Si le marché des transferts est fermé dans la plupart des pays européens, ce n’est cependant pas le cas chez tout le monde. En Turquie, le mercato est toujours ouvert (jusqu’au 13 septembre) et Sadio Mané pourrait être la prochaine arrivée phare. Victor Osimhen (Galatasaray), […]
SPORTSAprès les propos déplacés par Cheikh Oumar Diagne contre Serigne Touba, Darou Mounthy devrait protester contre lui a vu la présence de nombreux gendarmes envahir la ville sainte pour empocher un quelconque rassemblement, sit-in ou marche. Cheikh Omar Diagne qui a déprécié les écrits des […]
POLITIQUEL’enquête ouverte suite au chavirement d’une embarcation remplie de migrants en partance pour l’Espagne avance à grands pas. Fin de cavale pour le capitaine de la pirogue. Il s’agit, explique L’Observateur, qui annonce son arrestation, du nommé C. Sall. Le pêcheur, précise le journal du […]
SOCIETÉLes Sénégalais restent perplexes face aux cent tonnes de munitions commandées par l’ancien président Macky Sall, en dehors des circuits régaliens. Le journal YOOR YOOR a apporté de nouvelles informations sur cette affaire qui avait fait grand bruit à l’époque où le Sénégal était marqué […]
POLITIQUELes Sénégalais restent perplexes face aux cent tonnes de munitions commandées par l’ancien président Macky Sall, en dehors des circuits régaliens. Le journal YOOR YOOR a apporté de nouvelles informations sur cette affaire qui avait fait grand bruit à l’époque où le Sénégal était marqué par des manifestations politiques violemment réprimées, entraînant plusieurs dizaines de morts entre 2021 et 2024.
La cartoucherie Barnaul Cartridge Plant, située en Russie, serait à l’origine de la livraison de cette cargaison de munitions. Près de 3 milliards de FCFA ont été déboursés pour l’achat de 105 tonnes de munitions. En 2023, l’avocat Juan Branco a confirmé cette information sur le réseau social X, mentionnant que « le palais présidentiel à Dakar aurait directement réceptionné 10,4 tonnes d’armement le 21 octobre 2022, fabriqués par Barnaul Cartridge Plant (Saint-Pétersbourg) ». À l’époque, il recherchait des preuves et a cité des noms, dont celui de Birame C., responsable de la réception de la marchandise pour le palais.
Les frais de douane, s’élevant à 471 928 240 FCFA, ont été exonérés par les autorités de l’époque. Selon le décret 220-876 du 25 mars 2020, le palais présidentiel est exclu du champ de commande de munitions. Avec l’élection des nouvelles autorités, notamment le président Bassirou Diomaye Faye et son premier ministre Ousmane Sonko, des clarifications sont attendues sur cette affaire. Toutefois, cette enquête pourrait être entravée par la loi d’amnistie, une mesure controversée adoptée par l’ancien président Macky Sall deux semaines avant l’élection présidentielle qu’il a tenté de reporter sans succès.
Les nouvelles autorités de la République cherchent à faire la lumière sur ces acquisitions suspectes d’armes et de munitions.
Le président de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, a annoncé que les élections législatives anticipées se tiendront le 24 novembre prochain. Cette décision a été prise après consultation du gouvernement, de la Commission électorale nationale (CNE) et des partis politiques représentés au parlement. Le débat […]
A LA UNE ACTUALITÉ afriqueLe président de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, a annoncé que les élections législatives anticipées se tiendront le 24 novembre prochain. Cette décision a été prise après consultation du gouvernement, de la Commission électorale nationale (CNE) et des partis politiques représentés au parlement.
Le débat sur la légitimité de cette dissolution a été relancé cette semaine par Guy Marius Sagna, Lors d’une séance plénière à l’Assemblée des députés de la CEDEAO à Abuja, au Nigeria, le député sénégalais et membre du parlement de la CEDEAO, a accusé le président Embaló d’avoir perpétré un « coup d’État constitutionnel ». Selon Sagna, la constitution de la Guinée-Bissau stipule que l’Assemblée nationale ne peut être dissoute qu’après douze mois suivant son installation. Cependant, Embaló a dissous l’Assemblée seulement six mois après son installation, ce qui, selon Sagna, constitue une violation claire des dispositions constitutionnelles. Il a également souligné que même les militaires au Niger, au Mali ou en Guinée qui ont effectué des vrais coups d’état, n’ont pas dissous leurs Assemblées nationales .La fixation de cette nouvelle date de scrutin en novembre semble donner gain de cause à ses critiques.
Le président bissau-guinéen avait pris la décision de dissoudre l’Assemblée nationale le lundi 4 décembre 2023, trois jours après des affrontements armés que le dirigeant a qualifiés de « tentative de coup d’État ». Le parlement était alors dominé par l’opposition. Dans un décret présidentiel communiqué à la presse, il a été précisé que « la date des prochaines élections législatives sera fixée le moment opportun, conformément aux dispositions (…) de la Constitution ». Embaló a invoqué la « complicité » entre la Garde nationale, impliquée dans les affrontements, et la Garde présidentielle.
L’opposition réclame des élections présidentielles en 2024
L’opposition, composée de la coalition PAI-Terra Ranka, de l’Assemblée populaire unie-Parti démocratique de Guinée-Bissau (APU-PDGB) et du Mouvement pour l’alternance démocratique (MADEM-G15), s’oppose fermement à la tenue des législatives en novembre. Ils exigent l’organisation des élections présidentielles en novembre 2024, arguant que le mandat du président Embaló se termine en février 2025. Malgré cette demande, le président Embaló reste inflexible, ayant reçu l’assurance du président de la Commission électorale nationale, Npabi Cabi, que le corps électoral est prêt à procéder au vote dès que possible.
Les magistrats ont exprimé leur position au sujet d’une éventuelle réforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Ils ont pris position «avant même l’Assemblée générale de l’Union des magistrats du Sénégal (UMS), prévue le 10 août prochain», signale L’AS, qui donne l’information dans son […]
POLITIQUELes magistrats ont exprimé leur position au sujet d’une éventuelle réforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Ils ont pris position «avant même l’Assemblée générale de l’Union des magistrats du Sénégal (UMS), prévue le 10 août prochain», signale L’AS, qui donne l’information dans son édition de ce lundi 22 juillet.
Le journal rapporte que les magistrats plaident pour le maintien du chef de l’État à la tête du CSM, soulignant que «les avis sont unanimes sur la question». La même source rapporte que les juges estiment que cela ne gêne pas l’indépendance de la justice. Au contraire, appuient-ils, selon le quotidien d’information, cette disposition favorise le dialogue entre les pouvoirs et est conforme au serment du président de la République en tant que «garant de l’indépendance de la justice en général et de la magistrature en particulier».
En revanche, rapporte L’AS, les magistrats affichent leur opposition à l’ouverture de l’institution à d’autres corps. «Le CSM doit rester un cadre de rencontre fermé, dédié uniquement aux magistrats», défendent-ils, d’après le journal.
Pour coller à l’esprit «la justice au justiciable», prétexte invoqué pour justifier un élargissement de la composition du CSM, les magistrats préconisent la création d’«un Haut conseil de la justice, tel que préconisé dans les conclusions des assises de la justice». «Il s’agit d’une institution constitutionnelle au sein de laquelle acteurs et usagers vont désormais assurer un contrôle du bon fonctionnement du système judiciaire», relaye L’AS.
Le journal ajoute que ce Conseil, qui existerait à côté du CSM, «sera ouvert aux magistrats, aux avocats, aux notaires, aux huissiers de justice, aux commissaires-priseurs, aux greffiers, aux universitaires, aux journalistes, à la société civile, etc. Il agira dans l’intérêt des justiciables, pour une meilleure distribution de la justice, sa mission et ses pouvoirs étant précisés».
Cheikh Oumar Anne n’est plus membre de l’APR. Le maire de Ndioum travaille déjà à la mise sur pied d’un autre cadre politique pour les législatives à venir. Il est aussi revenu sur la polémique d’un présumé « deal » entre Macky et les actuels tenants du […]
POLITIQUECheikh Oumar Anne n’est plus membre de l’APR. Le maire de Ndioum travaille déjà à la mise sur pied d’un autre cadre politique pour les législatives à venir. Il est aussi revenu sur la polémique d’un présumé « deal » entre Macky et les actuels tenants du régime.
« Moi, je ne me considère plus aujourd’hui comme membre de l’APR. Je ne suis plus membre de l’APR. Je travaille à la mise sur pied d’un autre cadre politique…« , a fait savoir M. Anne.
Invité de MNF, sur la 7TV ce jeudi 18 juillet, l’ancien ministre sous Macky informe vouloir faire d’Amadou Ba tête sa liste. « Amadou Ba bénéficie aujourd’hui du soutien de la plupart des militants et responsables de l’APR« , soutient-il. Son objectif, faire de l’ancien Premier ministre président de la République en 2029. Il compte ainsi ratisser large en compagnie de tous ceux qui partagent avec lui cet idéal.
Révélations sur les manœuvres qui ont précédé la dernière Présidentielle…
« Je suis un homme de principe. Quand on a voulu reporter l’élection présidentielle, j’ai dit niet. Je défends toujours les intérêts de mon pays. Pour moi, rien ne pouvait expliquer un report des élections… Ousmane Sonko et le PDS étaient en phase avec Macky Sall pour le renvoi de la Présidentielle. A l’APR, les gens étaient divisés sur la question. Le protocole du Cap Manuel est une réalité. Macky Sall a rencontré Diomaye et Sonko avant la Présidentielle. Ils se sont vus et ont négocié. La négociation tournait surtout autour de la question du renvoi des élections. Il y a eu des dissensions au sein de Benno et de l’APR« , a révélé Cheikh Oumar Anne.
« Ils l’ont accusé de tous les péchés d’Israël…
Qui poursuit : « C’est Macky Sall qui m’a demandé de soutenir Amadou Ba. Il m’a dit que ce dernier était le seul qui pouvait gagner les élections. Mais un jour, un très proche de Macky Sall nous a dit de faire attention parce qu’il y a des gens qui essaient de faire changer d’avis au Président par rapport au choix d’Amadou Ba. Certains proches de Macky ne voulaient pas d’Amadou Ba. Ils l’ont accusé de tous les péchés d’Israël… J’ai été une victime collatérale des manœuvres pour renvoyer l’élection présidentielle… Mon départ du gouvernement ne m’a pas surpris. J’avais dit à certains de mes proches et même à Amadou Ba qu’on allait me débarquer du gouvernement. On m’a viré du gouvernement parce que j’étais contre le report des élections et à cause de mon soutien bruyant à la candidature d’Amadou Ba« .
La fille du souverain de Dubaï a informé son mari de son divorce sur les réseaux sociaux le mercredi 17 juillet, à peine un an après leur mariage.Une annonce choc. Sur son compte Instagram, le mercredi 17 juillet, Sheikha Mahra, fille du Premier ministre des […]
PeopleLa fille du souverain de Dubaï a informé son mari de son divorce sur les réseaux sociaux le mercredi 17 juillet, à peine un an après leur mariage.
Une annonce choc. Sur son compte Instagram, le mercredi 17 juillet, Sheikha Mahra, fille du Premier ministre des Émirats arabes unis et dirigeant de Dubaï, Mohammed bin Rashid Al Maktoum, a informé son mari de leur divorce avec une déclaration virulente.
«Cher mari, comme tu es occupé avec d’autres compagnons, je déclare par la présente notre divorce. Je divorce de toi, je divorce de toi et je divorce de toi. Prends soin de toi. Ton ex-femme», a-t-elle écrit à l’intention de Sheikh Mana bint Mohammed bin Rashid bin Mana Al Maktoum, également membre de la famille régnante de Dubaï.
La princesse semble avoir utilisé une pratique musulmane connue sous le nom de «triple talaq (divorce)», où la phrase «je divorce de toi» est répétée trois fois pour entraîner un divorce immédiat. Ce procédé, traditionnellement réservé aux hommes, est controversé et même interdit dans plusieurs pays du Moyen-Orient.
La législation des Émirats arabes unis encadre les modalités du divorce, qui ne sont pas régies par le droit musulman traditionnel ni par la répudiation, et encore moins lorsque la demande émane de l’épouse, ce qui soulève des interrogations sur la validité légale de sa déclaration.
UN MARIAGE EN GRANDE POMPE L’ANNÉE DERNIÈRELe couple s’était marié l’année dernière lors d’une somptueuse cérémonie au Dubaï World Trade Center. En mai, ils ont accueilli une fille, dont la naissance avait été annoncée par une photo Instagram en noir et blanc des mains de Mahra tenant celles du nouveau-né.
Suivie par plus de 600.000 abonnés, Sheikha Mahra a partagé le 4 juin une photo énigmatique d’elle tenant le bébé dans ses bras, accompagnée de la légende : «Juste nous deux».
Certains fans ont initialement supposé que le compte de la jeune femme avait été piraté, mais la publication est toujours en ligne, et toutes les photos de son mari ont disparu de son compte. De même, Sheikh Mana semble avoir supprimé les photos de sa femme de son propre compte, et ils se seraient mutuellement désabonnés.
Ni le gouvernement des Émirats arabes unis ni Sheikh Mana n’ont fait de commentaire public sur cette publication Instagram.
Mame Thierno Mbacké, fils de Serigne Fallou Asta Dieye semble très remonté contre la gestion des eaux hivernales dans la ville sainte de Touba. Des milliards ont été investi et toujours les populations souffrent le martyr, chaque année, à l’approche du grand Magal. « Cette situation […]
SOCIETÉMame Thierno Mbacké, fils de Serigne Fallou Asta Dieye semble très remonté contre la gestion des eaux hivernales dans la ville sainte de Touba. Des milliards ont été investi et toujours les populations souffrent le martyr, chaque année, à l’approche du grand Magal.
« Cette situation invivable et récurrente mérite de porter toutes les attentions des autorités religieuses et étatiques » précise t-il au téléphone.
Et de regretter : « il est inconcevable qu’une ville comme Touba, qui est la seconde plus nombreuse en terme de population au Sénégal, puisse montrer une face hideuse et désolante à chaque saison de pluie. Pire, le Magal coïncide avec l’hivernage depuis des années…«
Mame Thierno conseille au premier magistrat de Touba des solutions : « Le maire Abdou Lahad Ka devrait, à l’instar de tous ses collègues, nouer des partenariats avec des villes, des pays Arabes et occidentaux pour trouver les moyens et investir à Touba où le besoin est urgent. Mais aussi repenser le tourisme religieux et faire bénéficier de la ville sainte de ses atouts« .
Le fils de Serigne Fallou Asta Dieye ne tolère pas la situation qui prévaut devant chez Serigne Abdou Lahad Mbacké et la grande mosquée de Touba. « Cette rivière n’a pas sa place ici, à presque un mois du plus grand rendez-vous de Touba. Des mesures urgentes, efficaces et efficientes doivent être prises pour éradiquer cette situation. Il est temps qu’un audit soit fait sur l’argent investi sur l’assainissement de la ville sainte. Avec les gouvernements de Me Abdoulaye Wade et de Macky Sall, des milliards sont déclarés investis à Touba sans résultat visible. Et à chaque hivernage, les mêmes lieux sont inondés« .
Pour lui, « Touba compte une seule mairie qui a montré ses limites et ses incompétences. Darou khoudoss, Ndindy, Halia, Ndaam entre autres localités devraient avoir leur mairie pour une bonne répartition des taches communales à Touba ».
Mame Thierno Mbacké promet de revenir avec des révélations de taille sur des pratiques peu orthodoxes sur la gestion de la mairie de Touba.
Un ressortissant sénégalais âgé de 27 ans a été abattu, hier en France, au quartier des Champs-Élysées, après avoir grièvement blessé un policier. L’agresseur a été grièvement touché par balle par un autre policier jeudi soir, avant de succomber à ses blessures, avait annoncé dans […]
INTERNATIONALUn ressortissant sénégalais âgé de 27 ans a été abattu, hier en France, au quartier des Champs-Élysées, après avoir grièvement blessé un policier. L’agresseur a été grièvement touché par balle par un autre policier jeudi soir, avant de succomber à ses blessures, avait annoncé dans la soirée le parquet de Paris, qui a ouvert une enquête pour « tentative de meurtre sur fonctionnaire de police ».
France : un Sénégalais abattu, la piste terroriste écartée
Le même individu est soupçonné d’avoir commis un meurtre en proche banlieue parisienne une heure plus tôt, a indiqué vendredi la justice française à l’AFP.
Selon une source policière, citée par l’AFP, il est bien de nationalité sénégalaise et « connu des services de police ».
En préparation de son combat face à Tapha Tine, Balla Gaye 2 a fait son open presse ce jeudi à Guédiawaye, au Stade Amadou Barry. Devant ses nombreux supporters, le Lions de Gueye a enflammé le public avec sa nouvelle chorégraphie. Rappelons que le grand […]
SPORTSEn préparation de son combat face à Tapha Tine, Balla Gaye 2 a fait son open presse ce jeudi à Guédiawaye, au Stade Amadou Barry. Devant ses nombreux supporters, le Lions de Gueye a enflammé le public avec sa nouvelle chorégraphie.
Rappelons que le grand combat Balla Gaye 2 et Tapha Tine est prévu le 21 juillet aux Arènes nationales.
Bah Diakhaté vient de faire l’objet d’un deuxième retour de parquet, selon nos confrères de Seneweb.L’activiste proche de Benno Bokk Yaakaar va faire face au procureur de la République demain, vendredi 19 juillet.Pour rappel, Bah Diakhaté a été extrait avant-hier de prison et conduit au […]
justiceBah Diakhaté vient de faire l’objet d’un deuxième retour de parquet, selon nos confrères de Seneweb.
L’activiste proche de Benno Bokk Yaakaar va faire face au procureur de la République demain, vendredi 19 juillet.
Pour rappel, Bah Diakhaté a été extrait avant-hier de prison et conduit au commissariat central de Dakar pour une troisième procédure judiciaire ouverte contre lui. Maitre Ousseynou Fall a déposé une plainte contre lui pour injures publiques et diffamation.
Le Président Bassirou Diomaye Diahar Faye a présidé, ce jeudi 18 juillet 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres au Palais de la République. Plusieurs décisions cruciales ont été prises, dont des nominations stratégiques à des postes de haute responsabilité. Birame Sene, magistrat et […]
POLITIQUELe Président Bassirou Diomaye Diahar Faye a présidé, ce jeudi 18 juillet 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres au Palais de la République. Plusieurs décisions cruciales ont été prises, dont des nominations stratégiques à des postes de haute responsabilité.
Birame Sene, magistrat et ancien directeur de la formation et de la communication à la Direction générale des élections (DGE), a été nommé Directeur général des Élections. Il succède ainsi à Thiendella Fall, qui occupait ce poste depuis 2011. Fall, nommé par Abdoulaye Wade et maintenu en fonction par Macky Sall, s’était particulièrement illustré 2023 en refusant de fournir les fiches de parrainage à Ousmane Sonko. Il avait justifié son refus en expliquant qu’une décision judiciaire définitive devait être rendue avant que Sonko ne puisse en bénéficier. Finalement, Ousmane Sonko n’avait pas pu se présenter pour d’autres raisons, incluant une condamnation définitive dans une affaire de diffamation contre l’ancien ministre Mame Mbaye Niang.
Le remplacement de Thiendella Fall par Birame Sene était attendu. Depuis l’arrivée des nouvelles autorités sous la présidence de Bassirou Diomaye Diahar Faye, de nombreuses nominations ont été effectuées. Cependant, celle-ci suscite particulièrement l’attention en raison de sa signification symbolique.Partager sur Facebook