Une réunion du parti Pastef a regroupé samedi le Bureau politique, les députés, les élus locaux, les coordonnateurs départementaux, les commissariats du Mouvement national des cadres patriotes (MNCP), la haute autorité de régulation de la formation politique, entre autres. D’après Source A, qui donne l’information, […]
POLITIQUEL’ex-Président va envoyer une délégation de l’Alliance pour la République (APR), samedi prochain, dans les régions de Kolda, Kaffrine et Tamba. «Malgré son absence du pays, Macky Sall mobilise ses troupes. Il ne veut pas laisser l’APR mourir avec la perte du pouvoir», décrypte L’AS, […]
POLITIQUELe Conseil municipal de Ziguinchor a voté hier, mardi, le budget 2023 de la mairie de la ville. Celui-ci est passé de 3 milliards à 5 milliards de francs CFA.Les fonds seront consacrés en priorité aux investissements. Contrairement à la pratique qui avait cours avec […]
ACTUALITE POLITIQUELe Conseil municipal de Ziguinchor a voté hier, mardi, le budget 2023 de la mairie de la ville. Celui-ci est passé de 3 milliards à 5 milliards de francs CFA.
Les fonds seront consacrés en priorité aux investissements. Contrairement à la pratique qui avait cours avec les précédentes équipes municipales, notamment la sortante que dirigeait Abdoulaye Baldé. «83% du budget étaient destinés au fonctionnement, seuls 16% étaient pour les investissements. Un tel budget ne peut rien servir à la population, clame le maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko, dans des propos repris par Vox Pop. Les salaires et les dépenses de prestige bouffent le budget.»
Le président de Pastef souligne qu’avec lui, les choses ont changé. Il dit : «On a renversé la tendance, pour pouvoir construire des écoles, des routes et des espaces publics. 60% pour les investissements et 40% pour le fonctionnement.»
C’est le18 janvier dernier que le Train express régional (Ter) avait entamé ses rotations. Un an plus tard, il a transporté plus de 16 millions de voyageurs, générant plus de 13 milliards FCFA de francs Cfa de recettes. «Il est heureux de constater que le […]
ACTUALITE SOCIETEC’est le18 janvier dernier que le Train express régional (Ter) avait entamé ses rotations. Un an plus tard, il a transporté plus de 16 millions de voyageurs, générant plus de 13 milliards FCFA de francs Cfa de recettes.
«Il est heureux de constater que le Ter a transporté à date plus de 16 millions de voyageurs et a généré plus de 13 milliards de recettes», renseigne un document remis hier à la presse. C’était lors d’une cérémonie marquant la célébration du premier anniversaire de la mise en service du Ter.
Les responsables du Ter revendiquent un taux de régularité, ces (3) derniers mois, de plus 98%, ce qui signifie que chaque jour, sur 100 trains, 98 sont à l’heure.
La Société en charge de l’exploitation du Train express régional (Seter) ambitionne de réceptionner dans un futur proche d’autres trains dans le but de résorber la demande croissante des voyageurs, renseigne L’Observateur.
» AUCUNE PIÈCE JUSTIFICATIVE POUVANT ATTESTER DE L’EFFECTIVITÉ DES DÉPENSES D’HÉBERGEMENT L’absence d’activités sportives consécutives aux mesures de confinement a impacté négativement les ressources financières des fédérations et groupements sportifs alors qu’elles font face à des charges de fonctionnement. Ainsi, l’Etat leur a octroyé une […]
ACTUALITE SOCIETE SPORTSL’absence d’activités sportives consécutives aux mesures de confinement a impacté négativement les ressources financières des fédérations et groupements sportifs alors qu’elles font face à des charges de fonctionnement. Ainsi, l’Etat leur a octroyé une subvention de 402 000 000 FCFA au ministère.
Sur les 205 000 000 FCFA reçus, la Fédération sénégalaise de basket-ball a reversé 50 000 000 FCFA en deux tranches (chèque n°746139 de 25 000 000 FCFA et chèque n°746141 de 25 000 000 FCFA) à Mamadou Ngom NIANG, Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement (Dage) du Ministère des Sports, pour le paiement de subventions à d’autres associations et fédérations sportives.
Monsieur NIANG, a procédé au paiement de subventions en numéraires pour un montant total de 190 000 000 FCFA sans décision de versement. La Cour constate un écart de 140 000 000 FCFA entre les montants reversés par la FSB et le total des décharges produites par le DAGE.
De plus, elle note que le paiement de subventions en espèces à des personnes morales de droit privé est prohibé par les dispositions de l’article 104 du règlement général sur la comptabilité publique.
Pour le paiement en espèce de subventions à des associations légalement constituées pour un montant de 190 000 000 FCFA (…), Monsieur NIANG, indique :
« (…) nous sollicitons votre tolérance administrative par rapport à la violation des dispositions de l’article 104 du RGCP.
(…) L’écart de 140 000 000 FCFA) provient d’un accord entre le Président de la FSB et moi (DAGE).
En effet, sur instruction du Ministre des Sports, je devais remettre au Président de la FSB la somme de 146 678 120 FCFA, constitué de :
-49 000 000 FCFA reçu de à titre de remboursement à la FSB ;
-12 678 120 FCFA représentant aussi un remboursement à la FSB ;
-85 000 000 FCFA à virer à la FIBA.
Alors, j’ai pris 140 000 000 FCFA sur les 146 678 120 que je devais remettre à la Fédération sénégalaise de basketball pour le versement en espèce à différentes fédérations et associations sportives et le Président de la fédération a, à son tour, utilisé les 140 000 000 FCFA qu’il devait me remettre pour payer les droits dus à la FIBA et prendre en charge les remboursements de frais ».
Concernant l’écart de 140 000 000 FCFA, la Cour réitère le constat selon lequel la pratique utilisée par le DAGE du Ministère des Sports n’est pas conforme à la réglementation. En effet, des ressources financières destinées à la FSB et relatives au remboursement de charges et au versement de contribution à la FIBA Afrique ont été utilisées pour payer des subventions à des associations et fédérations sportives.
En outre, aucune pièce justificative pouvant attester de l’effectivité des dépenses d’hébergement et de préparation de l’Afro-basket féminin n’est produite à la Cour.
Dans l’affaire «Sweet Beauty», le doyen des Juges d’instruction a transmis un « avis de clôture » aux avocats et au Parquet. Ce, pour observations avant de clôturer le dossier. Le Soleil, qui en a donné l’info, renseigne que le maitre des poursuites a un délai de […]
ACTUALITE SOCIETEDans l’affaire «Sweet Beauty», le doyen des Juges d’instruction a transmis un « avis de clôture » aux avocats et au Parquet. Ce, pour observations avant de clôturer le dossier. Le Soleil, qui en a donné l’info, renseigne que le maitre des poursuites a un délai de trois jours pour faire ses observations.
Par la suite, le juge Oumar Maham Diallo prendra une ordonnance de clôture ou poursuivra l’instruction si le Parquet en exprime la demande. Celui-ci peut, au besoin, demander un complément d’information.
Cet acte du juge intervient après l’audition des plusieurs témoins cités par les conseils de Ousmane Sonko. Auparavant, le magistrat avait procédé, le 6 décembre dernier, à la confrontation entre Adji Sarr et Ousmane Sonko. Ce dernier est accusé de viols et de menace de mort sur la jeune masseuse.
Inculpé, le leader de Pastef a été placé sous contrôle judiciaire. Le dossier avait été confié au juge du huitième cabinet d’instruction qui s’était dessaisi, avant qu’il ne soit confié à nouveau au Doyen des juges, Samba Sall, décédé un mois après l’inculpation de Ousmane Sonko. Il a été remplacé par Oumar Maham Diallo qui a pris fonction le 5 mars dernier.
Koukandé et Ibrahima Niasse alias «Sant Yalla» ont été placés sous mandat de dépôt hier, mardi. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, tentative d’escroquerie, escroquerie et charlatanisme. D’après Libération, qui donne l’information, ils seront jugés mercredi 3 janvier devant le tribunal de Thiès. Ils […]
ACTUALITE justiceKoukandé et Ibrahima Niasse alias «Sant Yalla» ont été placés sous mandat de dépôt hier, mardi. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, tentative d’escroquerie, escroquerie et charlatanisme.
D’après Libération, qui donne l’information, ils seront jugés mercredi 3 janvier devant le tribunal de Thiès.
Ils seront à la barre en même temps que Ibrahima Diamé. Ce dernier est visé pour abus de confiance.
Les trois mis en cause ont été arrêtés par la Section de recherches de Thiès à la suite de la plainte d’un émigré sénégalais basé aux États-Unis. Ce dernier avait remis 7 millions de francs CFA à Ibrahima Diamé pour une transaction foncière.
Mais l’argent n’ira pas à sa destination initiale. Après son arrestation, Diamé a assuré l’avoir remis à Koukandé et «Sant Yalla», qui lui avaient promis de multiplier par dix la somme grâce aux «Djins». Ce qui ne sera pas fait.
Pour n’avoir pas mis les pieds depuis six ans à Malifara, village d’origine de son père, Balla Gaye 2 s’est attiré les foudres de ses parents vivant de cette localité de la région de Sédhiou. «Nous ne lui demandons pas de l’argent. Nous avons plutôt […]
ACTUALITE POLITIQUEPour n’avoir pas mis les pieds depuis six ans à Malifara, village d’origine de son père, Balla Gaye 2 s’est attiré les foudres de ses parents vivant de cette localité de la région de Sédhiou. «Nous ne lui demandons pas de l’argent. Nous avons plutôt besoin de plus de considération», réclame Aramata Sakho, une tante du lutteur interrogée par L’Observateur qui a publié ce mercredi un reportage dans la localité en prélude au combat entre le Lion de Guédiawaye et Boy Niang, le 1er janvier prochain.
La sœur de Double Less poursuit : «Demandez-lui de revenir aux sources, de revenir auprès des siens. Ses oncles, ses tantes, ses demi-frères et demi-sœurs sont dans le village. Il a besoin de la bénédiction de ses parents pour réussir dans ce qu’il fait. Aucun membre de la famille ne dispose du numéro de téléphone de Balla.»
Aramata Sakho martèle : «Si nous avons un conseil à lui donner, c’est qu’il revienne ici à la terre de ses ancêtres, à la terre de ses origines solliciter des prières. Il doit s’inspirer de Sadio Mané qui fait la fierté non seulement de sa famille, mais de toute la Casamance, du pays et même du continent.»
Ousmane Tounkara est un enseignant en poste dans le même établissement que son épouse. Un jour il débarque à l’école avec un couteau dissimulé dans ses proches. Il s’en servira pour poignarder à plusieurs reprises à la nuque son collègue Pape Amadine Diaw. Le péché […]
ACTUALITE SOCIETEOusmane Tounkara est un enseignant en poste dans le même établissement que son épouse. Un jour il débarque à l’école avec un couteau dissimulé dans ses proches. Il s’en servira pour poignarder à plusieurs reprises à la nuque son collègue Pape Amadine Diaw. Le péché de ce dernier : son étroite proximité avec son épouse.
«J’ai vu à maintes reprises Pape Amadine Diaw faire des clins d’œil déplacés à ma femme», a justifié Ousmane Tounkara lors de son procès devant le tribunal des flagrants délits de Dakar. D’après L’Observateur, qui relaye cette affaire, en attaquant son collègue, le mis en cause lui aurait lancé : «Laisse ma femme tranquille.»
Le journal rapporte que le couple Tounkara bat de l’aile depuis six mois. Appelée à la barre pour témoigner, l’épouse de l’accusé pointe un changement d’attitude de son mari dû à ses récents soucis de santé. «Il y a quelques mois, rembobine la dame, il était malade. Après avoir fait le tour des hôpitaux, on s’est tourné vers un marabout. Ce dernier lui a donné des potions et des bains mystiques. Depuis lors, il ne cesse de faire des hallucinations.»
Tounkara avoue du bout des lèvres : «Je n’ai pas bien dormi ces derniers jours, cela a dû impacter sur mes agissements.»
Il a été condamné à un mois avec sursis.
Gabrielle Kane, féministe, a écrit une missive dans laquelle elle réitère son soutien à celle qui accuse Ousmane Sonko de viols et de menaces de mort. L’activiste loue, par ailleurs, le courage de l’ex masseuse d’avoir porté cette affaire devant la justice. Car elle-même (Gabrielle […]
ACTUALITE SOCIETEGabrielle Kane, féministe, a écrit une missive dans laquelle elle réitère son soutien à celle qui accuse Ousmane Sonko de viols et de menaces de mort. L’activiste loue, par ailleurs, le courage de l’ex masseuse d’avoir porté cette affaire devant la justice. Car elle-même (Gabrielle Kane) a opté pour le silence dans le même cas : « Je le suis bien moins que toi, car je n’ai pas eu ton courage. J’ai eu peur de ne pas être cru, peur de ne pas avoir le courage de faire face et ce que je vois me fais encore plus peur pour l’avenir…La dernière fois que cela m’est arrivé, je n’étais pas dans un salon de massage, je n’étais pas masseuse … Et pourtant, cet homme à qui le pays tout entier donne le bon Dieu sans confession a essayé de me contraindre à une relation sexuelle ». Seneweb vous propose l’intégralité de son texte.
“Chère Adji,
Je ne te connais pas ! Pas plus que je ne connais le fond de cette histoire dont tu es finalement l’actrice principale. A ton corps défendant !
Comment ne pas penser à toi ?
Crois-moi, Adji, je te marque toute ma sympathie et ma compassion en cette douloureuse circonstance. Je disais tantôt que je ne te connais point.
Je n’ai cependant pas besoin de te connaître pour comprendre le sort injuste qui t’est ainsi fait et d’être habitée par une forte sympathie à l’égard de la jeune femme que tu es.
Etant toutes les deux de la même génération on aurait pu être proches, par un pur concours du hasard, même si je suis légèrement ton aînée. Dakar n’est pas bien grand, nous aurions pu nous croiser, connaître des gens en commun ou même être amies par le hasard du destin…
Cependant, je voudrais exprimer toute ma désapprobation, pour ne pas dire mon profond dégoût de ce qui est dit à ton encontre par des personnes, les hommes en particulier, dont on saisit difficilement les motivations profondes.
C’est cela qui me choque le plus, mais aussi par des femmes comme toi et moi !
Adji, c’est ton droit le plus absolu d’avoir porté plainte, si cet homme, fut-il un leader politique charismatique, a exercé la moindre pression, la moindre menace, et pire, si cet homme en est arrivé à te contraindre à quelque relation sexuelle qui soit.
Adji, c’est ta liberté de porter plainte, ton droit de te défendre, en soutenant devant les juges de ton pays les accusations que tu portes sur Ousmane Sonko. Pour nous qui sommes soucieux du respect de tes droits et ceux de chacun d’entre nous, on rappelle que quoiqu’accusé, il reste présumé innocent, jusqu’à preuve du contraire.
Adji, c’est à la justice d’élucider cette affaire mettant aux prises une jeune femme et un homme qu’elle accuse de l’avoir abusée. Une justice qui jugera, selon les règles de l’art, ayant pour guide la loi et l’intime conviction des magistrats.
Au plus profond de moi, Adji, j’espère et souhaite que tes accusations soient fondées sur des faits irréfutables ! Cela aiderait la cause de toutes les femmes qui ont été victimes de viols et de celle de tous les êtres humains femmes ou hommes qui combattent et traquent à juste titre les criminels sexuels.
Tout en soutenant ta cause, je ne suis animée d’aucune certitude établie.
Je n’ai rien contre l’homme que tu accuses d’avoir commis un crime sur toi. Je souhaite réellement que Sonko ait commis ce crime odieux à la suite d’une menace de mort…
Non pas que j’ai un parti pris, mais si tes accusations s‘effondrent comme un château de cartes devant les juges, j’aurais eu mal. Tu nous aurais fait mal et tu rendrais un très mauvais service à la lutte des femmes et celles de toutes les personnes éprises de justice à l’égard des femmes, face à tous les aléas et inégalités qui leur sont imposés dans nos sociétés.
Ainsi, tu ne faciliterais nullement la tâche aux vraies victimes de viols, surtout quand on sait que les femmes sont déjà rarement écoutées, si elles ne sont pas simplement raillées, parfois insultées, quand avec un courage herculéen en bandoulière, elles décident de braver les quolibets et autres moqueries pour dénoncer leurs bourreaux.
Tu rendrais impossible des dénonciations avérées d’agressions sexuelles commises par des hommes, connus ou reconnus. Ceci est souvent arrivé et ce n’est pas aujourd’hui, ni demain que cela s’arrêtera !
Adji, tu es si forte… Je le suis bien moins que toi, car je n’ai pas eu ton courage. J’ai eu peur de ne pas être cru, peur de ne pas avoir le courage de faire face et ce que je vois me fais encore plus peur pour l’avenir…
La dernière fois que cela m’est arrivé, je n’étais pas dans un salon de massage, je n’étais pas masseuse … Et pourtant, cet homme à qui le pays tout entier donne le bon Dieu sans confession a essayé de me contraindre à une relation sexuelle.
J’ai pleuré pendant une bonne demi-heure dans ma voiture, et l’ami qui m’a appelé dans ce moment de sanglot n’a rien trouvé d’autre à me dire que « c’est pas bien grave ça, t’es trop fragile toi. C’est comme ça ici ».
J’ai tremblé de peur, puis de colère avant de me résigner à un silence amère…
Pourtant Adji, comme toi, je ne suis pas prude… loin de là !
La femme libre que je suis ne trouve rien à redire dans une relation consentie entre deux adultes majeurs ou chacun y trouve son compte… Les hommes que je mets dans mon lit ou que je rejoins dans le leur, je les choisis !
Quelques soient les conditions, il faut refuser les contraintes faites aux femmes sous toutes ses formes et surtout quand elles sont physiques et sexuelles.
Il parait que tu t’habilles trop « sexy », il semblerait que tu ne sois « pas une sainte », on dit même que tu aurais des mœurs légères…
Adji, sois rassurée ! On dit cela de moi et de tellement de femmes que je connais pour diverses raisons. Et alors ?
Cela justifierait-il que l’on n’accorde pas de crédit à ta parole quand tu affirmes avoir été abusé, menacé et de surplus par un leader politique ?
Aucunement…Ta parole ne vaut pas moins que celle de ton présumé violeur !
Les évènements qui ont suivi demeurent de la politique et qui est bien instruit saura faire la part des choses entre tes accusations et la défense qu’affiche ton présumé agresseur….
Cette affaire que l’on politise ne l’est pas. Cela ne se passe pas entre le PASTEF et l’APR.
A l’heure ou ailleurs on comprend l’impact psychologique des traumas des victimes d’agressions sexuelles, ici on réfute sans écouter au nom d’un complot politique, d’une orchestration étatique au plus haut sommet !
Chère Adji, malheureusement, je t’espère réellement victime des faits que tu avances. Je connais cette position, je connais tellement de femmes silencieuses dans cette position de « victime bâillonnée ».
Puisse la justice faire son travail pour juger de la véracité des faits, afin que nous puissions rejoindre ton légitime combat pour que plus jamais dans notre pays, on ne contraigne une femme impunément !
En toute sororité….”
Gabrielle KANE
Où va l’or produit au Sénégal ? Les rapports de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie Sénégal), récemment publiés, donnent une réponse à cette question. En 2021, ce sont 16.1 tonnes d’or qui ont été produites au Sénégal. La valeur brute totale […]
ACTUALITE SOCIETEOù va l’or produit au Sénégal ? Les rapports de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie Sénégal), récemment publiés, donnent une réponse à cette question.
En 2021, ce sont 16.1 tonnes d’or qui ont été produites au Sénégal. La valeur brute totale : 390.7 milliards de francs Cfa. Mais où va cet or ? Les cargaisons d’or sénégalais prennent deux principales directions.
La Suisse est la première destination de l’or sénégalais. En effet, 381.9 onces ont été exportées vers ce pays, pour 381.6 milliards de francs Cfa. L’Australie a, elle, acquis 128.3 onces, pour une valeur de 123.3 milliards de francs Cfa.
Au total, en plus des 9000 onces vendues à la Bceao, ce sont 519 336 onces d’or qui sont sorties du pays, soit 14.7 tonnes. C’est donc, 1.4 tonne d’or qui resterait sur le continent, ou encore dans le pays.
Mais, les artisans bijoutiers locaux, profitent-t-ils vraiment de l’or produit chez eux ? «Pour dire vrai, non», rétorque Alpha Amadou Thiam, vice-président de l’Association des bijoutiers du Sénégal.
Ils n’en voient que la poussière…
Joint par nos soins, il rappelle qu’en 2013, le président Macky Sall avait annoncé qu’il mettrait à la disposition des artisans nationaux, une partie de l’or produit dans le pays. Ce, pour qu’ils puissent avoir de la matière première. Une telle annonce, reste sans effet véritable, pour le moment.
Puis, ils ont, dit-il, créé un comptoir à leurs propres frais. Celui-ci vendrait des lingots d’or notamment aux bijoutiers et aux particuliers. Mais, du fait des coûts, l’initiative bat de l’aile. Aujourd’hui, l’Etat a annoncé la mise en place de son Comptoir national de Commercialisation de l’or. Un établissement public à caractère industriel et commercial.
Mais, la forme ne réjouit pas tout le monde. La réalisation de l’étude d’opportunité étant confiée au Cabinet Geomin. «C’est nous qui devons gérer le comptoir, ou l’Etat. Mais on ne peut le confier à un privé, sans appel d’offres sans rien», martèle M. Thiam. Dans son communiqué de presse, publié il y a quelques mois, le ministère des Mines avait expliqué que le Cabinet Geomin est juste recruté, «aux fins de réaliser cette étude dans une démarche inclusive et participative.»
En attendant, malgré les tonnes d’or produites au Sénégal, les bijoutiers disent éprouver des soucis pour avoir de la matière première. Pour la plupart d’entre eux, ils se rabattent sur le rachat de bijoux usagés, qu’ils font ensuite fondre, pour avoir de l’activité. «Parfois, nos clientes nous revendent des bijoux que nous leur avions cédés. C’est cela qui nous permet de tenir notre commerce», regrette M. Thiam.
Collègues, Ya Awa Diéye et Oustaz Modou Fall montrent leur complicité à chacune de leur sortie. Présentateurs de l’émission » Ziar « , en un moment donné beaucoup pensaient que Oustaz Modou Fall entretenait une relation amoureuse avec la présentatrice Ya Awa Diéye. Interviewé par Seneweb, le prêcheur, apporte des éclaircissements : » Ya Awa, c’est ma sœur, c’est moi qui vais lui donner en mariage, c’est un privilège pour moi, un […]
ACTUALITE SOCIETECollègues, Ya Awa Diéye et Oustaz Modou Fall montrent leur complicité à chacune de leur sortie. Présentateurs de l’émission » Ziar « , en un moment donné beaucoup pensaient que Oustaz Modou Fall entretenait une relation amoureuse avec la présentatrice Ya Awa Diéye.
Interviewé par Seneweb, le prêcheur, apporte des éclaircissements : » Ya Awa, c’est ma sœur, c’est moi qui vais lui donner en mariage, c’est un privilège pour moi, un signe de respect de sa part. Mais elle ne m’a jamais présenté quelqu’un, je ne sais pas avec qui elle sort ».