Dans un post publié sur sa page Facebook, le leader du mouvement Gueum Sa Bopp « les Jambaars », Bougane Guéye Dany, estime que cette évaluation de Moody’s souligne que « la détérioration de l’image du pays résulte de six mois de décisions peu réfléchies et […]
ACTUALITÉ Bougane Gueye POLITIQUEQuelques heures après son relâchement, Bougane Gueye Danny a expliqué en détail ce qui s’est réellement passé lors de son audition. Le leader de Geum Sa Bopp n’a pas manqué de tirer sur Ousmane Sonko. Bougane Gueye Danny poursuit ses attaques contre Ousmane Sonko. Devant la […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEBougane Guéye a été libéré et son dossier classé sans suite. Le président de Gueum Sa Bopp a été accueilli par ses soutiens dont Abdoulaye Mbaye Pékh. Voici les premières images du patron du Groupe D-média après sa libération.
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEC’est une réponse suite à la sortie du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, vendredi dernier, au lancement officiel de la plateforme déclaration médias Sénégal. Lors de cette rencontre, Alioune Sall a fait l’état des lieux de la dette fiscale, […]
MEDIASC’est une réponse suite à la sortie du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, vendredi dernier, au lancement officiel de la plateforme déclaration médias Sénégal. Lors de cette rencontre, Alioune Sall a fait l’état des lieux de la dette fiscale, des subventions des médias durant ces deux dernières années ainsi que des cotisations sociales.
Et, ce jeudi 21 août, le Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS) a décidé de tenir un point de presse pour donner sa version des faits. « Le CDEPS a enregistré avec effarement les déclarations du ministre en charge de la Communication, à propos de la situation fiscale des entreprises de presse et la gestion du Fonds d’Appui et de Développement de la Presse (FADP). Nous dénonçons la fausseté des annonces faites à l’occasion de ces interventions publiques. Il s’agit d’une opération de manipulation et de diabolisation à des fins politiques pour saper la crédibilité de la presse et/ou pour organiser la disparition d’entreprises pour en créer d’autres totalement acquises à des causes partisanes », lit-on dans la déclaration liminaire des patrons de presse.Voici les arguments de défense fournis par Mamadou Ibra Kane et Cie sur la fiscalité, la situation sociale des entreprises de presse et le Fonds d’appui et de développement de la presse (FADP).
1-Sur la fiscalité des entreprises de presse
Le CDEPS note que les montants des dettes fiscales dues par les entreprises de presse et annoncées par le ministre sont inexacts et constate que le chiffre décliné est un fourre-tout de 40 milliards FCFA, qui agrège Droits simples, Taxation d’office et Pénalités. C’est une méthode infamante pour le CDEPS qui trouve scandaleux que, de tous les secteurs économiques du pays, les entreprises de presse sont les seules dont les autorités publient illégalement les données en violation totale du secret de leur situation fiscale.
Le CDEPS dénonce l’utilisation de telles méthodes qui visent à braquer l’opinion publique contre les entrepreneurs de presse ainsi présentés comme des hors-la-loi.
Ainsi que le CDEPS l’a annoncé dans son communiqué du 16 août 2024, les entreprises de presse continuent comme elles l’ont toujours fait de travailler avec les services fiscaux à chaque fois que nécessaire. Les entreprises de presse ne refusent donc pas de s’acquitter de leurs obligations fiscales et ne peuvent pas accepter que les autorités les privent de leur droit de faire aménager le versement de ce qui est dû.
2-Sur la situation sociale des entreprises de presse
Le CDEPS reste conscient qu’il y a des efforts à faire, mais trouve inconcevable qu’un ministre de tutelle ne fonde pas son argumentaire sur des statistiques de services étatiques et ne prend en compte qu’un échantillon de 217 journalistes, alors qu’actuellement il y a 2118 personnes qui détiennent la carte nationale de presse sur 2700 demandes. L’État ne disposerait-il pas de services qualifiés pour mener des enquêtes fiables sur la situation sociale des entreprises de presse en termes de contrats enregistrés, de salaires et de cotisations sociales ?
Le CDEPS dénonce cette manipulation du ministre en charge de la Communication pour créer des tensions – et à quelle fin ? – entre employeurs et employés.
3-Sur le Fonds d’Appui et de Développement de la Presse (FADP)
Les montants annoncés par le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique sont sciemment incomplets et il ne fournit pas la liste de tous les bénéficiaires dont les entreprises de la presse ont toujours revendiqué sa publication. Le CDEPS s’étonne de la politique de «clarification sélective» du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique.
Le CDEPS demande que les services d’Inspection de l’État fassent la lumière sur les montants effectivement alloués aux entreprises de presse et sur les 800 millions de francs de l’aide à la presse détournés, parce que n’étant pas allés aux entreprises de presse.
Enfin, le CDEPS condamne toute insinuation tendant à impliquer les représentants de la presse au Fonds d’Appui et de Développement de la Presse (FADP). Et le CDEPS rappelle que les quatre (04) représentants désignés (CDEPS, APPEL, SYNPICS, URAC) n’ont qu’un statut d’observateur, tel que stipulé à l’article 5 du Décret n°2021-178 fixant les modalités d’organisation fonctionnement du Fonds, qui dispose en ses alinéas 3, 4 et 5 :
«Les représentants des organisations et l’administrateur participent aux réunions du Conseil de gestion avec voix consultative».
«Ils ne prennent pas part aux délibérations». «L’Administrateur du FADP assure le secrétariat des réunions du Conseil. Le Conseil de gestion peut s’adjoindre toute personne ressource».
Donc ils sont consultés, donnent leurs avis, mais ne sont pas associés aux validations et décisions finales.
En conclusion, le CDEPS tient à rappeler qu’il a formulé à plusieurs reprises des propositions aux autorités pour une meilleure prise en charge des problèmes du secteur et a toujours noté le manque de volonté du gouvernement pour une régulation de la presse, préalable pour asseoir un écosystème viable.
La presse ne saurait se développer et atteindre les objectifs utiles pour l’entreprise, les acteurs et la République si les autorités en font un secteur ennemi à abattre pour installer un silence total sur le fonctionnement du pays.
Deux corps sans vie dont celui du jeune danseur Abdoul Aziz Ba, plus connu sous le sobriquet d’Aziz Dabala, ont été retrouvés ce mardi dans un appartement à Pikine Technopole. L’Observateur rapporte qu’un déploiement d’éléments de la police locale a éveillé la curiosité des riverains. […]
SOCIETÉDeux corps sans vie dont celui du jeune danseur Abdoul Aziz Ba, plus connu sous le sobriquet d’Aziz Dabala, ont été retrouvés ce mardi dans un appartement à Pikine Technopole. L’Observateur rapporte qu’un déploiement d’éléments de la police locale a éveillé la curiosité des riverains.
Renseignement pris, poursuit la source, ces derniers ont appris la double découverte macabre dans un appartement situé au deuxième étage de l’immeuble.
Le quotidien d’information, décrivant la scène, rapporte que l’un des corps a été retrouvé dans la salle de bain de l’appartement, et le second, « enveloppé dans un drap », gisait dans le salon. Un autre indice a retenu l’attention des enquêteurs, relève L’Observateur : « La porte principale de l’appartement était fermée de l’extérieur. Et sur la serrure de celle de l’une des chambres, également fermée, pendait une clé ».
S’agit-il d’un double homicide ou d’une bagarre qui a mal tourné ? Une enquête a été ouverte pour élucider l’affaire, signale le journal du Groupe futurs médias.
Dans un communiqué parvenu à Seneweb, Madiambal Diagne accuse l’architecte et homme d’affaires, Pierre Goudiaby Atépa, de vouloir “casser” son immeuble situé à Ouakam-Mamelles. Le Président du Groupe Avenir Communication, qui édite le journal Le Quotidien, les circonstances dans lesquelles M. Goudiaby aurait tenu ces […]
SOCIETÉDans un communiqué parvenu à Seneweb, Madiambal Diagne accuse l’architecte et homme d’affaires, Pierre Goudiaby Atépa, de vouloir “casser” son immeuble situé à Ouakam-Mamelles. Le Président du Groupe Avenir Communication, qui édite le journal Le Quotidien, les circonstances dans lesquelles M. Goudiaby aurait tenu ces propos. “La semaine dernière, l’architecte Pierre Goudiaby Atepa, qui se vante de son influence sur les nouvelles autorités du pays, n’a pas pu dissimuler sa haine à mon endroit. Il recevait Tufan Fayzi Nsamoglu, un entrepreneur turc, un de mes partenaires et constructeur de mon immeuble aux Mamelles/Ouakam. Atepa voulait nouer une relation de partenariat avec Tufan et lui demanda quelques références de ses réalisations. Le constructeur lui cita, parmi ses belles références, le projet en cours de finition que j’ai initié aux Mamelles. Il n’en fallait pas plus pour provoquer l’ire de Atepa : « I want to crash that building », fulmina-t-il. Traduction : « je veux casser cet immeuble ». Tufan, qui ne trouvait aucune raison qui justifierait ce funeste dessein, s’en ouvrit à moi”, renseigne-t-il dans le communiqué.
“Seulement, le lundi 19 août 2024, comme par enchantement, une équipe de gendarmes de la Direction de la surveillance et du contrôle des sols (Dscos) est passée au chantier, pour servir une convocation à leurs bureaux pour ce mardi 20 août 2024. La convocation intime l’ordre de présenter une liste de documents comme : le titre de propriété, les différentes autorisations de construction et les plans visés. Cette demande a été rigoureusement satisfaite. Il est à souligner qu’auparavant, depuis 2018 (année d’achat de ce titre foncier), des équipes de la Dscos avaient eu, plus d’une dizaine de fois, à visiter ce chantier pour réclamer, à chaque fois, toutes sortes de documents qui leurs étaient systématiquement présentés”, a-t-il poursuivi.
Seneweb publie l’intégralité de son communiqué.
La semaine dernière, l’architecte Pierre Goudiaby Atepa, qui se vante de son influence sur les nouvelles autorités du pays, n’a pas pu dissimuler sa haine à mon endroit. Il recevait Tufan Fayzi Nsamoglu, un entrepreneur turc, un de mes partenaires et constructeur de mon immeuble aux Mamelles/Ouakam. Atepa voulait nouer une relation de partenariat avec Tufan et lui demanda quelques références de ses réalisations. Le constructeur lui cita, parmi ses belles références, le projet en cours de finition que j’ai initié aux Mamelles. Il n’en fallait pas plus pour provoquer l’ire de Atepa : « I want to crash that building », fulmina-t-il. Traduction :
« je veux casser cet immeuble ». Tufan, qui ne trouvait aucune raison qui justifierait ce funeste dessein, s’en ouvrit à moi. J’ai été choqué par la violence du propos mais je restais philosophe, en disant à mon interlocuteur que puissant que puisse être Atepa, nous sommes dans un État de Droit au Sénégal. Seulement, le lundi 19 août 2024, comme par enchantement, une équipe de gendarmes de la Direction de la surveillance et du contrôle des sols (Dscos) est passée au chantier, pour servir une convocation à leurs bureaux pour ce mardi 20 août 2024. La convocation intime l’ordre de présenter une liste de documents comme : le titre de propriété, les différentes autorisations de construction et les plans visés. Cette demande a été rigoureusement satisfaite. Il est à souligner qu’auparavant, depuis 2018 (année d’achat de ce titre foncier), des équipes de la Dscos avaient eu, plus d’une dizaine de fois, à visiter ce chantier pour réclamer, à chaque fois, toutes sortes de documents qui leurs étaient systématiquement présentés. Je tiens à attirer l’attention de l’opinion publique sur ces manœuvres sordides, mues sans doute par des volontés de règlements de petits comptes. Assurément, le droit de propriété semble être en péril dans ce pays ! Encore une fois, toutes les personnes, qui pensaient trouver des irrégularités dans un quelconque de mes projets immobiliers, ont fait chou blanc. Aussi, je ne suis nullement concerné par les zones de vérification des projets immobiliers ciblées par les autorités de l’État. C’est peut-être pour cela, qu’on voudrait quitter le littoral pour me chercher des cafards dans l’hinterland. La chanteuse Aby Ndour a été forte pour tenir tête à Atepa, qui a tout tenté pour détruire son petit commerce sur la Corniche de Dakar. Je m’évertuerai d’avoir autant de pugnacité que cette pauvre jeune femme. Seulement, dans son combat contre Aby Ndour durant de longues années, Atepa n’avait pas bénéficié du soutien des autorités de l’État du Sénégal.
R. Kelly, autrefois une figure emblématique du monde du R&B, se retrouve aujourd’hui derrière les barreaux, purgeant une peine pour de graves délits. Condamné en 2020 pour de multiples accusations liées à des abus sexuels sur mineurs, la vie du chanteur a pris un tournant radical. […]
PeopleR. Kelly, autrefois une figure emblématique du monde du R&B, se retrouve aujourd’hui derrière les barreaux, purgeant une peine pour de graves délits.
Condamné en 2020 pour de multiples accusations liées à des abus sexuels sur mineurs, la vie du chanteur a pris un tournant radical. Pourtant, même dans le cadre lugubre de la prison, son talent musical continue de briller, ce qui a suscité de nombreuses réactions en ligne.
Récemment, une vidéo a fait surface en ligne qui a relancé les discussions sur R. Kelly, non pas pour ses crimes, mais pour son don musical indéniable. La séquence, qui a été largement partagée sur les réseaux sociaux, montre un homme, identifié comme R. Kelly, chantant avec passion dans ce qui semble être un cadre carcéral. Filmé de dos, le clip capture le chanteur en train de chanter des notes avec la même intensité soul qui a fait de lui une star mondiale.
La vidéo a été rapidement reprise par divers médias, Rap Nation France l’ayant partagée sur TikTok sous la légende « Concert gratuit ». La publication a suscité une large attention, suscitant des réactions de la part des fans et des critiques.
Malgré le lourd nuage de son passé criminel, de nombreux fans ont été captivés par la vidéo, exprimant leur admiration pour son talent vocal. Les commentaires ont afflué, de nombreuses personnes reconnaissant la complexité de séparer l’artiste de ses actions. Certains fans ont fait valoir que malgré ses défauts personnels, Kelly reste l’un des artistes R&B les plus influents de tous les temps.
Les ennuis judiciaires de l’artiste ne sont pas un secret. En 2020, il a été reconnu coupable d’avoir produit des images d’abus sexuel sur des mineurs et d’avoir séduit des mineurs à des fins sexuelles, des crimes qui remontent aux années 1990. Il a fallu des décennies au système judiciaire pour rattraper l’artiste, mais quand il l’a fait, les conséquences ont été graves. Sa condamnation a marqué un moment important dans l’ère #MeToo, où des personnalités influentes de l’industrie du divertissement ont été tenues responsables de leurs actes.
La chute en disgrâce du chanteur a été dramatique. Autrefois célébré pour des tubes comme « I Believe I Can Fly » et « Ignition (Remix) », R. Kelly est désormais plus souvent associé à son casier judiciaire qu’à ses réalisations musicales. Malgré sa condamnation, il n’abandonne pas le combat. Il a récemment déposé une requête auprès de la Cour suprême des États-Unis, cherchant à annuler ses condamnations pour possession de pornographie juvénile et violence sexuelle sur mineurs.
Houreye Thiam n’est plus une inconnue pour les Sénégalais. Ancienne présentatrice vedette du journal en Wolof sur RTS 1, la télévision nationale, elle s’est imposée comme l’une des figures emblématiques de l’information au Sénégal. Avec son charisme et sa rigueur, Houreye a su captiver l’audience, […]
ACTUALITÉHoureye Thiam n’est plus une inconnue pour les Sénégalais. Ancienne présentatrice vedette du journal en Wolof sur RTS 1, la télévision nationale, elle s’est imposée comme l’une des figures emblématiques de l’information au Sénégal. Avec son charisme et sa rigueur, Houreye a su captiver l’audience, devenant une référence dans le paysage médiatique sénégalais.
Son parcours à RTS 1 a été marqué par des moments forts, notamment à travers ses émissions phares qui ont su toucher un large public. Pourtant, après des années de succès à la télévision nationale, Houreye a pris une décision audacieuse : celle de quitter la sphère médiatique pour se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneuriale.
Un Virage Vers l’Entrepreneuriat
Après sa démission, Houreye Thiam n’a pas tardé à se réinventer. Passionnée par le voyage et désireuse de servir sa communauté d’une manière différente, elle a ouvert une agence de voyage spécialisée dans les pèlerinages à La Mecque. Son entreprise s’est rapidement imposée comme un acteur clé dans ce secteur, conduisant chaque année des milliers de pèlerins vers l’un des lieux les plus saints de l’Islam. Ce succès a été le fruit d’une gestion rigoureuse et d’une volonté de fer.
Mais Houreye ne s’est pas arrêtée là. Animée par une ambition sans limites, elle a investi la somme colossale de 400 millions de FCFA dans une entreprise de transport. Avec cet investissement, elle a acquis plusieurs bus qui assurent aujourd’hui des navettes entre Dakar et Saint-Louis, répondant ainsi à un besoin crucial de mobilité pour de nombreux Sénégalais.
Une Femme aux Multiples Casquettes
Si Houreye Thiam est aujourd’hui une femme d’affaires accomplie, elle n’en reste pas moins une mère dévouée. Son fils, Mouhamed VJ, est une étoile montante de la scène musicale sénégalaise. Avec des millions de vues sur YouTube et des concerts qui attirent une foule impressionnante, Mouhamed VJ est en train de se forger une place de choix dans l’industrie musicale. Il est indéniable que la force de caractère de sa mère a joué un rôle dans le succès de ce jeune artiste talentueux.
Mariée au journaliste Balé Preira, Houreye Thiam est l’incarnation de la femme battante, une figure de persévérance et de succès. Avec son parcours exemplaire, elle est en train de se hisser parmi les véritables femmes d’affaires du Sénégal, montrant qu’il est possible de réussir dans des domaines aussi variés que les médias, le transport et les services religieux.
Le Groupe Dmédia est ahuri devant les déclarations mensongères du ministre de la communication. Monsieur Sall a, toute honte bue, affirmé que « Dmédia porte à lui seul 11% de la dette fiscale » ! Depuis quand 2 milliards représente 11% de 40 milliards (montant […]
MEDIASLe Groupe Dmédia est ahuri devant les déclarations mensongères du ministre de la communication. Monsieur Sall a, toute honte bue, affirmé que « Dmédia porte à lui seul 11% de la dette fiscale » ! Depuis quand 2 milliards représente 11% de 40 milliards (montant de la dette fiscale) ?
Pour votre gouverne, nous avons contesté devant les tribunaux la dette fiscale d’autant que le fisc a arraché entre 2022 et maintenant, la somme de 158 millions de CFA de nos comptes. Pour rappel, la dette fiscale de Dmédia résulte d’une taxation d’office sur les exercices 2017-2020 ! L’acharnement est réel : rien que sur la TVA, le fisc réclame à la SEN TV plus de 900 millions de CFA autrement dit le chiffre d’affaires de la télé avoisine les 5 milliards de CFA ! De qui vous moquez-vous ? Pourtant, en aucun moment, le fisc n’a indexé les entités du Groupe Dmédia pour non reversement de prélèvements d’impôts sur les salaires du personnel.
S’agissant de l’aide à la presse, elle est vraiment laide et dérisoire : Dmédia a reçu 52 millions en 2022 que le fisc a directement confisqué parce que nos comptes étaient bloqués. En 2023, la subvention était de 40 millions pour les trois entités du groupe. Faites le calcul : avec une masse salariale de plus de 100 millions pour plus de 500 collaborateurs, l’Etat aura donc contribué à concurrence de 6 500 F CFA pour chaque collaborateur de Dmedia.
Monsieur Sall, la salle besogne ne passera pas par Dmédia : tout le personnel de Dmédia est contractuel. Mieux, la convention collective des journalistes et professionnels de l’information est respectée chez nous avec en sus une situation en règle au niveau de toutes les institutions sociales du Sénégal. Chaque salarié a la latitude de vérifier sa situation personnelle auprès de ces institutions sociales . Il y a deux mois, nous avons reçu la visite inopinée de l’Inspection du travail et jusqu’ici aucune infraction ne nous a été notifiée.
A propos des redevances de TDS: Sen Tv ne doit absolument rien à TDS. Que reproche-t-on finalement à Dmédia ? Travaillez messieurs. Vos agissements funestes plombent le développement des entreprises. Vous n’avez jamais rien créé alors ne détruisez pas le tissu social déjà en lambeaux du fait de vos manipulations sources du délitement de l’Etat depuis 2021.
L’Etat du Sénégal doit, au titre de l’année 2023, 45 milliards de FCFA à l’Ipres pour le compte des enseignants et globalement plus de 90 milliards à la Caisse de Sécurité Sociale. Doit-on alors parler d’Etat délinquant ou voyou? Il faut savoir raison.
Monsieur le ministre, vous ne dites pas la vérité et vos collaborateurs savent que vous ne dites pas la vérité. Dmédia est une exception. C’est malhonnête de classer notre Groupe dans le lot des entreprises de presse qui ne sont pas en règle. La presse a intérêt à être sur ses gardes face à un ministre élève de son maître certifié et qui sans la politique n’aurait jamais eu le courage de croiser du regard un journaliste sénégalais.
Monsieur le ministre, n’acceptez pas d’être sur commande. Vouloir darder votre barbe ébouriffée sur les performances d’honnêtes citoyens pour offrir une barbe à papa à votre mentor est une entreprise vile.
La Direction Générale du Groupe Dmédia
Le chanteur est dans de beaux draps. Placé en garde à vue à la Brigade de Hann Maristes, Sidy Diop sera déféré ce mardi devant le procureur de la République près du Tribunal de grande instance de Dakar. Il est poursuivi pour défaut de permis […]
Non classéLe chanteur est dans de beaux draps. Placé en garde à vue à la Brigade de Hann Maristes, Sidy Diop sera déféré ce mardi devant le procureur de la République près du Tribunal de grande instance de Dakar. Il est poursuivi pour défaut de permis de conduire et d’assurance.
Le chanteur n’a pas été en mesure de présenter les papiers affairant à la conduite lors d’un contrôle de routine alors qu’il conduisait sa nouvelle voiture. L’Observateur glisse que « les interventions ont plu à la Brigade de gendarmerie pour [le] faire libérer » mais celles-ci sont « restées vaines ».
Abdou Karim Guèye alias Karim Xrum Xac ainsi que onze (11) autres personnes ont été interpellés, ce lundi 19 août 2024. Ils voulaient déposer une lettre de protestation pour exiger l’expulsion immédiate de l’ambassadeur d’Ukraine Yurri Pyvovarov qui est sur siège éjectable. Hier des activistes, dont ceux […]
SOCIETÉAbdou Karim Guèye alias Karim Xrum Xac ainsi que onze (11) autres personnes ont été interpellés, ce lundi 19 août 2024. Ils voulaient déposer une lettre de protestation pour exiger l’expulsion immédiate de l’ambassadeur d’Ukraine Yurri Pyvovarov qui est sur siège éjectable. Hier des activistes, dont ceux membres du Frapp/France dégage ont informé de l’arrestation de leur camarade Karim Xrum Xac.
Le différend opposant le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye, au désormais ex-Directeur général de l’Office national l’assainissement du Sénégal (ONAS), Cheikh Dieng, ne cesse de prendre de l’ampleur. Le ministère de l’Assainissement monte au front, rapporte Les Échos. La même source […]
POLITIQUELe différend opposant le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye, au désormais ex-Directeur général de l’Office national l’assainissement du Sénégal (ONAS), Cheikh Dieng, ne cesse de prendre de l’ampleur. Le ministère de l’Assainissement monte au front, rapporte Les Échos.
La même source précise que le département fera face à la presse ce mardi pour apporter sa part de vérité sur ce dossier sur fond d’accusation de corruption et d’entente directe. Le rendez-vous avec les journalistes est fixé à 15h30, aux sphères ministérielles de Diamniadio, indique le journal.
Membre de l’Union des Transporteurs Modernes, Houreye Ba se réjouit des travaux préparatoires des États généraux du transport prévus pour le mois de septembre prochain. Ce lundi, lors de la cérémonie de lancement présidée par le ministre des Transports, l’ancienne journaliste voit « le début d’une […]
SOCIETÉMembre de l’Union des Transporteurs Modernes, Houreye Ba se réjouit des travaux préparatoires des États généraux du transport prévus pour le mois de septembre prochain. Ce lundi, lors de la cérémonie de lancement présidée par le ministre des Transports, l’ancienne journaliste voit « le début d’une nouvelle ère dans le secteur du transport. »
« Le secteur du transport a besoin d’être professionnalisé, avec une nouvelle offre qui allie confort et sécurité, surtout pour lutter contre les nombreux accidents… Il faut encourager le renouvellement du parc automobile… »