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justiceAma Baldé défie Franc! Après avoir battu hier dimanche par décision médical Gris Bordeaux, « Seul bou ndaw » s’est dit prêt à se frotter à l’invincible lutteur des parcelles assainies, même s’il est déjà sous contrat pour se mesurer à Reug Reug. « Je suis prêt pour […]
SPORTSAma Baldé défie Franc! Après avoir battu hier dimanche par décision médical Gris Bordeaux, « Seul bou ndaw » s’est dit prêt à se frotter à l’invincible lutteur des parcelles assainies, même s’il est déjà sous contrat pour se mesurer à Reug Reug.
« Je suis prêt pour tous les lutteurs y compris Franc. Eumeu Séne est mon grand frère et si Franc est d’accord, je suis prêt à l’affronter. Si Aziz Ndiaye me donne une avance sur cachet aujourd’hui, j’accepterai. Mon prochain combat contre Reug Reug est loin car il faut attendre que Boy Niang en finisse avec lui. Donc, je dois lutter entre-temps et je veux Franc », a-t-il laissé entendre dans cette vidéo .
En opérant un état des lieux complet du fonctionnement des services de l’État avant de lancer à plein régime leur programme de gouvernance, les nouvelles autorités issues de la présidentielle du 24 mars dernier voient sortir de partout ou presque des cafards. C’est le cas […]
MEDIASEn opérant un état des lieux complet du fonctionnement des services de l’État avant de lancer à plein régime leur programme de gouvernance, les nouvelles autorités issues de la présidentielle du 24 mars dernier voient sortir de partout ou presque des cafards. C’est le cas à la RTS où Pape Alé Niang a récemment pris la place de Racine Talla.
Dans son édition de ce lundi, Libération révèle que le nouveau patron de la chaîne publique a découvert que les employés de la boîte qu’il dirige se partagent chaque année (le 30 juin) une enveloppe de 200 millions de francs CFA. Le pactole est désigné «fonds communs». Comme pour les régies financières.
Les agents de la RTS sont-ils passés à la caisse ce dimanche 30 juin au titre de l’année 2024 ? Pape Alé Niang compte-t-il supprimer cette ligne budgétaire pour coller à l’esprit de rationalisation des dépenses publiques prôné par le nouveau régime ? Libération n’apporte pas de réponses à ces interrogations. «Dans tous les cas, indique le journal, une mission de l’IGE est attendue sur place. En attendant, un cabinet est en train de faire un audit.»
La même source souffle que Pape Alé Niang a déjà frappé un grand coup, qui risque de susciter la colère des travailleurs de la RTS. Elle précise que l’ancien directeur de publication de Dakar Matin a bloqué l’accord d’entreprise conclu par son prédécesseur avec les syndicats, peu avant la troisième alternance, et qui augmentait de «pratiquement 80%» les salaires des travailleurs.
Le DG de la chaîne a pris cette mesure, souligne Libération, «sur instructions, en attendant de savoir la position du Président Bassirou Diomaye Faye sur [le] décret signé par son prédécesseur», Macky Sall, cinq jours avant son départ, et portant nouveau mode de financement de la RTS. Ce texte, renseigne le quotidien d’information, «n’était pas effectif, car aucun arrêté n’avait été encore pris, encore moins une loi de finance rectificative».
Il y a quelques jours, Libération rapportait que Pape Alé Niang avait suspendu plus de 200 lignes téléphoniques affectées à des agents qui n’en auraient pas droit, notamment des retraités, et récupéré des voitures attribuées «de manière illégale».
La réponse du berger à la bergère. C’est ce que l’on pourrait dire de la cinglante réplique que le leader du mouvement Geum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany a servi à Aminata Touré. Faisant suite à la position tranchée de Mimi Touré qui indique qu’une déclaration de politique générale […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUELa réponse du berger à la bergère. C’est ce que l’on pourrait dire de la cinglante réplique que le leader du mouvement Geum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany a servi à Aminata Touré.
Faisant suite à la position tranchée de Mimi Touré qui indique qu’une déclaration de politique générale devant une assemblée qui ne reflète pas la volonté populaire n’a aucun sens. Bougane a répliqué de la manière la plus cinglante : »
Ah Oui ? L’assemblée nationale ne reflète pas la volonté populaire à travers les élections législatives ? Et être candidat sur une liste et une fois élue changer de camp, ne relève-t-il pas de la pure traitrise ?
Ces derniers jours, l’essentiel de l’actualité politique sénégalaise concerne la déclaration de politique générale (DPG) que le Premier ministre Ousmane Sonko tarde à faire. Pour certains, la Constitution l’y oblige, pour d’autres, il peut et doit s’en passer. Ancienne Premier ministre, Aminata (Mimi) Touré se […]
POLITIQUECes derniers jours, l’essentiel de l’actualité politique sénégalaise concerne la déclaration de politique générale (DPG) que le Premier ministre Ousmane Sonko tarde à faire. Pour certains, la Constitution l’y oblige, pour d’autres, il peut et doit s’en passer.
Ancienne Premier ministre, Aminata (Mimi) Touré se joint au débat. Pour elle, Ousmane Sonko ne doit pas faire cette DPG devant une assemblée nationale qui ne reflète plus la volonté populaire depuis l’élection de Bassirou Diomaye Faye (et qui pourrait être dissoute dans les prochains mois).
« Une déclaration de politique générale devant une Assemblée nationale qui ne reflète pas la volonté populaire n’a aucun sens. L’actuelle Assemblée nationale ne reflète en rien la volonté populaire exprimée le 24 mars dernier.
Le candidat de la Coalition Benno Bokk Yakaar artificiellement majoritaire à l’Assemblée nationale Amadou Ba a été battu dès le 1er tour en ne récoltant que 35% des suffrages. Pourquoi le Premier ministre devrait présenter une déclaration de politique générale devant une Assemblée nationale qui n’a plus aucune légitimité? », se demande Mimi Touré.
« La volonté de changement des Sénégalais a été nette et franche en élisant le Président Bassirou Diomaye Faye à 54%. Donc que l’on aille résolument vers la dissolution de l’Assemblée Nationale dès le 31 juillet et qu’une nouvelle Assemblée nationale soit élue et alors la DPG du Premier ministre aura du sens, il présentera alors la vision et les perspectives de son gouvernement à des députés légitimement élus pour les cinq prochaines années », a ajouté l’ancienne PM.
Quand les tares, les vices et les imperfections d’une société tendent à éclipser les modèles, l’anomie s’installe progressivement. L’indiscipline caractérisée qu’affichent sans gêne certains Sénégalais frôle le déraisonnable. Aujourd’hui, si la victoire du tandem Bassirou Diomaye Faye-Ousmane Sonko à la présidentielle du 24 mars est […]
SOCIETÉQuand les tares, les vices et les imperfections d’une société tendent à éclipser les modèles, l’anomie s’installe progressivement. L’indiscipline caractérisée qu’affichent sans gêne certains Sénégalais frôle le déraisonnable. Aujourd’hui, si la victoire du tandem Bassirou Diomaye Faye-Ousmane Sonko à la présidentielle du 24 mars est sans appel, l’immensité des attentes côtoie l’espoir que suscitent les 100 premiers jours du gouvernement du « Jub jubal jubanti ».
En un temps record, beaucoup de mesures patriotiques à la limite courageuses ont été prises présageant une nette rupture dans la gestion des affaires publiques. Mais parmi les domaines fondamentaux où il n’y a encore point de changement, c’est l’assimilation des valeurs civiques chez beaucoup de nos compatriotes. Alors que le patriotisme, tant chanté dans le « Projet », est perçu comme étant l’amour de sa patrie ; le désir, la volonté de se dévouer, de se sacrifier pour la défendre ; le civisme, quant à lui, envoie au dévouement envers la collectivité, l’État, et à la participation régulière à ses activités. Ce dernier point reste un donc vaste chantier pour lequel les nouvelles autorités risquent tout simplement d’échouer. Et les actes de sabotage et de vandalisme perpétrés sur des autoponts dakarois prouvent à suffisance qu’à ce niveau, le chemin est encore long, très long même.
Dans une vidéo devenue virale, l’auteur alerte en montrant comment des individus mal intentionnés ont enlevé et emporté des écrous de liaison des piles aux semelles de l’autopont de Lobatt Fall. « Ces actes d’incivisme et d’indiscipline ont été enregistrés dans la quasi-totalité des ouvrages et peuvent avoir des conséquences dommageables pour la sécurité des populations et des usagers, occasionnant une dégradation prématurée de ces ouvrages », lit-on dans un communiqué de l’Agence des travaux et de gestion des routes (Ageroute). Celle-ci assure que les autorités concernées ont été informées de ces actes répréhensibles qui feront l’objet d’une application de la loi, dans toute sa rigueur, pour punir les auteurs. Palpitant !
Mais ce que les autorités routières ont essayé d’expliquer à travers ce document, -avec des termes plus modérés-, c’est que les auteurs de ces faits sont des criminels. Ni plus, ni moins. Car, si toutefois les pieds d’un de ces ouvrages très fréquentés cèdent, ce sera l’hécatombe. Au-delà des dommages matériels, cela peut être à l’origine d’un drame au cœur de la capitale.
Voler ces types d’objets ô combien importants pour les échanger après avec des miettes tout en mettant la vie de centaines de Sénégalais en danger ne relève pas seulement d’un simple acte d’incivisme, c’est plutôt l’œuvre de grands criminels qu’il faut donc traquer et sévèrement sanctionner.
Il faut, par ailleurs, admettre que ces images flippantes confirment un réel problème de suivi pour les grands ouvrages de l’Etat. Avant la fin des chantiers, les autorités peuvent multiplier des visites, parfois inopinées, pour constater de visu l’avancement des travaux, souvent avec une communication agressive et politique, mais une fois achevé et livré, les contrôle de l’ouvrage fait défaut, l’entretien n’en parlons pas. Alors que chez nous, les mentalités peinent à changer.
Quoi qu’il en soit, ces comportements inhumains, constatés au niveau des autoponts, ne sont que la partie émergée d’un iceberg d’indiscipline chronique qui anime certains citoyens Sénégalais. Ce déficit civique entraîne l’égoïsme, la personne se moque des autres et notamment des normes établies, ce qui compte pour lui, c’est son intérêt.
Un autre exemple patent : toute cette campagne de sensibilisation à la veille de la Tabaski pour appeler les Sénégalais à ne pas jeter les peaux et autres restes des moutons dans les égouts n’a visiblement pas servi à grand-chose. Les images prises sur la plage de Cambérène par exemple et dans les rues de Dakar font froid dans le dos. N’eut été la promptitude des vaillants agents de la Société nationale de gestion des déchets (Sonaged, ex Ucg), la situation allait s’empirer.
Mais pour les canalisations, il faudra attendre les premières gouttes de pluies pour se rendre compte de leur probable obstruction. Justement, combien de couvercles de ces conduites d’eaux pluviales ont-ils déjà été volées et commercialisées à la ferraille ?
Un petit tour dans certains quartiers populaires et l’on est vite décontenancé par les tas d’immondices qui campent le décor. Sous prétexte que la place publique n’appartient à personne, elle devient un dépotoir d’un désordre indescriptible. Les plus véreux ouvrent leurs fosses septiques pendant l’hivernage pour qu’elles ruissellent avec les eaux pluviales. Et personne ne dit rien, parce que nous sommes un pays si particulier où, disons-le, les murs de nos maisons, ceux des stades, des garages et des marchés sont des pissotières.
Mais comme on l’a dit et redit, dans ce « ghetto » où règne un laxisme notoire, on laisse toujours faire. Mais jusqu’à quand ?
Sidy Diop était de passage sur TV5 pour parler de sa carrière musicale ainsi faire la promotion de son Zénith du 29 juin. Invité dans le journal du soir, le chanteur s’est bien débrouillé en Français contrairement à beaucoup d’artistes qui ont eu des problèmes […]
culture PeopleSidy Diop était de passage sur TV5 pour parler de sa carrière musicale ainsi faire la promotion de son Zénith du 29 juin.
Invité dans le journal du soir, le chanteur s’est bien débrouillé en Français contrairement à beaucoup d’artistes qui ont eu des problèmes à manier la langue de Molière.
La Télévision Futurs Médias (TFM) de Youssou Ndour fait face au départ d’un de ses visages éminents. Mor Talla Gaye, coordonnateur de l’émission « Infos du Matin », a décidé de quitter le Groupe Futurs Médias (GFM) pour se lancer dans une nouvelle aventure, dont les détails […]
MEDIASLa Télévision Futurs Médias (TFM) de Youssou Ndour fait face au départ d’un de ses visages éminents.
Mor Talla Gaye, coordonnateur de l’émission « Infos du Matin », a décidé de quitter le Groupe Futurs Médias (GFM) pour se lancer dans une nouvelle aventure, dont les détails restent à préciser.
L’annonce de son départ a été faite ce matin sur les antennes de la TFM par l’équipe de la matinale. Les journalistes présents sur le plateau ont unanimement salué son expérience et son professionnalisme, soulignant l’impact significatif de Mor Talla Gaye au sein de la chaîne
Polémique autour de la DPG : Implications Politiques, Position du Gouvernement et Défenseurs de Sonko. La question de la Déclaration Politique Générale (DPG) du Premier ministre Ousmane Sonko est au cœur d’une polémique politique. C’est ainsi, dans un communiqué parvenu à la rédaction de Senego que […]
POLITIQUEPolémique autour de la DPG : Implications Politiques, Position du Gouvernement et Défenseurs de Sonko. La question de la Déclaration Politique Générale (DPG) du Premier ministre Ousmane Sonko est au cœur d’une polémique politique. C’est ainsi, dans un communiqué parvenu à la rédaction de Senego que le Groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar annonce une conférence de presse, ce vendredi, à 16h.
Document :
LeQuotidien s’inquiète du rythme d’endettement du nouveau régime. Après 450 milliards d’Eurobonds empruntés début avril, l’État du Sénégal a levé plus de 250 milliards de francs CFA supplémentaires. Le journal, citant le communiqué de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), informe que les nouvelles […]
économieLeQuotidien s’inquiète du rythme d’endettement du nouveau régime. Après 450 milliards d’Eurobonds empruntés début avril, l’État du Sénégal a levé plus de 250 milliards de francs CFA supplémentaires.
Le journal, citant le communiqué de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), informe que les nouvelles autorités ont obtenu «trois emprunts obligataires d’un montant global de 265 milliards de francs CFA, de maturité variable entre 5 et 10 ans».
«Le premier emprunt, qui va de 2024 à 2029, est de 6,45%, comme d’ailleurs le troisième qui va de 2024 à 2034, pour un taux d’intérêt de 6,65%, tandis que le second va rapporter 6,25% aux institutions qui se sont engagées auprès du Sénégal », ajoute la source.
Selon le quotidien d’information, il a été juste indiqué que ces montants empruntés «vont servir à financer des investissements prévus dans le budget 2024» sans plus de précisions.
Dans tous les cas, estime LeQuotidien, «cette course aux emprunts» ne se justifie pas d’autant que rappelle celui-ci : Le nouveau régime a trouvé 320 milliards laissés par le Président sortant, Macky Sall, dans les comptes logés à la BCEAO.
En décembre 2023, les mêmes députés de Yewi, sous la houlette de leur mentor, avaient pourtant déposé une motion de censure contre le gouvernement d’Amadou Ba en faisant fi du règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Aujourd’hui, ils veulent légitimer une forfaiture en convoquant ce même […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEEn décembre 2023, les mêmes députés de Yewi, sous la houlette de leur mentor, avaient pourtant déposé une motion de censure contre le gouvernement d’Amadou Ba en faisant fi du règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Aujourd’hui, ils veulent légitimer une forfaiture en convoquant ce même règlement intérieur pour tirer d’affaires un Premier ministre qui, en vérité, n’a pas de projet de gouvernance à défendre.
Dans quelques jours, le Premier ministre aura épuisé son délai de grâce pour un exercice alléchant que chaque chef de gouvernement prépare et franchit avec le sentiment d’avoir rassuré ses compatriotes par la délivrance d’un discours et des orientations claires explicitant le projet de société de son gouvernement. Le seul Premier ministre à briller par ses discours contradictoires, le seul à avoir vendu un projet qui n’existe que dans l’imagination de son auteur, est désormais disqualifié par le législateur.
En effet, en sus de l’article 55 de la Constitution, le règlement intérieur instruit les parlementaires de ne plus le reconnaître comme Premier ministre et de ne pas recevoir sa déclaration de politique générale (DPG), synonyme de serment. Toute une décennie durant, il a décrié la majorité mécanique du médiocre camp présidentiel d’alors. Normal, me dira-t-on, mais aujourd’hui, sa minorité parlementaire l’exaspère. Ses calculs politiciens le rattrapent et montrent sa véritable nature.
Quand le populisme et le mensonge sont légion dans un discours politique, cela engendre une succession de faits irréels qui sont de nature à tromper le peuple pour un temps bien déterminé. Mais ils ne tromperont pas le peuple tout le temps.
Bougane Guéye Dany
Président du Mouvement Gueum Sa Bopp « les jambaars »