Après la publication des listes officielles par le Conseil constitutionnel, l’analyste politique conseille à l’opposition, en particulier aux recalés, de se regrouper derrière seulement deux candidats de l’opposition afin d’éviter la dispersion. L’objectif est de pouvoir battre le candidat du pouvoir, Amadou Ba, dès le […]
ACTUALITE POLITIQUEUn camion citerne rempli de gasoil en partance pour le Mali a raté un virage, dimanche 21 janvier aux environs de midi sur la RN7 à hauteur de Badon, localité située dans la commune de Tomboronkoto (Arrondissement de Bandafassi, département de Kédougou). Cette sortie de […]
ACTUALITE SOCIETEL’honorable député et coordinateur de PASTEF Touba Serigne Cheikh Thioro Mbacké vient de donner le nom de son premier fils au Président Ousmane SONKO. Merci beaucoup pour cet hommage mérité rendu à l’homme qui s’est sacrifié pour la libération de son peuple et pour la […]
ACTUALITE SOCIETELa grève des transporteurs routiers se poursuit, après l’échec des négociations tenues hier entre le ministre de tutelle, Mansour Faye et l’intersyndicale des transports routiers, regroupant Alassane Ndoye, Gora Khouma et Pape Mamadou Ndiaye.D’après L’As, les parties prenantes n’ont pas pu trouver un terrain d’entente […]
ACTUALITE SOCIETÉLa grève des transporteurs routiers se poursuit, après l’échec des négociations tenues hier entre le ministre de tutelle, Mansour Faye et l’intersyndicale des transports routiers, regroupant Alassane Ndoye, Gora Khouma et Pape Mamadou Ndiaye.
D’après L’As, les parties prenantes n’ont pas pu trouver un terrain d’entente après 5 tours d’horloge. Une autre rencontre a été convoquée. Mais, en l’absence de consensus, l’intersyndicale a décidé de maintenir le mot d’ordre de grève illimitée.
D’après Bès Bi Le jour, l’ancienne responsable de l’Afp a repris du service auprès de Khalifa Sall et participe activement à la tournée du leader de Taxawu Sénégal, candidat déclaré à la Présidentielle de 2024.D’ailleurs, précise le journal, l’ancienne mairesse de Dakar était aux côtés […]
ACTUALITE POLITIQUED’après Bès Bi Le jour, l’ancienne responsable de l’Afp a repris du service auprès de Khalifa Sall et participe activement à la tournée du leader de Taxawu Sénégal, candidat déclaré à la Présidentielle de 2024.
D’ailleurs, précise le journal, l’ancienne mairesse de Dakar était aux côtés de son prédécesseur, lors de l’activité Mottali Yeené, à Rufisque, tenu le week-end dernier.
Contactée par Bés bi, elle n’a pas voulu commenter l’information, confirmée par de hauts responsables de Taxawu Sénégal.
Non choisie par Yewwi askan wi pour la candidature à la Ville de Dakar, lors des Locales du 23 janvier 2022, Soham Wardini avait pris ses distances avec son prédécesseur, à la tête de la Ville, pour monter une liste parallèle sous la bannière de Bunt-bi.
A la veille des Législatives, interrogée par Le Quotidien, Soham El Wardini affirmait réfléchir à quitter la politique. Il n’en est rien.
L’irréparable a été frôlé au Centreville de Kolda. Un véhicule particulier a fini sa course dans les caniveaux. Les faits se sont produits ce vendredi nuit aux environs de 22 h face à une station d’essence. Des passants et autres vendeurs de nuit ont volé au […]
ACTUALITE SOCIETÉL’irréparable a été frôlé au Centreville de Kolda. Un véhicule particulier a fini sa course dans les caniveaux. Les faits se sont produits ce vendredi nuit aux environs de 22 h face à une station d’essence. Des passants et autres vendeurs de nuit ont volé au secours du conducteur. Ils ont défoncé la portière pour sortir l’homme au volant coincé à l’intérieur du véhicule. Seul dans sa voiture, le conducteur est sorti sain et sauf. Et ce sont aussi ces passants qui ont usé de toute leurs forces pour sortir le véhicule à ces heures tardives de la nuit.
Samba Ka, le célèbre Tik-Tokeur a dormi hier, dans les locaux du commissariat urbain de Linguère. Selon L’Observateur, il est cité dans une vilaine affaire de cambriolage portant sur trois magasins. Le mis en cause aurait avoué les faits, soutenant que depuis qu’il est devenu […]
ACTUALITE SOCIETÉSamba Ka, le célèbre Tik-Tokeur a dormi hier, dans les locaux du commissariat urbain de Linguère. Selon L’Observateur, il est cité dans une vilaine affaire de cambriolage portant sur trois magasins. Le mis en cause aurait avoué les faits, soutenant que depuis qu’il est devenu célèbre, ses parents le sollicitent financièrement.
Le célèbre « tiktokeur » Samba Ka alias «Rang Mouy gaw» est tombé de son piédestal. Ce comédien au style assez particulier qui a surpris son monde, a été arrêté ce vendredi, aux environs de 13 heures, par les éléments du commissariat urbain de Linguère. D’après nos sources, tout est parti d’un cambriolage perpétré sur trois magasins sis au marché de Linguère.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 14 au 15 janvier dernier. Cette nuit-là, aux environs de 3 heures du matin, le célèbre «tik-tokeur », sur sa moto Jakarta, s’est rendu sur les lieux qu’il avait déjà bien repérés. Armé de matériels de cambriolage, il s’est approché d’une boutique spécialisée dans la vente de produits alimentaires, communément appelée « Alimentation générale ».
Malheureusement pour lui, avant qu’il ne mette à exécution son dessein, les redoutables policiers qui mènent toutes les nuits des patrouilles pour mieux sécuriser la ville, sont passés près du marché.
Lorsqu’il a vu le véhicule des forces de sécurité, il s’est caché dans l’obscurité, attendant qu’il s’éloigne. Après quelques minutes de planque, samba Ka retourne à la boutique. Très expérimenté, il a défoncé la porte avant de subtiliser la somme d’argent trouvée dans la caisse et des marchandises. Ce premier coup réussi, le concepteur de «Rang mouy Gaw » utilise le même procédé pour cambrioler un multi-services et une autre boutique. A la suite de sa sale besogne, il range le butin sur sa moto et démarre en trombe pour rentrer chez lui dans la commune de Affé Diolof. En cours de route, il a dut se délester d’un sac de lait, dont le poids gênait sa conduite.
Comment il a été piégé par la police
Les propriétaires des trois boutiques qui ont failli tomber à la renverse au petit matin lorsqu’ils ont constaté le vol, ont alerté les éléments du commissariat urbain de Linguère. Les limiers habitués à résoudre de telles équations, se sont déplacés sur les lieux pour relever des indices leur permettant d’ouvrir une enquête. L’une des boutiques étant dotée de trois caméras de surveillance, les limiers ont exploité les images. Cependant, Samba Ka, sachant certainement que ladite boutique est équipée de caméras de surveillance, a utilisé son éternel turban pour cacher son visage. Malheureusement, le comédien qui ignorait qu’une troisième caméra filmait à l’entrée, a mis la cagoule dès qu’il a défoncé la porte principale. Aussi son visage a-t-il été filmé.
Après visionnage desdites vidéos, les limiers enquêteurs qui ont aisément identifié Samba Ka, très présent sur les réseaux sociaux, veulent s’entourer de toutes les garanties avant de procéder à son arrestation. Investiguant avec minutie, ils saisissent d’une réquisition la Sonatel qui trace le numéro de leur cible. Lequel a borné dans la nuit du 14 au 15 janvier, aux environs de 03 heures du matin, aux alentours du marché de Linguère. Suffisant pour que les limiers procèdent à l’arrestation du tiktokeur qui avait refusé de déférer à leur convocation.
Arrêté ce vendredi à 13 heures, Samba Ka a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat de Linguère. L’enquête suit toujours son cours. Mais, d’après des sources très proches de ce dossier, le jeune homme, confondu par les éléments à charge, serait passé aux aveux.
Pour expliquer son acte qui a surpris plus d’un, il a confié que son train de vie de célébrité l’a poussé à voler: «Je suis toujours sollicité par mes parents. Tous les jours, ils m’appellent au téléphone pour me poser des problèmes. Ils pensent que je suis devenu riche. Je suis venu très célèbre, mais l’argent ne suit pas. J’avais cambriolé des boutiques pour régler quelques soins.»
Dans un entretien accordé à Mamoudou Ibra Kane, en marge de sa visite au Sénégal, la présidente du Rassemblement national (RN), Marine Le Pen, a confirmé l’audience avec le Président Macky Sall.« Oui, j’ai pu rencontrer le Président (Macky Sall) avec qui j’ai échangé de […]
ACTUALITE POLITIQUEDans un entretien accordé à Mamoudou Ibra Kane, en marge de sa visite au Sénégal, la présidente du Rassemblement national (RN), Marine Le Pen, a confirmé l’audience avec le Président Macky Sall.
« Oui, j’ai pu rencontrer le Président (Macky Sall) avec qui j’ai échangé de la tribune que j’ai faite publier il y a quelques jours sur la place de l’Afrique, et particulièrement le Sénégal dans le concert des nations, dans les instances internationales », a-t-elle confié.
Il s’agissait également pour elle d’« exprimer la vision (qu’elle) avait des relations qui devraient être celles de la France et du Sénégal », a-t-elle précisé. Avant de plaider pour une place de l’Afrique au Conseil de sécurité de l’ONU. Parce que, justifie-t-elle : « Je considère qu’il est aujourd’hui totalement anormal que le continent africain ne soit pas représenté au Conseil de sécurité des Nations Unies. Et qu’en y étant par définition, son poids serait beaucoup plus important auprès d’autres institutions internationales y compris financières. »
Marine Le Pen en conclut que « le Président Macky Sall et (elle) ont parlé le même langage. » D’autant plus qu’a-t-elle souligné : « Ce qui est sûr, c’est que le Président Macky Sall souhaite que les relations entre la France et le Sénégal soient en même temps plus riche, peut-être plus amicales et plus fréquentes. Ce que je sais, c’est qu’il (Macky Sall) est attaché à la souveraineté du Sénégal. Donc, entre souverainistes, on ne peut après tout que trouver des points de convergence ».
Mamadou Danfakha, 30 ans, s’était rendu au site d’orpaillage clandestin abandonné du village de Sezenla, dans la commune de Bambou, à Kédougou, pour y extraire du sable aurifère. Malheureusement, la galerie s’est affaissée sur lui. Selon Libération, ce drame fait suite à l’éboulement qui a […]
ACTUALITE SOCIETÉMamadou Danfakha, 30 ans, s’était rendu au site d’orpaillage clandestin abandonné du village de Sezenla, dans la commune de Bambou, à Kédougou, pour y extraire du sable aurifère. Malheureusement, la galerie s’est affaissée sur lui. Selon Libération, ce drame fait suite à l’éboulement qui a causé la mort d’un groupe de femmes dans des circonstances similaires.
Il s’agit de L. Cissokho âgée de 14 ans, D. Diallo, 28 ans, mariée d’un enfant, et F. Cissokho, 18 ans. Elles étaient parties comme à l’accoutumée à la recherche de pépites d’or afin de les revendre pour subvenir aux besoins de leur famille. Malheureusement pour elles, la galerie où elles avaient l’habitude de prélever le sable s’est affaissée sur elles, en les ensevelissant.
L’As ajoute que le corps sans vie de Mamadou Danfakha a été remis à ses proches, après les constatations d’usage des éléments de la Brigade de Saraya, qui ont ouvert une enquête. A Diakha Madina, dans son village natal, sa fiancée est inconsolable. La date de mariage était déjà fixée.
Le leader de Pastef, Ousmane Sonko, est inculpé de viols et de menaces de mort, dans l’affaire Sweet Beauty par le juge Oumar Maham Diallo. Une décision de justice saluée par Me El Hadji Diouf, avocat de l’ex-masseuse, Adji Sarr. « Je félicite cette décision […]
ACTUALITE justiceLe leader de Pastef, Ousmane Sonko, est inculpé de viols et de menaces de mort, dans l’affaire Sweet Beauty par le juge Oumar Maham Diallo. Une décision de justice saluée par Me El Hadji Diouf, avocat de l’ex-masseuse, Adji Sarr. « Je félicite cette décision parce que la justice ne doit pas être faible pour recevoir des ordres de qui que ce soit. Ni du pouvoir, ni de l’opposition encore moins des insulteurs publics. Le juge doit rester à l’écart de tout cela et faire son travail de façon sereine et sans crainte », a déclaré lé robe dans les colonnes de Source A.
Revenant sur la date du procès qui n’est pas encore fixée, Me El Hadji Diouf pense que c’est le procureur qui va s’en charger. «Aucun juge dans le monde ne peut fixer une date d’audience. Le Tribunal reçoit le dossier et c’est le procureur qui cherche une date pour voir quelle est la chambre disponible pour juger cette affaire. Dans les prochains jours, le parquet va fixer la date de l’audience et la chambre criminelle va chercher une salle d’audience», explique-t-il.
Selon Me El Hadji Diouf, la partie civile est très contente et satisfaite de l’avancement du dossier. «On n’a jamais vu des gens qui donnent des ordres au juge pour ordonner le non-lieu. Ce qui relève de la peur et de la crainte. Le non-lieu, on peut le demander au juge mais pas à travers les médias. Le procureur ne gère pas le dossier donc, comment il peut savoir que celui-ci est vide. Seul le juge est maître de sa procédure. Lui seul a la possibilité, le pouvoir et à l’exclusivité de donner l’ordonnance de non-lieu ou le renvoi devant la chambre criminelle. Personne ne peut à sa place apprécier le dossier. Tout ce que les gens disaient, c’était de la manipulation», a-t-il dit.
Réagissant sur le renvoi par le doyen des juges de son client devant la chambre criminelle dans le cadre de l’affaire “Sweet Beauty”, Me Étienne Ndione, membres du pool d’avocats d’Ousmane Sonko n’a pas caché son étonnement. La robe noire estime que rien ne puisse […]
ACTUALITE justice SOCIETERéagissant sur le renvoi par le doyen des juges de son client devant la chambre criminelle dans le cadre de l’affaire “Sweet Beauty”, Me Étienne Ndione, membres du pool d’avocats d’Ousmane Sonko n’a pas caché son étonnement. La robe noire estime que rien ne puisse justifier cette décision du juge. «Nous nous attendions à un non- lieu, mais le juge en a décidé autrement. On viendra, devant le juge plaider. Cela me surprend personnellement parce qu’il n’y a rien qui puisse justifier qu’Ousmane Sonko soit renvoyé devant la juridiction de jugement. Mais puisqu’on nous y a renvoyés, on viendra avec force arguments plaider et prouver qu’il est innocent et que c’est un complot », a déclaré Me Etienne Ndione dans les colonnes de Les Échos.
À un peu plus d’un an de la Présidentielle 2024, pas moins de sept candidatures ont été déjà enregistrées. Ousmane Sonko de Pastef a ouvert le bal en août dernier. Suivront, dans le désordre, Malick Gackou (Grand parti), Dr Abdourahmane Diouf (Awalé), Bougane Guèye Danny […]
ACTUALITE POLITIQUEÀ un peu plus d’un an de la Présidentielle 2024, pas moins de sept candidatures ont été déjà enregistrées. Ousmane Sonko de Pastef a ouvert le bal en août dernier. Suivront, dans le désordre, Malick Gackou (Grand parti), Dr Abdourahmane Diouf (Awalé), Bougane Guèye Danny (Gueum sa bop), Mimi Touré (Mimi 2024), Boubacar Camara (PCS/Jengu Tabax) et Khalifa Sall (Taxawu Senegaal). Si certaines de ces déclarations d’intention sont jugées «sérieuses» d’autres sont considérées comme «opportunistes».
«C’est tout à fait normal de voir que les leaders des différentes entités se déclarent», a lancé l’analyste politique Hamidou Hann dans Le Soleil, qui s’est penché sur le sujet dans son édition de mardi.
Ce dernier s’est empressé d’ajouter : «On verra aussi des candidatures farfelues parce que ce sont des positionnements, des postures politiques qui motivent un peu les individus qui se déclarent candidats pour un peu monnayer leur ralliement dans les grandes coalitions qui vont se structurer.»
L’enseignant-chercheur en sociologie politique Ibou Sané abonde dans le même sens. Il dit : «La majorité d’entre eux n’ont pas de base. C’est un peu de la mégalomanie. Ils annoncent leur candidature et, à la fin, ils se retirent. Ils nous ont habitués à ça.»
D’autant qu’il a le filtre des parrainages contre lequel échoue souvent les candidatures ces dernières années. Malick Gackou et Bougane Guèye Danny en avaient fait les frais lors de la Présidentielle 2019. «Le parrainage va freiner beaucoup de candidats déclarés, surtout pour des candidats qui n’ont aucune assise nationale, qui sont parfois d’illustres inconnus, tranche Hamidou Hann. La collecte de parrains est un travail sérieux qui demande de la rigueur et de l’organisation. Ce qui n’est pas le fort des hommes politiques sénégalais et des appareils politiques de manière générale.»
Pour participer à la Présidentielle 2024, les candidats à la candidature doivent réunir 53 457 parrainages au minimum et 66 820 au maximum.