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A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEÀ Somone, la gendarmerie nationale a mis la main sur les meurtriers présumés de la franco-sénégalais Béatrice Ngom. Les tueurs présumés sont passés aux aveux. Dès les premières heures de leur arrestation, Mamadou Moustapha Diop et son acolyte Pape Moussa Diop, poursuivis pour vol suivi […]
ACTUALITE SOCIETEÀ Somone, la gendarmerie nationale a mis la main sur les meurtriers présumés de la franco-sénégalais Béatrice Ngom. Les tueurs présumés sont passés aux aveux.
Dès les premières heures de leur arrestation, Mamadou Moustapha Diop et son acolyte Pape Moussa Diop, poursuivis pour vol suivi de meurtre de la Franco-sénégalaise Béatrice Anne Marie Rosalie Ngom, ont fait face aux enquêteurs, après un bref passage à la Brigade de gendarmerie de Somone qui a appréhendés avec le concours des habitants du quartier «Les Aigrettes» de Somone, renseigne L’Observateur.
Le journal informe que le mécanicien de moto-Jakarta, Mamadou Moustapha Diop, qui est un multirécidiviste au lourd passé pénal, est passé aux aveux. Il sera imité par son acolyte Pape Moussa Diop. Ensemble, ils ont révélé les circonstances de cette histoire de vol qui a viré au drame.
Les deux présumés meurtriers ont avoué avoir violenté la victime dans son salon, avant de bâillonner, ligoter et bander les yeux de celle-ci. Ils ont également expliqué avoir quitté Nguékhokh avec l’intention de commettre un larcin.
Seulement, ils ont précisé que la victime Béatrice A.M.R. Ngom n’était pas une cible préalablement désignée. À les en croire, c’est une fois à Somone et ayant constaté un calme plat dans le quartier «Les Aigrettes», qu’ils ont jeté leur dévolu sur la Franco-sénégalaise, croisée fortuitement.
D’après des informations de L’Observateur, Mamadou M. Diop qui n’est point à son coup essai, est cité dans plusieurs affaires de vols et de cambriolages à Saly Portudal.
Nombreux sont les dakarois qui attendent que le Bus Rapid Trasit (Brt) entame ses rotations. Hier vendredi, le ministre des Infrastructures a donné une date. Mansour Faye, le ministre des Infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement, a annoncé que le premier bus du Brt […]
ACTUALITE SOCIETENombreux sont les dakarois qui attendent que le Bus Rapid Trasit (Brt) entame ses rotations. Hier vendredi, le ministre des Infrastructures a donné une date.
Mansour Faye, le ministre des Infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement, a annoncé que le premier bus du Brt (Bus rapid transit) sera présenté au public au mois avril.
«Les travaux du Brt suivent leur cours, des sections sont libérées au mois de mars, l’ensemble des systèmes et des circuits seront libérés. Le premier bus sera présenté, si Dieu le veut bien, au mois d’avril. Les essais suivront. L’exploitation démarrera dans le dernier trimestre de 2023», a-t-il déclaré, en marge du lancement de la troisième phase du renouvellement du Parc automobile urbain et interurbain.
Parlant du Brt, le ministre a souligné que c’est un moyen de transport qui va contribuer à amélioration de la mobilité à Dakar, rapporte l’Obs. «Pour l’environnement, vous pouvez constater que le BRT est un projet majeur qui va transporter plus de 300 mille voyageurs en un temps record, soit 45 minutes de Guédiawaye à Petersen», a-t-il ajouté.
C’est ce samedi qu’a lieu à Diamniadio, la cérémonie d’installation du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCTT). A cette occasion, le chef de l’Etat, qui a présidé la cérémonie, a invité Aminata Mbengue Ndiaye, Présidente de cette institution, à concentrer ses efforts sur l’équité territoriale. […]
ACTUALITE POLITIQUEC’est ce samedi qu’a lieu à Diamniadio, la cérémonie d’installation du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCTT). A cette occasion, le chef de l’Etat, qui a présidé la cérémonie, a invité Aminata Mbengue Ndiaye, Présidente de cette institution, à concentrer ses efforts sur l’équité territoriale. Macky Sall a brandi à l’occasion un nouveau slogan : la République dés proximités. L’intégralité de son discours.Diamniadio, le 07 janvier 2023Monsieur le Président de l’Assemblé nationale,Monsieur le Premier Ministre,Madame la Présidente du Haut Conseil des collectivités territoriales, Monsieur le Président du Conseil Economique, Social et Environnemental,Monsieur le Président du Conseil constitutionnel, Mesdames, Messieurs les Ministres,Mesdames, Messieurs les députés, Hauts conseillers et Elus locaux,Chers invités,
En tant qu’ancien Maire, c’est toujours avec un plaisir particulier et la mémoire pleine de souvenirs, que je prends part aux activités concernant les collectivités territoriales.
C’est dire combien je me réjouis de présider cette cérémonie d’installation des membres du Haut Conseil des collectivités territoriales.
En vous retrouvant pour cette occasion, j’ai d’abord une pensée pieuse pour tous les membres du Haut Conseil qui nous ont quitté, dont son Premier Président, feuOusmane Tanor DIENG.
Je rends hommage à un fidèle compagnon, un républicain en toute circonstance, un leader politique engagé, discret et courtois.
C’est l’occasion aussi de vous présenter mes vœux les meilleurs pour une année paisible et réussie.
Je félicite Madame la Présidente du Haut Conseil des collectivités territoriales ainsi que tous les membres du HCCT pour les efforts déployés dans l’exécution de leur mission, malgré les moments difficiles que nous avons traversés avec notamment la pandémie covid-19.
Cela transparait clairement, Madame la Présidente, dans votre rapport de mandature dont j’ai pris connaissance.
J’ai noté la densité et la pertinence de vos productions, ponctuées de plus de 500 recommandations aussi riches que variées.
Les problématiques que vous y abordez concernent, en effet, des sujets aussi divers que l’amélioration de l’Acte III de la décentralisation, la mise en place de la fonction publique locale, le financement et la fiscalité des collectivités territoriales, le statut des chefs de village et de quartier, l’environnement,l’habitat social, la modernisation de l’agriculture, entres autres domaines d’activité.
Ces problématiques sont au cœur des préoccupations de l’Etat, des terroirs et des populations.
Je me réjouis, par conséquent, que vous leur accordiez l’attention qu’elles méritent. En effet, le Haut Conseil des Collectivités territoriales a été créé comme Institution consultative relai, représentative des terroirs, en vue de contribuer à l’action des pouvoirs publics dans la définition et la mise en œuvre de nos politiques de développement économique et social.
Dès lors, il s’agit pour le Haut Conseil d’écouter les pulsions des terroirs et de toucher au plus près le ressenti des populations en gardant toujours le curseur sur l’inclusion sociale et l’équité territoriale qui constituent deux marqueurs principaux de nos politiques de développement ; l’un et l’autre traduisant ensemble le concept du Sénégal de tous, le Sénégal pour tous.
Voilà pourquoi le Haut Conseil des Collectivités territoriales a un rôle majeur à jouer dans le tracé des contours de la phase II de l’acte III de la décentralisation, en vue d’instaurer ce que je pourrais appeler « la République des proximités à travers l’équité territoriale ».
Ce chantier ouvrira de nouvelles perspectives de renforcement graduel des compétences et prérogatives des collectivités territoriales qui deviendront à terme de véritables instances de mise en œuvre des politiques de développement national.
Mais le chemin vers cet objectif est long. Il nécessite un travail hardi et durable, de la clairvoyance et de la patience. Un changement en profondeur à l’échelle nationale demande en effet de la vision et des moyens d’action. Autrement, il se réduit en vœu pieux, donc sans lendemain.
Nous avons jeté les bases d’une grande réforme qui va s’inscrire dans la durée.
Je sais pouvoir compter sur vous, membres du HCCT, sous le leadership dynamique de votre Présidente, pour être des acteurs dynamiques dansla réalisation de ma vision d’approfondissement de la décentralisation par la territorialisation des politiques publiques afin de promouvoir un développement local intégral.
C’est dans ce cadre que j’ai institué le 10 octobre comme « Journée nationale de la décentralisation », pour remettre chaque année au cœur de l’agenda national les préoccupations des élus locaux, et à travers eux, celles des populations.
Dans le même esprit, nous avons tenu le 28 décembre dernier un Conseil présidentiel de développement territorialisé à Tambacounda qui a permis de recueillir les avis des acteurs locaux sur le sens qu’ils voudraient que l’on donne à l’aménagement de leur terroir.
Avec une politique de décentralisation bien articulée, nous visons à améliorer les performances des instruments de justice sociale et d’équité territoriale que sont le PUDC, le PUMA, la DER, la CSU, les Bourses de Sécurité familiale et la Carte d’égalité des Chances en faveur des personnes vivant avec un handicap.
Mesdames, Messieurs le Hauts Conseillers,
Les défis sont certes nombreux. La mandature sortante a réussi le pari de l’action avec une foison d’activités et de recommandations qui sont la preuve que l’Institution est un cadre d’éclosion d’idées et d’actions pertinentes en faveur du développement durable de nos terroirs.
Elle a ainsi donné corps à la vision qui a sous-tendu la création du HCCT. Il s’agit, à présent, de garder le rythme, voire le renforcer, parce que ce qui est attendu de vous ne relève guère d’une sinécure, mais d’une mission exigeante.
Alors, je vous exhorte à vous investir au plus auprès des populations, pour rester à leur écoute, afin de jouer pleinement votre rôle de relais institutionnel et social.
Ce faisant, je suis sûr que vous trouverez auprès de votre Présidente, Madame Aminata Mbengue Ndiaye,une bonne source d’inspiration.
Madame la Présidente Aminata Mbengue Ndiaye,
En vous nommant pour diriger le Haut Conseil des Collectivités Territoriale, j’ai voulu faire le choix de la confiance inhérente à toute haute fonction, mais également le choix de la compétence et de la maturité politique.
Par votre parcours et votre action publics de longue date, vous incarnez ces qualités qui s’attachent à la conduite des Institutions publiques républicaines.
L’Etat et la République dont dérive le HCCT restent, en effet, les piliers irremplaçables de la Nation. Quand ces piliers vacillent, ce sont les fondements de la Nation qui tremblent. C’est pourquoi les hommes et les femmes qui incarnent et animent les Institutions doivent toujours garder une posture digne des charges qui leur sont dévolues.
C’est une exigence à la fois républicaine et patriotique, surtout en ces temps où le monde entier, pays développés comme pays en développement, se trouve confronté à des défis inédits, toujours plus nombreux et plus complexes.
Je sais compter sur votre sagacité, Madame la Présidente, et avec l’engagement des membres du HCCT, pour relever ensemble ces défis de notre temps et dessiner, avec votre contribution, les contours du Sénégal de demain.
Vous avez ma confiance et mon soutien.
Avec tous mes vœux de succès, je déclare maintenant installés les Hauts Conseillers de la deuxième mandature du Haut Conseil des collectivités territoriales.
Je vous remercie de votre attention.
Trois agents sont accusés d’avoir détourné plus de 139 millions F CFA. Un audit interne a abouti à une procédure judiciaire suite à leur arrestation, renseigne Les Echos. Le journal ajoute que l’un des mis en cause, agent de clientèle aux Parcelles assainies puis à […]
ACTUALITE SOCIETETrois agents sont accusés d’avoir détourné plus de 139 millions F CFA. Un audit interne a abouti à une procédure judiciaire suite à leur arrestation, renseigne Les Echos. Le journal ajoute que l’un des mis en cause, agent de clientèle aux Parcelles assainies puis à Pikine, N. K. Badiane a été jugée devant le tribunal correctionnel, jeudi dernier.
Elle est poursuivie pour un montant de 59 065 030 F CFA. D’après la source, le mode opératoire consistait à cibler des comptes dormants, usant de fiches de bordereaux de retrait avec de fausses signatures, afin de tromper la vigilance de l’agent chargé de la levée d’interdit. Avant de virer l’argent prélevé sur le compte de son mari, A. K. Badiane.
Les comptes de 15 clients ont été ainsi pompés. Le Parquet a requis 2 ans ferme de prison. N. K. Badiane sera fixée le 2 février prochain, date du délibéré.
K.D Diop, poursuivie pour 76 805 000 F CFA soutirés à 11 clients, et N. L. Seck, 3 623 666 prélevés sur 9 comptes de clients, seront jugées, elles, le 11 janvier prochain.
En novembre dernier, un détournement de 6 milliards avait secoué Orabank.
Le prix du gaz butane (subventionné à hauteur de 55%) de l’essence pirogue (subventionnée à hauteur de 34%) ne sont pas concernés par les hausses. « En effet, l’essence est un produit très utilisé dans le secteur de la pêche, vital pour l’économie sénégalaise et principale […]
ACTUALITE SOCIETELe prix du gaz butane (subventionné à hauteur de 55%) de l’essence pirogue (subventionnée à hauteur de 34%) ne sont pas concernés par les hausses. « En effet, l’essence est un produit très utilisé dans le secteur de la pêche, vital pour l’économie sénégalaise et principale source de revenus d’une large frange de la population. Quant au gaz butane, une hausse de son prix risquerait de pousser de nombreux ménages, notamment en milieu rural, à le délaisser pour se tourner vers le charbon de bois, avec des conséquences très négatives en termes de développement durable » , renseigne le ministère de l’Énergie.
Pour rappel, le Sénégal dépense en équivalent plus de 4% de son PIB dans les subventions de l’électricité, des produits pétroliers (essence, supercarburant et gasoil) et du gaz butane.
« Pour garder la viabilité de notre économie et préserver le budget de l’Etat qui n’est pas uniquement destiné au secteur énergétique, il a été décidé de procéder à des ajustements dans la politique de subvention, en améliorant le ciblage afin de garantir que la compensation versée chaque année dans ces segments, impacte effectivement le service public à l’électricité et la sécurisation de l’approvisionnement du pays en combustibles », observe par ailleurs les services de Sophie Gladima.
Depuis, hier, l’on se demande pourquoi Ousmane Sonko, leader de Pastef/Les Patriotes a accepté ce qu’il a accepté. Non seulement l’homme qui reproche à Macky Sall ses nombreux reniements sur la réduction de son mandat de 7 à 5 ou la volonté qu’on lui prête […]
ACTUALITE SOCIETEDepuis, hier, l’on se demande pourquoi Ousmane Sonko, leader de Pastef/Les Patriotes a accepté ce qu’il a accepté. Non seulement l’homme qui reproche à Macky Sall ses nombreux reniements sur la réduction de son mandat de 7 à 5 ou la volonté qu’on lui prête de postuler à une troisième candidature vient de ravaler publiquement sa cravate en se prêtant aux question de Rfi et France24. Mais il se laisse également maladroitement piéger comme un opposant amateur. En effet, après avoir, de manière éhontée, écarté le micro de la Rts, l’homme s’est mis à pérorer sur les voix, dans le monde, de la France qu’il accuse quasiment de tous les maux du Sénégal au point de débaptiser les noms de rues de la ville de Ziguinchor dont il est le maire et qui est l’une des régions les plus visitées par les ressortissants français au Sénégal, avec Dakar et Thiès, pour son charme touristique. Pis, Sonko avait publiquement dit, devant des caméras de télévisions, que le site leral.net lui a rappelé hier, qu’il ne sera jamais dans une conférence de presse où il y aura Rfi, France 24 ou Le Monde Diplomatique.
De plus, pendant qu’il pousse les journalistes sénégalais à, sauf quelques exceptions, se contenter de ses livefacebook, voilà qu’il accepte de se livrer à cœur ouvert aux médias français qui n’ont jamais été attaqués à cause de positions le concernant ou qui ont vu le signal de leurs chaînes de télévision illégalement coupé parce que le pouvoir estime qu’ils roulent pour sa cause. Quelle ingratitude !
Aussi, s’il tentait une opération de charme vis-à-vis de l’Hexagone de Macron, il est presque sûr que c’est raté parce qu’avec ce qu’on a vu, la France, qui n’y est pas considérée comme un partenaire privilégié du Sénégal de Sonko, va flairer une mauvaise foi chez l’homme. Et ne le prendrait pas au sérieux. Donc, elle pourrait miser sur un autre cheval, sans doute dans le camp même de Macky Sall si le Président Sall décidait à ne plus y aller.
En vrai homme d’Etat, Ousmane Sonko n’aurait jamais dû accepter, dans le protocole d’entretien, que la presse française commence par lui poser des questions sur l’affaire du test ADN qu’il refuse de faire pour élucider cette histoire de viol à main armée dont on l’accuse. Un privilège qu’il refuse même à la justice de son pays. De facto, cela montre que les journalistes intervieweurs ont sans doute leur raison dans cette affaire et l’ont déjà «condamné».
Un vulcanisateur ivre comme un polonais a foncé, hier vendredi, sur une meute d’étudiants de ISEG en face de IPG (Institut Privée de Gestion), occasionnant trois blessées dont les cas sont jugés graves. Elles sont toutes des filles, étudiantes de l’Institut supérieur d’entrepreneurship et de […]
ACTUALITE SOCIETEUn vulcanisateur ivre comme un polonais a foncé, hier vendredi, sur une meute d’étudiants de ISEG en face de IPG (Institut Privée de Gestion), occasionnant trois blessées dont les cas sont jugés graves. Elles sont toutes des filles, étudiantes de l’Institut supérieur d’entrepreneurship et de gestion (ISEG) de Dakar. Le conducteur du véhicule, qui est entre les mains de la Police, est un vulcanisateur. Seulement, il était en état d’ébriété au moment de foncer sur une armée de jeunes étudiants qui sortaient de leur école pour former de petits groupes devant IPG.
Même si, dès les premières heures du drame, un mort avait déjà été annoncé, ‘’Actusen’’ est en mesure de vous confirmer que c’en est une fausse information, en tout cas jusqu’à ce que nous mettions sous presse, après que votre canard s’est renseigné auprès des sources sûres qui nous ont confirmées le contraire même si elles s’accordent à dire que les cas sont on ne peut plus graves. A noter que le vulcanisateur conduisait un véhicule d’une dame habitant non loin de Dieuppeul.
D’après le journal Le Soleil, le Sénégal prévoit de dérouler à partir de 2024 une stratégie nationale de souveraineté nationale d’un montant de 5000 milliards F CFA, sur 5 ans. Les grandes orientations ont été dévoilées hier en marge d’un Conseil interministériel présidé par le […]
ACTUALITE SOCIETED’après le journal Le Soleil, le Sénégal prévoit de dérouler à partir de 2024 une stratégie nationale de souveraineté nationale d’un montant de 5000 milliards F CFA, sur 5 ans. Les grandes orientations ont été dévoilées hier en marge d’un Conseil interministériel présidé par le Premier ministre, Amadou Bâ.
Ce dernier explique : « La stratégie examinée aujourd’hui en vue de sa soumission à l’appréciation du chef de l’État, Macky Sall, devra être conforme aux objectifs de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale qui consistent, entre autres, à réduire l’impact des risques climatiques, économiques, environnementaux et sanitaires par la maitrise de l’eau, la diversification des productions, la formation des ruraux dans le but d’améliorer la sécurité alimentaire. »
Le chef du gouvernement souligne qu’il s’agit d’abord pour le ministère des Finances et du Budget, « d’étudier les modalités de financement des investissements » prévus dans cette stratégie notamment pour l’amélioration de la productivité et de la production génétique. Avant que le département en charge de l’Élevage et des Productions animales ne lance « des réformes relatives au Code pastoral » et à « l’accélération de la mise en route et le maintien de la mesure de restriction des importations des volailles et produits agricoles. »
L’ambition est d’augmenter le volume des productions agricoles afin de consolider et de sécuriser l’autosuffisance, appuie-t-il.
A Aly Ngouille Ndiaye, qui pilote le ministère de l’Agriculture, de l’Équipement rural et de la Souveraineté alimentaire, chargé de « dérouler, superviser et suivre » le projet, il est demandé de « prendre des dispositions nécessaires » pour associer les organisations faîtières des secteurs de l’agriculture, des pêches et de l’élevage dans « la mise en œuvre » de la stratégie.
Il fouettait son fils avec un câble électrique. Les voisins ont alerté la police. Il a été condamné 10 ans après les faits.L’affaire remonte en avril 2013. Un Sénégalais de 45 ans dont le nom n’a pas été révélé par la presse italienne, pour corriger […]
ACTUALITE INTERNATIONALIl fouettait son fils avec un câble électrique. Les voisins ont alerté la police. Il a été condamné 10 ans après les faits.
L’affaire remonte en avril 2013. Un Sénégalais de 45 ans dont le nom n’a pas été révélé par la presse italienne, pour corriger son fils, a usé d’un câble électrique d’environ un mètre et 1,5 cm de diamètre. Le môme alors âgé de 8 ans s’est retrouvé avec d’énormes cicatrices sur plusieurs parties du corps.
Alertée par les voisins, la police de Fabbrico, une commune italienne, est rapidement intervenue. Sur place, rapporte Les Echos, l’homme aurait tenté de détourner l’attention des policiers, affirmant que les cris provenaient de sa femme et de son fils qui s’étaient disputés. Avant d’ajouter que le petit était sorti jouer au football.
Pas du tout convaincus, les policiers poursuivent la perquisition et trouvent l’enfant accroupi dans la baignoire de la salle de bain, avec des signes évidents de violence. Ce dernier sera transporté à l’hôpital.
Arrêté après la découverte du câble, le Sénégalais a été depuis remis en liberté. Jusqu’à avant-hier. Au terme de la procédure, le mis en cause aujourd’hui âgé de 53 ans a été condamné à 3 ans de prison par la Cour d’appel de Bologne, pour abus dans la famille et de lésions corporelles aggravées. La peine est assortie d’une interdiction d’exercer des fonctions publiques pendant 5 ans. L’homme, qui avait déménagé à Carpi (Modène), a été arrêté en exécution de la disposition restrictive et conduit en prison.
Selon Les Echos, il devrait purger 2 ans, 11 mois et 26 jours de prison après réduction de 4 jours de détention provisoire.