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ACTUALITE SOCIETELe jeune cultivateur Assane Ndiaye âgé de 22 ans et habitant le village de Thiourour dans la commune de Koki (département de Louga) séjourne depuis hier vendredi 23 décembre à la maison d’arrêt et de correction de Louga. Il est poursuivi pour les délits de tentative de viol sur la fille M. Seck âgée de 16 ans et détention illégale d’arme blanche.
Les faits se sont déroulés le mardi 13 décembre vers onze heures entre les villages de Thiourour et Bélel Diop.
La mère de la victime Mbéne Fall a envoyé sa fille M. Seck au marché de Bélel Diop distant de deux kilomètres pour acheter des légumes.En cours de route, la fille a été interceptée par un jeune homme habillé en blanc et armé de coupe-coupe. Il l’a terrassée sur les herbes mortes pour assouvir son désir sexuel.
Pour résister, la victime a usé de toutes ses forces vocales obligeant ainsi son agresseur à prendre la fuite.
Alertés par les cris de la victime, le nommé Abdou Khadre Lo a rallié l’endroit où se trouvait la fille pour l’aider à rentrer chez elle.Ensuite il alerte le village de Thiourour pour poursuivre les pas de l’agresseur jusqu’au domicile de Ameth Ndiaye sis au village de Bélel Peul.
Sans perdre de temps, la mère de la victime a déposé une plainte contre X à la brigade de gendarmerie Koki pour tentative de viol sur sa fille. Interpellé, le chef de famille Ameth Ndiaye déclare au cours de son audition qu’il était parti à un enterrement non loin de chez lui au moment des faits.
Une confrontation entre des membres de la famille d’Ameth Ndiaye et d’autres personnes a permis à la victime d’identifier l’auteur des faits.
Le nommé Assane Ndiaye âgé de 22 ans et cultivateur de son état a été désigné par la fille comme étant l’auteur de sa tentative d’agression sexuelle avant de raconter le film de sa mésaventure.
Dans son premier face-à-face avec les hommes du commandant Djibril Diallo, le mis en cause a nié les faits qui lui sont reprochés.
Soumis à un interrogatoire serré pour la seconde fois, le jeune cultivateur a finalement reconnu les faits et sollicité clémence à la partie civile.
Il a été déféré hier vendredi 23 décembre au parquet de Louga pour tentative de viol sur une mineure de 16 ans et détention illégale d’arme blanche.
La Coordination des associations de presse (Cap) réaffirme son engagement pour la libération du journaliste Pape Alé Niang. En conférence de presse hier, vendredi 23 décembre, elle a annoncé son troisième plan d’actions, avec notamment la poursuite de ses visites aux autorités religieuses. La Coordination […]
ACTUALITE SOCIETELa Coordination des associations de presse (Cap) réaffirme son engagement pour la libération du journaliste Pape Alé Niang. En conférence de presse hier, vendredi 23 décembre, elle a annoncé son troisième plan d’actions, avec notamment la poursuite de ses visites aux autorités religieuses.
La Coordination des associations de presse (Cap) a tenu une conférence de presse hier, vendredi 23 décembre 2022, pour porter son soutien à Pape Alé Niang. Selon le président du Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie dans les médias (Cored), Mamadou Thior, l’annonce faite par le magazine Jeune Afrique, décelant un désengagement des associations de presse dans le combat pour la libération du journaliste directeur de publication du site d’informations Dakar Matin, n’est pas fondée. Pour Mamadou Thior, «la Cap, qui regroupe plusieurs associations faitières des médias, défend un journalisme libre et responsable. Et défendre ce genre de journalisme va au-delà de la personne de Pape Alé Niang».
Le président du Cored annonce, en outre, l’exécution d’un troisième plan d’actions qui sera notamment marqué par la poursuite de la visite des foyers religieux. Les associations de presse tiennent aussi à dénoncer le faussé qu’il y a entre les faits réels et les raisons évoquées par le Parquet pour justifier la nouvelle arrestation de Pape Alé Niang. Il dit aussi que Pape Alé Niang avait fait amende honorable, en étant disposé à enlever la publication sur le directeur général de la Police nationale. Pour Mamadou Thior et compagnie, il y a une volonté des pouvoirs publics de maquiller le scandale soulevé par la publication du rapport de la Cour des Comptes, à travers cette nouvelle détention du journaliste.
VOLONTE MANIFESTE DU POUVOIR DE MAQUILLER LE SCANDALE DU RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES ET D’ENFREINDRE LA LIBERTE D’EXPRESSION
Ibrahima Lissa Faye, président de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel), quant à lui, trouve une volonté manifeste du pouvoir à enfreindre la liberté d’expression. En plus de ce dossier de Pape Alé Niang, il dénonce la convocation de la journaliste de Sud Fm à Mbour, pour avoir dénoncé les conditions d’accueil au Centre hospitalier de cette ville. Ibrahima Lissa Faye dénonce aussi la convocation de journalistes à Kédougou.
La Coordination des associations de presse informe aussi qu’elle participera à la manifestions du vendredi prochain, initiée par la société civile pour exiger la lumière sur les conclusions du rapport de la Cour des comptes relatives à la gestion du Fonds Force «Covid-19», au titre des années 2020 et 2021.
Le Sénégal a connu durant l’année 2022, un vague d’arrestations ciblées vers d’opposants au régime du président Macky Sall.. Le plus souvent le chef d’inculpation le plus usité est : « la diffusion de fausse nouvelle » qui est condamnée par l’article 80 et 255 […]
ACTUALITE SOCIETELe Sénégal a connu durant l’année 2022, un vague d’arrestations ciblées vers d’opposants au régime du président Macky Sall.. Le plus souvent le chef d’inculpation le plus usité est : « la diffusion de fausse nouvelle » qui est condamnée par l’article 80 et 255 du code pénal. Cheikh Oumar Diagne, Karim Xrum Xax, Outhmane Diagne, Papitot Kara, Pape Alé Niang, Fadilou Keita en ont fait les frais.
Outhmane Diagne, quatre mois de détention
Convoqué dans le cadre d’une plainte sur les Unes détournées de plusieurs quotidiens sénégalais, le coordonnateur de la « Mafia Kacc Kacc » a été arrêté aux lendemains des élections législatives. Après plusieurs jours de recherches, il finit par répondre aux convocations de la Section de Recherche. D’après un de ses avocats, Me Bamba Cissé, Outhmane Diagne, proche du leader Ousmane Sonko est arrêté pour avoir partagé sur sa page facebook des « Unes » de journaux satiriques avec en entête 3 emoji de sourires. Le procureur se serait autosaisi d’où son arrestation qui intervient quelques jours après celle de Papitot Kara, c’est-à-dire le 8 août 2022. Depuis plus de quatre mois, Outhmane Diagne est en prison.
Papitot Kara ou l’effet réversif des « Unes détournées »
Son nom est surtout lié aux Unes de plusieurs quotidiens sénégalais détournés (L’Obs, Sud, Enquête, Quotidien), quelques jours avant le démarrage de la campagne pour les élections législatives de juillet 2022. De son vrai nom Pape Ibra Gueye alias Papitot, ce jeune informaticien venait juste de se marier et revenait d’une lune de miel. Arrêté dans un premier temps, il a été inculpé et placé sous mandat de dépôt par le juge du deuxième cabinet, le 3 août 2022. Il est accusé « d’effacement, modification, fabrication et introduction de données informatiques », selon son avocat Me Khoureyssi Ba.
Cheikh Oumar Diagne le « récidiviste »
Arrêté le 16 mars 2022 dans un premier temps à la suite d’une plainte pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles par Me Djibril War, Cheikh Oumar Diagne avait passé quelques mois en prison avant de bénéficier d’une liberté provisoire. L’ex-membre de And Samm Jikko Yi va passer environ 4 mois en prison. A peine élargi, il est arrêté à nouveau au lendemain du décès de Imam Ndao.
Cette fois-ci, il accuse indirectement l’Etat d’avoir tué Imam Ndao au mois de septembre 2022. Auditionné à la Division des Investigations Criminelles, le 8 septembre, lui et Abdou Karim Gueye seront déférés le 9 septembre 2022. Depuis, il croupit à la prison de Rebeuss pour « diffusion de fausses nouvelles ».
Karim Xrum Xax, « l’homme de toutes les luttes »
L’artiste rappeur devenu activiste s’est illustré de 2012 à 2022, par des passages fréquents en détention. Et pour cause, l’homme est sur tous les fronts, tous les combats sont les siens. L’invective à la bouche, il n’hésite pas à utiliser de gros mots contre ceux qu’ils combattent.
Abdou Karim Gueye alias Karim Xrum Xax est un ancien membre du mouvement « Yen a marre », avant de devenir leader du mouvement Nittu Deug / Valeurs, mais également membre de l’association « And Sam Jikko yi ». Il est un farouche opposant du régime de Macky Sall. Au lendemain du décès de l’imam Imam Alioune Badara Nda o(6 Septembre 2022), Karim Xrum Xam a tenu des propos « discourtois » à l’endroit de l’Etat du Sénégal qu’il accuse d’avoir tué le religieux.
Fadilou Keita ou la contribution explosive
Proche d’Ousmane Sonko et coordonnateur du Nemekou Tour, Fadilou Keita a été arrêté sur ordre du procureur, le 7 décembre 2022, suite à la publication sur facebook d’une contribution sur la disparition mystérieuse de Didier Badji et Fulbert Sambou. Il aurait accusé l’Etat du Sénégal d’avoir fait disparaître les deux agents des renseignements militaires. Il est en détention depuis trois semaines en attendant de faire face au juge.
Pape Alé Niang , « l’homme des documents confidentiels et Scoops »
Journaliste d’investigation, Pape Alé Niang, un ancien du groupe Sud Communication, est connu depuis quelques années pour ses sorties musclées contre le régime de Macky Sall. Décrit comme proche du leader du Pastef, Ousmane Sonko, il parvient à disposer de documents classés confidentiels , comme dans l’affaire « Sweet Beauté », qualifié de complot et incriminant le leader du Pastef /les Patriotes. Dans ses lives sur les réseaux sociaux, il s’en prend souvent aux hauts gradés de l’armée qu’il accuse de « faire le sale boulot pour le régime ».
Arrêté le dimanche 6 novembre 2022, le directeur de publication de Dakarmatin, a été placé sous mandat de dépôt le 9 novembre 2022. Après moult tractations de la Coordination des Associations de la Presse (Cap) et une grève de la faim, le journaliste Pape Alé Niang obtient une liberté provisoire le mercredi 14 décembre 2022. Il sera de nouveau arrêté le lundi 19 décembre 2022, chez lui par des éléments de la Division des Investigations Criminelles DIC. Cette fois ci, il lui est reproché un post fait récemment sur sa page facebook et accusant un responsable de la Police
Khalifa Sall, Ousmane Sonko, Habib Sy, ils ont si tort, ces cyclothymiques ! Ils font partie de ces politiciens qui ravalent toujours ce qu’ils ont vomi pour se rassasier. Khalifa Sall, son nom fait immédiatement penser à la caisse d’avance de la mairie de Dakar […]
ACTUALITE POLITIQUEKhalifa Sall, Ousmane Sonko, Habib Sy, ils ont si tort, ces cyclothymiques ! Ils font partie de ces politiciens qui ravalent toujours ce qu’ils ont vomi pour se rassasier.
Khalifa Sall, son nom fait immédiatement penser à la caisse d’avance de la mairie de Dakar qu’il dirigeait ,avec une désinvolture si prédatrice qu’il fut condamné à 5 ans de prison pour avoir détourné 1,3 milliard FCfa. Il crie « Au voleur » contre les épinglés de la Cour des Comptes. Mais, il fait éclater de rire les uns, enragent les autres et aiguillonne le dédain que les Sénégalais ont des acteurs politiques de Yewwi, tous roublards, hâbleurs, esbrouffeurs et mythomanes. Khalifa Sall doit se soucier de son avenir politique, qui ne peut être relancé qu’au lendemain d’une amnistie votée à l’Assemblée nationale, suite à une condamnation dans l’affaire de la «Caisse d’avance».
Ousmane Sonko, lui, fond sous le poids du stress face à ses démêlés judiciaires dans l’affaire Adji Sarr, révélatrice de la «nuisette rouge» à la Cité Keur Gorgui, mais aussi des génuflexions articulaires, autour du jacuzzi à Sweet Beauty. Sonko qui donne à Yewwi une image abjecte, vile, indécente et répugnante, a été épinglé dans l’affaire des 94 milliards FCfa. En effet, Ousmane Sonko était en négociation entre les familles via les sociétés AFEX, ALTAS et Mercalex, pour réclamer 12 milliards F CFA de commissions. Ousmane Sonko avait des intérêts dans cette affaire, qu’il a essayée de cacher en déposant une plainte pour la politiser, à cacher son rôle dans le dossier et divertir l’opinion.
On est submergé par un sentiment de pitié et d’amertume profond, en voyant Habib Sy user ses pantalons sur les chaises de la permanence de Pastef, s’accompagner de jeunes qui ont l’âge de ses enfants, sans avoir la poigne et l’autorité pour prendre les choses en main, afin d’indiquer le chemin à suivre à cette jeunesse de l’opposition. Rappelons que Habib Sy a été traîné en justice par un nommé Alioune Badara Thiane, un homme d’affaires, qui lui avait cédé, en 2012, une voiture de marque Mercedes GL 450 immatriculée sous le numéro DK 1575 AN, au prix de 33 000 000 FCfa. A l’origine de cette brouille, après une avance de 5 à 7 millions F Cfa, l’ancien maire de Linguère reste devoir 28 millions FCfa au plaignant.
Selon « SourceA » qui rapporte l’information, à cela, s’ajoute un terrain de 340 mètres carrés que l’ancien ministre d’Etat avait filé à la partie civile et qui s’est révélé, malheureusement, litigieux. Il a été condamné, en première Instance, à payer 30 millions et 5 autres briques, en guise de dommages et intérêts.
Yewwi compte énormément de prédateurs dont les masques sont tombés et les forfaitures hideusement dénudées. Et ce sont ces pillards et fossoyeurs qui crient « Au voleur ! ». Qu’ils se taisent ou se taisent ! Yewwi est un cartel d’acteurs politiques sans projet de société. Leur dénominateur commun, c’est la haine qu’il nourrit contre le président de la République.
Mouhamadou Lamine Massaly,
Président du parti Union Pour une Nouvelle République (UNR)
PCA de l’ONFP
(Vidéo) Retour inattendu de Diarra sen P’tit Gallé, Réaction surprenante de Aïcha Koné «nieuwam bi dafa..»
ACTUALITE SOCIETE(Vidéo) Retour inattendu de Diarra sen P’tit Gallé, Réaction surprenante de Aïcha Koné «nieuwam bi dafa..»
Communiqué partagé sur la page officiel Facebook de Cheikh Tidiane Youm, avant, pendant et après le « Discours à la nation » Yewwi Askan Wi décline son plan d’action qui sera marqué par un concert de casseroles au moment où le président Macky Sall va […]
ACTUALITE POLITIQUECommuniqué partagé sur la page officiel Facebook de Cheikh Tidiane Youm, avant, pendant et après le « Discours à la nation » Yewwi Askan Wi décline son plan d’action qui sera marqué par un concert de casseroles au moment où le président Macky Sall va s’adresser aux Sénégalais.
Selon son post, après la publication du Communiqué du 23 décembre, une grande majorité des citoyens a réagi pour suggérer la tenue du concert de casseroles le 31 décembre exactement au moment de l’adresse du président de la République à la Nation.
C’est ainsi que la Conférence des leaders de Yewwi Askan Wi s’est immédiatement réunie pour répondre à cette demande générale des Sénégalais, et réajuste son agenda comme suit :
– Mercredi 28 décembre 2022 : Conférence de presse de la Coalition Yewwi Askan WI ;
– Vendredi 30 décembre 2022 : Participation massive au rassemblement populaire de la Société civile à la Place de la nation ;
– Samedi 31 décembre 2022 : Concert de casseroles à 20 heures, coïncidant avec l’adresse du président de la République à la Nation ;
– Vendredi 06 janvier 2023 : Rassemblement national du peuple, partout au Sénégal et dans la diaspora.
En 2017, l’adjudant-major, I. Diop, était chargé d’élucider les circonstances de la mort de l’ancien chef d’agence de la Sonatel de Linguère, I. Fall, trouvé mort torse nu, dans sa maison. Le journal Source A qui en parle ce matin ignore la suite de l’enquête. […]
ACTUALITE SOCIETEEn 2017, l’adjudant-major, I. Diop, était chargé d’élucider les circonstances de la mort de l’ancien chef d’agence de la Sonatel de Linguère, I. Fall, trouvé mort torse nu, dans sa maison. Le journal Source A qui en parle ce matin ignore la suite de l’enquête. Mais, une chose est sûre : le gendarme déjà marié et père de 7 enfants, a fini par courtiser B. Sow, la veuve du défunt. Affecté à la Brigade de Sangalkam, I. Diop a voulu rompre, accuse cette dernière. Aujourd’hui, les ex-amants s’expliquent à la barre du Tribunal.
« Il m’a déclaré son amour en me promettant qu’il allait me marier », a confié la veuve. Face aux enquêteurs de la Section de recherches, elle a même juré qu’elle appuyait « financièrement » son amant de l’héritage laissé par son défunt mari. Payant, dit-elle, tantôt ses dettes auprès des commerçants de Linguère ou parfois à la Brigade de Louga.
La commerçante souligne que le gendarme lui « a demandé à plusieurs reprises de payer l’argent qu’il avait détourné à la Brigade en versant les sommes à celles de Louga. »
« Il m’avait même poussé à avorter d’une grossesse dont il est l’auteur. C’est lorsqu’il a été affecté à Dakar que j’ai compris qu’il profitait de moi », a-t-elle enfoncé.
C’est sa parole contre celle de son ex-amant. En face, le gendarme l’a trainée en justice pour escroquerie, charlatanisme et association de malfaiteurs, accusant son ex-amante et ses acolytes de lui avoir soutiré la somme de 52 millions F CFA.
Actuellement en mission en Gambie, I. Diop était représenté à la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar par son avocat, qui a demandé la somme de 50 millions F CFA en guise de dommages et intérêts.
B. Sow finalement relaxée devra payer la somme de 20 millions F CFA à l’adjudant-major.
Pour comprendre cette affaire de tentative d’assassinat sur son époux émigré M. D et sa coépouse D. M âgée de 19 ans, il faut remonter dans la nuit du 21 décembre dernier, date à laquelle le sieur M. D. émigré en France, s’est présenté dans […]
ACTUALITE SOCIETEPour comprendre cette affaire de tentative d’assassinat sur son époux émigré M. D et sa coépouse D. M âgée de 19 ans, il faut remonter dans la nuit du 21 décembre dernier, date à laquelle le sieur M. D. émigré en France, s’est présenté dans les locaux du commissariat central de Tambacounda pour porter plainte contre sa 2e épouse, F. T âgée de 18 ans qu’il a mariée il y a juste 1 mois. Il l’accuse d’avoir tenté de l’empoisonner avec la « awo » D. M âgée de 19 ans, en état de grossesse très avancé.
Lors de son audition, l’époux a déclaré que la nuit des faits, sa deuxième femme a attendu l’absence de sa première épouse pour servir le dîner qu’elle n’a pas préparé. Mais à peine a-t-il commencé à manger avec la « awo » qu’il a senti un morceau de verre dans sa bouche. Il demande à sa deuxième épouse d’arrêter de manger. Surpris, il interpelle son épouse, qui n’a pas répondu. Le mari prend son courage à deux mains et se rend au commissariat central pour se plaindre.
La ténacité et la perspicacité des enquêteurs font constater la présence de tessons de bouteille dans le repas, après y avoir versé de l’eau. Cueillie et conduite dans les locaux de la police, la deuxième épouse reconnait avoir mélangé des tessons de bouteille avec le dîner dans le but de tuer son mari et sa coépouse. Elle explique son geste par le fait que c’est une femme établie dans le Boundou qui lui a suggéré de tuer son mari et sa coépouse. L’enquête des limiers a permis de découvrir dans la valise de F. T un sachet rempli de tessons de bouteilles soigneusement dissimulés sous ses habits. Le mari et sa 1ere femme ont été évacués à Kaolack où ils été référés après un passage au centre hospitalier régional de Tambacounda.
Déférée vendredi 23 décembre au parquet, la deuxième femme est inculpée pour les délits «de tentative d’assassinat», puis placée sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt et de correction de Tambacounda. Elle file vers une session de chambre criminelle.
Gérant de fast-food, M. A. BA a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle pour homicide. Le Procureur avait requis 15 ans de prison pour assassinat. Les faits ont été requalifiés. Les faits remontent au 10 octobre 2019, relate L’Obs du jour. Armé d’un couteau, […]
ACTUALITE POLITIQUEGérant de fast-food, M. A. BA a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle pour homicide. Le Procureur avait requis 15 ans de prison pour assassinat. Les faits ont été requalifiés.
Les faits remontent au 10 octobre 2019, relate L’Obs du jour. Armé d’un couteau, M. A. BA le plantera sur le torse de A. Ndiaye, lors d’une bagarre. La victime âgée de 21 ans succombera à la suite d’hémorragies internes et externes d’origine traumatiques, d’après le certificat de genre de mort.
Avant la bagarre, le mis en cause, qui a plaidé la légitime défense, a confié que A. Ndiaye était venu se plaindre auprès de lui car le caissier lui avait rendu un billet de 1000 F CFA en mauvais état. Or, le billet en question ne faisait pas partie des billets qui lui a rendus le caissier, jure BA.
Entendu en qualité de témoin, le propriétaire du fast-food, P. E. Faye, a confirmé les déclarations de son employé. Sauf qu’un autre témoin a soutenu le contraire, affirmant que BA s’est introduit à l’intérieur du fast-food pour récupérer le couteau.
Le directeur exécutif de la section d’Amnesty International (AI) Sénégal, Seydi Gassama, a participé à la marche pacifique de solidarité avec la population de Ndingler ce vendredi 23 décembre 2022. La marche a pris départ sur l’avenue Bourguiba au Rond-point FASTEF jusqu’au rond-point Jet d’eau. Elle avait […]
ACTUALITE SOCIETELe directeur exécutif de la section d’Amnesty International (AI) Sénégal, Seydi Gassama, a participé à la marche pacifique de solidarité avec la population de Ndingler ce vendredi 23 décembre 2022. La marche a pris départ sur l’avenue Bourguiba au Rond-point FASTEF jusqu’au rond-point Jet d’eau. Elle avait pour but de décrire la situation périlleuse vécue ces populations depuis l’arrêté préfectoral leur interdisant toute activité agricole sur leurs propres terres à cause de leur conflit avec Babacar Ngom.
« Chers compatriotes d’ici et d’ailleurs, et citoyens du monde entier, nous voici aujourd’hui marcher sur les terres de la capitale pour réclamer les nôtres confisquées depuis deux longues années. Pour rappel, M Babacar Ngom propriétaire de la sedima était venu dans un premier temps le 7 février 2014, accompagné du maire sortant solliciter un partenariat avec les paysans de Ndingler. Je cite « je suis venu aujourd’hui accompagné de votre maire parce que j’ai une délibération de 300 ha dont les 80 ha sont situés dans le périmètre communal de Ndiaganiao », ont déclaré ces populations.
Avant de poursuivre: « Alors nous aimerons nouer une collaboration avec vous. Cinq ans plus tard, le monsieur brandit un titre foncier sans que les paysans en soient informés durant toute la procédure administrative. Dans l’illégalité, il décide quand même d’engager un bras de fer avec les paysans. Cette situation conflictuelle a conduit à une attaque dangereuse de ses ouvriers sur les paysans; ce qui avait poussé l’actuel préfet de Dakar, préfet de Mbour à l’époque des faits, de sortir un arrêté ».
Les populations de Ndingler, avec le soutien d’Amnesty International, d’affirmer: « Cet arrêté N° 059/DMB/P en date du 4 mai 2021, interdisait toute activité agricole sur la superficie d’une étendue de 80ha que nous exploitions des décennies avant l’installation de la Sedima. Ledit arrêté était pris de façon provisoire suite à l’agression des travailleurs de la sedima, plus d’une centaine contre trois paysans venus effectuer des travaux en pré-hivernage. Voici donc le contexte qui a prévalu à une interdiction à durée indéterminée. Nous voudrions préciser que cette interdiction n’affecte en rien la Sedima et à ses activités, qui continue d’exploiter son domaine au détriment des paysans de Ndingler qui assistent avec tristesse à ce spectacle désolant d’une perte de l’essentiel des terres qui leur restent aujourd’hui ».
Ainsi, disent-elles, « Nous marchons, vieux, jeunes, hommes et femmes pour dénoncer une injustice qui a trop duré, une injustice qui continue de semer le désarroi et provoquer l’enlisement de la pauvreté. Nous sommes abandonnés à nous-mêmes. Nos moyens de survie face aux difficultés auxquelles nous sommes confrontées sont très limités. Nous ne bénéficions pas des projets agricoles mis en œuvre par le gouvernement parce que nos terres sont fertiles. Alors, il faut les céder ou disparaitre. Nous marchons pour informer l’opinion qu’avec les villages voisins comme celui de Djilah, nous vivons en parfaite harmonie depuis la nuit des temps. Nos champs sont imbriqués et jamais il n’y a eu de difficultés entre les communautés encore moins un sentiment de haine entre nous ».
Elles ajoutent: « Nous marchons pour recouvrir nos terres et nous en demandons l’arbitrage du Président de la République la seule personne, qui aujourd’hui est capable de trouver issue définitive et heureuse à cette situation malheureuse qui a trop duré. Le président de la République détient à lui seul le pouvoir de restituer les terres aux ayants droit; ce qui sera une issue définitive, équitable et heureuse. SUNU SUF SUNU DUND SUNU SUF SUNU YAAKAR RENDEZ-NOUS NOS TERRES ! ».