Rassemblement à la 7TV: Le journaliste Cheikh Diop
ACTUALITE SOCIETELéna Sène a fait le choix clair et sans équivoque de soutenir Karim Wade, le candidat recalé à la Présidentielle de 2024. Cette décision marque une étape importante dans son engagement politique, consolidant ainsi sa position au sein du paysage politique sénégalais. Fille du regretté […]
A LA UNE ACTUALITE POLITIQUEDepuis quelques jours la question de l’indiscipline dans le secteur de l’éducation a refait surface. Le geste déplacé et très osé de certains élèves du lycée de Yoff a remis au goût du jour la lancinante question de la correction, du civisme et du bon […]
A LA UNE SOCIETEDepuis quelques jours la question de l’indiscipline dans le secteur de l’éducation a refait surface. Le geste déplacé et très osé de certains élèves du lycée de Yoff a remis au goût du jour la lancinante question de la correction, du civisme et du bon citoyen en devenir, dans les établissements scolaires. De plus en plus, le lieu destiné à former le Sénégalais dès sa prime jeunesse et à lui inculquer des valeurs nécessaires pour le développement économique et social du pays, est sujet à des attaques en interne. Comme un cheval de Troie, les élèves, maillons essentiels de la chaine de l’éducation, affaiblissent l’école et ses autorités, à tous les niveaux de responsabilité. Ces jeunes auteurs d’actes délictuels montrent par dessus tout l’échec des parents à donner de la bonne éducation à leur progéniture.
Si elle a encore ressuscité le débat sur la crise d’autorité dans le milieu scolaire, la scène de vandalisme au lycée de Yoff, signalée récemment, n’est que la partie visible de l’iceberg de l’indiscipline qui gangrène de plus en plus le secteur. On a tendance, dans de pareilles circonstances, à fouiller du côté des enseignants ou administrations pour expliquer de tels comportements. Pourtant, la répétition de ces actes peu honorables pour l’image de l’école sénégalaise montre à suffisance que les raisons ne sont pas à trouver de ce côté là ; il faut surtout interroger le milieu social des élèves en question.
La société en miniature, l’école regorge d’élèves en situations sociales et ou économiques difficiles. De plus en plus de jeunes apprenants, en proie à une crise d’adolescence aiguë, échappent au total contrôle de leurs parents et se comportent comme ils désirent. Très susceptibles et parfois en manque de « valeur » aux yeux de leurs camarades, ils ne s’illustrent pas en ayant de bonnes notes dans les évaluations, mais plutôt recourent à des méthodes tout à fait répréhensibles. Même en salle de cours, cette catégorie d’élèves se distingue en montrant un comportement différent des autres, et en se faisant toujours rappeler à l’ordre, et parfois même renvoyer des cours. Cependant, les solutions à l’interne, proposées par les différents règlements intérieurs, ne sont jamais fortes pour remettre ces enfants dans la rectitude.
C’est pourquoi, le diagnostic d’une telle situation doit surtout être fait sur la base d’une étude sociologique. Ce qui fait péter les plombs à ces élèves, c’est moins des raisons endogènes à l’école que des raisons exogènes. Pourtant, c’est pour mieux les orienter que l’État a affecté des psychologues conseillers qui rendent visite aux élèves de temps en temps. Le seul hic est que le travail qui devait être le leur pour aider les administrations à mieux cerner les comportements des potaches n’est pas abattu comme sied. Dans les écoles, le constat est que ces psychologues conseillers insistent plus sur les opportunités d’apprentissage aux élèves candidats (Bac ou Bfem) qu’ils ne donnent d’aide psychologique à proprement parler.
La seule solution qui vaille, face à l’impuissance de l’administration scolaire, c’est de demander aux parents d’insister sur l’éducation de leurs enfants. Au lieu de « monstres »- comme les avait qualifiés le ministère dans une note qu’il a retirée- ces enfants sont de vraies brebis égarées qu’il faut peut-être envoyer dans des centres de redressement. Mieux que la prison à leur âge, ce qu’ils méritent pourtant du fait de l’acte de destruction de biens publics.
Si l’on sait que l’école n’éduque plus, ceci n’est plus sa vocation d’ailleurs avec l’interdiction de la correction physique même à l’élémentaire, on ne peut que compter sur l’éducation sociale des apprenants. La vérité est que même l’instruction dont l’école se charge pour ces enfants est devenue un échec, sinon les connaissances acquises en éducation civique et morale auraient permis à ces petits égarés de s’abstenir de commettre de tels actes.
Selon nos sources, le présumé meurtrier s’est mis à table. L’élève a retracé le film de l’horreur, lors de la reconstitution des faits, menée, dans la nuit du mardi au mercredi. Une histoire d’amour qui a viré au drame. Le présumé meurtrier a reconnu qu’il […]
A LA UNE ACTUALITE SOCIETESelon nos sources, le présumé meurtrier s’est mis à table. L’élève a retracé le film de l’horreur, lors de la reconstitution des faits, menée, dans la nuit du mardi au mercredi.
Une histoire d’amour qui a viré au drame. Le présumé meurtrier a reconnu qu’il entretenait une relation amoureuse avec la victime. Toutefois, selon A.Mbacké, ils ont mis fin à cette relation amoureuse, depuis le mois de décembre.
Comment Ndèye Diop a été tuée par le présumé auteur de sa « grossesse »
Ndèye Diop qui serait enceinte a affirmé que A. Mbacké est l’auteur de la grossesse. Une pilule qui ne passe pas chez A.Mbacké . Ce dernier ne pouvant pas supporter cette accusation, a administré une brique à la victime qui s’est écroulée sur le coup.
Mais l’élève n’a pas lâché prise. C’est alors qu’il décida de planter un couteau à la jeune fille au cou selon des confidences faites à Seneweb
Après avoir mis fin aux jours de la fille, le jeune homme emballe le corps sans vie dans deux sacs. Puis il enveloppa le tout avec un matelas avant de le plonger dans un réservoir d’eau.
Un corps en décomposition
Pendant ce temps, la famille de la fille qui est restée sans nouvelles, a entrepris des recherches. En sortant de chez-elle, Ndèye Diop avait prétexté qu’elle partait pour récupérer son bulletin de deuxième semestre.
Suite à d’intenses investigations, des proches de la victime se sont rapprochés du mis en cause pour lui demander des nouvelles de Ndèye Diop. Parce que c’était un secret de polichinelle que ces deux tourtereaux étaient presque inséparables.
Bougane Guèye Dany, originaire de Saint-Louis (nord du Sénégal), est un self made man. Il est de la trempe des hommes d’affaires à succès. Après un passage dans plusieurs organes de presse, il a forgé son destin dans la transpiration et l’intelligence et monte sur […]
A LA UNE POLITIQUEBougane Guèye Dany, originaire de Saint-Louis (nord du Sénégal), est un self made man. Il est de la trempe des hommes d’affaires à succès. Après un passage dans plusieurs organes de presse, il a forgé son destin dans la transpiration et l’intelligence et monte sur le podium des jeunes leaders les plus influents et écoutes du monde médiatique. Dans le classement d’une vingtaine de jeunes leaders africains conduit par Confidentiel Afrique, le Président du Mouvement » Gueum Sa Bopp », est arrivé en tête de peloton devant le jeune burkinabé, inventeur du réfrigérateur solaire, l’inventeur congolais des tablettes smartphones » made in Africa », Verone Mankou et le jeune milliardaire tanzanien, Mohamed DEWJI. Confidentiel Afrique vous retrace le parcours du « Jeune africain de l’année ».
En 1997, Bougane Gueye Dany obtient son diplôme d’étude en bâtiment. Passionné de journalisme, il a exercé dans plusieurs groupes de presse avant d’aller aux Etats-Unis. Téranga Fm, Walfadjiri, Rfm sont les organes de presse qui ont accueilli Bougane Gueye Dany. Doté d’une forte carapace, il arpente les couloirs des différentes salles de presse, parfois entre des hauts et des bas. Les épreuves endurées n’ont pas été aussi faciles. Bougane GUEYE Dany, à l’image d’un moine, caresse le rêve américain. Son séjour au pays de l’Oncle Sam lui aura beaucoup servi. De retour au pays, il crée son propre business. Dak’cor une agence de communication et de marketing. Il gagne les marchés de publicité des grandes entreprises de la place. Un succès galopant pour cette agence. En dépit de ce succès, Bougane ne prit pas la grosse tête. D’expérience en expérience, le self made man lance en 2008 le groupe de presse D-MEDIA. Un groupe composé d’une radio (Zik fm), un quotidien (la Tribune) et une télévision (Sen Tv) et le dernier né du groupe, le site d’informations Actunet.net
Une montée fulgurante dans la presse sénégalaise, l’homme fait aussi beaucoup dans le social. En véritable disciple de Serigne Touba, il partage tout ce qu’il a avec ceux qui l’entourent. Homme de défi, Bougane GUEYE Dany ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
D’un groupe de presse vers la présidence
En 2013, il se lance dans un autre monde. Bougane est l’initiateur de la solution de transfert d’argent Joni-Joni, le précurseur du mobile money Vitfé. Ces plates-formes technologiques sont aujourd’hui disponibles un peu partout dans l’espace Uemoa. Aujourd’hui, Bougane Gueye Dany est le président Directeur Général de Boygues Corporation.
Bougane Gueye a réussi à se faire une place de choix dans le cœur des sénégalais. En 2018, il lance le mouvement citoyen « Gueum sa Bopp », il anime l’esprit « self made man » dans un pays à majorité composé de jeunes. Il sillonne le pays à la rencontre des populations pour s’enquérir des problèmes que vivent ces dernières au quotidien.
Après cette expérience, Bougane Gueye Dany déclare sa candidature aux élections présidentielles de février 2019. Un pari audacieux qui illustre le courage de ce jeune leader à descendre dans l’arène politique. Une candidature appréciée à sa juste valeur. L’ascension du jeune africain sur la scène politique s’est traduite par une médiatisation forte qui le place aujourd’hui, incontestablement, au devant de l’échiquier politique du pays.
La présidence intéresse le Président Bougane, et ses actes le traduisent. En guise d’illustrations, ses discours poignants, sa détermination et sa foi de changer le vécu des sénégalais. Son objectif est de faire savoir aux jeunes africains qu’il faut croire en soi».
L’enquête sur le saccage de salles de classes du lycée de Yoff connait de nouveaux développements. Déféré au parquet, Ousmane Dièye pourrait être rejoint par 5 autres élèves de la 4ème C du Lycée Ousmane Sembène de Yoff, placés hier en garde à vue à […]
A LA UNE SOCIETEL’enquête sur le saccage de salles de classes du lycée de Yoff connait de nouveaux développements.
Déféré au parquet, Ousmane Dièye pourrait être rejoint par 5 autres élèves de la 4ème C du Lycée Ousmane Sembène de Yoff, placés hier en garde à vue à la gendarmerie de la Foire dans l’affaire de la mise à sac d’une salle de classe.
Au-delà de l’ambiance festive dans la cour du Lycée Ousmane Sembène de Yoff, c’est l’inquiétude chez certains élèves en train d‘être auditionnés par le Conseil de discipline convoqué par le proviseur Awa Sarr Ndiaye. Mais tous les 16 apprenants identifiés comme auteurs présumés des saccages, ne sont pas sur place. Si certains ont tenu à faire le déplacement, d’autres par peur de représailles, ont même quitté Dakar pour échapper aux poursuites judiciaires, renseigne-t-on sur place. Cependant, nous avons appris que dans l’après-midi d’hier, 5 élèves étaient auditionnés par la gendarmerie de la Foire et placés en garde à vue.
Après le déferrement du cerveau présumé de la casse, Ousmane Dièye, les ennuis se poursuivent pour les membres de cette classe qui ont déchiré leur cahier de classe, il y a deux mois. Pour les autorités de l’école, la réunion du Conseil de discipline va se poursuivre ce matin. Pour l’heure, aucune décision n’est encore prise à l’encontre des fauteurs de trouble. D’ailleurs, lors de la rencontre d’aujourd’hui, les parents vont également y assister. Mais la salle de la 4ème C, lieu des destructions, porte toujours les stigmates des actes de vandalisme. Les bâtiments fissurés, visiblement torturés par la brise marine, tiennent tant bien que mal, alors que le toit troué offre une vue vers le ciel. Les tables-bancs sont frappés de vieillesse alors que l’école accueille près de 2.500 élèves. Toujours scandalisés, des potaches reviennent sur les circonstances des faits dans leurs discussions.
Sur place, le président de la Fédération nationale des parents d’élèves et d’étudiants du Sénégal n’en revient pas. « Ce sont des images d’horreur qui font mal », a pesté Bakary Badiane accompagné de son vice-président Ngor Faye. Pour lui, il faudra gagner la bataille pour une bonne éducation. « Il faut mettre tout le paquet pour que les enfants soient bien éduqués et bien instruits. Il s’agit de futurs responsables du pays », a-t-il ajouté. M. Badiane a également fustigé la vétusté de certaines classes du lycée, estimant qu’elles doivent disparaitre.
« Par sa propre turpitude, l’opposition s’est elle-même réduite à sa plus simple expression », a déclaré le ministre porte-parole de la présidence de la République, Seydou Guèye. Analysant, sur les ondes de Sud, la situation politique très tendue, il impute la responsabilité à l’opposition […]
ACTUALITE SOCIETE« Par sa propre turpitude, l’opposition s’est elle-même réduite à sa plus simple expression », a déclaré le ministre porte-parole de la présidence de la République, Seydou Guèye. Analysant, sur les ondes de Sud, la situation politique très tendue, il impute la responsabilité à l’opposition notamment par sa dynamique actuelle qui s’articule ainsi: « aucun contenu programmatique, aucune proposition. De la bravade, de l’insulte et de la fabulation ».
« Telle qu’elle fonctionne, cette opposition n’a pas une grande utilité au projet démocratique qui postule la capacité de formuler une proposition alternative au projet qui est mis en œuvre. Dans le cas d’espèce là où nous attendons l’opposition c’est de dire de façon documentée et argumentée que leur proposition est supérieure au Plan Sénégal émergent qui est aujourd’hui le référentiel unique de nos politiques publiques dont les résultats sont tangibles et palpables », argue Seydou Guèye, invité de l’émission « Objection » de ce dimanche.
S’agissant de l’arrestation des opposants, le coordonnateur de la communication de la présidence de la République précise qu’aucun opposant n’est emprisonné. « Des opposants ont été arrêtés suite à une décision de défiance ». Quid de Bara Dolly Mbacké? « Le Monsieur dont vous parlez n’a pas été arrêté pour des questions relatives aux manifestations. Il s’agit d’une situation particulière d’un opposant qui a pris la parole et qui est tombé sous le coup de la loi », souligne-t-il.
Dans les deux cas de figure, poursuit Seydou Guèye, « ce qu’il faut constater c’est que c’est la loi qui s’applique ». « Le droit de manifester n’est pas un problème dans ce pays et la manifestation n’est pas un problème non plus. Les manifestations sont interdites dans le cadre des dispositions prévues par la loi et les règlements qui régissent notre espace public. Cela est une figure imposée par l’Etat de droit : faire tout ce que la loi permet et ne rien faire en deçà ou au-delà », souligne Seydou Guèye qui précise que le « taux de manifestations autorisées avoisine ou dépasse les 90% sur la totalité des demandes de manifestation ».
Les Sénégalais ne sont pas les seuls à subir les affres de la cherté de la vie dans un monde plongé dans les conséquences économiques de la guerre en Ukraine. C’est en substance la réponse servie par Seydou Guèye interpellé sur la flambée des prix. « […]
A LA UNE ACTUALITE SOCIETELes Sénégalais ne sont pas les seuls à subir les affres de la cherté de la vie dans un monde plongé dans les conséquences économiques de la guerre en Ukraine. C’est en substance la réponse servie par Seydou Guèye interpellé sur la flambée des prix.
« La vie est chère partout dans le monde. En France les gens n’ont droit qu’à 5 litres d’huile (au supermarché), on rationne. Nous n’en sommes pas encore à ce niveau. C’est une crise inflationniste », renseigne le ministre porte-parole de la présidence de la République invité de l’émission Objection de ce dimanche sur Sud Fm.
Selon lui, ce qu’il faut apprécier « ce n’est pas le fait de la crise » mais « la qualité et la robustesse des solutions qui sont proposées pour faire face et renforcer la résilience des Sénégalais ».
La gendarmerie nationale vient de mettre hors d’état de nuire une bande de malfaiteurs qui s’activaient dans le vol de bétail et le trafic de chanvre indien dans la localité de Darou Salam keur Massar. Selon le chef d’escadron Moussa Yoro Gueye, le cerveau de la […]
ACTUALITE SOCIETELa gendarmerie nationale vient de mettre hors d’état de nuire une bande de malfaiteurs qui s’activaient dans le vol de bétail et le trafic de chanvre indien dans la localité de Darou Salam keur Massar. Selon le chef d’escadron Moussa Yoro Gueye, le cerveau de la bande est bien connu des services de la gendarmerie, puis qu’il a été récemment élargi de prison. Cette bande, qui s’adonnait au vol de bétail, au trafic de bétail a été appréhendée avec l’aide de la population, qui a joué un rôle de prévention. L’opération a permis, outre l’interpellation de 13 individus, la saisie de chanvre indien, de machine à sous, d’armes blanches, des billets de banque. Regardez :
Une terrible nouvelle pour l’équipe de l’Olympique Club de Youssoufia Basketball (OCY Basketball). Un de leur joueur, le Sénégalais Ibrahima Faye, est décédé vendredi 1er juillet dans un accident de la route survenu à Casablanca. Une information annoncée par le club marocain évoluant en 1re […]
A LA UNE ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEUne terrible nouvelle pour l’équipe de l’Olympique Club de Youssoufia Basketball (OCY Basketball). Un de leur joueur, le Sénégalais Ibrahima Faye, est décédé vendredi 1er juillet dans un accident de la route survenu à Casablanca. Une information annoncée par le club marocain évoluant en 1re Division Nationale Hommes (1DNH), l’équivalent de la D2.
«C’est avec une grande tristesse que nous avons reçu la nouvelle du décès du joueur de l’Olympique Club Youssoufia de basketball Ibrahima, un bon joueur et éduqué». «En cette douloureuse tragédie, nous présentons nos plus sincères condoléances à la famille du défunt, à ses amis, à sa famille et à ses proches», écrit le club.
Plus connu sous le nom d’Ibou Faye, le joueur est un ancien pensionnaire de Pikine Basket Club et de HLM Basket Club (HBC). Il évoluait depuis quelques années comme professionnel au Maroc.
Les hommes du commandant de la brigade de gendarmerie de Podor, l’adjudant-chef Ousmane Ndiaye, ont neutralisé un atypique voleur de bétail, qui vendait les moutons pour la Tabaski à des prix défiant toute concurrence. Une insolite affaire, aux allures de conte de fée, qui risque […]
ACTUALITE SOCIETELes hommes du commandant de la brigade de gendarmerie de Podor, l’adjudant-chef Ousmane Ndiaye, ont neutralisé un atypique voleur de bétail, qui vendait les moutons pour la Tabaski à des prix défiant toute concurrence.
Une insolite affaire, aux allures de conte de fée, qui risque d’être inscrite en lettres capitales dans les annales des records Guinness et dans les registres de la nouvelle compagnie de Podor dirigée par le capitaine Aboubacary Bâ.
D’après Les Échos, tout commence par une folle rumeur qui circule dans la localité et ses environs immédiats : des moutons vendus à des prix dérisoires variant entre…10.000 et 4.000 F par un jeune homme. Un fait ubuesque qui fait le tour des quartiers.
Les habitants sautent alors sur cette occasion en or et se ravitaillent pour la fête. Tandis que d’autres en paient beaucoup dans le but d’effectuer une opération-Tabaski dans d’autres contrées. Le vendeur, satisfait du geste, leur offre un mouton en guise de bonus.
Ce fut la ruée vers le vendeur de moutons de Tabaski. Mais, intrigués par les prix, certains alertent le commandant de brigade de gendarmerie, qui active ses éléments, dont son adjoint Danfakha.
Ces derniers investissent le secteur, mettent en garde les habitants et installent un dispositif de surveillance. Car, le vendeur va incessamment revenir dans le coin pour rééditer son coup. D’autant plus qu’il vient de réaliser un faramineux chiffre d’affaires.
Vendredi dernier, le bonhomme se pointe à nouveau et dépose son baluchon au quartier Thiofy de Podor. Comme d’habitude, il aménage très vite un emplacement pour son troupeau et reprend ses activités de vente.
Alertés, les gendarmes font irruption sur les lieux et interpellent le jeune homme. Ils embarquent aussi le troupeau composé de 20 moutons et retournent à la brigade.
Ils le fouillent et trouvent sur lui une fausse pièce d’identité appartenant à son transporteur-piroguier mauritanien qui l’aidait à traverser le fleuve Sénégal avec les bêtes pour venir à Podor. Les gendarmes lancent la chasse à l’homme, piègent le piroguier mauritanien et lui passent la paire de menottes.
Quatre receleurs du gang, dont deux jeunes femmes ont été interpellés puis placés en garde à vue. Pris de panique, les habitants du patelin qui ont acheté des moutons de Tabaski auprès du vendeur, craignant d’être interpellés à leur tour, ont abandonné les bêtes dans la rue.
Les gendarmes sont parvenus à en récupérer cinq en divagation. Ce qui fait au total 25 moutons. Tout le gang a été présenté devant le tribunal de grande instance de Podor pour association de malfaiteurs, vol commis en réunion et recel portant sur une trentaine de moutons.
Sabodala (SGO) a tiré du sous-sol de Kédougou, quelque 12 tonnes d’or et une d’argent.Le groupe Endeavour Mining, maison mère de la société minière sénégalaise Sabodala Gold Operations, a rendu public, ce vendredi 1 juillet 2022, son rapport de développement durable pour le compte de […]
ACTUALITE SOCIETESabodala (SGO) a tiré du sous-sol de Kédougou, quelque 12 tonnes d’or et une d’argent.Le groupe Endeavour Mining, maison mère de la société minière sénégalaise Sabodala Gold Operations, a rendu public, ce vendredi 1 juillet 2022, son rapport de développement durable pour le compte de l’année 2021.
Ladite société, selon la présentation qui a été faite, ce vendredi, par M. Sy, a produit 391 000 onces d’or, en 2021, soit 12 tonnes et 32 000 onces d’argent soit une tonne, à peu près, en 2021. Ce qui représente, selon lui, ‘’un chiffre d’affaires de 460 milliards de F Cfa’’. Sur cette grosse enveloppe, il a précisé que les 97% soit 447 milliards francs cfa “sont restés au Sénégal’’ dont 280 milliards (paiement à Masawa pour l’achat de minerais) ; 103 milliards aux 600 fournisseurs sénégalais qui travaillent directement avec Sabadola ; 46 milliards à l’État du Sénégal (sous forme de droits, taxes, redevances, et autres contributions sociales et institutionnelles).
En outre, le Dg de la Sgo a aussi fait part, du paiement de dividendes à l’État du Sénégal en 2021 (pour la première fois, depuis le début des opérations de l’entreprise qu’il dirige. Des chiffres qui incluent aussi les droits de douane, les taxes pétrolières, la contribution économique locale payée à la Commune de Sabadola qui se chiffre à 700 millions de F Cfa ; les dotations au titre de l’appui institutionnel pour le ministère des Mines, etc…
En terme de statistiques d’emplois, il est révélé que 1063 employés travaillent pour Sgo en 2021 pour une masse salariale de 18 milliards de F Cfa. Parmi ces employés, 95% sont des Sénégalais dont 43% issus de la zone d’impact de la mine (arrondissement ou commune de Sabadola), et 1540 employés qui travaillent pour les sous-traitants de Sgo directement à Sabadola.
Au titre du fonds social, 600 millions de F Cfa ont été investis en 2021, notamment dans la construction du Centre de santé de Bambaraya et d’une unité de transformation de céréales à Tenkoto, a confié le Dg de Sgo,