En marge de l’affaire «Aziz Dabala», la Division spéciale de cybersécurité (DSC) traite les plaintes de Ousmane Diaw et Mamadou Lamine Diao. Celles-ci visent un groupe de Tiktokeurs et de «journalistes de Facebook», selon le terme employé par Libération, qui donne l’information dans son édition […]
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SOCIETÉCheikhouna Keïta a été convoqué à la Division des investigations criminelles (DIC). L’ancien commissaire de police est attendu dans les prochaines heures devant les hommes du commissaire Principal Adramé Sarr. Selon les informations de Seneweb, Keïta est accusé d’avoir tenu des propos jugés outrageants à […]
justiceOusmane Sonko a encore obtenu gain de cause lorsqu’il disait qu’il n’était pas au courant de cette opération de déguerpissement. Ce mardi, lors d’une audience accordée aux représentants des marchands ambulants, de la population de Colobane, le ministre a démonté les accusations de certains maires, […]
POLITIQUEOusmane Sonko a encore obtenu gain de cause lorsqu’il disait qu’il n’était pas au courant de cette opération de déguerpissement. Ce mardi, lors d’une audience accordée aux représentants des marchands ambulants, de la population de Colobane, le ministre a démonté les accusations de certains maires, des médias et des détracteurs du Premier ministre. Selon Jean Baptiste Tine : « La circulaire s’adressait aux autorités administratives. »
« C’est la première fois que je vois un maire qui n’est pas destinataire d’une circulaire et qui dit que c’est le ministre de l’Intérieur qui m’a ordonné… », a-t-il d’emblée fait savoir.
Il a précisé que « le ministre de l’Intérieur ne demande rien à un maire. Il y a ce que l’on appelle les pouvoirs déconcentrés et décentralisés. »
Jean Baptiste Tine a souligné : « Ma circulaire s’adressait aux autorités administratives. Est-ce qu’il y a eu des problèmes à Rufisque ? » s’est-il interrogé, avant de répondre : « le truc a bien été encadré. »
Pour terminer, il a fait savoir qu’ils ont d’autres problèmes à Colobane et que tout le monde s’est engouffré là-dedans…
Mona Faiz Montrage, connue sous le nom de Hajia4Real, influenceuse et chanteuse ghanéenne, a été condamnée à un an et un jour de prison aux États-Unis pour une vaste escroquerie en ligne. Les événements ont commencé le 11 novembre 2022, lorsqu’elle fut arrêtée au Royaume-Uni […]
PeopleMona Faiz Montrage, connue sous le nom de Hajia4Real, influenceuse et chanteuse ghanéenne, a été condamnée à un an et un jour de prison aux États-Unis pour une vaste escroquerie en ligne.
Les événements ont commencé le 11 novembre 2022, lorsqu’elle fut arrêtée au Royaume-Uni après avoir assisté aux Ghana Music Awards UK, une cérémonie prestigieuse visant à célébrer les succès de l’industrie musicale ghanéenne. Extradée vers les États-Unis en mai 2023, elle a dû répondre à plusieurs accusations très graves.
Hajia4Real était accusée d’avoir été impliquée dans des escroqueries amoureuses et d’autres activités frauduleuses estimées à plus de 2 millions de dollars. En février 2024, face aux preuves indéniables, elle a plaidé coupable, reconnaissant sa responsabilité dans ces affaires. Pour réduire sa peine, elle a conclu un accord de compromis en acceptant de dénoncer ses complices.
À l’origine, Hajia4Real risquait une peine de cinq ans de prison. Cependant, après un procès complexe durant plus d’un an, le verdict est tombé le vendredi 28 juin : elle a été condamnée à une peine allégée d’un an et un jour de prison.
Sur la base d’un prix du baril fixé à 80 dollars américains, les cinq premiers mois d’exploitation du pétrole du champ de Sangomar, commencée en juin, généreront 45 milliards de francs CFA. Ces revenus devraient être encaissés par l’État du Sénégal dès 2024, après six […]
économieSur la base d’un prix du baril fixé à 80 dollars américains, les cinq premiers mois d’exploitation du pétrole du champ de Sangomar, commencée en juin, généreront 45 milliards de francs CFA.
Ces revenus devraient être encaissés par l’État du Sénégal dès 2024, après six mois de production, selon les informations rapportées par Le Soleil.
D’après les projections du cabinet A&A Strategy, en 2025, les recettes pourraient atteindre 132 milliards de francs CFA avec une production de 100 000 barils par jour, poursuit le quotidien.
Déféré lundi en compagnie de son acolyte, Abdoulaye Sow, l’artiste Soriba Kouyaté a bénéficié d’un retour de parquet. Le duo avait réussi à cambrioler plusieurs appartements à Mermoz et à la Sicap Foire, entre 2022, 2023 et 2024, rembobine L’Observateur. D’ailleurs, poursuit la source, leur […]
A LA UNE ACTUALITÉ FAIT DIVERSDéféré lundi en compagnie de son acolyte, Abdoulaye Sow, l’artiste Soriba Kouyaté a bénéficié d’un retour de parquet. Le duo avait réussi à cambrioler plusieurs appartements à Mermoz et à la Sicap Foire, entre 2022, 2023 et 2024, rembobine L’Observateur.
D’ailleurs, poursuit la source, leur arrestation fait suite à plusieurs plaintes déposées par les nommés Alassane Diouf, El Hadji Cheikh Serge Ndao et la dame Saye Diokhané pour vol portant respectivement sur 5,6 et 500 millions de francs CFA. Le préjudice financier se chiffre à plus d’un demi milliard, estime le journal.
Dans sa déposition, enchaîne celui-ci, la dernière victime déclare que son domicile a été visité le jeudi 9 mai 2024. La plaignante confie avoir aussitôt visionné des séquences des caméras de surveillance. Lesquelles ont montré «un véhicule de marque Cadillac Cts de couleur bleue, immatriculé AA-781-MM» utilisé par les cambrioleurs.
C’est ainsi que lors de leurs investigations, les limiers ont adressé une réquisition au service des mines pour l’identification du véhicule suspect. Ledit service a répondu que le véhicule a été muté au nom d’Ibrahima Camara, signale L’Observateur
Convoqué, ce dernier a reconnu en être l’ancien propriétaire, affirmant «l’avoir vendu en mai 2022 à l’artiste Soriba Kouyaté à 4,2 millions». Mais, le nouveau propriétaire n’avait visiblement pas muté la voiture à son nom.
Conséquence : La traque a été lancée contre le musicien. Ce dernier a été finalement cueilli vendredi par le commissariat spécial de l’Aéroport Blaise Diagne (AIBD) de Diass avant d’être remis à la DIC.
Face aux enquêteurs, Kouyaté a nié les faits. Mais, il a été formellement identifié par le petit fils de Saye Diokhané.
Appréhendé aux Parcelles Assainies, Sow a été aussi confronté aux vidéos des caméras de surveillance avant de tout avouer. Qu’est ce qu’ils ont fait du butin composé, entre autres, de bijoux en or, et deux ordinateurs de marque «Mac Book Pro» et «Lenovo» ? Le mis en cause a répondu les avoir vendu à Colobane. Les receleurs n’ont pas été identifiés.
La brigade de proximité de Ndindy a déféré au parquet de Diourbel la dame S. Ndiaye et son complice pour association de malfaiteurs et vol en réunion avec usage de moyen de locomotion. Des femmes du quartier de Mbacké Barry sis à Ndindy, dans la […]
FAIT DIVERSLa brigade de proximité de Ndindy a déféré au parquet de Diourbel la dame S. Ndiaye et son complice pour association de malfaiteurs et vol en réunion avec usage de moyen de locomotion.
Des femmes du quartier de Mbacké Barry sis à Ndindy, dans la commune de Touba, avaient mis en place une tontine pour les besoins du grand Magal. La gestionnaire, A. Ngom, gardait le coffre-fort chez elle depuis quatre ans. Mais une participante de la tontine a profité de son absence pour la cambrioler, avec ses deux complices à bord d’une moto.
Le jour des faits, la mise en cause a débarqué chez A. Ngom où elle a trouvé sa belle-mère. Avec ses complices, ils lui ont raconté des carabistouilles, avant qu’Abdou K. et son compère emportent le coffre-fort contenant la somme de 1 100 000 F CFA.
L’enquête ouverte par les gendarmes de la brigade de proximité de Ndindy a permis d’interpeller la mise en cause et l’un de ses acolytes. Le troisième larron est toujours en cavale.
Interrogé sur procès-verbal, le duo a reconnu les faits. Par contre, l’argent a été déjà partagé.
Dirigeant du Cameroun depuis 42 ans, Paul Biya a construit l’un des pays les plus intransigeants contre l’homosexualité. Dans les prisons camerounaises croupissent plusieurs personnes dont l’identité sexuelle se rapproche des LGBT. Mais un fait pour le moins inattendu met le président Biya dans une […]
afriqueDirigeant du Cameroun depuis 42 ans, Paul Biya a construit l’un des pays les plus intransigeants contre l’homosexualité. Dans les prisons camerounaises croupissent plusieurs personnes dont l’identité sexuelle se rapproche des LGBT.
Mais un fait pour le moins inattendu met le président Biya dans une position très inconfortable. Brenda Biya, sa fille, a fait son coming out depuis la Suisse où elle se trouve.
Sur le réseau social Instagram, la femme de 26 ans a publié une photo embrassant la Brésilienne Layyons Valença. « Je suis folle de toi et je veux que tout le monde le sache », écrit-elle.
Il n’en fallait pas plus pour que les réactions s’enchaînent. Si les défenseurs des droits des LGBT essaient d’utiliser ce coming out pour promouvoir la tolérance et le respect de l’orientation sexuelle au Cameroun, les hommes politiques du pays tentent de rappeler à leur chef de l’État que la loi est au-dessus de tout le monde et qu’elle doit s’appliquer, peu importe la personne.
En effet, au Cameroun, l’article 347-1 du Code pénal prévoit « une peine de six mois à cinq ans de prison et une amende allant jusqu’à 200 000 F pour toute personne qui a des rapports sexuels avec une personne de son sexe », comme rapporté par « Jeune Afrique ».
Le président Paul Biya fera-t-il appliquer la loi contre sa fille Brenda ?
Le directeur général de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) a suspendu, lundi, l’Accord d’entreprise du 29 mars 2024 accordant « des avantages financiers à l’Editeur public national de la communication audiovisuelle (RTS) ». Une décision qui suscite moult réactions. Mais selon Mouhamed Ayib Sélim Daffé, Pape Alé […]
POLITIQUELe directeur général de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) a suspendu, lundi, l’Accord d’entreprise du 29 mars 2024 accordant « des avantages financiers à l’Editeur public national de la communication audiovisuelle (RTS) ». Une décision qui suscite moult réactions. Mais selon Mouhamed Ayib Sélim Daffé, Pape Alé Niang ne peut faire autrement.
« Le Dg de la RTS, Pape Alé Niang a fait ce qu’il peut. Il ne peut pas payer des salaires avec de l’argent dont il ne dispose pas« , a-t-il d’emblée fait savoir dans l’émission Rfm Matin. Non sans indiquer que la RST n’est pas la seule dans cette situation. « Nous avons vu des sociétés nationales, avant de quitter, les directeurs généraux ont signé des accords, des CDI et faisaient n’importe quoi. Ce qui frise le sabotage à l’endroit du nouveau régime« , a-t-il ajouté.
Absence de couverture budgétaire
En tant que responsables, poursuit-il, les nouveaux dirigeants doivent parler aux travailleurs pour leur faire comprendre que tant qu’ils n’ont pas de couverture budgétaire, ils ne peuvent pas payer des salaires.
Accord d’entreprise de la RTS
Et dire que l’accord d’entreprise de la RTS a été signé le 29 mars, donc près l’élection présidentielle. « L’ancien directeur général n’avait aucune certitude qu’il allait rester à son poste. Il devait donc attendre l’arrivée de la nouvelle équipe. Quand on prend des engagements, il faut d’abord avoir l’assurance que le ministre des Finances va les couvrir. Mais prendre des engagements qui ne sont pas couvert par le ministre des Finances et engager le nouveau régime, c’est du sabotage. Pape Alé Niang ne peut pas faire ce qu’il ne peut pas« , a conclu le parlementaire.
Vers un bras de fer entre le nouveau directeur général de la RTS, Pape Alé Niang, et le collège des délégués du Syndicat des professionnels de l’audiovisuel public (Synpap). Ledit Syndicat a convoqué le personnel à une Assemblée générale, ce mardi après-midi. L’ordre du jour […]
MEDIASVers un bras de fer entre le nouveau directeur général de la RTS, Pape Alé Niang, et le collège des délégués du Syndicat des professionnels de l’audiovisuel public (Synpap). Ledit Syndicat a convoqué le personnel à une Assemblée générale, ce mardi après-midi.
L’ordre du jour porte sur «la situation de crise à la RTS» surtout après la révocation de l’accord d’entreprise signé le 29 mars dernier par l’ancien patron de la RTS, Racine Talla.
Selon Libération, celui-ci octroyait «plusieurs avantages» à certaines catégories. C’est ainsi que «l’indemnité de fonction», une prime mensuelle, était fixée pour les directeurs à 350 000 F CFA. Les chefs de service percevaient 150 000, et les chefs d’unité, 100 000.
L’accord prévoyait une autre prime mensuelle dite «de responsabilité». Là, une enveloppe de 850 000 était réservée aux directeurs, contre 250 000 pour les chefs de département, 150 000 pour les chefs de service, et 100 000 pour les chefs d’unité.
Ce n’est pas fini. «Il y avait aussi la prime de mensuelle de logement de 250 000 pour les directeurs, de 200 000 pour les conseillers, chefs de département et assimilés, de 150 000 pour les chefs de service et assimilés, et 100 000 pour les chefs d’unité et assimilés», glisse le journal.
Celui-ci ajoute qu’un «fonds commun équivalent à 5% du chiffres d’affaires réalisé au titre de l’exercice clos» a été également instauré. «Le montant global distribuait ne saurait excéder 200 millions», stipule l’article 53 de l’accord.
Depuis quelques semaines, le président du mouvement Agir ne ménage plus Ousmane Sonko dans ses critiques. Lors de sa conférence de presse ce mardi à Dakar, Thierno Bocoum a vivement attaqué le Premier ministre, en déclarant qu’il n’avait pas les qualités nécessaires pour occuper ce […]
POLITIQUEDepuis quelques semaines, le président du mouvement Agir ne ménage plus Ousmane Sonko dans ses critiques. Lors de sa conférence de presse ce mardi à Dakar, Thierno Bocoum a vivement attaqué le Premier ministre, en déclarant qu’il n’avait pas les qualités nécessaires pour occuper ce poste.
Thierno Bocoum a affirmé : « Nous avons la position d’encourager les autorités vers la rupture… Mais, nous avons été surpris par le comportement de Ousmane Sonko qui attaque tout le monde… Ousmane Sonko ne respecte pas les institutions… Il ne respecte pas les Sénégalais… Il n’a pas les capacités d’un Premier ministre… ».
Ces déclarations interviennent dans un contexte de tensions politiques au Sénégal, où la gestion de Ousmane Sonko et ses relations avec les autres acteurs politiques et les institutions sont de plus en plus critiquées…
Une vidéo a récemment fait surface en ligne, mettant en lumière le village de Dali Koumbé en Mauritanie, où des personnes naissent aveugles depuis plusieurs générations. Ce documentaire, partagé par le YouTuber Project Happiness, offre un regard poignant sur la vie des habitants de ce […]
INSOLITEUne vidéo a récemment fait surface en ligne, mettant en lumière le village de Dali Koumbé en Mauritanie, où des personnes naissent aveugles depuis plusieurs générations.
Ce documentaire, partagé par le YouTuber Project Happiness, offre un regard poignant sur la vie des habitants de ce village unique.
Lors d’une visite à Dali Koumbé, le documentaire a révélé qu’une lignée de cécité a débuté il y a dix générations. Selon l’un des villageois, cette condition a commencé lorsqu’une femme aurait reçu la visite d’une entité dans ses rêves. L’entité aurait prédit qu’elle donnerait naissance à un homme vertueux mais sans vue, et depuis lors, chaque génération a connu la même destinée.
Parmi les habitants notables du village se trouve Cheikh Mohammed Mahmoud, dont le père est également né aveugle. Cheikh Mohammed a partagé des histoires fascinantes sur son père, Cheikh Mahmoud, qui malgré sa cécité, a découvert toutes les ressources en eau de la Mauritanie.
Cheikh Mohammed, quant à lui, joue un rôle crucial dans la communauté. « Mon objectif est d’enseigner le Coran. Je l’ai appris quand j’étais enfant et maintenant je l’enseigne à nos enfants. Je suis aussi l’imam de la mosquée du village. Je prie avec ma communauté. C’est le dessein que Dieu m’a donné ; je ne peux rien faire d’autre », a-t-il expliqué.
Interrogé sur la manière dont il a appris le Coran sans savoir lire, il a décrit son parcours avec humilité et détermination. « Ça a pris du temps. Je suis allé voir un professeur qui enseignait le Coran à des enfants normaux. J’ai été accueilli comme si je voyais comme tout le monde. Pour moi, le professeur écrivait les versets du Coran et me les lisait à plusieurs reprises jusqu’à ce que je sois capable de les répéter de mémoire. Chaque jour de ma vie était comme ça jusqu’à ce que je mémorise parfaitement tout le Coran », a-t-il raconté.
Quant à leur perception du monde sans la vue, Cheikh Mahmoud a ajouté : « Nous sentons seulement s’il y a quelque chose à proximité, mais nous ne pouvons pas le voir exactement. Ce n’est pas quelque chose que nous pouvons décrire. Allah nous a donné suffisamment de lumière pour marcher et apprécier la lumière telle qu’elle nous a été donnée. »
Ce documentaire révèle non seulement les défis uniques auxquels sont confrontés les habitants de Dali Koumbé, mais aussi leur résilience et leur foi inébranlable. La communauté, malgré sa cécité héréditaire, continue de vivre avec dignité et détermination, inspirant tous ceux qui entendent leur histoire.