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SOCIETÉPour acheminer les fidèles à Touba, Dakar Dem Dikk a mis en place un dispositif de transport, avec un prix fixe de 4000 Fcfa. Mais certaines personnes en profitent pour revendre des billets au-delà du prix fixé, alerte Dakar Dem Dikk dans un communiqué. La société demande aux clients de refuser tout billet revendu et de dénoncer les auteurs.
« Des personnes mal intentionnées profitent du rush noté sur nos points de départ vers Touba pour vendre des tickets de transport au-delà du prix fixé par Dakar Dem Dikk. Nous rappelons aux usagers que notre tarif reste inchangé et est de 4000 francs. Dem Dikk invite les usagers à refuser de subir tout abus et à dénoncer les forfaitures auprès des services de sécurité », lit-on sur le communiqué.
Leader politique républicain, ancien ministre de l’Intérieur et actuel président du Conseil économique, social et environnemental, Abdoulaye Daouda Diallo a effectué hier son ziar à Touba, à quelques heures du Grand Magal. Reçu par Cheikh Bassirou Abdou Khadre, Abdoulaye Daouda Diallo a sollicité des prières […]
POLITIQUELeader politique républicain, ancien ministre de l’Intérieur et actuel président du Conseil économique, social et environnemental, Abdoulaye Daouda Diallo a effectué hier son ziar à Touba, à quelques heures du Grand Magal. Reçu par Cheikh Bassirou Abdou Khadre, Abdoulaye Daouda Diallo a sollicité des prières pour un Sénégal en paix. Il a remercié le chef religieux pour le soutien apporté. Dans sa réponse, Cheikh Bass a insisté sur l’excellent travail accompli par son hôte à la tête du ministère de l’Intérieur. Il a également fait une révélation importante symbolisant l’attachement que l’ancien ministre vouait à son mentor, Macky Sall.
Lors de cette visite, Serigne Bass Abdou Khadre a raconté plusieurs anecdotes liées à Abdoulaye Daouda Diallo. Notamment, selon le marabout, lorsque ce dernier avait insisté pour que l’on installe des portiques de sécurité pour les fidèles devant entrer dans la Grande Mosquée de Touba. Serigne Bass Abdou Khadre avait alors répondu que la Grande Mosquée de Touba n’avait pas vraiment besoin de cela, car elle est protégée par le guide Cheikh Ahmadou Bamba.
Le marabout ne s’est pas arrêté là ; il a également raconté une autre anecdote encore plus surprenante. Selon lui, l’ancien président Macky Sall lui aurait personnellement confié un jour une histoire impliquant Abdoulaye Daouda Diallo. Selon Serigne Bass Abdou Khadre, ce dernier aurait, pour protéger le président Macky Sall, bu une tasse de café destinée au président, craignant un possible empoisonnement. Le marabout n’a pas raconté l’intégralité de l’histoire, mais cela laisse entendre qu’Abdoulaye Daouda Diallo était prêt à mourir pour Macky Sall.
La chanteuse Coumba Gawlo est très triste après le décès dramatique du danseur Aziz Dabala. En effet, elle a partagé dans peine dans une publication faites sur sa page Facebook. In extenso, sa publication ! La douleur m’étreint suite à la triste nouvelle du décès […]
SOCIETÉLa chanteuse Coumba Gawlo est très triste après le décès dramatique du danseur Aziz Dabala. En effet, elle a partagé dans peine dans une publication faites sur sa page Facebook.
In extenso, sa publication !
La douleur m’étreint suite à la triste nouvelle du décès de Aziz Dabala dans des circonstances dramatiques. C’est une partie de nous, un membre de notre famille que nous venons de perdre.
Aziz était très proche de moi, très disponible et me considérait comme sa maman. J’ai eu à apprécier ses talents de danseur et de chorégraphe, mais aussi ses qualités humaines, notamment sa disponibilité et son professionnalisme.
Je lui confiais le casting et la sélection des danseurs dans beaucoup de mes clips et il le faisait toujours avec le plus grand professionnalisme.
Il va beaucoup nous manquer. J’encourage les autorités compétentes à mettre en oeuvre toutes les dispositions nécessaires pour apporter toute la lumière sur cette disparition brutale et prendre les mesures idoines.
Mes sincères condoléances à sa famille, à ses proches, à tous les musiciens et techniciens, à toute la communauté culturelle et artistique. Qu’ Allah dans Sa bonté et Sa miséricorde l’accueille en Son Paradis Firdawssi!
Adama Faye, frère de l’ancienne Première dame Marième Faye Sall, a été récemment convoqué à la Section de recherches de Colobane pour un litige foncier. Il a été placé en garde à vue avant d’être relâché. Sa mère a été également entendu dans ce dossier […]
justiceAdama Faye, frère de l’ancienne Première dame Marième Faye Sall, a été récemment convoqué à la Section de recherches de Colobane pour un litige foncier. Il a été placé en garde à vue avant d’être relâché. Sa mère a été également entendu dans ce dossier qui porte sur un terrain situé à Mermoz.
Parallèlement, le beau-frère de l’ancien Président Macky Sall est poursuivi dans une autre affaire foncière. Celle-ci concerne un terrain repéré à Ngor Almadies. «Les pandores doivent incessamment entendre le chef du bureau de la conservation du domaine du secteur concerné avant de procéder à une nouvelle audition du frère de Mansour Faye», rapporte Source A, qui donne l’information.
Le journal renseigne que le conservateur foncier est indisponible, sans autre précision. La source croit cependant savoir que son audition «ne saurait tarder», soulignant que «les hommes en bleu ont besoin de son témoignage pour confronter les différentes déclarations qui ont été faites à l’enquête préliminaire, notamment celles de Adama Faye».
Information Le Témoin. Dans son édition de ce jeudi 22 août, le journal révèle que le compte Wave de Abdoul Aziz Ba, le danseur connu sous «Aziz Dabala», et celui de son neveu, Boubacar Gano dit «Waly», retrouvés mort dans leur appartement à Pikine Technopole, […]
SOCIETÉInformation Le Témoin. Dans son édition de ce jeudi 22 août, le journal révèle que le compte Wave de Abdoul Aziz Ba, le danseur connu sous «Aziz Dabala», et celui de son neveu, Boubacar Gano dit «Waly», retrouvés mort dans leur appartement à Pikine Technopole, ont été vidés. «Des retraits d’argent ont été effectués […] quelques heures seulement après le drame», signale le quotidien d’information, citant les premiers éléments de l’enquête.
Le Témoin se dit «convaincu que cette affaire de double meurtre sera très bientôt élucidée. Ce compte tenu de certains indices concordants et éléments probants dont disposent les enquêteurs de la DIC».
«Aziz Dabala» et son neveu ont été retrouvés morts mardi dernier. Plusieurs médias ont souligné que les corps présentaient de nombreuses blessures et qu’il y avait des traces de sang dans les murs et le couloir de l’appartement. Ouverte par le commissariat de Pikine, l’enquête a été finalement confiée à la DIC.
La publication des chiffres de l’aide à la presse a provoqué de nombreux commentaires. Ancien ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Moussa Bocar Thiam accuse les nouveaux gouvernants de vouloir discréditer la presse. Voici son communiqué ! « ARRETEZ DE STIGMATISER LA PRESSE […]
MEDIAS
La publication des chiffres de l’aide à la presse a provoqué de nombreux commentaires. Ancien ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Moussa Bocar Thiam accuse les nouveaux gouvernants de vouloir discréditer la presse.
Voici son communiqué !
« ARRETEZ DE STIGMATISER LA PRESSE SENEGALAISE ET RESPECTEZ LES ENGAGEMENTS DE L’ETAT !
Les sorties malheureuses et dangereuses de mon successeur n’augurent rien de rassurant pour les acteurs du secteur de la communication en raison de la rupture d’une longue tradition de dialogue et de courtoisie entre l’autorité de tutelle et la presse. La volonté de discréditer notre presse et de manipuler tant l’opinion que les employés du secteur, justifient les affirmations mensongères du Ministre qui gagnerait à me consulter avant de s’exprimer dans un langage approximatif indigne d’une autorité en charge de la divulgation des politiques publiques du fameux PROJET IMAGINAIRE. 1- La vérité des chiffres sur la dette fiscale des entreprises de presse Les entreprises de presse comme des milliers d’entreprises établies au Sénégal dans tous les secteurs d’activités ont des contentieux fiscaux qui s’épongent de manière dynamique par des échanges et des séances de travail avec les services fiscaux.
Donc il n’y a rien d’alarmant qu’une entreprise de presse ait des dettes fiscales. En 2023, la dette fiscale de la presse publique et privée était de 10 337 595 510 fcfa en droits simples et 2 900 000 fcfa de pénalités. Les dettes fiscales du secteur public sont ainsi réparties : La RTS (4 554 625 781 fcfa), l’Agence de presse Sénégalaise (256 747 664 fcfa), le Soleil (215 838 695 fcfa) sans compter la TDS (600 000 000 fcfa).
Donc 50% de la dette fiscale est du chef des entreprises publiques qui ne subissent aucune pression de l’administration, donc pourquoi s’acharner sur les entreprises de presse privée ?
En réalité, il faudra distinguer les dettes purement fiscales des dettes liées aux redevances de fréquences dues à l’ARTP par les médias. Cette dette est de 25 milliards et concerne les médias publics et privés. Elle est même indue puisque l’ARTP, avec l’avènement de la TNT a libéré ces fréquences et les a revendues aux opérateurs dans le cadre de la 5G (Orange à 34 milliards, FREE à 13,5 milliards et Expresso à 6 milliards). Cette dette est d’autant plus injustement réclamée à la presse privée que par lettre n°00619 PR/MSG/sp du 20 mars 2024 Monsieur le Président de la République Macky Sall a donné instruction au Ministre des Finances et du Budget d’effacer les dettes fiscales et les arriérés de paiement des redevances de fréquences des entreprises de presse dus AVANT LE 31 DECEMBRE 2023.
Donc, Monsieur le Ministre, l’Etat est une continuité et à défaut d’instructions ECRITES contraires, votre collègue des Finances doit exécuter cette décision présidentielle et arrêtez de tourmenter ces braves chefs d’entreprises de presse qui perçoivent des subventions insignifiantes dans un pays sérieux qui souhaite que la presse soit autonome et prospère. 2- Le Fonds d’appui et de développement de la presse est une aumône Ce fonds, jadis appelé aide à la presse, ne devrait pas changer de dénomination : C’est une AIDE, à l’instar de l’aide versée aux étudiants en début d’année.
Dire que sur 1 900 000 000 fcfa, les 800 000 000 fcfa ont servi à d’autres structures qui ne sont pas des entreprises de presse relève de la volonté de faire naître une suspicion de détournement de deniers publics. Un Ministre, avant de s’adresser à la nation doit lire les textes. L’article 46 du code de la Presse précise que le Fonds d’Appui et de Développement de la Presse (FADP) a pour mission : – de soutenir l’entreprise de presse en matière d’investissement (financement de projets de développement ou de modernisation des entreprises de presse) ; – de servir de garantie pour les pre?ts bancaires ; – de soutenir toute initiative en faveur du multimédia ; – de verser une subvention directe à l’Agence de presse sénégalaise en contrepartie du service fourni aux autres médias ; – de contribuer au bon fonctionnement de l’organe d’autorégulation ; – d’aider les entreprises de presse à consolider les emplois ; – d’appuyer la formation continue des journalistes et techniciens des médias – d’aider les radios associatives ou communautaires (à but non lucratif).
Donc, il est clair que les fonds peuvent valablement servir au CESTI, à l’organisation des assises des médias, à la convention des jeunes reporters etc… De la grande entreprise de presse comme GFM ou Dmédia à la radio communautaire, cet aumône ne représente que 0, 01% de leurs charges alors que le secteur compte plus de 3 000 emplois pour des milliards de chiffre d’affaires.
Si la stigmatisation est le PROJET, l’Etat doit publier la liste des bénéficiaires du fonds de solidarité aux artistes, du fonds dédié à la microfinance, du fonds de solidarité nationale, du fonds politique de la Présidence de la République etc.
Donc arrêtez de stigmatiser la presse sénégalaise !
A vous les acteurs des médias, il vous appartient de veiller à vos acquis et de refuser que le PROJET vous divise, car le boycott de la journée sans presse par le groupe Walfadjri confirme que malheureusement certains journalistes du PROJET ont subitement oublié votre solidarité à leur égard. »
Alioune Tine, président de l’Afrikajom Center, a proposé l’organisation d’un débat inédit entre deux figures politiques sénégalaises majeures : Ousmane Sonko et Bougane Gueye Dany. Cette initiative fait suite à la déclaration récente du Premier ministre, qui s’est dit ouvert à un échange public avec […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEAlioune Tine, président de l’Afrikajom Center, a proposé l’organisation d’un débat inédit entre deux figures politiques sénégalaises majeures : Ousmane Sonko et Bougane Gueye Dany. Cette initiative fait suite à la déclaration récente du Premier ministre, qui s’est dit ouvert à un échange public avec l’opposition.
Ousmane Sonko a rapidement réagi, affirmant sa disponibilité pour un tel débat. Lors d’une rencontre avec des artistes ce mardi, il a déclaré être prêt à discuter des politiques publiques, de la gestion de l’État, des ressources naturelles, et des finances publiques avec quiconque le souhaite. Cette ouverture a conduit Alioune Tine à saisir l’opportunité pour suggérer un débat entre Sonko et l’un de ses principaux adversaires politiques, Bougane Gueye Dany.
Selon Tine, un tel débat serait une première dans le paysage politique sénégalais. Il a même proposé que Pape Alé, accompagné de journalistes choisis, organise cette confrontation. Bougane Gueye Dany, quant à lui, a répondu avec une phrase qui laisse présager une acceptation après le Magal, tout en rappelant les tensions récentes avec le Premier ministre, qui l’avait qualifié d’« opposant sac à main ».
Les réactions à cette proposition n’ont pas tardé à se faire entendre. Thierno Bocoum, leader du mouvement Agir, a exprimé des réserves, y voyant une possible diversion. Il s’est interrogé sur la cohérence de la demande de débat du Premier ministre Sonko, notamment en l’absence de vision clairement définie sur des secteurs clés comme l’agriculture.
Le Conseil des Éditeurs et Diffuseurs de Presse du Sénégal (CDEPS) a fait face à la presse ce mercredi 21 août 2024 pour revenir sur la sortie du ministre de la Communication Alioune Sall, concernant la situation sociale des entreprises de presse. Dans son discours, […]
MEDIASLe Conseil des Éditeurs et Diffuseurs de Presse du Sénégal (CDEPS) a fait face à la presse ce mercredi 21 août 2024 pour revenir sur la sortie du ministre de la Communication Alioune Sall, concernant la situation sociale des entreprises de presse.
Dans son discours, Maïmouna Ndour Faye, journaliste et directrice de la chaîne de télévision 7TV, a proposé des pistes de solution pour améliorer les conditions de travail des jeunes reporters.
« Si vous voulez améliorer les conditions de travail des jeunes reporters, il faudra accompagner les entreprises de presse. Ces dernières doivent pouvoir bénéficier d’une fiscalité favorable et d’une politique d’appui de l’Etat. Si par exemple l’Etat exigeait des entreprises de presse certains critères comme le respect de la convention, la cotisation sociale et le quitus fiscal pour bénéficier du fonds d’appui à la presse, cela pourrait améliorer les choses. Toutes ces solutions, si on pouvait rencontrer le président de la République Bassirou Diomaye Diakhaté Faye, on allait lui en parler » a fait savoir la membre du CDEPS.
Par ailleurs, la patronne de presse a fustigé «la campagne de diabolisation et de manipulation » orchestrée par le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, à l’encontre des patrons de presse. « Il faut qu’il arrête ces manipulations, la publication de nos données personnelles. Il a publié des documents avec nos compte bancaires. Même concernant la fiscalité, le secret fiscal existe, il n’a pas le droit de publier ces données et cela n’a rien à voir avec la transparence», a fustigé Maïmouna Ndour Faye.
Condamnés à trois mois de prison ferme, Bah Diakhaté et l’Imam Cheikh Tidiane Ndao ont déjà purgé leur peine. L’activiste « républicain » et le prêcheur ont été élargis de prison, a appris Seneweb de Me Alioune Badara Fall.Pour rappel, le duo avait été arrêté par la […]
justiceCondamnés à trois mois de prison ferme, Bah Diakhaté et l’Imam Cheikh Tidiane Ndao ont déjà purgé leur peine.
L’activiste « républicain » et le prêcheur ont été élargis de prison, a appris Seneweb de Me Alioune Badara Fall.
Pour rappel, le duo avait été arrêté par la DIC pour offense au chef de l’État.
Sidy Diop, poursuivi pour défaut de permis de conduire et d’assurance, a été placé sous mandat de dépôt après son face à face avec le Procureur Le chanteur sera jugé lundi devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar. « Dans la nuit du 19 […]
PeopleSidy Diop, poursuivi pour défaut de permis de conduire et d’assurance, a été placé sous mandat de dépôt après son face à face avec le Procureur Le chanteur sera jugé lundi devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar.
« Dans la nuit du 19 août 2024 vers 01 h 30, une patrouille de la gendarmerie avait effectué un contrôle routier sur un véhicule particulier de marque Benz conduit par l’artiste-chanteur Sidy Diop. Au cours du contrôle, il a été constaté que ce dernier ne détenait pas un permis de conduire et le véhicule immatriculé en Gambie, présentait un passavant expiré. L’assurance faisait aussi défaut », rembobine Libération. Repris par le journal, le mis en cause a reconnu les faits face aux enquêteurs : « J’avais quitté mon domicile de Nord-Foire pour aller à la station Edk de Pikine pour m’acheter à manger. Je conduisais le véhicule particulier dont l’attestation d’assurance et le passavant étaient expirés. Me concernant, je n’étais pas en possession d’un permis de conduite. »
Mais, a-t-il été une fois titulaire d’un permis ? Sidy Diop répond qu’il « n’est pas titulaire d’un permis national » mais assure « posséder un permis de conduire international obtenu dans le cadre de [ses] tournées européennes. Par contre, il prétend que celui-ci lui a été volé dans son véhicule. Sauf que, souffle le quotidien d’information, il n’a pas été en mesure d’apporter les preuves de ses explications surtout « en l’absence de déclaration de vol ou de plainte ». « Non pas encore, je viens de revenir d’une tournée, et je m’étais engagé à le [déclarer le vol] faire cette semaine qui débute », a-t-il soutenu à la place.
Soupçonneux, les gendarmes reviennent à la charge, lui demandant « comment se fait-il qu’il soit titulaire d’un permis international sans au préalable avoir le permis national ? » « On me l’a délivré en Gambie », lance l’artiste. Étonnés, les gendarmes lui font savoir que « même en Gambie, pour disposer d’un permis international, il faudrait d’abord avoir un permis national comme c’est le cas au Sénégal ». « J’ai directement obtenu le permis international », maintient Sidy Diop. Qui ne parvient toutefois pas à présenter « les références » du permis international qu’il dit posséder.
«Je vais contacter le gars qui me l’a vendu aux fins de produire les papiers du véhicule. J’ajouterais que le gars m’a vendu le véhicule sous réserve. Par ailleurs, j’ai eu à utiliser d’autres véhicules dans le passé et je n’ai jamais été confronté à ce genre d’incident. En temps normal, je dispose d’un chauffeur », a-t-il confessé.