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SOCIETÉAccablé par une image de vidéo surveillance, F. Diop, le septième suspect dans l’affaire du double meurtre de Pikine Technopole, avait usé d’astuce pour échapper à la vigilance des limiers de la Division des investigations criminelles (DIC). En quoi faisant ? Libération révèle qu’il s’était […]
SOCIETÉAccablé par une image de vidéo surveillance, F. Diop, le septième suspect dans l’affaire du double meurtre de Pikine Technopole, avait usé d’astuce pour échapper à la vigilance des limiers de la Division des investigations criminelles (DIC). En quoi faisant ? Libération révèle qu’il s’était […]
SOCIETÉL’attaquant sénégalais Iliman Ndiaye a troqué le maillot de l’Olympique de Marseille (OM) contre celui de Everton. Les deux clubs ont conclu un accord d’environ 18,5 millions d’euros (un peu plus de 12 milliards F CFA) pour le transfert de l’international sénégalais. Record, reprenant le […]
SPORTSL’attaquant sénégalais Iliman Ndiaye a troqué le maillot de l’Olympique de Marseille (OM) contre celui de Everton. Les deux clubs ont conclu un accord d’environ 18,5 millions d’euros (un peu plus de 12 milliards F CFA) pour le transfert de l’international sénégalais.
Record, reprenant le journaliste italien Fabrizio Romano, rapporte que Iliman Ndiaye est en ce moment à Liverpool «pour les dernières formalités» avant son changement officiel de casaque. La source précise que le joueur de 24 ans doit d’abord passer sa visite médicale et ensuite signer un contrat de 5 ans en faveur des Toffees de son compatriote Idrissa Gana Guèye.
Dans un post publié sur sa page Facebook, Thierno Bocoum, leader de AGIR, critique sévèrement le Premier ministre Ousmane Sonko pour ne pas avoir encore fait sa déclaration de patrimoine. Pour Thierno Bocoum, le PM doit dans un délai raisonnable faire sa déclaration de politique […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEDans un post publié sur sa page Facebook, Thierno Bocoum, leader de AGIR, critique sévèrement le Premier ministre Ousmane Sonko pour ne pas avoir encore fait sa déclaration de patrimoine. Pour Thierno Bocoum, le PM doit dans un délai raisonnable faire sa déclaration de politique générale.
Texte in extenso :
Nous rappelons que jusqu’au moment où nous écrivons ces lignes le président de la République n’a pas encore fait sa déclaration de patrimoine conformément aux dispositions de la constitution en son article 37 dernier alinéa qui dispose : « Le Président de la République nouvellement élu fait une déclaration écrite de patrimoine déposée au Conseil constitutionnel qui la rend publique.»
Une violation flagrante de la constitution que rien ne justifie quand on fait du « juub, jubbal, jubanti » un slogan.
Nous avons assisté à une conférence de presse de députés proches du Premier ministre qui cherchent à nous faire croire que le règlement intérieur de l’Assemblée nationale ne permet pas d’accueillir ce dernier pour sa DPG. D’après eux, ce règlement qui ne prévoit pas une DPG serait falsifié.
Il est évident qu’il faudra prendre au sérieux cette affaire et situer les responsabilités, le cas échéant.
Cependant, quel lien avec la DPG ?
Les députés sont convoqués en plénière pour un débat d’orientation budgétaire ce samedi 29 juin 2024.
Ce débat est prévu dans quel article du règlement intérieur de l’Assemblée nationale ?
Aucun.
Le DOB a été juste évoqué, en passant, à l’article 41 bis en ces termes : « Les rapports issus de ces auditions servent à l’information des députés, notamment dans le cadre du Débat d’Orientation budgétaire (DOB) »
Ni le délai ni les modalités d’organisation n’ont été prévus dans le règlement intérieur de l’assemblée nationale. Le débat d’orientation budgétaire est prévue à l’article 56 de la loi organique relative aux lois de finances : « (…) ces documents sont publics et soumis à un débat d’orientation budgétaire à l’Assemblée nationale, au plus tard à la fin du deuxième trimestre de l’année. »
L’Assemblée nationale applique cette disposition de la loi sans l’inscrire dans son règlement intérieur.
Ainsi, vouloir nous faire croire que le fait que la DPG ne figure pas dans le règlement intérieur de l’Assemblée nationale est une raison pour ne pas recevoir le Premier ministre procède d’une méconnaissance. Cette exigence déjà prévue dans la constitution doit être appliquée.
En effet, l’Art 55 al1 dispose : « Après sa nomination, le Premier ministre fait sa déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale. Cette déclaration est suivie d’un débat qui peut, à la demande du Premier ministre, donner lieu à un vote de confiance. »
Cet article est inséré au titre IV intitulé « Du GOUVERNEMENT ». Il s’est agi de légiférer sur les prérogatives et obligations du Premier ministre et son gouvernement et non sur ceux de l’Assemblée nationale.
C’est le Premier ministre qui a l’obligation de faire sa déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale. Les dispositions constitutionnelles sur la DPG ont un caractère impératif et non facultatif. Le législateur peut fixer un délai comme ce fut le cas dans le règlement intérieur de 2019. Cela ne compromet en rien le caractère impératif et l’absence de délai ne rend pas non plus inopérant ce caractère édicté par les dispositions de la constitution.
Le silence d’un règlement intérieur ne peut pas freiner l’application des dispositions claires de la charte fondamentale. Encore que l’organisation des séances est déjà prévue dans le règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Les rôles du bureau et de la conférence des présidents sont clairement établis.
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a été possible d’organiser un débat d’orientation budgétaire sans que cela ne soit spécifiquement encadré par le règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
Le Premier ministre doit dans un délai raisonnable faire sa déclaration de politique générale.
Il serait honteux qu’il cherche à s’agripper sur le silence d’un règlement intérieur qui avait naguère servi de base légale à ses partisans pour introduire une motion de censure contre l’un de ses prédécesseurs.
Thierno Bocoum
Ancien parlementaire
Président AGIR
Le Premier ministre Ousmane Sonko cherche une échappatoire pour ne pas faire sa déclaration de politique générale (DPG). C’est l’avis de Samba Sy, ancien ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions sous Macky Sall. « Il est curieux que ce soit […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUELe Premier ministre Ousmane Sonko cherche une échappatoire pour ne pas faire sa déclaration de politique générale (DPG). C’est l’avis de Samba Sy, ancien ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions sous Macky Sall.
« Il est curieux que ce soit les membres de l’Assemblée nationale qui plaident et dédouanent l’Exécutif de son devoir de se présenter à l’Assemblée nationale. C’est une curiosité. Je pense que la vérité, c’est que le Premier ministre Ousmane Sonko n’est pas prêt pour sa déclaration de politique générale. Vous savez qu’il a été demandé aux collaborateurs et membres du gouvernement de donner des contributions pour cette fameuse DPG. Vous savez qu’à longueur de conseils des ministres, il a été fait cas de cette DPG. Voilà en quelques jours, à la clôture de l’Assemblée nationale, il n’y a pas de DPG et il n’y en aura pas à la date échue, car ce gouvernement n’est pas encore prêt », a fait savoir le secrétaire général du PIT invité de l’émission « Politique en vérité » sur Radio Sénégal.
Sur la question des supposées modifications apportées au règlement intérieur de l’Assemblée nationale par le régime sortant, Samba Sy répond : « Je trouve cela pathétique. Ils essaient de dorer la pilule. C’est la Constitution qui le prescrit. Quand on est aux affaires et qu’on est Premier ministre, on doit venir devant les représentants du peuple pour décliner une feuille de route. Il est parfaitement compréhensible qu’on ne soit pas prêt, mais il faut avoir l’humilité de l’avouer au lieu de trouver des arguties. »
L’ex-chef de l’État sénégalais, Macky Sall, a été nommé Envoyé spécial et président du Comité de suivi du Pacte de Paris pour la planète et les peuples (4P). Une nomination qui n’enchante pas l’ancienne Première ministre Aminata Touré. Elle considère que le prédécesseur de Bassirou […]
POLITIQUEL’ex-chef de l’État sénégalais, Macky Sall, a été nommé Envoyé spécial et président du Comité de suivi du Pacte de Paris pour la planète et les peuples (4P). Une nomination qui n’enchante pas l’ancienne Première ministre Aminata Touré. Elle considère que le prédécesseur de Bassirou Diomaye Faye aurait été beaucoup plus « utile en Afrique ».
À l’en croire, le fait que Macky Sall travaille pour l’actuel président français Emmanuel Macron serait une « collusion ».
« Je pense qu’il aurait été beaucoup plus utile en Afrique. Il y a tellement de thèmes sur lesquels il aurait pu travailler en tant qu’ancien président. C’est mon appréciation, mais c’est son choix à lui. Mais je crois que c’est la toute première fois, peut-être même dans le monde, qu’un ancien président se mette au service d’un de ses anciens collègues. Et il faut aussi relever le fait que je pense que nos présidents doivent avoir un droit de réserve parce qu’ils ont été commandants en chef de nos armées. Donc, ils sont détenteurs de nos secrets militaires. Ils connaissent la cartographie de nos ressources naturelles et tout ça devrait faire qu’ils soient en position de réserve», a précisé Mme Touré sur France 24.
Avant de poursuivre : « D’autant plus que la loi, au Sénégal, leur accorde une indemnité pour qu’il puisse se passer d’exercices qui pourraient s’apparenter à de la collusion. Je ne pense pas que dans beaucoup de pays occidentaux ou dans aucun pays occidental, cela n’aurait pas été acceptable. »
Pour Aminata Touré, c’est assez particulier de voir un ancien président travailler pour son homologue français. D’autant plus que la France colonisait le Sénégal. « Nous avons des relations diplomatiques d’habitude, même avec la France, avec beaucoup d’autres pays. Mais nous restons un pays souverain que notre ancien président, comme je l’ai dit, était détenteur de nos secrets militaires, de la cartographie de nos ressources naturelles, qu’il se mette à disposition d’un autre pays, en plus, le pays qui nous a quand même colonisés. En tout cas, pour moi, c’est une position que je n’aurais jamais envisagée de lui d’ailleurs, parce que je l’ai connu panafricaniste, etc. », a insisté l’ancienne responsable à Benno Bokk Yaakaar.
Le Premier Ministre Ousmane Sonko ne peut procéder à sa déclaration de politique générale (Dpg).Le règlement intérieur de l’Assemblée nationale avait été falsifié en novembre 2022.A l’époque, le président du mouvement Tekki, Mamadou Lamine Diallo avait annoncé une » plainte contre X pour faux et usage de faux ». Doudou […]
POLITIQUELe Premier Ministre Ousmane Sonko ne peut procéder à sa déclaration de politique générale (Dpg).Le règlement intérieur de l’Assemblée nationale avait été falsifié en novembre 2022.A l’époque, le président du mouvement Tekki, Mamadou Lamine Diallo avait annoncé une » plainte contre X pour faux et usage de faux ». Doudou Wade avait aussi pointé du doigt le faux règlement intérieur de l’Assemblée. Si le député Ayib Daffé indique que le PM Ousmane Sonko ne peut procéder à sa déclaration de politique générale. Cela coule de source car personne ne peut le nier et les faits restent têtus, .
Ce mercredi en conférence de presse, des députés de la coalition Yewwi Askan Wi par la voix d’Ayib Daffé ont clairement indiqué qu’en raison de la falsification du règlement intérieur de l’assemblée en 2022 avec la suppression de certaines dispositions de la loi 2019-14 du 28 octobre 2019, avec aussi l’abrogation du Poste de Premier ministre , en violation de l’article 121, réintégrées en catimini sans faire l’objet d’adoption par l’Assemblée nationale, le PM se retrouve dans l’impossibilité de tenir sa déclaration de politique générale (Dpg).
Les articles concernés par cette falsification étaient entre autres 5, 60, 61, 90, 97, 98 et 99 dudit règlement intérieur. Le président du mouvement Tekki, membre du groupe parlementaire « Libertés, démocratie et changement »,Mamadou Lamine Diallo était à l’époque revenu à la charge en annonçant une « plainte contre X pour faux et usage de faux ».
Sur son compte facebook également, Doudou Wade s’était interrogé pour savoir si « Les députés auraient le courage de retirer et mettre sous scellés le faux règlement intérieur de l’Assemblée. C’est dire que la position deYewwi Askan Wi sur l’impossibilité du Premier Ministre de procéder à la déclaration de politique générale (Dpg) est indéboulonnable car personne au monde ne peut le nier.
Ce règlement intérieur falsifié ne permet pas à l’actuel Premier Ministre de tenir sa déclaration de politique générale. On ne peut parler ni de manœuvre politique encore moins de non respect à la loi par le Premier Ministre Ousmane Sonko. Ceux qui tiennent coûte que coûte à ce que le PM tienne sa déclaration de politique générale doivent se demander où ils étaient lorsque le règlement intérieur de l’assemblée a été falsifié à la face du monde !
Le Covid-19 est loin d’être éradiqué. En pleine période de vacances, de nombreux cas viennent d’être détectés dans plusieurs régions du monde, notamment en Afrique, en Europe et en Asie. Une augmentation notable a été observée dans les hôpitaux, plus de quatre ans après le […]
SANTELe Covid-19 est loin d’être éradiqué. En pleine période de vacances, de nombreux cas viennent d’être détectés dans plusieurs régions du monde, notamment en Afrique, en Europe et en Asie. Une augmentation notable a été observée dans les hôpitaux, plus de quatre ans après le début de la pandémie. Les spécialistes signalent plusieurs indicateurs montrant une circulation croissante du virus.
Au Cameroun, au moins 84 nouveaux cas ont été enregistrés entre le 14 avril et le 16 juin 2024. Dans un communiqué publié le 26 juin 2024, le ministre de la Santé publique a informé l’opinion publique de la résurgence récente de cas de Covid-19 dans plusieurs pays occidentaux et africains.
Au Sénégal, des pèlerins revenant de La Mecque ont été testés positifs à leur arrivée à Dakar le 25 juin. Cette nouvelle a semé la panique dans tous les pays ayant des pèlerins en Arabie saoudite, obligeant les pèlerins à respecter de nouveau les mesures barrières.
En France, le Covid-19 continue de circuler avec une hausse de « tous les indicateurs » la semaine dernière, selon le bulletin de surveillance hebdomadaire de Santé publique France publié le 26 juin. D’après l’organisation, le virus « continuait de circuler dans la population, mais l’impact sur le système de soins restait modéré » malgré une augmentation de tous les indicateurs, qui restent toutefois inférieurs aux niveaux des deux dernières vagues.
Selon les informations exclusives de Kawtef.com, la chanteuse Aïda Samb a quitté le label Prince Art après plus d’une décennie de collaboration. L’interprète de «Dalinkor» tourne ainsi le dos au label de son mentor Youssou Ndour, géré par Ngoné Ndour et Ibou Ndour. Suite à […]
PeopleSelon les informations exclusives de Kawtef.com, la chanteuse Aïda Samb a quitté le label Prince Art après plus d’une décennie de collaboration. L’interprète de «Dalinkor» tourne ainsi le dos au label de son mentor Youssou Ndour, géré par Ngoné Ndour et Ibou Ndour.
Suite à cette séparation, Aïda Samb prépare activement un nouveau projet musical pour ses fans. Elle travaille actuellement sur une chanson produite par ses propres moyens, qui s’annonce prometteuse et pourrait bien devenir le tube de l’été.
Le landerneau politique sénégalais regorge d’hommes et de femmes de qualité imbattables dans leur engagement patriotique. Parmi ceux là, Bougane Guèye Dany fait figure de proue pour avoir été régulier dans toutes les confrontations à coloration politique, sociale, culturelle et économique. Son nom se confond […]
POLITIQUELe landerneau politique sénégalais regorge d’hommes et de femmes de qualité imbattables dans leur engagement patriotique. Parmi ceux là, Bougane Guèye Dany fait figure de proue pour avoir été régulier dans toutes les confrontations à coloration politique, sociale, culturelle et économique. Son nom se confond avec toutes les luttes d’émancipation des populations du Sénégal des profondeurs. Rares sont les hameaux les plus reculés où il n’a pas mis les pieds pour partager l’angoisse des populations et, en particulier, leur mal vivre. Avec son courage de granit et la foi de l’alpiniste qui revient chaque jour au pied de la montagne pour tenter de réaliser de nouveaux exploits, il chemine droit mais son cœur bat toujours à gauche fatalement, comme un lit d’espérance. Armé de fortes convictions, il n’a pas peur de poursuivre son idéal politique dont la finalité est la réalisation intégrale des besoins et aspirations du peuple sénégalais.
Il ne ménage ni ses efforts, ni ses moyens dans l’arène politique dont il a, en ce moment, une lecture à nulle autre pareille. Ses adversaires politiques le savent si bien qu’ils exercent sur lui une sorte de trapping pour tenter de l’étouffer et de le faire renoncer. Mais formé dès le bas âge dans l’art de la persévérance, il poursuit son chemin persuadé que le succès est toujours au bout de l’effort régulier.
L’homme s’annonce et s’énonce comme partie intégrante des vivificateurs de l’économie nationale. Il a réussi dans la voie qu’il s’est tracée et rien ne peut plus l’arrêter car il n’a pas subi le destin mais il l’a inventé à l’image des hommes d’exception. À force de travail et d’abnégation, l’homme peut pousser ses limites et aller titiller, chaque jour un peu plus, l’excellence, voire l’impossible. C’est tout le sens qu’il faut donner à la réussite de Bougane Guèye Dany, celui qui, dans l’incendie de l’aube gravitant le Sénégal, salue le jour qui se lève. Pour tout dire, Bougane est un homme de progrès, un homme solidaire de toutes les bonnes causes qui illuminent l’humanité. Dans le cadre que voilà, nous pouvons le ranger parmi les hommes heureux que le philosophe Denis Diderot définit comme celui qui fait le bonheur d’un grand d’autres.
L’audit financier, organisationnel et du personnel de la chaîne publique, entamé par le nouveau directeur de la RTS, Pape Alé Niang, après le départ de Racine Talla, commence à produire ses résultats. Libération, dans sa parution de jeudi, révèle que 253 lignes téléphoniques attribuées à […]
MEDIASL’audit financier, organisationnel et du personnel de la chaîne publique, entamé par le nouveau directeur de la RTS, Pape Alé Niang, après le départ de Racine Talla, commence à produire ses résultats.
Libération, dans sa parution de jeudi, révèle que 253 lignes téléphoniques attribuées à des ex-agents et des retraités de la RTS, qui n’en avaient pas droit, ont été résiliées.
La source indique que « les audits sont en cours » et que « des voitures, affectées de manière illégale à certains directeurs, ont été récupérées et réintégrées dans le parc automobile ».
Le Sénégal a connu une diminution notable de la fécondité au cours des trente dernières années, avec un nombre moyen d’enfants par femme désormais inférieur à cinq, selon le dernier rapport de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD). Les résultats de […]
SOCIETÉLe Sénégal a connu une diminution notable de la fécondité au cours des trente dernières années, avec un nombre moyen d’enfants par femme désormais inférieur à cinq, selon le dernier rapport de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD). Les résultats de l’Enquête démographique et de la santé continue (EDS-continue) de 2023 confirment cette tendance.
En 2005, l’indice synthétique de fécondité (ISF) était déjà en baisse, avec une moyenne de cinq enfants par femme pour celles en fin de procréation. Entre 1988 et 2019, l’ISF a chuté de 6,4 à 4,7 enfants par femme, et les données de 2023 indiquent une nouvelle diminution à quatre enfants par femme. Ces informations, selon Abdou Diouf, le directeur général de l’ANSD, sont cruciales pour les politiques démographiques.
L’EDS-continue 2023 avait pour objectif de recueillir divers indicateurs de santé, notamment la santé maternelle, infantile et infanto-juvénile, ainsi que des indicateurs démographiques pour analyser leur évolution. Abdou Diouf a précisé que l’indice synthétique de fécondité est passé de 5,3 à quatre enfants par femme entre 2005 et 2023, tandis que la mortalité infantile a considérablement diminué, passant de 121 à 40 pour mille naissances vivantes.
Lors de l’atelier de restitution des résultats de l’enquête, Abdou Diouf a noté une tendance continue à la baisse du nombre moyen d’enfants par femme à la fin de la période de reproduction. Cette enquête, menée après une pause de deux ans due à la pandémie de Covid-19, a mis en lumière les progrès du Sénégal dans les domaines de la fécondité, de la santé maternelle et infantile, et de la mortalité des enfants.
La mortalité infantile a diminué de 61 à 31 pour mille naissances vivantes chez les enfants de moins d’un an, et de 35 à 23 pour mille pour les enfants de moins de vingt-huit jours. L’enquête de 2023, réalisée en partenariat avec le ministère de la Santé et avec le soutien des partenaires techniques et financiers, est la 13ème édition de ce programme mondial commencé en 1986.
Lala Travaré, cheffe de la Division recensement et statistiques démographiques à l’ANSD, a présenté les principaux résultats, indiquant que 8782 ménages ont été enquêtés avec un taux de réponse de 98%. Les indicateurs de soins prénatals et postnatals restent élevés et stables depuis 2012, avec 97% des femmes ayant reçu des soins prénatals d’un prestataire qualifié. De plus, 92% des accouchements ont eu lieu dans des établissements de santé et 83% des femmes ont reçu des soins postnatals dans les deux premiers jours suivant l’accouchement.
Le taux de planification familiale est actuellement de 27% pour les femmes en âge de procréer, de 15 à 49 ans. Cette enquête vise à mesurer l’impact des programmes nationaux et internationaux mis en œuvre au Sénégal.