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SPORTSLes sanctions financières imposées aux lutteurs après chaque combat continuent de faire débat. Après Balla Gaye 2 et Gris Bordeaux, c’est au tour de Ama Baldé de crier au scandale. « Seul bou ndaw » a révélé le montant total défalqué sur ses combats depuis le début de sa carrière.
« Quand j’ai calculé la somme qui m’a été défalqué depuis le début de ma carrière, j’ai vu que c’était 75 millions FCFA. Je ne comprend pas ! On m’a retiré trois millions contre Modou Lô et trois autres millions lors de mon dernier combat (contre Gris Bordeaux). Quand j’ai demandé pourquoi ces sanctions financières, ils m’ont dit que c’est parce que j’avais allumé une bougie (…) », a-t-il regretté lors de son face à face d’après combat contre Gris Bordeaux.
Le fils de Falaye Baldé d’ajouter: « les lutteurs ne peuvent s’en prendre qu’à eux même car on avait l’opportunité de porter Tyson à la tête du CNG mais on a choisi Bira Sène. Il nous faut des gens comme Tyson ou Tapha Guèye au CNG. Ils ont été lutteurs et ont apporté leur contribution dans l’arène ».
Le mariage de Betty avec le frère d’Aziz Ndiaye alimente les débats. Après le « Al Khayri », la nouvelle élue a partagé une vidéo de son mari, qui depuis La Mecque, prie pour leur union avant même que le mariage soit scellé. Cette nouvelle tendance des […]
SOCIETELe mariage de Betty avec le frère d’Aziz Ndiaye alimente les débats. Après le « Al Khayri », la nouvelle élue a partagé une vidéo de son mari, qui depuis La Mecque, prie pour leur union avant même que le mariage soit scellé. Cette nouvelle tendance des « niarel » suscite des discussions animées en ligne sur la toile.
Si Betty a préféré partager une vidéo de son mari à La Mecque, d’autres partagent des clichés qui pourraient ne pas plaire aux premières épouses (Awo). Les vidéos fuitées après le mariage peuvent être une cause de conflit entre les premières épouses (Awo) et les secondes épouses (niarel).
Ces vidéos qui montrent des moments d’intimité, des sorties romantiques, ou des prières pour le couple, peuvent intensifier les rivalités et provoquer des tensions dans les foyers polygames. Les « Awo » peuvent se sentir menacées ou déstabilisées par ces publications, surtout si elles perçoivent les vidéos comme une tentative des « niarel » de montrer leur supériorité ou leur importance dans la vie du mari.
Cette situation crée souvent des débats et des divisions, aussi bien dans les familles concernées que sur les réseaux sociaux.
Quel est le but de ces publications ? Les avis sur la toile sont partagés.
Voici des Captures
Ameth Suzanne Camara, assisté par son avocat Me Fadel Diack, a été présenté au procureur de la République ce lundi après un retour de parquet. Selon Seneweb, le procureur a décidé de criminaliser le dossier en ouvrant une information judiciaire. Le chef du parquet de […]
justiceAmeth Suzanne Camara, assisté par son avocat Me Fadel Diack, a été présenté au procureur de la République ce lundi après un retour de parquet. Selon Seneweb, le procureur a décidé de criminaliser le dossier en ouvrant une information judiciaire.
Le chef du parquet de Dakar a requis un mandat de dépôt contre M. Camara dans son réquisitoire introductif, d’après des sources de Seneweb. Cependant, le membre du Réseau des enseignants de l’APR a fait l’objet d’un second retour de parquet, en attente de la désignation d’un juge d’instruction, une décision prévue pour mardi
Arrêté le 24 juillet, Ameth Suzanne Camara, responsable de l’Alliance pour la République (APR), est accusé « d’offense au chef de l’État » et « d’actes de nature à jeter le discrédit sur une institution ». Son arrestation découle d’un mandat du procureur de la République.
M. Camara avait traité le président de la République et son premier ministre de « fenkat » (menteur). Lors de son audition, il n’a exprimé aucun regret ni présenté d’excuses, maintenant ses déclarations.
Me Fadel Diack a précisé qu’Ahmeth Suzanne Camara pourrait voir son dossier se compliquer si le juge d’instruction suit le réquisitoire du procureur. Kéwoulo rapporte que, après avoir requis un mandat de dépôt, le procureur a introduit un réquisitoire supplétif et ordonné l’ouverture d’une information judiciaire.
Cette décision fait suite à un premier retour de parquet du militant de l’APR. Il doit être présenté aujourd’hui mardi pour connaître l’identité du juge qui le placera en inculpation et décidera de son incarcération ou non. Pour rappel, l’arrestation de M. Camara est survenue après une émission avec Seneweb où il avait insulté le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko.
https://2c5285f4c8e47d598860b2649dca117f.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-40/html/container.htmlLe suspense demeure autour de la date de la réunion du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Le juge Ousmane Chimère Diouf, président de l’Union des magistrats du Sénégal (UMS), et ses collègues sont dans l’expectative depuis l’avènement du nouveau régime. Les Échos avance toutefois […]
A LA UNE ACTUALITÉ justicehttps://2c5285f4c8e47d598860b2649dca117f.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-40/html/container.htmlLe suspense demeure autour de la date de la réunion du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Le juge Ousmane Chimère Diouf, président de l’Union des magistrats du Sénégal (UMS), et ses collègues sont dans l’expectative depuis l’avènement du nouveau régime.
Les Échos avance toutefois qu’une étape a été franchie pour la tenue de ladite réunion : « Le Président [Bassirou Diomaye Faye] et la chancellerie avaient initié depuis quelques temps une enquête de moralité pour les magistrats pressentis à certains postes. Il se trouve que le travail est quasiment est fini. »
La rencontre est donc imminente, prédit le quotidien d’information.
Après le salaire du président de la République Bassirou Diomaye Faye, celui des directeurs généraux (DG) et des présidents de conseil de surveillance (PCS) a été révélé. Les salaires ont été fixés par la commission d’évaluation des agences, en suivant l’importance des agences, qui ont […]
POLITIQUEAprès le salaire du président de la République Bassirou Diomaye Faye, celui des directeurs généraux (DG) et des présidents de conseil de surveillance (PCS) a été révélé.
Les salaires ont été fixés par la commission d’évaluation des agences, en suivant l’importance des agences, qui ont été divisées en 4 catégories. La première est celle qui regroupe les agences les plus importantes du pays, comme l’Artp, Adie, Ageroute, etc. Les DG de ces entreprises sont rémunérés 5 millions FCFA et les PCS 2 millions par mois. Les membres du conseil de surveillance ne touchent pas de salaire fixe, mais reçoivent 300 000 Fcfa par session.
Pour les agences de catégorie 2 (Armp, Adepme, etc), les DG touchent 4 millions Fcfa, tandis que les PCS touchent 1 750 000. Les membres du conseil de surveillance touchent 250 000 par session.
Pour les DG d’agences de catégorie 3, le salaire est de 3 millions. Pour les PCS, il s’agit de 1 500 000 Fcfa. Les membres du conseil de surveillance sont rémunérés 200 000 par session.
Pour les DG d’agences de catégorie 4, le salaire est de 2 millions, pendant que les PCS reçoivent 1 250 000 Fcfa. Les membres du conseil de surveillance reçoivent 150 000 par session.
Les catégories des agences sont différenciées par rapport au budget de l’agence, son positionnement stratégique et son effectif. Les DG peuvent recevoir des indemnités de performances, mais qui ne peuvent dépasser 35% de leur salaire.
Un tragique accident s’est produit, ce lundi, à Ndande, dans la région de Louga. On note 11 morts. Le Président du Mouvement Gueum Sa Bopp, » les Jambaars » a réagi à cet effet. D’après Bougane Guèye Dany, « des dispositions efficaces doivent être prises pour arrêter […]
SOCIETÉUn tragique accident s’est produit, ce lundi, à Ndande, dans la région de Louga. On note 11 morts. Le Président du Mouvement Gueum Sa Bopp, » les Jambaars » a réagi à cet effet.
D’après Bougane Guèye Dany, « des dispositions efficaces doivent être prises pour arrêter le carnage sur nos routes. Des unités mobiles doivent être pré-positionnées sur nos Routes Nationales pour une intervention rapide des secours« .
« Près de 10 victimes sur l’axe Ngaye- Kebemer. Il y’a 72h près de Ndouloumadji (Fouta) 6 personnes ont perdus la vie« , a-t-il rappelé.
Sur ce, il soutient que « la réhabilitation des chemins de fer est la seule alternative pour désengorger nos routes et corriger les disparités économiques entre les communes« .
Yves Bourhis se battra pour une médaille en canoë slalom. En lice ce lundi en demi-finales, le Sénégalais a réussi à se qualifier pour la finale. C’est une bonne nouvelle pour la délégation sénégalaise aux Jeux olympiques de Paris. Yves Bourhis, déjà auteur d’une belle […]
SPORTSYves Bourhis se battra pour une médaille en canoë slalom. En lice ce lundi en demi-finales, le Sénégalais a réussi à se qualifier pour la finale.
C’est une bonne nouvelle pour la délégation sénégalaise aux Jeux olympiques de Paris. Yves Bourhis, déjà auteur d’une belle prestation en canoë slalom lors des qualifications, s’est hissé, ce lundi, en finale. Le Sénégalais a réalisé un temps de 99.51 s pour se qualifier, alors que la marge était de 104 secondes pour se hisser en finale.
Bourhis va tenter d’améliorer son temps pour tenter de décrocher une médaille. La finale est prévue tout à l’heure à 15 h 20.
Le Journal Officiel de la République du Sénégal a publié, dans son édition spéciale du jeudi 25 juillet 2024, la déclaration de patrimoine du Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Ce numéro spécial, n° 7750, de la 169e année du journal, présente en […]
POLITIQUELe Journal Officiel de la République du Sénégal a publié, dans son édition spéciale du jeudi 25 juillet 2024, la déclaration de patrimoine du Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Ce numéro spécial, n° 7750, de la 169e année du journal, présente en détail les avoirs et engagements financiers du Président.
Né le 25 mars 1980 à Ndiandiaye, Bassirou Diomaye Diakhar Faye réside actuellement à la Présidence de la République, Avenue Léopold Sédar Senghor. Avant d’assumer ses fonctions présidentielles le 2 avril 2024, il était Inspecteur des Impôts et Domaines au Ministère de l’Économie et des Finances. Marié sous le régime de la séparation de biens, il perçoit un salaire mensuel de 4 859 302 FCA.
Le Président Faye dispose de plusieurs comptes bancaires au Sénégal. À la BICIS, il détient un compte courant avec un solde de 14 776 405 FCA et un compte d’épargne de 2 690 FCA. À la UBA, son compte courant affiche un solde de 7 457 852 FCA. En termes de dettes, il a contracté des prêts auprès de la BICIS, avec un solde restant de 6 478 451 FCA, et auprès de la UBA, avec un solde de 24 486 162 FCA.
Le Président possède une maison bâtie sur une parcelle de 200 m² à Mermoz, Dakar, acquise pour 19 000 000 FCA. Cette maison, dont la valeur vénale est estimée à 134 976 000 FCA, a été attribuée par le syndicat des Impôts en 2020. En outre, il détient plusieurs terrains non bâtis : un terrain de 80m/40 à Ndiaganiao, acquis en 2017 ; un terrain agricole de 4,3 hectares à Sandiara, acquis en 2022 pour 15 050 000 FCA, avec un investissement total de 29 000 000 FCA ; et un terrain nu de 202 m² à Keur Moussa, évalué à 1 700 000 FCA en 2024.
Bassirou Diomaye Diakhar Faye possède également un Ford Explorer Platinum, acheté d’occasion en 2022.
Le 2 juillet 2024, Bassirou Diomaye Diakhar Faye a soumis sa déclaration de patrimoine au Conseil Constitutionnel, accompagnée de pièces justificatives telles que son bulletin de salaire de juin 2024, des attestations de revenus, et les relevés d’identité bancaire de ses comptes à la BICIS et à la UBA. Le Conseil Constitutionnel a enregistré cette déclaration sous le numéro 127 et, après délibération, a décidé de la publier dans le Journal Officiel.
Le Conseil Constitutionnel, présidé par Mamadou Badio Camara, a donné acte au Président Faye de sa déclaration et a ordonné sa publication. Les membres du Conseil, dont le vice-président Aminata Ly Ndiaye, ont signé la décision le 25 juillet 2024.
Bassirou Diomaye Diakhar Faye a certifié sur l’honneur que les informations fournies sont exactes et reflètent fidèlement sa situation patrimoniale.
Voici dans le détail, la Déclaration de Patrimoine du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye
Comptes bancaires :
Dettes :
Véhicules à moteur :
Immeubles bâtis :
Immeubles non bâtis :
Déclaration :
Signature :
Annexe :
Lors de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale tenue vendredi dernier, le président de l’institution, Amadou Mame Diop, a informé les participants du dépôt de deux propositions de loi visant à modifier le règlement intérieur du Parlement. Ces initiatives émanent de Abdou Mbacké Dolly et […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUELors de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale tenue vendredi dernier, le président de l’institution, Amadou Mame Diop, a informé les participants du dépôt de deux propositions de loi visant à modifier le règlement intérieur du Parlement. Ces initiatives émanent de Abdou Mbacké Dolly et Nafy Diallo, membres du même groupe parlementaire, Wallu.
Ces propositions ont été rejetées. Selon Les Échos, elles ont été déposées en dehors des sessions parlementaires et leurs auteurs n’ont pas proposé l’ouverture d’une session extraordinaire. Par conséquent, pour amender le règlement intérieur de l’Assemblée, il faudra se tourner vers la proposition formulée conjointement par les présidents de groupe et les représentants des non-inscrits. Déposée mercredi dernier, cette initiative a été jugée recevable par le bureau lors de la réunion de vendredi, d’après Les Échos.
La prochaine étape consiste à obtenir l’avis du président de la République, Diomaye Faye, qui a été saisi par le président de l’Assemblée. Ensuite, il sera nécessaire de convoquer une session extraordinaire pour examiner la proposition retenue et adopter un nouveau règlement intérieur.
Durant les dernières années de son régime, Macky Sall n’a eu cesse de dénoncer les agences de notation, les conditions d’accès au financement ainsi qu’une transition énergétique imposée aux pays sous-développés, ceux de l’Afrique en particulier. Son prédécesseur Bassirou Diomaye Faye semble s’inscrire sur cette […]
POLITIQUEDurant les dernières années de son régime, Macky Sall n’a eu cesse de dénoncer les agences de notation, les conditions d’accès au financement ainsi qu’une transition énergétique imposée aux pays sous-développés, ceux de l’Afrique en particulier. Son prédécesseur Bassirou Diomaye Faye semble s’inscrire sur cette ligne. En voyage à Paris, lors des jeux olympiques, le président sénégalais a eu un discours très offensif sur l’économie et la gouvernance mondiale. Prenant part au sommet sur le sport et le développement, Bassirou Diomaye Faye a eu un discours plus économique que sportif.
Le chef de l’Etat a profité de la tribune qui lui a été offerte pour dénoncer les restrictions imposées aux pays en développement. « Je pense à l’évasion fiscale, aux congés fiscaux abusifs et aux autres flux financiers illicites qui privent nos pays de ressources vitales au financement du développement. Je pense à la question lancinante du traitement juste et équitable de la dette ainsi qu’au système de notation biaisé sur l’évaluation du risque concernant l’Afrique ».
Le président a aussi fait part de son désaccord sur les conditions de la transition énergétique qu’il trouve inéquitables. « Quand certains partenaires interdisent le financement à l’étranger de ressources d’énergie fossile, y compris le gaz, alors qu’ils continuent d’utiliser eux-mêmes des sources beaucoup plus polluantes comme le charbon ».
Bassirou Diomaye Faye appelle également à revoir l’architecture de la gouvernance économique, politique et financière mondiale. Selon lui, il s’agit d’un héritage de la seconde guerre mondiale dépassé par les réalités du moment. Il en veut pour preuve la formation des Brics qui montrent « à quel point le système international est contesté et combien il urge de le réformer pour le rendre plus inclusif, plus juste, plus transparent dans l’intérêt compris de tous ».
Bassirou Diomaye Faye vient s’inscrire ainsi sur les pas de son prédécesseur, Macky Sall. Durant son mandat à la tête de l’Union Africaine, l’ancien chef d’Etat sénégalais a dénoncé à plusieurs reprises l’appréciation des risques sur la dette des pays africains ainsi que la transition énergétique. « Nous continuons à payer des taux d’intérêt très élevés à cause d’un système inéquitable d’évaluation du risque d’investissement en Afrique », regrettait Macky Sall qui qualifiait les notations de « parfois très arbitraires ».
Selon lui, « 20 % des critères de notation des pays africains relèvent de facteurs plutôt subjectifs d’ordre culturel ou linguistique, sans lien avec les paramètres qui jaugent la stabilité d’une économie ».
Sur le plan énergétique, Macky dénonçait une double posture des Occidentaux en fonction de leurs intérêts. «Le Sénégal reste préoccupé par les mesures unilatérales visant à interdire les financements à l’étranger de sources d’énergies fossiles, y compris le gaz, pendant que les principaux pays pollueurs continuent de faire usage de sources plus polluantes comme le charbon. (…) Nos pays ne doivent pas être condamnés à choisir entre le développement et la protection de l’environnement », disait-il à Dubaï, lors de la Cop 28.
Un passage qui ressemble étrangement à un autre passage du discours de Diomaye Faye, samedi dernier.