mondiale.
Certes, nous avons la responsabilité première de créer les conditions de développement de nos pays, mais notre sort dépend aussi d’institutions et règles d’après-guerre qui ne prennent pas suffisamment en compte les besoins et intérêts de nos pays.
J’appelle, par conséquent, les pays membres de l’Union et la Commission à participer activement à l’Initiative de Bridgetown sur la réforme de l’architecture financière mondiale, dont l’agenda 2023 prévoit six rendez-vous entre les réunions du FMI et de la Banque mondiale en avril, et la COP 28 en décembre.
Excellences, Mesdames, Messieurs,
Au terme de mon mandat, je voudrais vous exprimer toute ma gratitude pour votre confiance.
Je remercie particulièrement notre frère Moussa Faki Mahamat pour son leadership et son soutien.
J’y associe l’ensemble des membres de la Commission.
Servir notre continent a été pour moi un privilège et une grande fierté, parce que je crois en une Afrique unie, une Afrique debout, une Afrique au travail, une Afrique en paix et confiante en son avenir.
Cela me détermine à rester encore plus motivé, au front du combat pour l’Afrique, partout, pour tout et tout le temps ; parce que c’est la responsabilité que nous confère l’héritage du panafricanisme, pour réaliser le rêve des pères fondateurs et les aspirations de nos peuples.
Je souhaite plein succès à nos travaux et à mon successeur.
Vive l’Afrique ! Vive l’Union Africaine !
Je vous remercie.
La société de production Marodi a été condamnée par le tribunal de commerce à verser la somme de 21 millions d’euros à la réalisatrice Kalista Sy. Cette affaire concerne le paiement des retombées de la troisième saison de la série « Maîtresse d’un homme marié ». Les […]
ACTUALITE SOCIETÉLa société de production Marodi a été condamnée par le tribunal de commerce à verser la somme de 21 millions d’euros à la réalisatrice Kalista Sy. Cette affaire concerne le paiement des retombées de la troisième saison de la série « Maîtresse d’un homme marié ». Les versions des deux parties ont été recueillies par L’Observateur, et nous présentons ici celle du PDG de Marodi, Massamba Ndour, après avoir entendu le témoignage de Kalista Sy.
« On a eu une divergence avec Kalista et je tiens à signaler qu’elle tourne autour de 5 millions (de francs CFA). Lorsque nous avons signé la saison 3 de ‘Maîtresse…’, elle avait livré en janvier 2021, 32 épisodes intégrant le personnage de Marième Dial. Malheureusement nous n’avons pas pu trouver un accord avec Halima Dial qui devait tenir ce rôle. Donc il fallait réécrire toute la saison, en sortant Marième Dial de la saison, en adaptant le scénario. Elle avait commencé à le faire en livrant dix épisodes. Il y avait pas mal de tensions, mais il fallait modifier et la saison était déjà lancée », déclare Mass Ndour, rapporte Igfm.
« Le jour où elle m’a annoncé qu’elle devait retourner en France pour des raisons personnelles, nous avons pris ensemble le petit-déjeuner. Nous nous sommes entretenus et il n’y avait aucune animosité entre nous. Je lui ai fait savoir que nous avons pris l’engagement d’aller au bout de la série, comme toutes les autres, et que nous allions le faire. C’est comme ça que nous avons géré et réécrit jusqu’à la fin des 32 épisodes », poursuit-il.
« Il fallait faire un bilan après la fin de la troisième saison. Chaque semestre, nous avons un état et nous mettons à jour les revenus Youtube que l’on se partage. Lors de ce bilan, début 2022, Kalista a dit que nous lui devions 21 millions. Je lui ai dit que ce n’était juste que 16 millions car je ne pouvais pas lui remettre les 5 millions qu’elle ne devait toucher qu’à la livraison des épisodes. Tout simplement parce qu’elle n’est pas allée au bout du projet et que les objectifs n’ont pas été atteints. C’est cela qui a créé le différend », ajoute-t-il.
Ndeya, plus connue sous le nom de Alima, est une actrice révélée par la série Famille Sénégalaise, dans laquelle elle est la troisième femme de Mar Lô. Révélée par Vip Sagnsé, Alima éclate véritablement dans Famille Sénégalaise où son empreinte artistiques va éclore. Pendant les […]
ACTUALITE PeopleNdeya, plus connue sous le nom de Alima, est une actrice révélée par la série Famille Sénégalaise, dans laquelle elle est la troisième femme de Mar Lô. Révélée par Vip Sagnsé, Alima éclate véritablement dans Famille Sénégalaise où son empreinte artistiques va éclore.
Pendant les tournages, acteurs et actrices de la série vivent ensemble au sein d’une même maison. A la question sur la cohabitation, Alima confie : « Ce n’est pas facile en tant que femmes, avec nos humeurs et habitudes, mais avec un esprit de dépassement on peut tout gérer. »
La Confédération Africaine de Football (CAF) est “attristée par le décès tragique de l’international ghanéen, Christian Atsu, à la suite du tremblement de terre en Turquie”, déclare-t-elle dans un communiqué. Atsu, qui a représenté son pays 65 fois, a joué pour plusieurs clubs dont Everton, […]
ACTUALITE SPORTSLa Confédération Africaine de Football (CAF) est “attristée par le décès tragique de l’international ghanéen, Christian Atsu, à la suite du tremblement de terre en Turquie”, déclare-t-elle dans un communiqué.
Atsu, qui a représenté son pays 65 fois, a joué pour plusieurs clubs dont Everton, Chelsea, Newcastle en Angleterre et Porto. Au moment de sa mort tragique, il jouait en Turquie pour Hatayspor.
Le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, et la famille du football africain “présentent leurs sincères condoléances à sa famille et à la famille du football ghanéen. Que l’âme de Christian Atsu repose en paix !”.
En septembre 2022, un résident sénégalais aux États-uni nommé Alassane Sall, a porté plainte contre Farba NGom et Gaston Mbengue, accusés d’agression lors du séjour du président Macky Sall aux Etats-Unis. Des militants hostiles à l’accueil du président Sall se sont dit agressés par Gaston […]
ACTUALITE justiceEn septembre 2022, un résident sénégalais aux États-uni nommé Alassane Sall, a porté plainte contre Farba NGom et Gaston Mbengue, accusés d’agression lors du séjour du président Macky Sall aux Etats-Unis. Des militants hostiles à l’accueil du président Sall se sont dit agressés par Gaston Mbengue, Farba Ngom et Alassane Gassama, chargés de l’organisation de l’accueil.
Le Procureur du District Sud de New-York a donné suite à la plainte d’Alassane Sall, qui a détaillé les motifs d’agression dans un document de 28 pages. Si la Justice américaine condamne les mis en cause pour cette agression, un mandat d’arrêt international pourrait être délivré.
Cette semaine, Alassane Sall a indiqué que l’affaire a été transmise au Département d’Etat après plusieurs rencontres avec la police fédérale FBI. Il a déclaré sur sa page Facebook que « l’affaire sera suivie jusqu’au bout après les évidences (preuves) qu’ils ont pu établir ».
« Après plusieurs rencontres avec la police Fédérale FBI, ils m’ont fait savoir que maintenant l’affaire est au Département d’État et que se sera suivie jusqu’au bout après les évidences (preuves ) qu’ils ont pu établir », a déclaré Alassane Sall.
Alassane Sall et son avocat attendent avec impatience les procédures judiciaires du Département d’Etat Américain.
En Ouganda, un fait pour le moins invraisemblable s’est récemment produit dans le district d’Apac (Kyoga du Nord). Une fille de 17 ans déclarée morte s’est réveillée à la morgue. Elle avait été battue à mort, (du moins c’est ce qu’on croyait), par la population […]
ACTUALITE afriqueEn Ouganda, un fait pour le moins invraisemblable s’est récemment produit dans le district d’Apac (Kyoga du Nord). Une fille de 17 ans déclarée morte s’est réveillée à la morgue. Elle avait été battue à mort, (du moins c’est ce qu’on croyait), par la population pour avoir volé des bananes. Selon le porte-parole de la police régionale de Kyoga du Nord, ce sont ses agents qui ont transporté le corps à la morgue.
« Elle a été battue à mort par une foule l’accusant de vol. Nos agents se sont rendus sur les lieux, ont enregistré des déclarations et ont transporté son corps à la morgue de l’hôpital principal d’Apac » a déclaré Patrick Jimmy Okema à la presse.
Autopsie manquée
Alors que les médecins se préparaient à procéder à l’autopsie du corps, ils ont découvert que la jeune fille était toujours en vie. Elle a rapidement été transportée dans le service réanimation de l’hôpital et est toujours surveillée par l’équipe médicale.
Selon le porte-parole de la police, ses hommes ont déjà mis la main sur l’un des agresseurs. Les autres sont pour le moment en cavale. M Okema les invite à se rendre le plus tôt possible. « Ceux qui sont en fuite devraient savoir que nous les avons profilés. Alors, ils devraient simplement se livrer à la police et répondre aux accusations de tentative de meurtre avant que nous les traquions » a-t-il déclaré.
Ne pas se faire justice
M Okema a par ailleurs exhorté la population à ne plus se faire justice. Les personnes peuvent appréhender les présumés criminels et les remettre à la police pour qu’elle fasse son travail, a-t-il ajouté.
Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr n’a pas porté de gants pour dénoncer vigoureusement les scènes de pillages et de vandalismes enregistrées vendredi dernier à Touba lors du meeting avorté de Ousmane Sonko. Pour le porte-parole du khalife général des mourides, on ne doit plus tolérer que […]
ACTUALITE POLITIQUESerigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr n’a pas porté de gants pour dénoncer vigoureusement les scènes de pillages et de vandalismes enregistrées vendredi dernier à Touba lors du meeting avorté de Ousmane Sonko. Pour le porte-parole du khalife général des mourides, on ne doit plus tolérer que la sacralité de la capitale du mouridisme soit piétinée. ” Tout le monde doit veiller au respect de la sacralité de Touba. Pourquoi les gens ont peur maintenant de dire la vérité ? Personne ne veut subir les attaques. Ce n’est pas une raison. Nous devons tous préserver la sacralité de Touba ” insiste-t-il.h Dans sa fatwa, Cheikh Bassirou Abdou Khadr n’a pas manqué de sermonner la classe politique. Pour lui, les politiciens ne doivent pas prendre en otage le pays parce qu’ils y sont minoritaires. Ces derniers ne valent pas, dit-il, la peine de mettre le pays en chaos. Le porte-parole du khalife général des mourides s’exprimait ce samedi lors de la cérémonie officielle du Magal de kazu rajab. C’était en présence de la délégation gouvernementale dirigée par le Ministre, Abdou Karim Fofana.
« A l’image de cette vitre de Sonko, Macky Sall a brisé la démocratie au Sénégal…« , d’après Bougane Guèye Dany. Le leader de Gueum Sa Bopp, dans une note rendue publique, est revenu sur les incidents de ce jeudi 16 février, lors du procès du leader […]
ACTUALITE POLITIQUE« A l’image de cette vitre de Sonko, Macky Sall a brisé la démocratie au Sénégal…« , d’après Bougane Guèye Dany. Le leader de Gueum Sa Bopp, dans une note rendue publique, est revenu sur les incidents de ce jeudi 16 février, lors du procès du leader de Pastef l’opposant à Mame Mbaye Niang. Il pointe du doigt le Président Macky Sall.
Texte in extenso :
« La démocratie est une terrible affectation, une pause. Rien de moins vrai. Elle périra avec le règne exclusif de l’argent » (Paul Valery). A cette assertion, l’on même y ajouter que la démocratie périra aussi avec le règne d’un autoritarisme qui frise la partisanerie à outrance. Malheureusement, avec le régime du Président Macky Sall, c’est une opposition brimée. A la limite, l’on peut se permet d’aller au-delà.
L’opposition est au poteau. Ses sbires munis d’armes non conventionnels, sont prêts à fusiller des citoyens qui n’ont que la force des arguments pour convaincre les Sénégalais autour d’idées construites à partir de programmes bien réfléchis pour reconstruire ce cher Sénégal. Mais, que voit-on ? Les signaux forts de la fin de la démocratie au Sénégal. Elle se symbolise – se singularise par cette vitre cassée de la voiture d’Ousmane Sonko. Une vitre cassée en mille morceaux avec la seule image pour ceux qui s’y mirent. Ils ne voient qu’une démocratie craquelée. Une démocratie fissurée.
Une démocratie en lambeaux. De loin, les pères fondateurs de cette République regardent le Sénégal vaciller, sa démocratie mise à rude épreuve. Ils entendent le cri de chaque morceau de cette vitre cassée, reflet d’une démocratie mise sous perfusion, menée dans un coma profond par le Président Macky Sall. Le Sénégal a mal. L’on cherche le remède. Mais, ce ne sera certainement pas sous le régime de ce Président casseur d’une démocratie à recoller.
Et même s’il forçait jusqu’à se présenter, il ne peut pas et ne pourrait point gagner. Le pays en perdra et les sénégalais en patiront. Car, il a brisé la quiétude de la majorité des sénégalais comme cette vitre qu’il ne peut recoller. Le départ de Macky Sall est impératif et vital pour la renaissance de la démocratie au Sénégal.
Mame Mbaye Niang, face à la presse ce vendredi 17 février, est revenu sur l’affaire des 29 milliards du Prodac qui a valu une plainte au leader de Pastef. L’ancien ministre de la Jeunesse, interpellé sur le livre de Birahim Seck qui, contrairement à Sonko, […]
ACTUALITE justiceMame Mbaye Niang, face à la presse ce vendredi 17 février, est revenu sur l’affaire des 29 milliards du Prodac qui a valu une plainte au leader de Pastef. L’ancien ministre de la Jeunesse, interpellé sur le livre de Birahim Seck qui, contrairement à Sonko, n’a pas été inquiété par une plainte de sa part, donne ses raisons.
Lettre au peuple… Un livre de Birahim Seck qui revient sur le dossier du Prodac et qui évoque 36 milliards, au lieu de 29. Et pourtant, le coordonnateur du Forum civil n’a pas été inquiété par une plainte de l’actuel ministre du Tourisme. Pourquoi ? Mame Mbaye Niang a fait part du motif.
Lettre au peuple… Un livre de Birahim Seck qui revient sur le dossier du Prodac et qui évoque 36 milliards, au lieu de 29. Et pourtant, le coordonnateur du Forum civil n’a pas été inquiété par une plainte de l’actuel ministre du Tourisme. Pourquoi ? Mame Mbaye Niang a fait part du motif.
« Birahim Seck n’a jamais dit qu’il…
« Je n’ai jamais lu le livre de Birahim Seck. Et lorsqu’on m’a fait part de sa sortie, j’ai demandé à deux de mes proches de le lire. Par la suite, ils m’ont dit que dans ce livre, Birahim Seck n’a jamais dit qu’il existe un rapport qui m’aurait épinglé. Il a critiqué le contenu du programme, la réalisation et le marché. Et de ce qu’on m’a dit, il n’a jamais affirmé qu’un Mame Mbaye Niang a été épinglé par un rapport« , précise-t-il.
Précisions…
Il poursuit : « Il se dit aussi que Birahim Seck a écrit : ‘M. le Ministre, votre lettre de 4 lignes a enclenché le carnage financier de 36 milliards’… Et je dois la vérité aux gens. Je reconnais que la lettre dont il (Ndlr : Birahim Seck) parle existe bel et bien. C’est la notification du marché… A y voir plus clair, moi, je ne suis pas Dg du Prodac, ni le coordonnateur, je n’ai jamais travaillé au Prodac. Le Prodac a été inscrit au ministère de la Jeunesse comme entité selon laquelle le ministère de la Jeunesse est en charge de la tutelle technique… Parce que c’est un programme du chef de l’Etat qui vise à faire travailler les jeunes. Et c’est le président de la République qui, par décret, a nommé un coordonnateur qui, en même temps, est administrateur de crédit et ordonnateur de dépenses. Le directeur est responsable. Il y’en a qui disent même que Birahim a dénoncé une faute de gestion. Mais si faute de gestion il y a, c’est à celui qui gère qu’on devrait l’imputer… »
Il donne ainsi l’exemple du Rapport de la Cour des comptes qui, selon lui, n’a cité aucun ministre. Non sans préciser que seul Moustapha Diop a été cité et que ce Moustapha Diop n’est pas le ministre qu’on connait.
« Lorsque Birahim Seck m’a appelé…
A cet effet, il n’a pas manqué de préciser que si M. Seck avait fait comme Sonko, il allait porter plainte contre lui. Parce que, révèle-t-il, Birahim Seck l’a appelé lorsqu’il écrivait son livre pour parler du contrat financier. « Je lui ai demandé : ‘quel contrat financier?’ Je lui ai demandé de bien vérifier celui qui est à sa disposition, parce que moi aussi je le détiens. Je lui ai demandé de bien regarder les paraphes, s’il y a le mien. Depuis, il ne m’a plus rappelé« , précise Mame Mbaye Niang.