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A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUELe contexte international brandi hier par le ministre et porte-parole du gouvernement Abdou Karim Fofana ne justifie pas à lui seul la hausse des prix de l’essence, du gasoil et de l’électricité. Bès Bi Le Jour a appris que l’État, en difficulté financière, a été […]
ACTUALITE SOCIETELe contexte international brandi hier par le ministre et porte-parole du gouvernement Abdou Karim Fofana ne justifie pas à lui seul la hausse des prix de l’essence, du gasoil et de l’électricité. Bès Bi Le Jour a appris que l’État, en difficulté financière, a été contraint de satisfaire une vieille doléance du Fonds monétaire international (FMI), en échange d’un financement autour de 237 milliards F CFA au cours de ce mois de janvier 2023.
L’Institution de Breton Woods, qui n’a jamais caché sa désapprobation par rapport à la politique de subvention sur les prix des produits pétroliers, avait posé comme condition la levée de celle-ci, rappelle le journal. Surtout que renseigne la source elle a été informée de la dette du gouvernement sénégalais auprès des pétroliers qui se chiffre à une centaine de milliards.
Les 237 milliards F CFA devraient servir à apurer cette dette et financer les mesures sociales promises par le chef de l’État, Macky Sall, lors de son message de Nouvel an. « L’effort de protection sociale sera renforcé en 2023 avec la mobilisation de près de 450 milliards au titre de subventions des produits alimentaires et énergétiques », a-t-il promis.
De plus, les bourses familiales seront portées de 25 000 à 35 000 F CFA, par trimestre et élargies à de nouveaux bénéficiaires sur la base de critère de vulnérabilité, entre autres.
Hier, le doyen des juges a levé le contrôle judiciaire de l’’activiste Fatima Mbengue membre de Frapp. Selon elle son arrestation était injuste, car elle était poursuivie pour « complicité de menace et association de malfaiteurs ». « C’était un contrôle judiciaire arbitraire et injuste, […]
ACTUALITE SOCIETEHier, le doyen des juges a levé le contrôle judiciaire de l’’activiste Fatima Mbengue membre de Frapp. Selon elle son arrestation était injuste, car elle était poursuivie pour « complicité de menace et association de malfaiteurs ».
« C’était un contrôle judiciaire arbitraire et injuste, mais nous l’avons vécue avec beaucoup de dignité et cela ne nous a pas empêché de continuer notre combat auprès des sénégalais. Cette épreuve m’a plus renforcée dans notre dynamique entamée depuis des années », a déclaré la militante de Frapp
Après une première manifestation à Ziguinchor pour protester contre la rupture annoncée du contrat de location de leur immeuble à Dakar, les étudiants ziguinchorois de l’UCAD ont repris de plus belle ce mercredi. Sans réaction du maire, Ousmane Sonko, ils ont décidé d’organiser un… concert […]
ACTUALITE SOCIETEAprès une première manifestation à Ziguinchor pour protester contre la rupture annoncée du contrat de location de leur immeuble à Dakar, les étudiants ziguinchorois de l’UCAD ont repris de plus belle ce mercredi. Sans réaction du maire, Ousmane Sonko, ils ont décidé d’organiser un… concert de casseroles.
Pour protester contre les « dérives » de Macky Sall, Ousmane Sonko a lancé le concept « concert de casseroles ». Le 31 décembre dernier lui et les autres membres de l’opposition l’ont remis, lors du discours de Macky Sall. Mais ce mercredi, les choses se sont retournées contre lui.
Pour protester contre sa décision de rompre le contrat de location des étudiants ziguinchorois à Dakar, ces derniers ont décidé d’organiser un concert de casseroles dans les rues de la capitale du Sud. La manifestation a accueilli beaucoup de monde, qui a fait du bruit jusqu’aux portes de la mairie dirigée par le leader de Pastef.
« Nous ne faisons pas de politique. Mais ceux qui sont dans cette mairie, c’est nous qui les y avons placé. S’ils doivent prendre une décision qui va nous mettre en péril, on sera là pour lutter », a déclaré Modou Badji, un des leaders.
En plus de l’appel interjeté hier après le refus du procureur d’accorder une liberté provisoire à Pape Alé Niang, les avocats du journaliste ont déposé une nouvelle demande de Liberté provisoire ce matin sur la table du juge du deuxième cabinet. La bataille judiciaire pour la […]
ACTUALITE justiceEn plus de l’appel interjeté hier après le refus du procureur d’accorder une liberté provisoire à Pape Alé Niang, les avocats du journaliste ont déposé une nouvelle demande de Liberté provisoire ce matin sur la table du juge du deuxième cabinet.
La bataille judiciaire pour la libération de PAN se poursuit pendant que la Coordination des Associations de Presse (CAP) intensifie les acteurs de terrain.
Patron du site d’informations Dakar Matin, Pape Alé Niang avait été renvoyé en prison le 20 décembre après avoir été remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire le 14 décembre.
Son contrôle judiciaire était intervenu après plus d’un mois de détention près de Dakar pour « divulgation d’informations de nature à nuire à la Défense nationale », « recel de documents administratifs et militaires » et « diffusion de fausses nouvelles ».
Le parquet de Dakar avait annoncé le 20 décembre dans un communiqué avoir « révoqué » ce contrôle judiciaire.
La Réplique d’Aminata Touré ne s’est pas fait attendre suite aux accusations de malversations présumées à hauteur de 2 milliards sur sa gestion au Conseil Économique Social et environnemental. Dans un communiqué publié sur sa page Facebook elle dénonce information totalement fausse ayant pour seul […]
ACTUALITE POLITIQUELa Réplique d’Aminata Touré ne s’est pas fait attendre suite aux accusations de malversations présumées à hauteur de 2 milliards sur sa gestion au Conseil Économique Social et environnemental. Dans un communiqué publié sur sa page Facebook elle dénonce information totalement fausse ayant pour seul but de porter atteinte à mon honorabilité.
«Deux jours après l’annonce de ma candidature à l’élection présidentielle de 2024, deux journaux de la place informent ce matin que j’aurais été épinglée par un rapport de l’IGE finalisé en Mai 2022 et remis au Président de la République qui a ensuite fait de moi la tête de liste de sa Coalition aux élections législatives du 29 Juillet 2022. Je dénonce une information totalement fausse ayant pour seul but de porter atteinte à mon honorabilité et par la même occasion créer un contre-feu à la gestion scandaleuse des 1000 milliards des Fonds COVID», a-t-elle fustigé.
Aminata Tourè d’ajouter : «pour démontrer aux yeux des sénégalais que le Conseil Économique, Social et Environnemental n’a jamais été aussi bien géré que sous ma Présidence, je demande une AUDITION PUBLIQUE COLLECTIVE de l’Inspection Général d’Etat des trois Présidents du CESE nommés par le Président Macky Sall à savoir Mme Aminata Tall qui a exercé pendant 6 ans, moi-même, Aminata Touré qui ai exercé pendant 1 an et 4 mois et l’actuel Président du CESE, Mr. Idrissa Seck en poste depuis 2 ans et 2 mois. Chacun de nous viendrait avec ses documents comptables en main et se prêterait sans réserve aux questionnements de l’IGE en présence de la presse nationale et internationale et sous l’appréciation des sénégalais.»
Malgré ce qu’elle qualifie de tentative de diabolisation orchestrée par des adversaires politiques, l’ancienne présidente du CESE se dit nullement intimidée. «Cette technique d’intimidation ancienne ne saurait nullement m’impressionner. Je rappelle que le Président Macky Sall, lui-même a fait l’objet en 2011 d’accusation de détournement de 7 milliards du Fonds Taiwanais et a été convoqué au commissariat de police du Plateau pour être entendu sur une accusation de blanchiment. Rien ne saurait me détourer de mon objectif de partager avec mes concitoyens sénégalais ma vision pour un Sénégal meilleur à l’occasion de la prochaine élection présidentielle de Février 2O24 à laquelle le Président Macky Sall ne participera selon les dispositions sans équivoque de la Constitution et comme il s’y est engagé publiquement. Dans l’attente de cette audition publique collective de l’IGE avec mon prédécesseur et mon successeur à la tête du CESE, nous demandons que la lumière soit faite sans délai sur la gestion des 1000 milliards du COVID et que les coupables soient traduits sans délai devant la loi.», avertit Mimy.
Le nommé Sandeck Hann a été jugé hier devant la Chambre criminelle de Dakar pour trafic de drogue et usurpation d’identité. Il est depuis deux ans en détention préventive. Les faits pour lesquels il a été arrêté remontent au 12 octobre 2020. Ce jour-là, rapporte […]
ACTUALITE SOCIETELe nommé Sandeck Hann a été jugé hier devant la Chambre criminelle de Dakar pour trafic de drogue et usurpation d’identité. Il est depuis deux ans en détention préventive. Les faits pour lesquels il a été arrêté remontent au 12 octobre 2020.
Ce jour-là, rapporte Les Échos, les gendarmes de Diamniadio interceptent à l’entrée de Dakar un véhicule de transport en commun. La fouille de la voiture permet aux pandores de tomber sur un sac à dos noir contenant 8 kg de chanvre indien.
Le journal ajoute que pour connaître le propriétaire du sac, les gendarmes demandent à chaque passager de prendre ses affaires. Tous les bagages trouvent preneur sauf le sac contenant la drogue. Pour être fixés, les enquêteurs embarquent tout le monde pour le poste.
En cours de route, Sandeck Hann, muni d’une carte professionnelle, se présente en caporal de l’Armée. La vérification faite auprès de la hiérarchie révèle qu’il n’est pas un militaire. L’enquête menée ensuite le désignera comme le propriétaire du chanvre indien saisi.
Lors de son audition à l’enquête préliminaire, le mis en cause passe à table. Il reconnaît être le propriétaire de la drogue. Précisant l’avoir achetée à Karang et vouloir la vendre à Grand-Yoff.
Mais à la barre, l’accusé change de version. Il assure qu’il ne disposait que d’un sac le jour des faits et, défend-t-il, ce n’était pas celui dans lequel la drogue a été trouvée. Puis, il jure qu’il ne s’est jamais présenté comme un caporal de l’Armée.
Les Échos rapporte que les dénégations de Sandeck Hann n’ont pas convaincu le procureur, qui a requis contre lui 10 ans de prison ferme. L’avocat de la défense a demandé l’acquittement de son client, estimant que l’imputabilité des faits pose problème. Le juge rend son verdict le 17 janvier.
Les derniers « tirailleurs sénégalais » pourront rentrer dans leur pays d’origine tout en touchant le minimum vieillesse, a-t-on appris mercredi auprès du ministère des Solidarités, qui évoque « 22 cas recensés ».Si la retraite peut être perçue partout dans le monde, le versement du minimum vieillesse est conditionné […]
ACTUALITE INTERNATIONALLes derniers « tirailleurs sénégalais » pourront rentrer dans leur pays d’origine tout en touchant le minimum vieillesse, a-t-on appris mercredi auprès du ministère des Solidarités, qui évoque « 22 cas recensés ».
Si la retraite peut être perçue partout dans le monde, le versement du minimum vieillesse est conditionné au fait de vivre en France la moitié de l’année.
« Un certain nombre de personnes ont émis le souhait de repartir dans leur pays d’origine pour finir leurs jours auprès de leur famille. Nous avons cherché à savoir combien de personnes cela concernait », a indiqué le ministère à l’AFP.
Les caisses d’allocations familiales et le secrétariat d’Etat aux Anciens combattants ont recensé 22 cas de « tirailleurs sénégalais » touchant le minimum vieillesse, précise le ministère confirmant une information de franceinfo.
Le ministre des Solidarités Jean-Christophe Combe va signer prochainement un courrier les autorisant à conserver le minimum vieillesse en vivant hors de France, a-t-on précisé au ministère, qui évoque une « dérogation, une tolérance accordée dans des conditions exceptionnelles et définies ».
Cela ne veut pas dire qu’elles repartiront dans leur pays d’origine, qui n’est pas nécessairement le Sénégal, note le ministère.
Cette annonce coïncide avec la sortie dans les salles mercredi du film Tirailleurs, avec Omar Sy, qui raconte l’histoire de ces tirailleurs sénégalais pendant la Première Guerre mondiale.
Créé sous le Second Empire et dissous au début des années 1960, le corps des « Tirailleurs sénégalais » rassemblait des militaires nés dans les anciennes colonies françaises en Afrique et enrôlés dans l’armée française.
Le terme est venu à désigner l’ensemble des soldats d’Afrique noire qui se battaient sous le drapeau français, quelle que soit leur nationalité ou pays d’origine.
Ils ont participé à la Seconde Guerre mondiale et aux guerres de décolonisation, notamment en Indochine et en Algérie.
La baisse des prix du loyer, prévue initialement à partir du mois courant, va entrer en vigueur en février prochain. Une façon de permettre au gouvernement de bien la préparer et de s’assurer qu’elle pourra être effectivement appliquée à la date fixée.L’annonce a été faite […]
ACTUALITE SOCIETELa baisse des prix du loyer, prévue initialement à partir du mois courant, va entrer en vigueur en février prochain. Une façon de permettre au gouvernement de bien la préparer et de s’assurer qu’elle pourra être effectivement appliquée à la date fixée.
L’annonce a été faite par le ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et moyennes entreprises Abdou Karim Fofana.
«La procédure continue et nous avions prévu de la faire passer avant la fin de l’année. Cependant, nous nous sommes donné le temps d’améliorer le processus, afin d’éviter d’avoir une mesure qui ne soit pas applicable», a expliqué le ministre.
Invité hier dans une émission à l’Aps, l’ex-ministre de l’Urbanisme assure que tous les dispositifs ont été pris en compte. «On a pu satisfaire toutes les exigences. Il y a de nouveaux paramètres qui ont été introduits et on est en train de travailler pour y arriver durant le mois de janvier et passer à l’application avant début février», a-t-il assuré.