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Non classéLes professionnels des médias ne sont pas contents de la nouvelle démarche adoptée par le nouveau régime vis-à-vis de la presse sénégalaise.
En effet, certains journalistes et patrons de presses estiment que les nouvelles autorités sont sur un pied de guerre avec la presse sénégalaise.
C’est pourquoi ce lundi 2 septembre, lors d’une édition spéciale consacrée à la plénière relative à la suppression du HCCT et du CESE, nos confrères de la Rfm à savoir Babacar Fall et Souleymane Niang n’ont pas manqué de fustiger l’attitude du tandem Diomaye- Sonko,ainsi que le ministre de la communication Alioune Sall par rapport à la crise qui sévit le secteur de la presse avec notamment les dettes fiscales, et les conditions de travail des journalistes reporters.
Selon nos confrères, le nouveau gouvernement n’est pas sur une ligne de tendre la main à la presse sénégalaise afin de la mettre hors crise. Aux yeux des deux journalistes de la Rfm,le nouveau régime est dans une logique d’empirer la situation des médias sénégalais qui traversent des moments sombres.
En ce qui concerne la liste de la dette fiscale du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique qui a révélé le Groupe futurs médias (GFM) détient 40 % de la dette fiscale des entreprises de presse, Souleymane Niang a exprimé un désaccord par rapport aux chiffres avancés par Aliou Sall. Le journaliste présentateur a laissé entendre que le ministre n’a pas donné la bonne information à ce propos. À l’en croire, la dette fiscale du groupe Futur Média s’élève à 13 milliards au lieu de 40 milliards.
Toutefois, Souleymane Niang n’a pas raté certains journalistes à qui il reproche d’avoir amplifié cette affaire sur la toile.
Revenant sur les statistiques des journalistes qui n’ont pas de contrats de travail, les deux employés de Youssou Ndour soulignent que le ministre a commis l’erreur d’utiliser le sondage effectué par la Convention des jeunes reporters qui d’après eux ne serait pas fiable. Souleymane Niang et Babaxar Fall pensent que le ministre de la Communication n’a pas beaucoup creusé pour avoir la bonne information sur la situation des journalistes.
« Comment un ministre peut-il reprendre les résultats d’une étude dont la méthodologie est aussi Subject à caution. Malheureusement, le ministre n’a pas beaucoup creusé pour avoir la bonne information parce que ce sondage qu’il a exploité est léger et irresponsable de sa part. On ne peut pas savoir le nombre de journalistes par sondage sur un échantillon de 200 qui est à peine représentatif. Il fallait faire un recensement à la place du sondage », scandent-ils.
Babacar Fall à également déploré le comportement du président de la République Bassirou Diomaye Faye qui a accepté de recevoir la convention des jeunes reporters en opposant un niet catégorique aux patrons de presses qui jusque là ne cessent d’introduire des demandes d’audience pour lui rencontrer.
Pour rappel, depuis pratiquement un mois, la dette fiscale des médias et leur financement alimentent les débats au Sénégal.
Les députés des Benno Bokk Yaakaar viennent de déposer une motion de censure sur la table du président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, a-t-on appris. Prenant la parole, lors de la plénière de ce lundi, Abdou Mbow, président du groupe parlementaire de Benno à […]
POLITIQUELes députés des Benno Bokk Yaakaar viennent de déposer une motion de censure sur la table du président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, a-t-on appris.
Prenant la parole, lors de la plénière de ce lundi, Abdou Mbow, président du groupe parlementaire de Benno à l’hémicycle, avait annoncé que dès ce mardi, la motion sera déposée pour faire tomber le gouvernement d’Ousmane Sonko.
« Dès demain, notre groupe parlementaire [Bby] va déposer une motion de censure pour faire tomber le gouvernement ». Une annonce faite par le président dudit groupe parlementaire, Abdou Mbow. Quelles sont les chances de succès de l’initiative ? L’ancien parlementaire, Théodore Chérif Monteil, se […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUE« Dès demain, notre groupe parlementaire [Bby] va déposer une motion de censure pour faire tomber le gouvernement ». Une annonce faite par le président dudit groupe parlementaire, Abdou Mbow. Quelles sont les chances de succès de l’initiative ? L’ancien parlementaire, Théodore Chérif Monteil, se prête aux questions de L’Observateur.
«La motion de censure est une disposition qui est gérée par l’article 86 de la Constitution, qui dit que l’Assemblée nationale peut demander le vote de la motion de censure, selon une procédure bien précise. Il faut une demande revêtue de la signature d’un dixième de l’Assemblée nationale, c’est-à-dire au moins 17 députés sur les 165 qui composent l’institution parlementaire », campe l’interlocuteur du journal.
Qui précise que « le vote de la motion de censure ne peut intervenir que 48 heures après le dépôt de la demande au niveau du bureau de l’Assemblée nationale. Les députés ont le droit de déposer une motion de censure, mais il va falloir qu’on convoque une nouvelle session extraordinaire. Maintenant, quand ils vont déposer la motion de censure, le Premier ministre devra venir certainement avec son Gouvernement et répondre aux questions » avant d’ajouter :
« Après les discussions, on passe au vote. Mais pour qu’elle soit acceptée, il faut que la majorité de l’Assemblée nationale vote la motion de censure. On ne compte que les voix qui sont pour la motion. Les voix qui sont contre ne sont pas comptées. Et si la motion passe automatiquement, le Premier ministre présente sa démission, et comme le Gouvernement est collégial, ils vont tous tomber. »
Cependant, nuance l’ex-député, « si Benno arrive à faire passer la motion censure et que le Gouvernement tombe, c’est une victoire de Benno bokk yaakaar. Seulement, au Sénégal une motion de censure n’a pas une très grande valeur pratique parce que même si le gouvernement tombe, le président de la République peut reconduire le Premier ministre. Et comme on ne peut pas déposer une nouvelle motion de censure dans la même session extraordinaire, le Gouvernement va poursuivre son travail ».
En conclusion, Monteil, convaincu que « le bras de fer qui est en train de se passer entre Benno et le pouvoir peut faire mal au pays », suggère « de privilégier le dialogue ».
Un vent de restructuration va souffler au sein du Groupe Futurs Médias (GFM), nous glissent des sources bien informées. Face aux difficultés économiques que connaît la maison, la Direction générale va procéder à des suppressions de postes dans les jours à venir. Une centaine d’emplois […]
Non classéUn vent de restructuration va souffler au sein du Groupe Futurs Médias (GFM), nous glissent des sources bien informées. Face aux difficultés économiques que connaît la maison, la Direction générale va procéder à des suppressions de postes dans les jours à venir. Une centaine d’emplois seraient concernés, selon nos sources.
Nos interlocuteurs nous renseignent que Youssou Ndour, qui a longtemps freiné les velléités de la Direction générale de procéder à ces licenciements, n’y voit plus d’inconvénient face à la réalité de la situation morose de l’entreprise marquée notamment par des retards dans le paiement des salaires
“Cette restructuration vise en particulier à dégraisser les effectifs. Le groupe GFM compte plus de 600 personnes, les suppressions de postes concerneront entre 100 et 200 personnes”, nous glisse un de nos interlocuteurs.
Fleuron du paysage médiatique sénégalais, GFM compte en son sein des médias tels que le quotidien L’Observateur, la radio RFM, la site IGFM, la télé TFM ou encore le quotidien sportif Record.
Information L’Observateur : Amadou Bâ va créer son parti politique. Le candidat malheureux à la présidentielle du 24 mars, sous la bannière de Benno Bokk Yakaar, annoncera la nouvelle le 9 septembre. «Le lancement va se faire à Dakar ou à Thiès. Le choix n’est […]
POLITIQUEInformation L’Observateur : Amadou Bâ va créer son parti politique. Le candidat malheureux à la présidentielle du 24 mars, sous la bannière de Benno Bokk Yakaar, annoncera la nouvelle le 9 septembre. «Le lancement va se faire à Dakar ou à Thiès. Le choix n’est pas encore fait, mais ce sera entre ces deux villes», souffle le journal.
Pour le format, non plus, rien n’est arrêté : «L’option d’un meeting, pour faire une démonstration de force, est agitée», glisse la même source. Qui ajoute qu’il s’agira en tout cas de retenir «une formule très populaire qui toucherait la cible, où qu’elle se trouve».
Le nom de la formation politique de l’ancien Premier ministre reste également un mystère. Un indice : le 21 juin dernier, Amadou Bâ avait publié un texte dans lequel il traçait son futur politique. Son message s’adressait à «tous les compatriotes d’ici et de la Diaspora» et il y déclinait sa ligne : «incarner une opposition démocratique et républicaine». Cette profession de foi était intitulée «Nouvelle responsabilité». Le nom de son futur parti politique ? L’Observateur ne se mouille pas.
Pour la fin du suspense, le journal du Groupe futurs médias (GFM) donne rendez-vous le 9 septembre (9e mois de l’année), «à moins d’une urgence qui pourrait» changer le calendrier. Dans cette perspective, L’Obs s’est arrêté sur la symbolique du chiffre 9 pour Amadou Bâ, interrogeant «des membres très influents de [son] entourage». «9-9-2024 pour faire du neuf», auraient répondu ces derniers. Sans davantage de détails.
Si la rupture entre Amadou Bâ et l’Alliance pour la République (APR) n’est pas encore officielle, elle s’annonce donc inéluctable. Selon le quotidien du GFM, d’anciennes figures du parti de Macky Sall ayant acté leur divorce avec lui, sont membres du comité de pilotage du lancement de la formation politique de l’ancien chef du gouvernement. Le journal cite Cheikh Oumar Ann, ancien ministre, Abdoulatif Coulibaly, ancien secrétaire général du gouvernement, Zahra Iyane Thiam, ancienne ministre, et Aliou Sall, frère de l’ex-Président. Ces derniers, signale la même source, siègent au sein dudit comité aux côtés «d’autres cadres de différents domaines et des personnalités jusque-là inconnues du terrain politique».
Invité sur le plateau de la journaliste Maty Fall, alias Maty 3 Pommes, Bougane Guèye Dany, leader de la coalition « Gueum Sa Bopp Les Jambaars », est revenu sur l’actualité politique du pays et sur ses relations avec Ousmane Sonko, président du parti Pastef, […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEInvité sur le plateau de la journaliste Maty Fall, alias Maty 3 Pommes, Bougane Guèye Dany, leader de la coalition « Gueum Sa Bopp Les Jambaars », est revenu sur l’actualité politique du pays et sur ses relations avec Ousmane Sonko, président du parti Pastef, particulièrement lors de l’affaire « Sweet Beauty Spa ». Lors de cet échange, Bougane a réaffirmé son soutien indéfectible à Sonko, dès les premiers instants.
Le leader de « Gueum Sa Bopp Les Jambaars » a rappelé avec force son implication dans la défense d’Ousmane Sonko en 2021. Bougane, l’un des premiers à s’engager publiquement en faveur de Sonko, a expliqué que la situation était intolérable après les emprisonnements de Karim Wade et de Khalifa Sall. « Nous ne pouvions laisser Macky Sall sacrifier Ousmane Sonko. C’était un leader à préserver », a-t-il affirmé avec conviction. Selon lui, il était évident que Sonko représentait un espoir pour la jeunesse et qu’il méritait d’être protégé.
Sonko, dans un geste de confiance, s’était rendu dans le bureau de Bougane pour solliciter son soutien. Lors de cette rencontre, Sonko aurait expliqué que son combat n’était pas personnel mais politique. Il lui aurait également confié que l’affaire avec Adji Sarr n’était qu’un complot monté contre lui. Touché par cette déclaration, Bougane n’a pas hésité à répondre qu’il serait à ses côtés pour affronter cette injustice. Bougane a ensuite mobilisé ses partisans pour apporter un soutien sans faille à Sonko, car, pour lui, défendre Sonko, c’était défendre une cause juste.
Tout au long de cette période tumultueuse, Bougane s’est montré constant dans son opposition à l’injustice, insistant sur l’importance de soutenir les leaders émergents face aux tentatives de les éliminer politiquement. Il a souligné que son engagement auprès de Sonko n’était pas seulement un acte de solidarité, mais aussi un devoir moral, basé sur des principes clairs de justice et d’équité.
Bougane a également rappelé que ses relations avec Sonko étaient fondées sur des valeurs partagées, notamment leur opposition commune au système en place. Cependant, il n’a pas manqué de critiquer l’évolution de son ancien camarade de l’opposition, qui, selon lui, a fini par collaborer avec le système qu’il combattait autrefois.
Pour finir, le leader de la coalition « Gueum Sa Bopp Les Jambaars » a réitéré son appel à l’unité de l’opposition, afin de créer des coalitions solides capables de redresser la situation politique du pays et d’éviter que l’inexpérience actuelle du pouvoir n’aggrave la crise.
Face à la recrudescence des crimes, la police nationale est plus que jamais déterminée à assurer la protection des personnes et de leurs biens. Une vaste opération de sécurisation a été menée la nuit dernière par les limiers, sur l’ensemble du territoire national, à cet […]
SOCIETEFace à la recrudescence des crimes, la police nationale est plus que jamais déterminée à assurer la protection des personnes et de leurs biens. Une vaste opération de sécurisation a été menée la nuit dernière par les limiers, sur l’ensemble du territoire national, à cet effet.
Cette mission de sécurisation de grande envergure, supervisée par la Direction de la sécurité de la police, a permis d’interpeller 402 individus pour diverses infractions, dont 81 pour ivresse publique et manifeste, 10 pour détention et usage de drogue, sept pour coups et blessures volontaires, huit pour vagabondage, etc. Pour diverses infractions routières, les policiers ont mis en fourrière 39 véhicules et immobilisé 91 motos, a appris Seneweb d’une source autorisée.
Dans la nuit du jeudi au vendredi 30 août 2024, les éléments engagés dans cette initiative visant à lutter contre la délinquance et la criminalité sur l’étendue du territoire national, ont mis la main sur du chanvre indien et huit képas de haschisch.
Ce vendredi 30 août 2024, Aliou Cissé a dévoilé la liste des 26 joueurs qui représenteront le Sénégal dans les prochaines qualifications pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025. Pour cette campagne déterminante, le sélectionneur national sera épaulé par Pape Thiaw, promu au poste […]
A LA UNE ACTUALITÉ SPORTSCe vendredi 30 août 2024, Aliou Cissé a dévoilé la liste des 26 joueurs qui représenteront le Sénégal dans les prochaines qualifications pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025. Pour cette campagne déterminante, le sélectionneur national sera épaulé par Pape Thiaw, promu au poste de sélectionneur adjoint numéro 1.
Cependant, la conférence de presse qui a suivi cette annonce a pris une tournure inattendue. Interrogé sur la nomination de Pape Thiaw, un journaliste a cherché à savoir si ce choix était motivé par une décision personnelle de Cissé ou s’il répondait à une directive de la Fédération. Cette question a manifestement irrité le sélectionneur, qui n’a pas hésité à exprimer son mécontentement.
Aliou Cissé, visiblement agacé, a vivement répliqué, accusant le journaliste de toujours vouloir « chercher la merde ». Il a ensuite défendu fermement la nomination de Pape Thiaw, soulignant que ce dernier est un « fils du pays » au parcours exemplaire, qui mérite amplement sa nouvelle fonction. Il a également rappelé que des questions similaires avaient été soulevées lors de la nomination de Régis Bogaert, insinuant que ces interrogations récurrentes visent souvent à semer la discorde au sein de l’équipe nationale.
Les événements tragiques survenus entre le 18 et le 19 août à la Cité Pikine Technopole continuent de révéler de sombres détails. Cette nuit-là, une altercation a éclaté dans un appartement, aboutissant à la mort violente de deux jeunes hommes : Abdoul Aziz Ba, connu […]
A LA UNE ACTUALITÉ SOCIETÉLes événements tragiques survenus entre le 18 et le 19 août à la Cité Pikine Technopole continuent de révéler de sombres détails. Cette nuit-là, une altercation a éclaté dans un appartement, aboutissant à la mort violente de deux jeunes hommes : Abdoul Aziz Ba, connu sous le nom de Dabala, et son ami Boubacar Gano, surnommé Waly.
Selon le journal l’Observateur qui raconte les détails dans son édition du 29 août 2024, l’enquête menée par la Division des investigations criminelles (Dic) met en lumière le rôle central joué par Nabou Lèye dans cette affaire. Selon les interrogatoires, elle aurait entretenu des relations tendues avec Waly, allant jusqu’à demander à Aziz Ba de l’expulser de l’appartement. Cependant, Aziz, refusant catégoriquement de se conformer à cette demande, a déclenché une série d’événements funestes.
La situation a dégénéré lorsque Nabou Lèye, après avoir échoué à obtenir ce qu’elle voulait par des moyens pacifiques, aurait orchestré une « séance de punition » pour intimider Aziz. Les malfaiteurs impliqués avaient pour objectif de forcer Aziz à rompre ses liens avec certaines personnes de son entourage, plutôt que de le tuer. Cependant, la situation a rapidement pris une tournure tragique.
La nuit fatale a commencé après un retour du Thiant de Niatti Mbar, lorsque Nabou Lèye a déposé Aziz à Pikine Icotaf. Là, il a été rejoint par Hadji Mamadou Diao, qui l’a conduit en taxi jusqu’à la Cité Technopole. Sur place, d’autres membres de la bande les attendaient. La confrontation a alors éclaté, et Waly, présent dans l’appartement, a tenté de défendre son ami Aziz. Cette action courageuse lui a coûté la vie, poignardé à 11 reprises. Aziz, quant à lui, a été gravement blessé, recevant plus de 15 coups de couteau et une trentaine de blessures supplémentaires.
Nabou Lèye, dont les communications téléphoniques avec les agresseurs se sont poursuivies jusqu’à 4 heures du matin après le drame, est désormais dépeinte comme la responsable indirecte de cette nuit meurtrière. Tous les suspects ont été placés sous mandat de dépôt, en attendant leur jugement devant la Chambre criminelle.
L’ancien ministre des Sports, après sa mésaventure à l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD), où son passeport diplomatique lui a été confisqué, a adressé une lettre par le biais de son avocat au ministre de l’Intérieur, le général Jean Baptiste Tine. Repris par L’Observateur, Me Souleymane […]
SOCIETÉL’ancien ministre des Sports, après sa mésaventure à l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD), où son passeport diplomatique lui a été confisqué, a adressé une lettre par le biais de son avocat au ministre de l’Intérieur, le général Jean Baptiste Tine.
Repris par L’Observateur, Me Souleymane Diagne explique que « Lat Diop s’est vu refuser; à la date du 27 août 2024, la sortie du territoire national, alors qu’il devait embarquer pour la France par vol Air France AF 0711. Il lui a simplement été indiqué qu’il ne pouvait pas sortir du territoire national et sans aucune autre précision ni sur la justification, ni sur l’auteur de la mesure».
La robe noire d’ajouter : « Les agents de la Brigade spéciale de l’Aéroport lui ont, dans l’après-midi, confirmé que l’interdiction était toujours maintenue par l’autorité qui l’a prise.»
Le conseil du président de Guédiawaye FC assène « que nous sommes dans un État de droit ou les décisions à incidence négative sur la liberté d’aller et de venir des citoyens, doivent leur être notifiées et les autorités qui en sont les auteurs, identifiées », et sollicite, par conséquent, « de l’autorité de demander à ses services de procéder à la mainlevée de la mesure ».