Les étudiants de Ziguinchor régulièrement inscrits à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), fustigent la décision du conseil académique universitaire de repousser l’ouverture du campus social pour deux mois encore. Obligés de rejoindre leurs familles respectives depuis la fermeture du campus, il y a […]
ACTUALITE educationEn vue de leur combat du 5 novembre prochain à l’Arène nationale, Ama Baldé et Modou Lô étaient conviés à une soirée de promotion samedi dernier au complexe Thiossane, à la Sicap Rue 10. Mais le lutteur des Parcelles Assainies était le seul à avoir […]
ACTUALITE SPORTSC’est le journal Libération qui donne l’information dans sa partition de ce lundi, une pirogue partie de Kayar d’il y a 17 jours est toujours portée disparue. Selon Boubacar SEYE d’Horizon Sans Frontières (HSF), des informations de sa structure font état de la disparition d’une pirogue […]
ACTUALITE SOCIETÉDes problèmes de leadership risquent d’entamer toute chance de victoire de Benno bokk yaakaar (Bby) aux élections législatives. C’est le constat des 198 missionnaires envoyés par Macky Sall à travers le pays. Ils annoncent des investitures très compliquées au sein de la majorité. Avis de […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEDes problèmes de leadership risquent d’entamer toute chance de victoire de Benno bokk yaakaar (Bby) aux élections législatives. C’est le constat des 198 missionnaires envoyés par Macky Sall à travers le pays. Ils annoncent des investitures très compliquées au sein de la majorité.
Avis de tempête dans la majorité présidentielle ! La date d’ouverture des dépôts de candidatures s’approche (du 3 au 8 mai) et les querelles de leadership subsistent toujours au sein de Benno bokk yaakaar. Le président de la coalition présidentielle s’en est rendu compte hier. Lors d’un ndogou organisé hier au Palais, Macky Sall a reçu les 198 missionnaires envoyés à travers le pays au début du mois de mars. Ces tournées, au lendemain des élections locales du 23 janvier, visaient à remobiliser les troupes en direction des élections législatives du 31 juillet 2022. Même si ça varie d’un département à un autre, le constat global n’a pas été toujours favorable au camp du pouvoir.
«Les investitures s’annoncent compliquées»
Le Quotidien a appris de sources concordantes que l’objet de ce méga-dîner était d’écouter les rapports des missions des 46 départements. «Tour à tour, les chefs de missions ont fait le point sur les problèmes de leadership au sein de la coalition Bby, les forces en présence en vue de préparer les investitures qui s’annoncent compliquées pour la coalition présidentielle», déclinent nos interlocuteurs. Cette rencontre, qui a aussi enregistré la présence des délégués régionaux au parrainage, devrait permettre à Macky Sall d’identifier les forces de la majorité présidentielle afin de cerner le profil des potentiels candidats pour chaque département et de faire les combinaisons gagnantes.
Dans leurs conclusions, c’est comme si Bby s’attendait à perdre certaines villes importantes comme lors des Locales. La mobilisation est plus que jamais prêchée. «Les partisans de Macky Sall souhaitent maximiser leurs gains dans leurs bastions pour participer «à la tontine» de la liste nationale. Ce qui, en d’autres termes, comblerait les pertes éventuelles dans les départements de Dakar, Mbacké ou de Ziguinchor perdus lors des dernières élections municipales», rapporte-t-on.
Abdoulaye Baldé de retour, Bby à l’écoute de Macky pour les investitures
Désormais, tout le monde reste à l’écoute du Président Macky Sall qui a annoncé qu’il va, sur la base des données présentées, constituer les listes. Un exercice assez délicat quand on connaît les frustrations qui risquent de naître après les investitures. Les dernières Locales ont rappelé combien les dissidences pouvaient fragiliser Bby. Macky Sall, qui a interdit catégoriquement les listes parallèles, n’est pourtant pas à l’abri de rébellion. A noter que Abdoulaye Baldé, ex-maire de Ziguinchor, a assisté à la rencontre et signe son retour dans Bby.
L’affaire de viols répétitifs présumés opposant la sulfureuse masseuse Adji Sarr à l’opposant Ousmane Sonko, a remis sur la sellette la manie de certains concitoyens à faire usage de leurs téléphones portables pour enregistrer ou filmer des personnalités avant de divulguer les éléments sonores ou […]
ACTUALITE SOCIETEL’affaire de viols répétitifs présumés opposant la sulfureuse masseuse Adji Sarr à l’opposant Ousmane Sonko, a remis sur la sellette la manie de certains concitoyens à faire usage de leurs téléphones portables pour enregistrer ou filmer des personnalités avant de divulguer les éléments sonores ou visuels sur les réseaux sociaux, cet autre fléau des temps modernes. Ces sulfureuses affaires ont tenu en haleine l’opinion publique et créé des secousses telluriques dans l’Establishment,
Sonko vs Adji Sarr, les vedettes, mais avant…
Alors que l’instruction de cette affaire de mœurs est en cours, des audios fuitées de la masseuse, impliquant certaines personnalités de la République, sont devenues virales sur ces mêmes réseaux. Dans l’un des enregistrements sonores, on entend la masseuse en conversation privée avec Mamour Diallo, ancien directeur des Domaines, lui-même en contentieux judiciaire avec Ousmane Sonko. Bien évidemment, ces échanges ont alimenté les discussions dans les salons et nourri des fantasmes. Les avocats de Ousmane Sonko, qui voient à travers cette audio fuitée une brèche, travaillent pour étayer davantage la thèse du complot qu’ils n’ont cessé de dénoncer. Mais, avant Adji Sarr, des scandales ayant trait à des enregistrements concernant des célébrités avaient déjà secoué la République et un regard dans le rétroviseur, dans un contexte de terreur généralisée, ne serait pas dépourvu d’intérêt.
« Lui et Moi » : Quand Idrissa Seck ouvrait la Boîte de Pandore
Limogé de la Primature et empêtré dans l’affaire dite des chantiers de Thiès, la capitale du Rail, qui devait abriter les festivités de la célébration de l’indépendance du Sénégal en 2004, Idrissa Seck sort de son silence en distribuant un enregistrement sonore à plusieurs radios privées de la place. Objectif : démentir catégoriquement les accusations de malversations portées contre lui. Dans la foulée, il lâche quelques bombes sur certains de ses échanges avec le Président Wade au lendemain de la survenue de l’alternance et leurs premiers pas, ensemble, sous les lambris du Palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor.
« Chers compatriotes, chers citoyens du monde amis de notre cher Sénégal, en mars 2000, l’alternance survient, portée par une immense espérance. Celle du Sopi. Exigeant plus de démocratie, plus de transparence et d’équité, plus de justice, plus d’opportunités pour chacune et chacun des fils du Sénégal d’accéder au Savoir, à l’Avoir et au Pouvoir. Plus de rayonnement international pour notre pays et ses citoyens. Le président de la République, dont j’étais le directeur de campagne, fait sa passation avec Diouf. Je fais la mienne avec le ministre d’Etat, Ousmane Tanor Dieng. Il me parle longuement de sa délicate position de ministre d’Etat. Je le trouve sincère et, peut-être, soulagé de quitter les lieux. Il me tend ensuite une arme, les clefs d’un coffre vide et des chéquiers à la signature du Président. « Ce que je te remets-là fera l’objet d’énormes convoitises, c’est le nerf de la guerre.
C’est aussi une grande source d’ennuis. Je te souhaite bonne chance.» Je le raccompagne. Arrive ensuite mon premier entretien avec le chef de l’Etat, nouvellement installé. Je me souviens alors d’une anecdote au sujet de Mitterrand. Son meilleur ami vient le voir après son installation à l’Elysée : Alors François, on va pouvoir continuer à se tutoyer, j’espère ? Réponse de celui-ci : Si vous voulez. J’entreprends alors le test. J’entre dans le bureau du Président, il est avec Viviane, son épouse. Celle qui m’a entouré de tant d’affections, a passé tant d’heures à compléter ma culture artistique, à décorer ma maison, à parcourir les antiquaires pour m’acheter des objets d’art, à dessiner des meubles pour moi et à me confier tant de confidences.
Moi : Bonjour Viviane, bonjour Me. Lui : Ah Mara, comment vas-tu ? Entre. Viviane, laisse-nous un peu. Moi : elle peut rester, Me. Lui : Non, nous parlons de quelques questions d’Etat. Nous les rejoindrons après. Viviane sort alors par l’autre porte qui mène aux appartements. Lui : Tanor t’a dit ? Moi : Quoi ? Lui : Diouf m’a parlé des fonds politiques et d’autres ressources. Nous en parlerons plus tard. Mais nos soucis d’argent sont terminés. J’ai pu en mesurer la véracité au contact de quelques princes et rois avant que le Président ne décide que Karim Wade me remplace auprès d’eux. Moi : Tanor m’a remis les clefs d’un coffre, vide, les chéquiers dont tu as la signature et d’une arme. (Je les lui tends) Lui : C’est pour toi non ? Moi : Non ! C’est pour celui à qui tu auras confié la gestion. Lui : Allons donc ! A qui d’autre que toi ? Moi : Merci pour ta confiance. Moi : Tanor m’a également parlé d’un gendarme nommé Huchard. Il serait très discret.
Il serait là sous Collin, sous lui-même, malgré qu’il serait très longtemps à la retraite. On lui a toujours prolongé son contrat. C’est lui qui est chargé d’aller au Trésor, retirer les chèques que le président de la République signe. Lui : Tu le connais ? Moi : Non ! Tanor vient juste de m’en parler. Lui : Vérifie et garde-le si tu veux. Puis nous abordons d’autres questions. Je comparerai plus tard les investissements des chantiers de Thiès à l’argent de poche du Président, chèque par chèque. (…) Allons voir les autres. Au moment de quitter la pièce, il me retient, referme la porte et me raconte une anecdote. Lui : Tu sais que les grands bandits ont un code d’honneur. Ils y tiennent toujours. Ils ne se battent qu’au moment du partage du butin. Jamais avant».
Avec ces fameux audios marquant la saison 1 de Lui et Moi, l’ancien Premier ministre, qui dévoile ainsi des secrets d’Etat, ouvre la boite de Pandore des enregistrements compromettants destinés à exercer des chantages ! »
Affaire Diombass Diaw ou le cynisme de filmer nu un rival politique
Le 10 septembre 2012, la dame Khadija Mbaye, reconnue plus tard coupable d’outrage aux bonnes mœurs et ses complices Abdou Salam Sarr, Pape Djiby Gaye et Ramdane Dia sont condamnés par la Cour d’appel de Dakar à six mois assortis de sursis et 20 millions de dommages et intérêts dans l’affaire opposant Diombass Diaw à Oumar Sarr. Le sieur Abdou Aziz Diop, directeur de cabinet d’Oumar Sarr, alors ministre de l’Habitat, est quant à lui relaxé. Il siège aujourd’hui à l’Assemblée nationale en tant que député. Pour des questions de rivalités politiques, les exécutants des basses œuvres du ministre Oumar Sarr et maire de Dagana, avaient instruit la dame Khadija Mbaye, une mère de famille divorcée, de filmer Diombass Diaw, cadre de la Senelec, dans une chambre d’hôtel qui abritait leurs galipettes. Ce contre la somme de 5 millions de FCFA, un passeport diplomatique et une villa afin qu’il arrête d’attaquer leur mentor. Sa mission accomplie, Khadija Mbaye reçoit la somme de… 400.000 francs CFA de ses commanditaires. Détruit, humilié, Diombass Diaw ne nie rien. « Je suis un homme, un être humain. J’ai été piégé, car j’ai été filmé nu. C’est un accident et je me dis que c’est mon destin. Donc, je l’assume », a-t-il déclaré au lendemain du procès qui a tenu en haleine l’opinion publique nationale.
Chantage sexuel à Thiès
Cette autre affaire intervenue dans la cité du Rail après celle des chantiers de Thiès implique le manager du site «thiesexpress.com», Mouhamadou Badji, qui entretenait une relation intime avec une dame, L. T, mariée à un émigré et agent au tribunal régional qu’il a filmée en train de lui tailler une pipe ou de lui faire une fellation selon le lexique du Kama sutra. Mouhamadou Badji, largué par son amante au profit d’un greffier, partage, en guise de représailles, les images obscènes avec 13 personnes dont des confrères de L’Observateur, L’As et Thièsinfo.com. L’affaire instruite par la Division des investigations criminelles (DIC) a été jugée plus tard par le tribunal régional de Dakar.
La bande dévergondée de filles mineures
En 2008, une affaire de viol de mineures défraie la chronique. Elle met en scène une bande de filles à peine sorties de la puberté qui draguent, flirtent, et filment des personnalités afin de les faire chanter plus tard. Wissam Kassab, Bassirou Fall, Amadou Danga Sabaly et Ismaël Fall alias Mathiou ont été envoyés en prison, en première instance, avant d’être blanchis le 8 janvier 2010 par la Cour suprême de Dakar dans ce dossier les opposant aux filles O. K. Mb et M. D dite Makéba. Avocat de la défense, Me Pape Jean Sèye avait déclaré ceci au procès : « Cette bande de filles est une bande bien organisée. Elles utilisent leur minorité pour coucher avec certaines personnes et exercer des chantages en révélant leur véritable âge. A partir de cet instant, tu leur donnes de l’argent pour acheter leur silence. Sinon elles portent plainte pour viol. Un magazine avait fait une grande enquête sur cette bande de jeunes filles dont la cheftaine était Ndèye Wébé Thiam. Elles avaient tenté le coup avec Me El Hadj Diouf et Alioune Tine. Leurs cibles sont constituées de personnalités dont elles font tout pour avoir leurs numéros de téléphones portables » avait soutenu la robe noire.
Diop Iseg dans le tourbillon de l’ex-héroïne de Sen Petit Gallé
Mars 2020. Le propriétaire de l’Institut supérieur d’entrepreneurship et de gestion (ISEG), Mamadou Diop, plus connu sous le sobriquet de «Diop Iseg», est mis au-devant de la scène dans un scandale impliquant une fille mineure. La famille de la chanteuse Dieynaba Baldé, 17 ans à l’époque, l’accuse d’avoir engrossée cette dernière et porte plainte contre lui. Il commence par rejeter les accusations avant de reconnaitre au gré des auditions les faits qui se seraient déroulés sans contrainte aucune selon lui. Mamadou Diop Iseg est inculpé pour « pédophilie, détournement de mineure et corruption de mineure ». Plus tard, une vidéo fuitée le montrant dans un appartement privé avec l’ex-petite chanteuse de Sen Petit Gallé l’enfonce. Il portera plainte pour collecte de données illicites et chantage.
Nadège, Bébé Basse…
Djibril Coulibaly, un sexagénaire bras droit du maire de la Médina, Bamba Fall, a été également filmé à son insu, à trois reprises dans son bureau en train d’entretenir des relations sexuelles avec des filles. La vidéo est devenue virale sur les réseaux sociaux. Une autre dame, employée dans une société d’assurances de Dakar, a vu ses propres photos compromettantes partagées entre de nombreuses mains. Mais là, c’est une veuve outrée qui avait balancé sur le Net les photos intimes de l’ex-maîtresse de son défunt mari qu’elle avait découvertes en fouillant l’ordinateur de ce dernier. Mame Diarra alias Nadège, ex-épouse du styliste Djily création, a subi le même sort. Pour Bébé Basse, la femme du chanteur Pape Diouf, c’est une de ses discussions privées, en pleine séance de médisance avec Tanje Tandian sur certains artistes, alors qu’elle croyait avoir raccroché le téléphone suite à une conversation avec une interlocutrice, qui s’est retrouvée sur la place publique.
Des marabouts contraints de garder le silence
Dans le lot des personnalités victimes d’enregistrements sonores ou filmés, figurent aussi des guides religieux. Cependant les éléments mettant en cause ces derniers ou leurs proches entourages sont souvent utilisés sous le manteau par le pouvoir pour les contraindre à avoir des positions complaisantes et conciliantes sur certaines de ses prises de décisions ou dérives.
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Les Bureaux municipaux de Thiès-Ouest, Thiès-Est et Thiès-Nord vont devoir se reconstituer suite à la décision de la Cour d’Appel de Thiès, prononcé, ce jeudi 28 avril 2022, d’annuler les élections des équipes municipales constituées autour des nouveaux maires de ces dites collectivités territoriales. La […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELes Bureaux municipaux de Thiès-Ouest, Thiès-Est et Thiès-Nord vont devoir se reconstituer suite à la décision de la Cour d’Appel de Thiès, prononcé, ce jeudi 28 avril 2022, d’annuler les élections des équipes municipales constituées autour des nouveaux maires de ces dites collectivités territoriales. La même mesure frappe une soixantaine de bureaux municipaux de la région de Thiès pour non-respect de la loi sur la parité.
Les recours ont été introduits par l’Observatoire national sur la parité, le Réseau de veille et d’alerte pour le respect effectif de la parité (Rnva) et le Conseil sénégalais des femmes (Cosef). Il a été prononcé l’annulation des bureaux municipaux à Thiès-Est, Thiès-Ouest, Thiès-Nord, Thiènaba, Thiadiaye, Thilmakha Ndiayene Sirakh, Mékhé Niakhéne, Tassette, Tivaouane entre autres formés au lendemain des élections locales du 23 janvier dernier.
Il est reproché à ces institutions municipales d’avoir foulé aux pieds la loi sur la parité dans l’élection des adjoints aux maires, selon le journal Le Témoin.
Les candidats aux élections législatives de juillet 2022 sont invités à déposer leurs dossiers du 6 au 8 mai prochains. « Les dossiers des candidatures pour les élections législatives du 31 juillet 2022 sont déposés 85 jours au moins (le 6 mai) et 83 jours au […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELes candidats aux élections législatives de juillet 2022 sont invités à déposer leurs dossiers du 6 au 8 mai prochains. « Les dossiers des candidatures pour les élections législatives du 31 juillet 2022 sont déposés 85 jours au moins (le 6 mai) et 83 jours au moins (le 8 mai), avant le jour du scrutin », a dit le directeur de la formation et de la communication de la Direction générale des élections, Birame Sène.
Ce délai est prévu par les articles L248 et L283 du Code électoral. Passé ce délai, dit-il, « aucun retrait ou substitution n’est possible sur les listes déposes, sauf en cas d’inéligibilité de candidats et de pièces ou comportant des erreurs matérielles », conformément à l’article L79 du code électoral.
Ainsi, « seuls ces documents et le candidat frappé d’inéligibilité pourraient être remplacés », selon lui.
Birame Sène a par ailleurs indiqué qu’après le dépôt, le ministre en charge des élections, procédera, conformément aux dispositions de l’article LO.183 du Code électoral, à l’arrêté et la publication des déclarations reçues, modifiées éventuellement, au plus tard 60 jours avant le scrutin.
La publication des déclarations quant à elle, est prévue le 31 mai 2022.
L’annonce officielle de la mise sur pied de cette coalition devrait se faire bientôt. Il ne reste plus qu’à trouver le nom de celle-ci. Il y a aussi la question des investitures qui est en train d’être discutée, si on en croit nos confrères. Une […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEL’annonce officielle de la mise sur pied de cette coalition devrait se faire bientôt. Il ne reste plus qu’à trouver le nom de celle-ci. Il y a aussi la question des investitures qui est en train d’être discutée, si on en croit nos confrères.
Une nouvelle coalition de l’opposition est en gestation. ‘’SourceA’’ qui donne l’information, révèle que “Bokk Gis Gis” de Pape Diop, les Partis et Mouvements qui lui sont affiliés et la Coalition “Bunt Bi” de Bruno Derneville ont décidé d’aller ensemble aux prochaines élections législatives.
L’annonce officielle de la mise sur pied de cette coalition devrait se faire bientôt. Il ne reste plus qu’à trouver le nom de celle-ci. Il y a aussi la question des investitures qui est en train d’être discutée, si on en croit nos confrères.
D’après le journal, c’est un nouveau front qui s’ouvre donc contre le régime de Macky Sall. Puisque chacune des Coalitions englobe 40 partis et Mouvements.
Le marigot de Mbao, réceptacle des eaux de pluies venant de Keur Massar et environs est plein. En attestent les inquiétudes des autorités lors d’un Comité régional de développement (Crd) sur les inondations, tenu le 21 avril dernier à la Chambre de commerce d’industrie et […]
ACTUALITE SOCIETELe marigot de Mbao, réceptacle des eaux de pluies venant de Keur Massar et environs est plein. En attestent les inquiétudes des autorités lors d’un Comité régional de développement (Crd) sur les inondations, tenu le 21 avril dernier à la Chambre de commerce d’industrie et d’agriculture de Dakar (Cciad). Tout porte à croire que la stagnation de l’eau risque d’avoir des conséquences sur les inondations dans la zone.
Interrogé hier, jeudi 28 avril 2022, sur la question, le ministre chargé des Collectivités territoriales et porte-parole du gouvernement, Oumar Guèye, a annoncé que des études seront faites afin de voir comment prendre en charge la question. Ce qui atteste l’absence de solutions d’urgence. Par ailleurs, le ministre croit fortement que certains quartiers de Keur Massar fortement impactés par les inondations les années précédentes sont actuellement bien assainis et n’éprouveront plus la furie des eaux. La construction d’ouvrages d’assainissement et de drainage sera élargie à d’autres quartiers.
20 jours d’autonomie en kérosène 30 mille tonnes de gasoil et 15 000 tonnes de super disponibles Petrosen Ts entre dans le capital de Smcady L’Etat du Sénégal ne compte plus laisser le privé gérer, à lui seul, le marché des hydrocarbures. Petrosen Ts va […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEL’Etat du Sénégal ne compte plus laisser le privé gérer, à lui seul, le marché des hydrocarbures. Petrosen Ts va s’introduire dans le capital de Smcady. En attendant sa concrétisation, la ministre du Pétrole et des énergies a assuré que le Sénégal dispose d’une réserve d’hydrocarbures d’à peu près 20 jours.
– La crise ukrainienne a eu le mérite de conscientiser les autorités sur le risque de confier certains secteurs stratégiques au privé. En effet, avec la tension sur les hydrocarbures, l’Etat va entrer dans le capital de Smcady via Petrosen Ts. C’est la ministre du Pétrole qui a fait l’annonce hier lors de la conférence de presse du gouvernement. «L’arrivée de Petrosen Ts devrait permettre de réguler le secteur qui avait été laissé entre les mains du privé. Nous ferons en sorte qu’il soit présent dans le Smcady», informe la ministre du Pétrole et des énergies. Sophie Gladima Siby a rappelé que le Sénégal dispose d’une réserve de «20 jours en kérosène. A l’heure actuelle, nous avons 4 mille tonnes et nous en attendons 7 mille. Qui pourront couvrir à peu près 20 jours de ravitaillement. Et nous pensons que, avant que les 20 jours ne se terminent, du kérosène sera disponible au Sénégal». Evoquant la récente tension née du manque de kérosène à l’Aibd, la ministre du Pétrole et des énergies a affirmé qu’aucun avion n’a refusé de venir au Sénégal par faute de carburant. Elle a en outre assuré qu’Air Sénégal dispose de 12 mille tonnes de kérosène. Et pour ce qui est du gasoil, la ministre renseigne que le Sénégal a, dans ses réserves, «30 mille tonnes et 38 mille sont attendues d’ici fin mai. Et pour le super, 15 mille tonnes disponibles et 25 mille attendues».
Piques, répliques, allusions, communication… Les différentes coalitions se livrent à un jeu de ruse. Mais le tout sur fond d’élections législatives qui dictent les faits et gestes. Effervescence. C’est le mot qui sied à cette ambiance de veille préélectorale qui règne entre les différents acteurs […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEPiques, répliques, allusions, communication… Les différentes coalitions se livrent à un jeu de ruse. Mais le tout sur fond d’élections législatives qui dictent les faits et gestes.
Effervescence. C’est le mot qui sied à cette ambiance de veille préélectorale qui règne entre les différents acteurs politiques ou coalitions en vue des élections législatives. Il y a un fait marquant : la naissance d’une nouvelle coalition de l’opposition animée par Thierno Alassane Sall, Abdourahmane Diouf, Thierno Bocoum, Cheikh Oumar Sy et Ibrahima Hamidou Dème. Mais ce n’est pas le poids qui attire l’attention. Mais le discours, un nouveau, qui se démarque nettement de celui de Yewwi askan wi.
Mieux, des piques allusives qui prônent une troisième voie. Comme celle de l’autre coalition de Amsatou Sow Sidibé et Cie. Tas et Cie ont donc lancé une campagne de communication massive pour se faire adopter et imposer une ligne de « modération ». Une sorte de « Nous ne sommes pas comme les autres », ou encore « Ils font la même chose que les autres ». Invité de 7 tv hier, le leader de la République des valeurs/Réewum Ngor a été on ne peut plus clair sur ce qui les oppose à Yewwi askan wi. « Poursuivre un avocat jusqu’au tribunal, le huer et le traiter de violeur », un premier tir contre Guy Marius Sagna qui touche aussi Barthélémy Dias.
La pique de TAS au Capitaine Touré et à Guy Marius Sagna
« Les recrutements de Capitaine Touré et de ce machin-là (Guy Marius Sagna, qui a préféré ne pas lui répondre), c’est le reniement. Et c’est pourquoi je vous dis que nous n’avons pas les mêmes objectifs. Que reproche-t-on à Macky Sall ? Recruter dans des agences. Est-ce que c’est ce que nous devons faire ? Que nous promettent les gars (Yewwi) sur les assises nationales ? N’est-ce pas faire des appels à candidatures, même pour le poste de directeur général. Alors, vous vous levez un beau jour pour recruter vos deux amis qui ont des problèmes. Ce qui se passe aujourd’hui est très grave. Et ce sont ces gens qui font le buzz et vont se faire élire », regrette TAS.
Abdourahmane Diouf : « Yewwi n’a pas accepté notre main tendue »
Ce n’est pas loin de ce que son désormais camarade de coalition, Abdourahmane Diouf a dit, mercredi, à Iftaar, l’émission Ramadan de iTv. S’il a précisé n’être pas sur ce plateau pour tirer sur l’opposition, le leader de Awalé a, tout de même, dénoncé la « pensée unique » souvent reprochée à Yewwi askan wi, notamment aux militants de Pastef. « La pensée unique, ce n’est pas que ça me dérange. C’est que le Sénégal ne le mérite pas. Yewwi n’est pas notre cible. Maintenant, ils ont des jeunes qui ne supportent pas que d’autres ne soient pas dans Yewwi. C’est la pensée unique et il faut que les leaders éduquent leurs jeunes. Il y a quand même des patriotes qui ont participé à l’évolution démocratique de ce pays-là, qui nous ont permis d’être là aujourd’hui. Abdoulaye Wade, Decroix et tant d’autres », a-t-il rappelé.
Mais il a surtout souligné, sans le dire, un snobisme, et peut-être même une indifférence, des leaders de Yaw pour une liste unique. « Nous leur avons tendu la main, mais personne ne l’a acceptée. Mais cette coalition (Yewwi) a trouvé ici d’autres coalitions non ? Pourquoi ils ne sont pas allés les rejoindre ? Si l’on veut un compagnonnage sincère, chacun doit respecter l’autre », a-t-il ajouté. Les lignes de démarcation se clarifient à mesure que les Législatives approchent.
Après la séance Jokko ak Macky, consacrée à Dakar-Plateau et Médina, Macky Sall avait tendu la main au maire élu de Yewwi askan wi pour développer la capitale. Ce dernier avait répondu « favorablement » avec un « mais prudentiel ». Mais hier, il a souhaité rencontrer le chef […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEAprès la séance Jokko ak Macky, consacrée à Dakar-Plateau et Médina, Macky Sall avait tendu la main au maire élu de Yewwi askan wi pour développer la capitale. Ce dernier avait répondu « favorablement » avec un « mais prudentiel ». Mais hier, il a souhaité rencontrer le chef de l’Etat.
« J’ai profité de l’occasion pour indiquer au préfet de Dakar que j’attendais ce moment pour pouvoir introduire juste après la demande d’audience avec Monsieur le président de la République, qui se fera dans les jours à venir. Je compte aussi rencontrer le gouverneur de Dakar pour pouvoir ensemble préparer cette audience, pour lui exposer les différentes problématiques que la ville de Dakar rencontre dans son fonctionnement et en espérant avoir des solutions de sortie de crise », a-t-il dit au micro de Rfm.
Une communication qui ressemble aussi à une sorte de « Je vous prends à témoin ». Ce n’est pas si innocent que cela. Parce que si le chef de l’Etat refuse de le recevoir, l’opinion peut y voir une façon d’empêcher le maire de gérer en rond. Et cela pourrait être mal accueilli par l’électorat.
TRANSPARENCE SUR LES LICENCES DE PÊCHE Greenpeace Afrique appelle le Sénégal à suivre l’exemple de la Mauritanie Se félicitant du lancement du rapport de la Mauritanie à l’Initiative pour la transparence des pêches (Fiti), Abdoulaye Ndiaye, chargé de Campagne Océans pour Greenpeace Afrique a exhorté […]
ACTUALITE INTERNATIONALTRANSPARENCE SUR LES LICENCES DE PÊCHE Greenpeace Afrique appelle le Sénégal à suivre l’exemple de la Mauritanie Se félicitant du lancement du rapport de la Mauritanie à l’Initiative pour la transparence des pêches (Fiti), Abdoulaye Ndiaye, chargé de Campagne Océans pour Greenpeace Afrique a exhorté hier le Sénégal à suivre l’exemple de la Mauritanie dans la transparence sur les licences de pêche industrielle. Vendredi passé, la Mauritanie a procédé au lancement de son deuxième rapport de l’Initiative pour la transparence des pêches (Fiti) qui couvre les années civiles 2019 et 2020. Ce rapport traite en effet des informations relatives aux douze exigences de transparence du standard de la Fiti (Ref) et démontre les efforts mis en œuvre par la Mauritanie pour améliorer la transparence dans la gestion des pêcheries. Il met à la disposition du public des informations inédites sur les accords et conventions de pêche entre les pays et groupes privés étrangers, l’état des stocks, la liste des navires de pêche à grande échelle, les paiements et les captures etc. Ces données sont indispensables et cruciales pour informer les citoyens sur le secteur de la pêche dans leur pays. «Contrairement à la Mauritanie, le Sénégal tarde, depuis 2016, à compléter les étapes d’adhésion à cette importante initiative qu’est la Fiti. Pourtant, les professionnels du secteur de la pêche artisanale du Sénégal ont manifesté à maintes reprises, leur souhait de voir se concrétiser l’engagement public de Son Excellence, Monsieur le Président de la République du Sénégal à faire adhérer le Sénégal à l’initiative Fiti », a constaté Abdoulaye Ndiaye. En outre, «les professionnels de la pêche et la société civile n’ont cessé de demander la publication de la liste des navires de pêche industrielle autorisés à pêcher dans la zone économique exclusive (Zee) du Sénégal par l’autorité compétente », signale Greenpeace Afrique révélant que «ces requêtes seraient naturellement satisfaites si le Sénégal avait respecté son engagement d’adhérer à la Fiti ». Greenpeace Afrique «rappelle au gouvernement du Sénégal que la bonne gouvernance prônée par les autorités débute par une transparence dans la gestion des ressources halieutiques du pays et l’accès aux informations fiables et à jour sur la gestion de ces ressources pour les professionnels du secteur de la pêche ».