Le dialogue national initié par le président de la République Macky Sall pour dégager un consensus en vue d’aller aux élections s’est achevé le mardi 27 février 2024. Les participants proposent que la présidentielle ait lieu au début du mois de juin, et que le […]
ACTUALITE POLITIQUEArrêté vendredi dernier pour outrage à magistrat dans l’exercice de ses fonctions, le greffier Abdoulaye Mboup devra garder son mal en patience.En effet le secrétaire général chargé de la communication de l’Union des travailleurs de la justice (Untj) a bénéficié d’un retour de parquet, ce […]
ACTUALITE justiceFace à la recrudescence des cas d’agressions, le Haut Commandement de la gendarmerie nationale a donné des instructions à l’ensemble de ses éléments pour lutter contre la délinquance et la criminalité dans le pays. Le Général Moussa Fall a recommandé la multiplication et l’intensification des […]
ACTUALITE SOCIETELa Division des investigations criminelles (DIC) a démantelé une mafia au cœur du Consulat de France au Sénégal, active dans le trafic de visas et de cartes de séjour. Selon Libération, qui donne l’information, le nommé Samba Ousmane Diaw, gérant d’une agence de voyage, a […]
ACTUALITE SOCIETELa Division des investigations criminelles (DIC) a démantelé une mafia au cœur du Consulat de France au Sénégal, active dans le trafic de visas et de cartes de séjour. Selon Libération, qui donne l’information, le nommé Samba Ousmane Diaw, gérant d’une agence de voyage, a été arrêté à cet effet.
Les hommes du commissaire Adramé Sarr, après une descente dans l’agence de voyage, se sont rendus chez son présumé complice, Moussa Diaw. Interrogé, ce dernier a avoué que les passeports, trouvés à son domicile, appartiennent à leurs clients, candidats à l’émigration, tout en ajoutant que le gérant de l’agence de voyage était chargé des démarches pour l’obtention des visas en complicité avec des agents du Consulat.
Il a aussi reconnu que les cartes de séjour, envoyées via DHL, par leur acolyte, Hussein, de nationalité libanaise établi en Turquie, sont fausses.
Moussa Diaw et son partenaire, gardés à vue pour association de malfaiteurs, trafic de migrants, faux et usage de faux portant sur des écritures administratives et entrave à l’action de la Justice, ont déclaré qu’ils empochaient pour chaque candidat une commission de 90 mille F CFA.
Pour l’exercice 2023 à l’Assemblée nationale, le successeur de Moustapha Niasse, Amadou Mame Diop, est assis sur un budget (2023) de 20 milliards 758 millions F CFA. L’enveloppe a enregistré une hausse de plus de 3 milliards par rapport à la 13e législature. Le budget est […]
ACTUALITE POLITIQUEPour l’exercice 2023 à l’Assemblée nationale, le successeur de Moustapha Niasse, Amadou Mame Diop, est assis sur un budget (2023) de 20 milliards 758 millions F CFA. L’enveloppe a enregistré une hausse de plus de 3 milliards par rapport à la 13e législature.
Le budget est décomposé en transferts courants (19, 1 milliards) et en transfert en capital (1,6 milliard).
l’érosion côtière est bel et bien une réalité au Sénégal. Elle est devenue un phénomène récurrent au 21e siècle. Assurément, des villages et villes côtières sont menacés par cette calamité naturelle. Mbao et Thiaroye-Sur-Mer, deux vieux villages lébous situés dans la périphérie du département de […]
ACTUALITE SOCIETEl’érosion côtière est bel et bien une réalité au Sénégal. Elle est devenue un phénomène récurrent au 21e siècle. Assurément, des villages et villes côtières sont menacés par cette calamité naturelle. Mbao et Thiaroye-Sur-Mer, deux vieux villages lébous situés dans la périphérie du département de Pikine en portent les stigmates. Depuis plusieurs années, la grande bleue avance obstinément et hante le sommeil des habitants de ces localités.
Mbaye Sarr, un pêcheur septuagénaire regrette que l’érosion côtière ait effacé toute une manne de souvenirs de son royaume d’enfance. « L’avancée de la mer est une menace sérieuse. J’ai vécu presque sept décennies ici et je peux vous le garantir, l’État du Sénégal doit mettre en place des digues de protection pour protéger les populations de Mbao. C’est un danger rampant à éviter, il faut qu’il agisse le plus vite possible. Notre terrain de football se trouvait à 50 mètres, maintenant, il est englouti par les eaux maritimes. Si rien n’est fait d’ici peu, Mbao village risque de disparaître », alerte-t-il.
Face à cette situation alarmante aux conséquences néfastes, des mouvements de protection de l’environnement se sont mis debout pour dénoncer le danger qui guette leur localité. La psychose s’installe chez les populations. Ces dernières estiment que l’ex-ministre de l’Environnement Abdou Karim Sall n’a pas respecté sa promesse faite au moment où une houle dangereuse frappait le village. Elles en imputent la responsabilité à celui qui est devenu maire de Mbao. « A l’époque, l’ex ministre de l’Environnement Abdou Karim Sall avait promis de travailler sur un projet. Mais jusqu’ici on n’a rien vu. Il y a de cela trois à quatre ans, quand la houle avait fait des ravages à Mbao, l’ancien chef du gouvernement Mouhamed Boun Abdallah Diop était venu ici pour s’enquérir de la situation mais en vain. Nos problèmes perdurent. C’est pas sérieux « , se désole André Coly, riverain.
Pour se protéger de l’avancée de la mer, les populations de Mbao village et Thiaroye-Sur-Mer demandent leur part des fonds d’adaptation au réchauffement climatique. Ainsi, elles réclament des digues de protection afin de lutter efficacement contre l’érosion côtière qui gangrène les zones côtières.
Face aux dérives sur les réseaux sociaux des faits sociaux, le ministre de la Justice a souligné que la loi sera appliquée dans toute sa rigueur.Selon l’expert international en régulation des télécommunications, El Hadj Babacar Ba, l’État doit prendre ses responsabilités. Joint par nos confrères […]
Non classéFace aux dérives sur les réseaux sociaux des faits sociaux, le ministre de la Justice a souligné que la loi sera appliquée dans toute sa rigueur.
Selon l’expert international en régulation des télécommunications, El Hadj Babacar Ba, l’État doit prendre ses responsabilités. Joint par nos confrères d’iRadio, il soutient qu’il est d’une nécessité de trouver un partenariat avec les Gafa pour censurer certaines publications qui peuvent nuire à la réputation d’autrui.
Pour lui, «il faudrait juste qu’il y ait une autorité gouvernementale capable de pouvoir freiner cela de par l’éducation par les moyens techniques et par les moyens réglementaires. Ce qui se passe, c’est qu’il est facile de poster. Maintenant, est-ce que nous avons les moyens, au niveau de ces plateformes, dont Tik Tok ou Instagram, YouTube et autre Facebook de pouvoir, à un moment donné, traiter avec saisie de textes qu’on appelle Gafa pour pouvoir leur dire : écoutez, si nous voulons réguler ce secteur-là, pour ne pas enfreindre les droits sur la presse, les droits sur l’information, sur les libertés individuelles, nous avons le Code de la presse qui les détermine», fait-il savoir.
Et d’ajouter : «C’est très difficile de mettre en œuvre, dans la mesure où ces réseaux-là ne sont pas installés au Sénégal. Il faut essayer de trouver des moyens techniques de discuter en partenariat avec ces Gafa, c’est-à-dire toutes ces applications qui se trouvent à l’extérieur, qui permettent aujourd’hui à un Sénégalais lambda, qui se trouve à l’extérieur, au fin fond de la banlieue dakaroise, de prendre son téléphone juste pour calomnier. Ce sont ces applications qu’il faut pointer du doigt.»
En 2018, 3,1 millions de décès dus aux maladies non transmissibles ont été dénombrés, soit une augmentation de 29,2 % par rapport aux 2,4 millions de décès survenus en 2005 des suites de ces maladies. Selon le rapport de suivi des progrès accomplis dans la […]
ACTUALITE SOCIETEEn 2018, 3,1 millions de décès dus aux maladies non transmissibles ont été dénombrés, soit une augmentation de 29,2 % par rapport aux 2,4 millions de décès survenus en 2005 des suites de ces maladies. Selon le rapport de suivi des progrès accomplis dans la lutte contre les maladies non transmissibles de l’année 2020, la réalisation des objectifs et des cibles convenus est lente, bien que des engagements politiques de haut niveau aient été pris. 71% de décès dans le monde et 45% au Sénégal sont causés par les MNT.
La mortalité prématurée due aux MNT (décès avant l’âge de 70 ans) représentait plus de 50 % des décès recensés dans certains États, notamment en Afrique du Sud (51 %), en Algérie (76 %), au Cap Vert (70 %), à Maurice (89 %), à Sao Tomé-et-Principe (55 %) et aux Seychelles (81 %).
En effet, la région africaine est de plus en plus confrontée à la charge des MNT et des décès qui en découlent. Ce qui entraîne de graves conséquences socioéconomiques au niveau national et au niveau des ménages.
Alassane Mbengue, secrétaire général du ministère de la Santé et de l’action sociale assure que dans le dernier rapport de l’institution publié en 2022, quatre MNT majeures à savoir le cancer, le diabète, les cardio-vasculaires, les infections respiratoires chroniques sont à l’origine de 18% de la mortalité prématurée c’est-à-dire celle qui intervient entre 30 et 70 ans.
Une réunion régionale des membres du personnel de l’OMS chargés de la lutte contre les MNT dans les bureaux de pays, dans les équipes d’appui technique multipays et au Bureau regroupe 47 pays membres de la zone Afro de l’OMS en charge de la lutte contre les maladies non transmissibles.
Il s’agira pour les pays de réfléchir sur les orientations de leurs plans d’action nationaux afin de progresser durablement vers la réalisation des neuf cibles volontaires fixées dans le Plan d’action mondial pour la lutte contre les maladies non transmissibles et de la cible.
D’après M. Mbengue, les MTN causent chaque année énormément de décès plus que le paludisme, la tuberculose et le VIH/ sida réunis.
« La prévalence de ces maladies est très forte. C’est une préoccupation majeure pour l’ensemble de nos pays mais aussi pour l’OMS. Nous avons des experts de l’OMS à Genève et aussi certains partenaires qui nous accompagnent dans la lutte contre les MNT. Cette réunion nous permettra ensemble de faire le bilan au niveau de chaque pays mais plus globalement dans le cadre de notre zone, de définir en commun les meilleures stratégies qui nous permettraient de lutter plus efficacement contre les maladies non transmissibles », explique Alassane Mbengue.
Le secrétaire général du ministère de la Santé et de l’action sociale invite à un comportement sain qui aiderait à éviter ces maladies. Mieux, à bâtir des stratégies à l’échelle de la zone Afro, ce qui permettrait d’avoir des politiques et des plans efficaces en vue de préserver la vie des concitoyens et de les sauver contre le diabète, les cancers, les maladies chroniques
Pawlish a piqué une colère noire dans l’émission « Guddi-gui ». Tout a commencé quand Serigne Cheikh Cissé l’a traité de malade mental et d’ignorant. « Pawlish n’a pas sa place dans cette émission où l’on doit débattre sur les tradipraticiens. Nous sommes des personnes qualifiées, mais […]
ACTUALITE SOCIETEPawlish a piqué une colère noire dans l’émission « Guddi-gui ». Tout a commencé quand Serigne Cheikh Cissé l’a traité de malade mental et d’ignorant. « Pawlish n’a pas sa place dans cette émission où l’on doit débattre sur les tradipraticiens. Nous sommes des personnes qualifiées, mais Pawlish est un fou et un ignorant… » . Ces propos de Cheikh Cissé ont fait sortir le comédien de ses gonds.
Regardez !
Le Lamantin Beach, situé à Saly Portudal, a été racheté par Kasada, qui est la principale plateforme de capital-investissement immobilier en Afrique sub-saharienne. L’hôtel est parmi les plus cotés de la station balnéaire. Il dispose de 166 clés, de salles de réunion, de deux piscines, […]
ACTUALITE POLITIQUELe Lamantin Beach, situé à Saly Portudal, a été racheté par Kasada, qui est la principale plateforme de capital-investissement immobilier en Afrique sub-saharienne. L’hôtel est parmi les plus cotés de la station balnéaire. Il dispose de 166 clés, de salles de réunion, de deux piscines, d’un espace Spa et Bien-être, d’un centre de sports nautiques et permet un accès direct à la plage.
Selon businesswire.com, qui donne l’information reprise par Vox Populi dans son édition de ce mardi, il s’agit de la quatrième acquisition d’hôtel au Sénégal pour Kasada. Précédemment, renseigne la même source, la plateforme indépendante d’investissement a racheté trois hôtels du groupe Accor : Pullman, Novotel et Ibis.
Une autre collision aussi spectaculaire que cocasse. En effet, à la sortie de l’autoroute à péage, un car « Ndiaga Ndiaye » s’est renversé sur un véhicule L200 au moment de passer le contrôle. Notre source nous indique qu’il y a eu des blessés.
Non classéUne autre collision aussi spectaculaire que cocasse. En effet, à la sortie de l’autoroute à péage, un car « Ndiaga Ndiaye » s’est renversé sur un véhicule L200 au moment de passer le contrôle. Notre source nous indique qu’il y a eu des blessés.
Il roule ! Le Train Express Régional réduit les distances. Le TER fait gagner du temps. Les rames déroulent. Et, s’il roule et déroule et satisfait les foules de voyageurs, c’est parce qu’il y a une équipe de l’ombre qui tient les rails. De jour […]
ACTUALITE SOCIETEIl roule ! Le Train Express Régional réduit les distances. Le TER fait gagner du temps. Les rames déroulent. Et, s’il roule et déroule et satisfait les foules de voyageurs, c’est parce qu’il y a une équipe de l’ombre qui tient les rails. De jour comme de nuit…
Peu après minuit, Mouhamed TALL récupère son plan de tâches dans l’imprimante devant son bureau. Il sera bientôt dans la cabine de la rame 525. Avant d’accéder au toit, il exécutera la « mise à la terre » pour libérer le reste d’électricité engendrée par la caténaire et protéger l’équipe de toute possibilité d’électrocutionM. TALL est dans l’équipe de maintenance de la signalisation du TER. Chez lui et son camarade Seyni NDIAYE, procédures et sécurité sont les maitres-mots. Ainsi en est-il de tous les autres maintenanciers.
A deux heures, trois autres techniciens de maintenances ont à pied d’œuvre à la gare de Dakar. Une anomalie détectée, une intervention à faire. A l’aube, tout devra fonctionner à nouveau. Trois heures du matin, on souffle: le problème est réglé. Maintenant, place aux téléphones : des clichés pour rapport instantané, des coups de fil, des messages. M. FALL, resté à Colobane, quant à lui, écrira les derniers points de son rapport vers 4 heures…
« Toutes les nuits, vous pouvez voir nos agents en train d’opérer un peu partout, de Dakar à Diamniadio. On y est habitué, et c’est devenu notre quotidien ». C’est ainsi que s’était exprimé plus tôt dans la journée Oumar DIALLO, directeur-adjoint de la Direction de Maintenance des Infrastructures, des Systèmes et des Bâtiments. Y est polarisée une quinzaine de métiers, répartis en trois unités de production (l’unité Bâtiments et Systèmes, l’unité Voie caténaire et Abords, l’unité Signalisation Télécoms et Energie). Chaque chef d’unité « dirige plusieurs équipes de maintenance en fonction des spécialités». Monsieur DIALLO, dans sa tenue semblable à celle de Mouhamed TALL, Seyni NDIAYE et tout autre rencontré au sein de la direction, explique que toutes les équipes travaillent en parfaite synergie. Elles sont en liaison permanente avec les régulateurs sous-station (les patrons de l’alimentation électrique pour la caténaire) qui assurent la coordination de la maintenance depuis le centre des opérations ferroviaires (COF). Ceci explique alors les nombreux coups de fils que recevaient ou passaient Messieurs TALL et NDIAYE avant, pendant, et après leur intervention nocturne.
Programmation, formation continue…
Ainsi, de jour comme de nuit, les équipes s’attèlent à la maintenance de toutes les infrastructures TER. Et ce, non sans programmation. Sur l’ordinateur de Oumar DIALLO, des dates, des diagrammes, des couleurs pour spécifier des tâches. « On fait, renseigne-t-il, une programmation à S+4. Ça veut dire que l’on a un programme glissant de quatre semaines. Et chaque vendredi, le programmeur fait une réunion avec tous les chefs d’équipe pour valider ce programme ». Ce n’est qu’une partie de la programmation car, quotidiennement, «il réajuste et envoie le programme du jour, de la nuit et cetera ». Mais, Monsieur DIALLO n’a pas mille et une nuits devant lui. Une réunion attend dans la salle d’à côté, la sonnerie de son téléphone interrompt son discours… une autre sollicitation. Il pleut dehors et la coordination des travaux de maintenance ne doit pas s’arrêter (comme le train…). Des équipes quittent la direction pour déployer le dispositif mis en place pour les intempéries, malgré l’averse, tandis que d’autres rentrent du terrain. Roger Gana TINE, chef d’équipe-adjoint, est de ces dernières. Il fait partie de ceux en charge de l’entretien des voies.
Des attaches de rail à resserrer ou à repositionner au profil du ballast, en passant par les traverses entre autres, toute la voirie est soumise à l’inspection des équipes qui font des tournées périodiques. Voies, signalisations, télécommunications, billettique mais aussi, plomberie, climatisation, menuiserie. L’entretien des bâtiments est ainsi une des prérogatives de la direction nichée au quartier Castors de Rufisque. Sur toute la ligne, de Dakar à Diamniadio, tout est scruté, toute anomalie signalée (par mail, appel téléphonique…) et aussitôt corrigée.
Et, « tous les travaux de maintenance qui sont faits au niveau du TER, que ça soit les nôtres comme ceux des marchés sont encadrés obligatoirement par nos agents, en termes de sécurité », a précisé Oumar DIALLO. Pour ce, il n’y a visiblement pas à s’inquiéter. Mouhamed TALL, Seyni NDIAYE et Roger Gana TINE (sortant de l’ISEP de Thiès) sont tous revenus sur l’intensité de la formation qu’assure la Direction de Maintenance des Infrastructures, à ses agents.
Au sein de la Société d’Exploitation du Train Express Régional (SETER), filiale du groupe SNCF, dirigée par M. Patrick TRANZER, on mise sur une formation continue, pour une maintenance continue. Le rythme du TER l’impose : chaque semaine, on peut aller jusqu’à trente chantiers de maintenance exécutés par les hommes et femmes en orange. Sous le soleil et sous les étoiles, sous la pluie et dans le vent, les équipes de maintenance assurent ce que M. DIALLO désigne comme une « prouesse ». Une régularité de 95% pour une première année. Quand même !
Kawtef ! Un scandale sexuel secoue Pikine Chavanel. Un oustaze ou enseignant coranique nommé Sohibou B, 28 ans, a fait irruption nuitamment dans la chambre conjugale d’un couple pour tenter de violer la dame qui dormait dans son lit conjugal à côté de son mari. Vers 4h […]
ACTUALITE SOCIETEKawtef ! Un scandale sexuel secoue Pikine Chavanel. Un oustaze ou enseignant coranique nommé Sohibou B, 28 ans, a fait irruption nuitamment dans la chambre conjugale d’un couple pour tenter de violer la dame qui dormait dans son lit conjugal à côté de son mari.
Vers 4h 30 mn du matin, relate Les Echos, Sohibou B. s’introduit dans la chambre du couple. Voyant que ces derniers sont dans les bras de Morphée, il se dirige à pas feutrés vers la dame et commence à lui caresser le corps et lui exerce des attouchements au niveau des pieds. Face à l’inertie de celle-ci, il lui tient les deux jambes et tente de les écarter pour la violer.
La femme éprouve un brusque tressaillement du corps, flaire la présence discrète d’un intrus dans la pièce et se réveille en sursaut. Elle bondit de son lit et alerte son mari.
Celui-ci se réveille à son tour et voit un individu torse nu portant un caleçon qui sort de la chambre conjugale au pas de course.
Les deux conjoints poursuivent l’intrus qui se précipite et s’engouffre en catastrophe dans la chambre de son parent nommé S. Bathily, qui est un voisin du couple.
Il se jette alors dans le lit et fait semblant de dormir en ronflant. Ses poursuivants le tirent du «sommeil» et l’accablent de toutes sortes d’injures. Le voisinage débarque, s’imprègne des tenants et aboutissants de l’affaire et se laisse aller à des commentaires.
Arrêté, le mis en cause est conduit manu militari au commissariat d’arrondissement de Pikine sous la clameur populaire.
Il est placé en garde à vue pour attentat à la pudeur et tentative de viol.