Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, a réitéré son intention de quitter ses fonctions le 2 avril, date qui marque la fin de son mandat. Cette affirmation a été renouvelée dans un message publié sur les réseaux sociaux, où il a souligné […]
ACTUALITE POLITIQUESon communiqué : « Je pense que le verdict est incorrect. Je suis triste, choqué et navré que tout ce que j’ai construit au cours de ma carrière de joueur professionnel m’ait été retiré.Je n’ai jamais pris sciemment ou délibérément de compléments qui violeraient les […]
ACTUALITE SPORTSUne pirogue de migrants a chaviré ce mercredi au large de Saint-Louis, causant la mort d’une vingtaine de personnes. Après ce drame, le président Macky Sall a réagi et présenté ses condoléances aux familles éplorées. Il annone également un soutien aux familles des victimes. “C’est […]
ACTUALITE SOCIETEIl a été rapporté la présence de nervis dans le campus social, ce qui serait à l’origine de la bagarre entre des étudiants. Le COUD botte en touche et apporte des précisions de taille. « C’est une information infondée et archi fausse, il n’a jamais été […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEIl a été rapporté la présence de nervis dans le campus social, ce qui serait à l’origine de la bagarre entre des étudiants. Le COUD botte en touche et apporte des précisions de taille.
« C’est une information infondée et archi fausse, il n’a jamais été question de nervis dans l’enceinte du campus social. En réalité, ce sont les étudiants du MEER et les pro Sonko qui se bagarraient. Les agents de la sécurité sont intervenus pour les séparer et malheureusement, l’un d’entre eux a été blessé à la tête et transféré à l’hôpital », a fait savoir notre source.
A l’en croire, « le COUD a toujours travaillé avec des agents de sécurité qui veillent au grain et à la quiétude du campus social. Je suis désolé que ceux qui ont véhiculé cette fausse information n’aient pas recoupé et/ou appelé, ne serait-ce que le COUD pour s’assurer de la véracité de l’information », s’est désolé notre interlocuteur.
Pour rappel, il a été signalé la présence de nervis dans le campus social, ce qui serait à l’origine de la bagarre entre étudiants du MEER et pro Sonko.
Le juge du Tribunal des flagrants délits s’est déclaré incompétent dans l’affaire Serigne Assane Mbacké. Le procès de Serigne Assane Mbacké va certainement se tenir en chambre criminelle. En effet, le Juge du tribunal des flagrants délits s’est déclaré incompétent pour trancher l’affaire. Le procureur, […]
ACTUALITE FAIT DIVERS SOCIETELe juge du Tribunal des flagrants délits s’est déclaré incompétent dans l’affaire Serigne Assane Mbacké.
Le procès de Serigne Assane Mbacké va certainement se tenir en chambre criminelle. En effet, le Juge du tribunal des flagrants délits s’est déclaré incompétent pour trancher l’affaire.
Le procureur, de son côté, souhaite que l’affaire soit jugée devant la chambre criminelle et non en flagrant délit. Il va donc enclencher ladite procédure, renseigne la Rfm.
Serigne Assane mbacké Khelcom et ses co-prévenus sont poursuivis pour actes contre nature, corruption et détournement de mineurs.
L’Association des gérants de stations-service ont fait face à la presse pour dénoncer les saccages de leurs biens à chaque manifestation. En mars 2021, ils ont perdu plus d’1 milliard 100 millions F CFA et plus de 454 personnes ont perdu leur travail, malgré le […]
ACTUALITE SOCIETELe mot d’ordre est donné. Le Président du Pastef, Ousmane Sonko a demandé aux Sénégalais d’organiser un concert de casseroles et klaxons, ce mercredi de 20 heures à 20 heures 10 mn pour protester contre le régime de Macky Sall. Pourtant, ces genres de pollution […]
ACTUALITE SOCIETELe mot d’ordre est donné. Le Président du Pastef, Ousmane Sonko a demandé aux Sénégalais d’organiser un concert de casseroles et klaxons, ce mercredi de 20 heures à 20 heures 10 mn pour protester contre le régime de Macky Sall. Pourtant, ces genres de pollution sonore pourraient déclencher l’hypertension artérielle et les troubles cardiovasculaires.
Les bruits ont des effets adverses insoupçonnés sur la santé humaine. En réalité, la pollution sonore est sur le registre des risques pour la santé. Du moins, c’est ce que révèle une étude de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) publiée en 2014.
Impact auditif
Les bruits, en fonction de leur intensité, agissent de manière directe sur l’audition. L’exposition à certains degrés produit des effets nuisibles sur la santé. Le son est produit par une variation de la pression de l’air. Physiquement, un bruit se compose d’un ensemble de sons. Physiologiquement, un bruit est le plus souvent associé à une gêne. En fait qu’est-ce qu’un bruit ? C’est un « son qui produit une sensation auditive considérée comme désagréable, gênante ou dangereuse pour la santé. Chaque personne possède sa propre perception du bruit qui dépend de composants multiples liés au contexte, à l’histoire personnelle et culturelle ».
Le son est le produit d’une vibration acoustique caractérisée par son intensité (de faible à fort, exprimée en décibels et quantifiant le niveau de pression), sa fréquence (mesurée en hertz) ayant une incidence sur la tonalité (grave ou aiguë) et sa durée.
Destruction des cellules ciliées de l’oreille
Une exposition prolongée aux bruits intenses (musique, concerts) détruisent progressivement les cellules ciliées de l’oreille interne et conduit à une surdité irréversible, car ces cellules ne se régénèrent pas. D’ailleurs, il a été démontré que des troubles auditifs peuvent être observés suite à une exposition. Mais au-delà de ces effets constatés sur l’audition, c’est aussi le développement d’autres nuisances sonores qui affectent notre bien-être comme notre santé.
Des effets sur le système cardiovasculaire
D’autres études ont établi la corrélation entre l’exposition aux bruits et le déclenchement des effets physiologiques chez l’individu. Une étude rendue publique en février 2019 menée par l’Observatoire du bruit (Bruitparif) indique que, rapportée à l’individu, la pollution sonore fait perdre en moyenne 10,7 mois de vie en bonne santé (du fait du bruit cumulé des transports par individu au cours d’une vie entière, au sein de la zone dense francilienne). Cette étude s’est basée sur l’indicateur de l’OMS, DALY – Disability-Adjusted Life Years), qui permet de quantifier les années de vie en bonne santé perdues à cause de pathologies entraînées par la pollution sonore).
De plus, selon une étude publiée dans la revue European Heart Journal, en juin 2015, le bruit pourrait aussi avoir des effets sur le système cardiovasculaire. A court terme, il peut augmenter la tension artérielle et temporairement le rythme cardiaque. D’autant plus que le bruit engendre la sécrétion d’hormones de stress (le cortisol par exemple), favorisant un peu plus à l’hypertension et autres troubles cardiovasculaires. C’est pour prévenir ces effets néfastes que les émissions de bruit sont encadrées dans plusieurs pays.
Ce que prévoit la loi
La pollution sonore est punie par le Code de l’environnement du Sénégal. La preuve, la loi n° 2001- 01 du 15 janvier 2001 portant code de l’environnement dispose, en son article L84, que « sont interdites les émissions de bruits susceptibles de nuire à la santé de l’homme, de constituer une gêne excessive pour le voisinage ou de porter atteinte à l’environnement. Les personnes physiques ou morales à l’origine de ces émissions doivent mettre en œuvre toutes les dispositions utiles pour les supprimer. Lorsque l’urgence le justifie, le Ministre chargé de l’Environnement (…) doit prendre toutes mesures exécutoires destinées d’office à faire cesser le trouble. »
En conséquence, toute personne qui ne respecte pas cette disposition s’expose à une amende allant de 500.000 francs CFA à 2.000.000 F CFA. « Le décret n° 2001 – 282 du 12 avril 2001 portant application du Code de l’environnement, en son article R 84, précise que « les seuils de bruit à ne pas dépasser sans exposer l’organisme humain à des conséquences dangereuses sont de cinquante-cinq (55) à soixante (60) décibels le jour et de quarante (40) décibels la nuit. », rappelle Dr Diomaye Dieng, enseignant-chercheur, à l’Institut des sciences de l’environnement à la Faculté des sciences et techniques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le chimiste environnementaliste avance que la pollution sonore est bien encadrée au Sénégal. « Le respect du Code de l’environnement s’impose à tout citoyen responsable et soucieux d’une bonne gestion du cadre de vie », conclut-il.
C’est un massacre indescriptible qui a été perpétré par les terroristes au Mali. L’attaque a fait plus de 130 victimes. Le Gouvernement de la République du Mali a informé ce lundi, les populations des villages de Diallassagou, Dianweli, Deguessagou et environs dans le Cercle de […]
ACTUALITEC’est un massacre indescriptible qui a été perpétré par les terroristes au Mali. L’attaque a fait plus de 130 victimes.
Le Gouvernement de la République du Mali a informé ce lundi, les populations des villages de Diallassagou, Dianweli, Deguessagou et environs dans le Cercle de Bankass, ont fait l’objet d’attaques terroristes «lâches et barbares, dans la nuit du 18 au 19 juin 2022.»
Le bilan cumulé fait état de 132 civils froidement tués par les combattants de la Katiba du Macina de Amadou Kouffa dont plusieurs, parmi les auteurs, ont été formellement identifiés.
Le Gouvernement malien assure que ses forces de défense «continueront avec détermination la dynamique de recherche et de destruction des sanctuaires terroristes.»
Alors qu’on n’a pas encore fini d’épiloguer sur l’affaire A. D, enfant de 5 ans retrouvée morte à Sébikotane, et dont la tante a avoué être l’auteure, un cas d’enlèvement défraie la chronique à Rufisque. Cette-fois ci, c’est à Arafat Bar où le nommé A. […]
SOCIETEAlors qu’on n’a pas encore fini d’épiloguer sur l’affaire A. D, enfant de 5 ans retrouvée morte à Sébikotane, et dont la tante a avoué être l’auteure, un cas d’enlèvement défraie la chronique à Rufisque.
Cette-fois ci, c’est à Arafat Bar où le nommé A. Mbengue, 45 ans, est arrêté et placé en garde à vue, depuis le 9 juin dernier, au commissariat de Rufisque-Est, pour tentative d’enlèvement, violences et voies de fait à personne vulnérable.
D’après Libération, l’homme, se présentant comme un maçon, a été aperçu entrant dans un bâtiment inachevé avec une fillette, répondant au nom de F. T. Guèye et âgée de 4 ans, qui avait l’air très apeuré.
Devant les enquêteurs, le mis en cause a prétendu que la fillette lui avait demandé de l’argent et parce qu’il n’avait pas de monnaie, il aurait proposé à cette dernière de la suivre à la boutique.
Et d’ajouter que c’est en cours de route que F. T. Guèye lui aurait dit qu’elle voulait se soulager. C’est ainsi qu’il lui a fait entrer dans ce bâtiment en construction.
Faux, rétorque la fillette. Elle a expliqué aux enquêteurs qu’elle était en train de jouer avec un petit garçon lorsqu’A. Mbengue l’a prise par la main pour l’amener dans ce bâtiment avant de lui asséner des coups au niveau du ventre.
Selon toujours Libération, même si aucune trace d’attouchement ou de pénétration n’a été détectée, tout semble indiquer que telle serait la motivation d’A. Mbengue actuellement entre les mains de Dame justice.
La tension ne retombe pas à Ziguinchor. Yewwi et les Patriotes qui ne décolèrent toujours pas, comptent remettre ça vendredi dans la capitale du Sud. Motifs invoqués ? D’après Vox Populi, une protestation contre le rejet de la liste des titulaires de Yewwi aux législatives du 31 juillet […]
ACTUALITE SOCIETELa tension ne retombe pas à Ziguinchor. Yewwi et les Patriotes qui ne décolèrent toujours pas, comptent remettre ça vendredi dans la capitale du Sud.
Motifs invoqués ? D’après Vox Populi, une protestation contre le rejet de la liste des titulaires de Yewwi aux législatives du 31 juillet et une 3e candidature de Macky Sall.
L’itinéraire est le même : du terrain Jatir de Lyndiane au rond-point Aline Sitoe Diatta.
A signaler que la région de Ziguinchor a payé le lourd tribut des manifestations réprimées par les forces de défense et de sécurité avec deux de ses fils tués à Bignona et Ziguinchor.
L’homme fort de Gueum sa Bopp compte se pencher sur l’actualité politique qui secoue le sénégal ces derniers temps.Une affaire à suivre….
ACTUALITE POLITIQUEL’homme fort de Gueum sa Bopp compte se pencher sur l’actualité politique qui secoue le sénégal ces derniers temps.
Une affaire à suivre….
A un mois des élections législatives (31 juillet), l’espace public sénégalais est marqué par des frictions. La faute au rejet de la liste des titulaires de la principale coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi pour les prochaines échéances électorales. Un scénario qui a poussé les leaders […]
ACTUALITE POLITIQUEA un mois des élections législatives (31 juillet), l’espace public sénégalais est marqué par des frictions. La faute au rejet de la liste des titulaires de la principale coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi pour les prochaines échéances électorales.
Un scénario qui a poussé les leaders de ce mouvement à inviter leurs militants à battre le pavé durant deux vendredi successifs entraînant ce 17 juin des heurts entre forces de l’ordre et manifestants.
Dans l’espoir de ramener les uns et les autres à de meilleurs sentiments, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, a tenu à lancer un appel au calme à la classe politique sénégalaise :« Depuis des semaines, le monde observe le Sénégal. Notre pays doit continuer d’être un État de droit respectueux des libertés individuelles et collectives, de sa Constitution et des lois et attaché à son unité nationale. Discutons pour pacifier le champ politique ».
Des hommes armés ont tué au moins 20 civils samedi dans plusieurs localités situées près de la ville de Gao dans le nord du Mali, régulièrement touché par des violences, ont déclaré dimanche à l’AFP des responsables policiers et une autorité locale. « Des terroristes criminels […]
ACTUALITE SOCIETEDes hommes armés ont tué au moins 20 civils samedi dans plusieurs localités situées près de la ville de Gao dans le nord du Mali, régulièrement touché par des violences, ont déclaré dimanche à l’AFP des responsables policiers et une autorité locale.
« Des terroristes criminels ont assassiné samedi au moins vingt civils dans plusieurs hameaux de la commune d’Anchawadj », à quelques dizaines de kilomètres au nord de Gao, a assuré par téléphone à l’AFP un responsable de la police de la région sous couvert d’anonymat.
Un autre responsable policier à Bamako, également sous couvert de l’anonymat, a confirmé à l’AFP « l’assassinat samedi d’une vingtaine de civils à Ebak à 35 km au nord de Gao, et dans des localités voisines », évoquant « un acte perpétré par des criminels armés ».
« Les jihadistes ont assassiné samedi 24 civils dans la commune de Anchawadj. C’est la panique générale », a pour sa part affirmé une autorité locale à l’AFP.
Aucune autre source n’a confirmé que les jihadistes étaient les auteurs des attaques.
L’élu de la région de Gao, l’une des principales villes du nord du pays, décrit « une situation très préoccupante dans la commune d’Anchawadj » et de nombreux civils fuyant les exactions « des jihadistes » dans les villages voisins.
La région de Gao est le théâtre de violences depuis le début du conflit en 2012, quand des groupes armés rebelles s’étaient levés contre Bamako. Ils ont signé en 2015 un accord de paix avec le Mali, qui peine toujours à être appliqué.
Outre ces groupes armés désormais ex-rebelles, des groupes jihadistes –affiliés à Al-Qaïda et à l’organisation Etat islamique — opèrent dans la zone, combattant contre les symboles de l’Etat, ceux qu’ils accusent de le soutenir, ainsi qu’entre eux pour le contrôle des territoires et l’influence.
Des trafiquants et autres bandits sont également présents dans cette région désertique où l’Etat est presque inexistant.
La situation sécuritaire s’est récemment « fortement détériorée » dans la région de Gao, et celle de Ménaka plus à l’est à la frontière avec le Niger, a indiqué dans son dernier rapport le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.