Le corps sans vie d’un enfant a été retrouvé par les pêcheurs locaux de Thioubalel deux jours après le chavirement d’une pirogue survenu lundi dans ce village de la commune de Nabadji Civol. Source A, qui donne l’information, rappelle que cinq personnes étaient portées disparues suite au drame. Un des corps a été repêché vers les coups de 17 heures, ce mardi, poursuit le journal. La même source précise que quatre corps demeurent introuvables. Il s’agit de trois mineurs et d’un adulte, complète le quotidien d’information. 

Huit passagers, dont une femme, un père de famille et son fils, ont pu être sauvés.

Portée disparue depuis quelques jours, Maman Aicha Ndong a malheureusement été retrouvée sans vie. Dans une vidéo, son père avait lancé des accusations contre l’amie de la victime, dernière à l’avoir vu et qui aurait montré l’emplacement du corps aux enquêteurs.

Dans une nouvelle vidéo publiée par « Bagny Toujours Visible », le grand-père de l’amie de la victime a voulu « rétablir les faits ». Selon lui, sa petite fille n’a rien fait et le père de la victime a fait une sortie très maladroite.
« Je compatis à la douleur de nos voisins, qui sont comme ma famille. Mais ma petite fille n’a rien fait. Les enquêteurs l’ont emmené au poste, ils l’ont interrogé puis l’ont relâché parce qu’elle n’a rien fait. Je voulais donc rétablir les faits après les propos du père de la victime.Il est également mon fils, je lui conseille d’arrêter de faire des sorties dans la presse », a-t-il déclaré dans une vidéo. 
Selon lui, si les enquêteurs ont retrouvé le corps, c’est parce que sa petite fille, dernière à avoir vu Mame Aicha, a reconstitué les endroits où elles sont passées. C’est ainsi que les enquêteurs ont découvert le corps. 
Selon le grand-père, des gens l’ont menacé. « J’ai reçu des menaces, des gens ont déclaré qu’ils vont brûler ma maison ou tuer ma petite fille. J’ai dû appeler la police », ajoute-t-il. 

Perdue de vue depuis quelques jours, Maman Aïcha Ndong, âgée de  14 ans, a été finalement retrouvée morte dans des circonstances troublantes. Son  corps, en  état de décomposition, a été découvert dans un canal, à Bargny.

A la suite de la découverte macabre, les policiers du poste de cette localité sont à pied d’œuvre pour élucider la mort de la jeune fille. C’est ainsi qu’un suspect a été arrêté par les limiers. Il s’agit de la copine de la défunte. La raison ?

D’après des témoignages recueillis auprès de sa famille,  Maman Aïcha Ndong était allée à la boutique en compagnie de sa copine M. N., âgée de 15 ans, la nuit, pour acheter du lait caillé. Elle ne retournera jamais à la maison, alors que son amie est rentrée toute seule chez elle, sans piper mot.

« Sa copine M. N. avait fait croire qu’elle n’était pas partie à la boutique en compagnie de Maman Aïcha Ndong. C’est qui est totalement faux », déclare un membre de la famille de la victime.

Suspectée dans cette affaire, M. N. vient d’être arrêtée pour nécessité d’enquête, selon des sources de Seneweb. Elle est interrogée dans les locaux du poste de police de Bargny.

Accablé par une image de vidéo surveillance, F. Diop, le septième suspect dans l’affaire du double meurtre de Pikine Technopole, avait usé d’astuce pour échapper à la vigilance des limiers de la Division des investigations criminelles (DIC). En quoi faisant ? Libération révèle qu’il s’était rasé le crâne. Malheureusement pour lui, le coup n’est pas passé puisqu’il a été livré à la police par son père.

L’Observateur précise que « quand les trois éléments de la DIC se sont présentés sur les lieux, le père a joint au téléphone le patron de la DIC [Commissaire Adramé Sarr] pour lui expliquer la sensibilité de cette affaire et ne voudrait pas que son fils subisse la vengeance des jeunes sympathisants des défunts. »

C’est ainsi que souffle le journal du Groupe futurs médias (GFM) « un terrain d’entente a été trouvé avec la DIC pour emmener son fils à la police dans la plus grande discrétion, à l’abri des curieux ». 

La bande des présumés meurtriers passe ainsi de 6 à 7. Déférés ce mardi, la danseuse Nabou Lèye et Cie bénéficient d’un retour de parquet. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, assassinats, actes de barbarie, vol aggravé et complicité de ces chefs. 

Le procureur de Pikine-Guédiawaye a requis l’ouverture d’une information judiciaire.

Accablé par une image de vidéo surveillance, F. Diop, le septième suspect dans l’affaire du double meurtre de Pikine Technopole, avait usé d’astuce pour échapper à la vigilance des limiers de la Division des investigations criminelles (DIC). En quoi faisant ? Libération révèle qu’il s’était rasé le crâne. Malheureusement pour lui, le coup n’est pas passé puisqu’il a été livré à la police par son père.

L’Observateur précise que « quand les trois éléments de la DIC se sont présentés sur les lieux, le père a joint au téléphone le patron de la DIC [Commissaire Adramé Sarr] pour lui expliquer la sensibilité de cette affaire et ne voudrait pas que son fils subisse la vengeance des jeunes sympathisants des défunts. »

C’est ainsi que souffle le journal du Groupe futurs médias (GFM) « un terrain d’entente a été trouvé avec la DIC pour emmener son fils à la police dans la plus grande discrétion, à l’abri des curieux ». 

La bande des présumés meurtriers passe ainsi de 6 à 7. Déférés ce mardi, la danseuse Nabou Lèye et Cie bénéficient d’un retour de parquet. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, assassinats, actes de barbarie, vol aggravé et complicité de ces chefs. 

Le procureur de Pikine-Guédiawaye a requis l’ouverture d’une information judiciaire.