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A LA UNE ACTUALITE SOCIETEUne séance de dégustation de «Mbaxal» entre des jeunes filles constituées en majorité d’élèves a finalement viré à une partie d’usage collectif de chanvre indien. Au nombre de quatre, les filles ont été d’ailleurs déférées au parquet. F.F. Diop âgée de 19 ans, B. Diallo […]
ACTUALITE FAIT DIVERSUne séance de dégustation de «Mbaxal» entre des jeunes filles constituées en majorité d’élèves a finalement viré à une partie d’usage collectif de chanvre indien. Au nombre de quatre, les filles ont été d’ailleurs déférées au parquet.
F.F. Diop âgée de 19 ans, B. Diallo (18 ans) et Nd. Ndiaye, toutes élèves, ainsi que leur amie M. Ndao croupissent actuellement en prison pour détention et usage de chanvre indien. Elles ont été déférées au parquet par les limiers du commissariat de Police de la Médina.
D’aprés L’As, le 28 juin dernier, les filles, au nombre de 05, s’étaient donné rendez-vous au domicile de leur amie vendeuse pour déguster un bon plat de «Mbaxal». Mais ce n’était qu’un prétexte pour la bande des 05 pour griller tranquillement leurs joints de chanvre indien. En effet, un des membres de la bande du nom de F .B .B avait un paquet rempli de cornets de chanvre indien et de pions. Dès qu’elles se sont retrouvées seules, les jeunes filles ont commencé à griller les joints. Elles en avaient déjà utilisé 22. Habitués à roder de jour comme de nuit dans le quartier, les limiers de la Médina effectuent une descente inopinée au domicile de M. Ndao.
Là, les hommes du commissaire Abdou Sarr tombent des nues en entrant dans la chambre où ils sont accueillis par l’odeur du chanvre avant de découvrir 22 cornets de chanvre déjà consommés, et des comprimés de drogue. Cueillies et conduites au poste de Police, les mis en cause ont tenté de nier les faits. La vendeuse M. Ndao soutient que toutes ses amies ont fumé du chanvre indien et que c’est F.B.B qui a apporté la drogue. Un aveu partagé par Nd. Ndiaye. Seulement, leurs autres copines (B. Diallo et F.F. Diop) ont battu en brèche ces allégations. N’empêche, les quatre filles ont été placées en garde à vue avant d’être déférées au parquet pour détention et usage collectif de chanvre indien.
Les Sénégalais repartiront aux urnes le 31 juillet. Ils vont élire pour cinq ans les 165 députés de l’Assemblée nationale. A moins d’un mois des législatives, nous vous présentons cinq chiffres majeurs de l’élection. Source : L’Observateur.7 millions : le nombre de Sénégalais appelés aux urnes […]
A LA UNE ACTUALITE POLITIQUELes Sénégalais repartiront aux urnes le 31 juillet. Ils vont élire pour cinq ans les 165 députés de l’Assemblée nationale. A moins d’un mois des législatives, nous vous présentons cinq chiffres majeurs de l’élection. Source : L’Observateur.
7 millions : le nombre de Sénégalais appelés aux urnes le 31 juillet.
8 : les listes de candidats pour occuper les 165 sièges de l’Hémicycle qui sont en jeu.
7000 : le total des lieux de vote prévus, pour permettre aux citoyens d’accomplir leur devoir. Ces lieux de vote abriteront 15 500 bureaux.
300 000 : le nombre de Sénégalais établis à l’étranger appelés à voter le 31 juillet. Ils sont répartis dans 750 bureaux de vote de 350 lieux de vote.
20 : la durée de la campagne électorale. Celle-ci débute dimanche 10 juillet pour prendre fin le vendredi 29. Durant cette période, les candidats essayeront de convaincre les électeurs avec l’espoir d’obtenir leurs suffrages.
Boubacar Bao alias «Akad» et Ousseynou Touré dit «Diaz» sont dans de beaux draps. Ils ont été placés sous mandat de dépôt, jeudi dernier. Libération, qui donne l’information dans son édition de ce samedi, précise que Akad est poursuivi pour association de malfaiteurs et offense […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEBoubacar Bao alias «Akad» et Ousseynou Touré dit «Diaz» sont dans de beaux draps. Ils ont été placés sous mandat de dépôt, jeudi dernier.
Libération, qui donne l’information dans son édition de ce samedi, précise que Akad est poursuivi pour association de malfaiteurs et offense au chef de l’Etat. Il a été aperçu dans une vidéo Tik Tok où il insulte le Président Macky Sall en échangeant avec la personne qui le filmait.
Le journal informe que Diaz est envoyé en prison pour complicité d’offense au chef de l’Etat. Il a été arrêté en possession du téléphone ayant servi à la réalisation de la vidéo incriminée.
Pire pour lui, les policiers ont trouvé dans l’appareil d’autres contenus où le chef de l’Etat est la cible d’insultes. Il a nié en être l’auteur.
Face aux enquêteurs, Akad a reconnu les faits qui lui sont reprochés et confié aux policiers sa haine contre Macky Sall. Avec son complice présumé, il s’expose au fameux article 80 du Code pénal.
Les dirigeants de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) se réunissent lors d’un sommet très attendu dimanche à Accra au Ghana et doivent statuer sur les sanctions concernant le Mali, la Guinée et le Burkina Faso, trois pays théâtre de coups […]
A LA UNE ACTUALITE POLITIQUE
Les dirigeants de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) se réunissent lors d’un sommet très attendu dimanche à Accra au Ghana et doivent statuer sur les sanctions concernant le Mali, la Guinée et le Burkina Faso, trois pays théâtre de coups d’Etat.
Les leaders ouest-africains, qui entendent peser pour un retour rapide des civils au pouvoir, vont se pencher sur les vigoureuses mesures de rétorsion commerciales et financières infligées au Mali depuis janvier, et sur celles, moins lourdes, du Burkina Faso et de la Guinée.
Le Mali, pays pauvre et enclavé, exsangue d’un conflit qui dure depuis plus d’une décennie, est confronté à un embargo sur les transactions commerciales et financières, hors produits de première nécessité.
Le Burkina, autre pays sahélien pris dans la tourmente jihadiste, et la Guinée ne sont pour l’heure que suspendus des organes de la Cédéao. Mais les juntes en place entendent y rester trois ans et exposent leur pays à un durcissement des sanctions.
D’âpres négociations sont en cours depuis des mois entre la junte militaire au Mali et la Cédéao mais elles n’ont jusque-là pas abouti à un compromis.
Le dernier sommet, le 4 juin, a ainsi accouché d’une souris: aucune décision n’a été prise sur les sanctions à l’encontre des régimes putschistes, et la Cédéao s’est donné un mois de plus pour négocier et s’entendre sur une levée ou un maintien des sanctions.
Entre temps, le médiateur Goodluck Jonathan, ancien président du Nigeria, est venu vendredi à Bamako rencontrer les autorités militaires. Si rien n’a officiellement filtré des échanges, un membre de son entourage a indiqué à l’AFP que « le Mali a fait d’énormes progrès ».
Même s’il reste « quelques réglages à faire », la junte malienne « fait du bon travail », a-t-il ajouté.
Les autorités ont annoncé mercredi un calendrier électoral fixant la présidentielle à février 2024, le référendum constitutionnel à mars 2023, et les législatives entre octobre et novembre 2023.
Il vient compléter l’adoption le 17 juin d’une nouvelle loi électorale: autant de prérequis indispensables pour la Cédéao dans l’optique d’une levée des sanctions infligées le 9 janvier au pays pour stopper le projet des militaires de gouverner cinq années.
Un potentiel point de blocage dans les négociations peut néanmoins subsister dans la porte désormais ouverte, par la nouvelle loi électorale, d’une candidature d’un militaire à une élection présidentielle.
Reste qu’à Bamako, le sommet de dimanche est porteur d’espoir, « surtout à l’approche de la Tabaski (nom ouest-africain de la fête musulmane de l’Aïd al-Adha) », à la fin de la semaine prochaine, sourit un vendeur de bétail. Les sanctions ont largement impacté l’économie malienne, déjà éprouvée par dix ans de conflit.
– « voie du compromis » –
L’Afrique de l’Ouest a vu se succéder les coups de force en moins de deux ans: putsch le 18 août 2020 à Bamako, nouveau fait accompli parachevant le premier le 24 mai 2021, putsch le 5 septembre 2021 à Conakry, et putsch le 24 janvier 2022 à Ouagadougou.
La Cédéao, alarmée du risque de contagion dans une région vulnérable, multiplie les sommets, les médiations et les pressions pour accélérer le retour des civils à la direction de ces pays.
Au Burkina Faso, la Cédéao a nommé un médiateur malgré son « inquiétude » devant les 36 mois prévus pour la transition. « Nous sommes sur la voie du compromis » avec ce pays, a dit à l’AFP un diplomate de la sous-région.
Le médiateur, l’ancien président du Niger Mahamadou Issoufou, doit se rendre à Ouagadougou vendredi en amont du sommet. Un calendrier électoral, présenté par la junte aux partis mercredi, doit lui être proposé.
Il « porte sur deux aspects: la restauration de la sécurité et l’organisation des élections pour le retour à un ordre constitutionnel normal », a dit le Premier ministre Albert Ouedraogo.
Pour l’ancien parti au pouvoir, la présentation de ce calendrier est, selon son président Alassane Bala Sakandé, « du spectacle pour la Cédéao ». Plusieurs sources proches de l’organisation saluent, elles, cette recherche apparente de compromis.
En Guinée, pays qui a refusé jusqu’alors la venue d’un médiateur, la junte a acté une durée de transition de 36 mois. Un délai qualifié d' »impensable » par le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall, président en exercice de l’Union africaine.
« La Cédéao va devoir prendre des mesures », avait-il dit.
L’organisation avait exprimé lors du dernier sommet « ses graves inquiétudes » devant les tensions politiques, et pressé les autorités d’établir un cadre de dialogue avec les acteurs politiques et la société civile.
Lundi, comme un premier pas, le gouvernement a reçu les principales formations politiques en vue d’engager un dialogue. Plusieurs partis ont conditionné leur participation à la nomination d’un médiateur ouest-africain.
Arrêté à 5 556,7 milliards FCFA en 2022, le Budget du Sénégal devrait dépasser les 6 000 milliards FCFA en 2023. D’après Le Soleil, l’information émane du Ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo, qui passait devant les parlementaires, ce jeudi 30 juin, […]
A LA UNE ACTUALITE SOCIETEArrêté à 5 556,7 milliards FCFA en 2022, le Budget du Sénégal devrait dépasser les 6 000 milliards FCFA en 2023.
D’après Le Soleil, l’information émane du Ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo, qui passait devant les parlementaires, ce jeudi 30 juin, à l’occasion du débat d’orientation budgétaire de 2022.
Ainsi, de 2 452 milliards FCFA en 2012, le Budget du pays sera triplé, en l’espace d’une décennie. Une forte progression qui, selon le Ministre des Finances, en dit long sur les ambitions du Chef de l’Etat et de son Gouvernement.
De manière plus détaillée, Abdoulaye Daouda Diallo renseigne que la tendance haussière du budget est gagée sur les performances liées aux réformes engagées depuis 2012 dans le cadre de la gestion des finances publiques et du renforcement des bases structurelles de l’économie.
Ce, à travers notamment la mise en œuvre du PSE, qui a permis la réalisation d’importantes infrastructures sociales, mais aussi des programmes structurants de construction d’infrastructures économiques stratégiques, en particulier, dans les secteurs des transports et des services énergétiques, qui doivent servir de base pour soutenir la croissance.
Ce qui, poursuit-il, s’est traduit par des progrès appréciables, notamment le relèvement du revenu per capita, c’est-à-dire le revenu national brut divisé par le nombre d’habitants, qui est passé de 1 238 dollars US en 2015 à 1 467 dollars US en 2020 (par convention, cet indicateur est calculé en dollars US pour faciliter les comparaisons internationales).
Au même moment, le Ministre fait noter que le taux de pauvreté a baissé de cinq points, passant de 42.8% en 2011 à 37.8% en 2018/2019. Même chose pour ce qui est de la lutte contre la l’extrême pauvreté où les résultats sont encore plus encourageants, avec un taux passé de 12.2% en 2011 à 6.8% en 2018/2019.
Les ouvriers sénégalais travaillant dans le chantier de l’autoroute à péage Mbour–Fatick n’en peuvent plus de l’attitude de leurs employeurs chinois de la CRBC. Déjà, 25 des leurs ont été licenciés pour diverses raisons qui s’assimilent à leurs yeux à du travail forcé pour ne […]
A LA UNE ACTUALITE SOCIETELes ouvriers sénégalais travaillant dans le chantier de l’autoroute à péage Mbour–Fatick n’en peuvent plus de l’attitude de leurs employeurs chinois de la CRBC. Déjà, 25 des leurs ont été licenciés pour diverses raisons qui s’assimilent à leurs yeux à du travail forcé pour ne pas dire de l’esclavage.
En arrêt de travail hier (jeudi) matin, ils exigent la signature dans les plus brefs délais d’un protocole d’accord avec leurs employeurs comme suggéré par l’Inspection du Travail. Face à la dégradation continue de leurs conditions de travail, ces ouvriers interpellent directement le Gouvernement sénégalais.
La colère monte sur le chantier du tronçon Mbour-Kaolack de l’autoroute à péage. Hier, les ouvriers sénégalais qui y officient ont observé un arrêt de travail pour s’offusquer notamment de ce qu’ils considèrent comme un chantage exercé sur eux par leurs employeurs chinois qui ont affiché la volonté de leur faire travailler désormais les dimanches, donc tous les jours de la semaine.
Une énième « provocation » qui les a fait sortir de leurs gongs, disent-ils. C’est qu’en réalité, ces travailleurs sénégalais disent avoir le sentiment d’être soumis à du travail forcé, pour ne pas dire de l’esclavage. « Après quatre missions de l’Inspection du Travail sur ce chantier, la signature d’un protocole d’accord a été envisagée.
Le Directeur s’était même engagé à finaliser ledit protocole dans un délai de cinq jours, mais c’est comme si cet accord devait être la source de tous nos maux car depuis cette date, les Chinois sont devenus étourdis dans leurs pratiques irrespectueuses .
C’est ainsi qu’ils ont commencé à licencier tous ceux qui ont eu le courage de s’opposer au travail du dimanche. Déjà 25 d’entre nous sont menacés de licenciement pour ce motif. Un des nôtres ayant déjà travaillé 12 mois ici s’est vu licencier sans motif à la suite d’un accident de travail.
C’est que les Chinois n’ont aucun respect pour nous ainsi que pour les autorités sénégalaises. Maintenant, nous affirmons à qui veut l’entendre que le chantier sera bloqué à jamais si ce protocole d’accord n’est pas signé. Nous sommes prêts à y laisser notre vie », peste Omar Ndiaye, un des porte –parole du jour des travailleurs. Un autre interlocuteur, Mamadou Lamine Ndong, estime que les Chinois agissent comme si nous étions dans un système de travaux forcés.
« Nous ne plierons pour rien face à la volonté des Chinois de nous réduire en esclaves des temps modernes. C’est pourquoi nous interpellons directement le Président de la République à prendre ce dossier en main. Les Chinois ne cessent de répandre des accusations de toutes sortes à notre encontre, mais cela ne nous ébranlera point dans notre détermination à améliorer nos conditions de travail et de traitement salarial »
Enfonçant le clou, un travailleur connu sous le nom de Pa Ndiaye, laisse entendre que ses collègues et lui restent déterminés à s’opposer aux employeurs chinois de la CRBC, quitte à « tout foutre en l’air » pour contraindre ces derniers à leur accorder un traitement qui puisse leur garantir une dignité tout simplement.
Ce mouvement d’humeur des ouvriers sénégalais dans les chantiers de la CRBC, de l’autoroute à péage notamment, est le énième du genre. Aujourd’hui, l’Etat du Sénégal qui a confié ces travaux à la société nationale chinoise chargée des travaux publics, est plus que jamais interpellé face aux multiples cas de violation des dispositions élémentaires de la législation du travail en vigueur dans notre pays.
Le Témoin
S’il ne s’agit pas d’un flop total, le deuxième concert de casseroles initié par Ousmane Sonko hier, jeudi, n’a pas eu le même succès que le premier d’il y a une semaine. A l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), le mot d’ordre a été suivi, mais […]
ACTUALITE POLITIQUES’il ne s’agit pas d’un flop total, le deuxième concert de casseroles initié par Ousmane Sonko hier, jeudi, n’a pas eu le même succès que le premier d’il y a une semaine. A l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), le mot d’ordre a été suivi, mais la manifestation a viré à l’Intifada.
D’après L’Observateur de ce vendredi, les urgences du service médical de l’UCAD étaient débordées. Le journal affirme avoir constaté des corps ensanglantés, des visages défigurés et des doigts sectionnés.
A l’origine du basculement, d’après la même source, la coïncidence entre le concert de casseroles et les «72 heures» de l’Association des étudiants ressortissants de Casamance nommé Kekendo.
A 20 heures 15, armés d’ustensiles de cuisine et de vuvuzelas, un groupe d’étudiants prend d’assaut le pavillon E pour répondre à l’appel de Sonko. Problème : à quelques mètres de là, au terrain de l’UCAD, les membres de Kekendo faisaient la fête au rythme des sonorités de leur terroir.
Constant que le bruit des casseroles gênait leur musique, ils ont demandé aux manifestants de s’éloigner. Ce que ces derniers ont refusé de faire. Ils recevront une pluie de pierres à laquelle ils ripostèrent.
C’était le chaos. Les étudiants couraient dans tous les sens, d’après L’Observateur.