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ACTUALITE SOCIETE« C’est pour désengorger les prisons et éviter les longues détentions que l’État a procédé ces derniers jours à la libération des détenus », a expliqué, hier, le ministre de la Justice Aïssata Tall Sall lors de sa conférence de presse. Au lendemain de cette […]
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ACTUALITE justiceSuite au verdict rendu, ce mardi 24 mai 2022, par le Conseil constitutionnel qui a pris le contre-pied de la Direction générale des élections (Dge) concernant la liste départementale de Yewwi Askan Wi à Dakar, l’ancien président du groupe parlementaire de BBY Moustapha Diakhaté estime […]
ACTUALITE SOCIETESuite au verdict rendu, ce mardi 24 mai 2022, par le Conseil constitutionnel qui a pris le contre-pied de la Direction générale des élections (Dge) concernant la liste départementale de Yewwi Askan Wi à Dakar, l’ancien président du groupe parlementaire de BBY Moustapha Diakhaté estime que « Il n’y a aucun fondement légal pour rejeter la décision de la DGE portant invalidation de la liste non paritaire de Coalition de Yewwi Askan wi. »
In extenso sa publication !
« Au Sénégal le ridicule ne tue pas au Conseil constitutionnel
Le Juge constitutionnel outrepasse ses prérogatives et immole la Loi électorale. Il n’y a aucun fondement légal pour rejeter la décision de la DGE portant invalidation de la liste non paritaire de Coalition de Yewwi Askan wi. Avec une si illégale décision les Conseil constitutionnel autorise désormais les politiciens sénégalais à se prévaloir de leur propre turpitude.Plus simplement, cela signifie que des politiciens peuvent, à partir de cette décision, utiliser en leurs faveurs, des fautes ou erreurs qu’ils ont commises.En vertu du code électoral et de la Loi sur la parité, le non respect de la parité est une cause absolue d’irrecevabilité d’une liste sans appel.L’absence de parité résulte de l’incompétence des mandataires des coalitions et non d’un quelconque manquement de la Direction générale des élections
Parler de vide juridique est une supercherie. La Loi électorale ne prévoit ni démission ni désistement encore moins de remplacement à l’exception des cas d’inéligibilité ou de décès.Manifestement, le Conseil constitutionnel a cédé à la terreur et aux menaces.
La Dge forte des dispositions pertinentes du Code électoral et de la Loi sur la parité doit classer sans suite l’illégale décision du Conseil constitutionnel sur la validation de la liste départementale de yewwi askan wi.En vertu des pouvoirs dont il dispose et garant du bon fonctionnement des institutions, le Président de la République doit prendre toutes mesures utiles y compris la dissolution du Conseil constitutionnel et la poursuite des auteurs de cette forfaiture.En tout état de cause, seules listes qui sont en règle doivent participer aux élections législatives du 31 juillet 2022. »
Moustapha Diakhate
Bougane appelle les populations à descendre dans la rue « J’appelle tous les sénégalais soucieux de l’avenir de notre pays et de nos institutions de nous rejoindre pour faire cesser le projet d’accaparement et de manipulation de nos institutions. Le combat contre le régime de Macky […]
ACTUALITE POLITIQUEBougane appelle les populations à descendre dans la rue « J’appelle tous les sénégalais soucieux de l’avenir de notre pays et de nos institutions de nous rejoindre pour faire cesser le projet d’accaparement et de manipulation de nos institutions. Le combat contre le régime de Macky Sall se fera dans la rue » ,a fait savoir le président Bougane sur sa page Facebook.
Son état de santé l’avait éloigné des écrans de la télé, le grand humoriste Abdoulaye Ndiaye est finalement décédé. Imitant avec brio les voix de grands noms de la culture sénégalaise comme américaine, »Ndiaye », comme il était affectueusement appelé, s’était imposé dans le quotidien des […]
ACTUALITE SOCIETESon état de santé l’avait éloigné des écrans de la télé, le grand humoriste Abdoulaye Ndiaye est finalement décédé.
Imitant avec brio les voix de grands noms de la culture sénégalaise comme américaine, »Ndiaye », comme il était affectueusement appelé, s’était imposé dans le quotidien des sénègalais de par ses talents de comique.
Noyés dans les eaux du fleuve Sénégal dans la nuit du samedi au dimanche, les corps des trois garçons sont toujours introuvables malgré les recherches actives et coordonnées des marines mauritaniennes et sénégalaises. De retour d’un concert organisé à Diowol Worgo (Sénégal), par la traversée du […]
ACTUALITE SOCIETENoyés dans les eaux du fleuve Sénégal dans la nuit du samedi au dimanche, les corps des trois garçons sont toujours introuvables malgré les recherches actives et coordonnées des marines mauritaniennes et sénégalaises. De retour d’un concert organisé à Diowol Worgo (Sénégal), par la traversée du fleuve Sénégal, six jeunes garçons mauritaniens ont vu leur pirogue chavirer. Trois en sortent sains et saufs alors que leurs trois compagnons sont toujours dans les eaux.
Par Demba NIANG – Partis la nuit du samedi avec leur barque de Diowol Réwo (Mauritanie) pour un concert organisé à l’autre village qui porte le même nom au Sénégal, Diowol Worgo, les six jeunes mauritaniens ne s’attendaient pas à pareil sort : le concert se termine tard la nuit et les six garçons ont vu leur pirogue chavirer dans les eaux du fleuve Sénégal, lors de leur retour à leur localité. Trois des six garçons n’ont pas pu se sauver et restent dans les eaux depuis samedi nuit. Parmi ces trois garçons noyés, deux sont des frères.
Dès l’annonce de la nouvelle par les trois jeunes hommes qui s’en sont sortis vivants, les populations des deux Diowol sont depuis à pied d’œuvre pour repêcher les corps sans vie. Les recherches entamées quelques minutes après la noyade se sont poursuivies jusqu’au dimanche au petit matin par les pêcheurs (soubalbé), qui faisaient la course contre la montre pour retrouver les garçons vivants, en vain. Les marines des deux pays sont entrées en lice dans les recherches dans l’optique de retrouver les trois corps en vue de leur inhumation, mais jusqu’au lundi soir ceux-ci étaient encore introuvables. C’est ce qui a amené les populations des localités riveraines du fleuve, celles de la Mauritanie et Sénégal, à s’associer massivement aux recherches et à alerter les autres localités sur le long du fleuve. Pour les populations de ces deux localités très apparentées, ce qui a été une ambiance de fête le samedi s’est transformée en une atmosphère de deuil et de tristesse.
Dans cette zone, les populations de la Mauritanie et du Sénégal que tout unit (liens de parenté, cérémonies familiales, activités sportives et culturelles et parfois même de nom de village) sont séparées par le fleuve Sénégal et les traversées quotidiennes des personnes et de leurs biens sont incalculables.
La région de Kédougou et le département de Mbour sont devenus des « plaques tournantes » du trafic des migrants et de la traite des personnes. C’est la révélation faite hier, par le substitut du procureur du tribunal de grande instance de Mbour, rapporte l’Aps. […]
ACTUALITE SOCIETELa région de Kédougou et le département de Mbour sont devenus des « plaques tournantes » du trafic des migrants et de la traite des personnes. C’est la révélation faite hier, par le substitut du procureur du tribunal de grande instance de Mbour, rapporte l’Aps. Lors d’un atelier à Saly Portudal, portant sur « La prise en charge du trafic des migrants et des infractions assimilées », François Diouf a expliqué, en effet, que ce sont les deux « zones de départ, de transit ou de destination » de ce fléau. Il souligne que la brigade de gendarmerie de Joal-Fadiouth et la brigade de recherche de Mbour ont procédé à une multitude de déferrements au parquet liés à des faits de trafic de migrants.
Dans ses décisions rendues publiques ce matin, le Conseil constitutionnel a opposé une fin de non-recevoir aux requêtes des coalitions Yewwi Askan Wi et Gueum Sa Bopp qui demandaient le rejet de la liste nationale de Benno Bokk Yakaar.
ACTUALITE POLITIQUEDans ses décisions rendues publiques ce matin, le Conseil constitutionnel a opposé une fin de non-recevoir aux requêtes des coalitions Yewwi Askan Wi et Gueum Sa Bopp qui demandaient le rejet de la liste nationale de Benno Bokk Yakaar.
Une fille âgée dame de 19 ans a été déférée mercredi 18 mai au parquet de Dakar. Elle est poursuivie pour mise en danger de la vie d’autrui, maltraitances commises sur mineur ayant entraîné de graves blessures et une Incapacité temporaire de travail (ITT) de […]
ACTUALITE SOCIETEUne fille âgée dame de 19 ans a été déférée mercredi 18 mai au parquet de Dakar. Elle est poursuivie pour mise en danger de la vie d’autrui, maltraitances commises sur mineur ayant entraîné de graves blessures et une Incapacité temporaire de travail (ITT) de 21 jours.
Nommée M. Diop et habitant à Thiawlène à Rufisque, elle est accusée d’avoir versé de l’huile sur son neveu de 4 ans, G. D.
La famille de la victime voulait étouffer l’affaire et qu’elle avait même lancé une collecte de fonds pour soigner G. D, prétextant qu’il se serait brûlé par inadvertance.
Interrogés par la SU, les parents de l’enfant affirment que «l’accident» se serait produit chez les grands-parents de leur fils. C’était durant le mois de Ramadan, précisément le 12 avril dernier, à l’approche de l’heure de la rupture du jeûne.
Cette version des parents de la victime ne convainc pas les enquêteurs. Ces derniers se demandent, entre autres questions, comment un tel accident à pu se produire sans que M. D, qui tenait la poêle, présente une seule brûlure.
La réquisition faite à l’hôpital de Diamniadio, où l’enfant a été pris en charge, révèle qu’il présentait des brûlures au premier et au second degré sur 15% de son corps. Il a été atteint au visage, au cou et au thorax.
Malgré tous les efforts et engagements des pouvoirs publics qui sont allés même jusqu’à augmenter de 10 milliards le budget alloué à la campagne agricole 2022-2023, celle-ci risque encore de connaître moult désagréments aux yeux de beaucoup de producteurs. Pour cause, la mise en place […]
ACTUALITE SOCIETEMalgré tous les efforts et engagements des pouvoirs publics qui sont allés même jusqu’à augmenter de 10 milliards le budget alloué à la campagne agricole 2022-2023, celle-ci risque encore de connaître moult désagréments aux yeux de beaucoup de producteurs. Pour cause, la mise en place des semences et intrants agricoles qui avance de manière timide, les couacs de la distribution avec la mévente de certains stocks d’engrais, la cherté du dit fertilisant des sols entre autres contribuent de manière sensible à hypothéquer la campagne de cette année. Suffisant pour pousser certains acteurs du monde rural à réclamer le retour des ICS dans le giron national.
DIOURBEL / RETARD DANS LA MISE EN PLACE DES ENGRAIS
Une mévente des stocks souvent notée
La mise en place des engrais accuse souvent du retard dans le monde rural. Les stocks d’engrais ne sont pas épuisés car il y a toujours des réserves d’engrais invendues.
Les producteurs agricoles ont du mal à trouver de l’engrais à temps. Conséquence : l’essentiel des stocks arrivés n’étaient pas totalement vendus aux producteurs agricoles. Pour Ibrahima Diouf Bagnakhé, le Président du syndicat Jappando de Diourbel, les opérateurs qui sont chargés de mettre à la disposition les stocks d’engrais n’ont pas souvent une grande assise financière pour pouvoir satisfaire leur commande. C’est ce qui explique souvent les retards notés dans la mise en place des engrais. Pour inverser la tendance, il faut que ces intrants agricoles soient disponibles à temps, explique-t-il. L’autre équation, c’est le manque de moyens financiers pour l’achat de l’engrais subventionné par l’Etat par les producteurs agricoles. « Cette période coïncide avec celle des vaches maigres. Ainsi, on assiste à une mévente de l’engrais. Les opérateurs privés qui ne trouvent d’acquéreurs sont obligés de revendre le reste des stocks aux commerçants. Ce qui constitue une perte pour l’Etat mais aussi pour les producteurs agricoles ».
Le Directeur régional du développement rural de Diourbel, Pierre Diouf, soutient pour sa part qu’on ne peut pas parler de manque d’engrais. « La distribution de l’engrais s’est terminée depuis l’année dernière. En ce qui concerne l’engrais 6 20 10 arachide, le quota de la région a été reçu à 75% de la prévision, soit 2069 tonnes dont 96% de ce quota a été vendu, soit 1980 tonnes vendues. En ce qui concerne l’engrais Mil, on a reçu 978 tonnes soit 71% du quota dont 71% sont vendus, soit 659 tonnes d’engrais mil. En ce qui concerne le triple l’engrais mil, 7311 tonnes ont été reçues, 728 sont vendues, soit 100% ». Et le Directeur régional du développement rural de Diourbel qui se prononçait la semaine dernière de poursuivre : « Pour l’urée, 915 tonnes ont été reçues et vendues soit 100%. S’il y a mévente, on ne peut pas parler de stocks indisponibles. Tous les prix aux producteurs agricoles ont été reconduits par cette présente campagne agricole 2022 2023 ». Toutefois, le sac d’engrais subventionné va connaître une légère hausse à cause de la crise mondiale.
KAOLACK/ MISE EN PLACE DES SEMENCES ET INTRANTS AGRICOLES
Les producteurs toujours dans l’impasse
Souvent attendue à pareils moments de l’année par la plupart des producteurs du pays, la campagne de mise en place des semences et intrants agricoles avance de manière timide dans la région de Kaolack et le centre du pays en général. Malgré les efforts fournis çà et là au niveau des Directions régionales de Développement rural (Drdr), en termes de distribution des attestations d’homologation suite à la mise en stocks déjà effectuée par les opérateurs et la délivrance progressive des notifications qui se poursuit encore tout au long de ces derniers jours. Ce qui, du coup, a permis la collecte de 114.000 tonnes d’arachide au niveau national.
Les producteurs, leurs organisations respectives et autres coopératives sont encore dans l’impasse. Autrement dit, ils s’inquiètent de plus en plus de la longue attente qu’ils sont en train d’observer pour rentrer en possession de ces produits. Même si dans la plupart des régions centre, les commissions de distribution sont déjà installées et les opérateurs en charge de l’acheminement des produits vers les paysans tous homologués, les semences qui doivent servir à cette prochaine campagne agricole ne sont pas parvenues.
Et partout dans le monde rural, beaucoup de questions sont posées. D’abord pour la qualité des graines, et ensuite le temps imparti aux bénéficiaires pour les décortiquer et pouvoir s’en servir. Une situation qui, du coup, agace pour autant les opérateurs qui veulent eux aussi démarrer sans retard leurs activités avant la date-butoir de démarrage des opérations fixée le 25 Mai prochain. Sauf que, du côté des opérateurs, on continue encore à réclamer le paiement de la dette des dernières créances contractées lors de la précédente saison dans la commercialisation arachidière cumulée aux opérations de distribution des semences et intrants, édition 2021/2022.
Pour les opérateurs, la vraie question à laquelle l’Etat doit d’urgence apporter une réponse plausible repose en effet sur le marché des intrants. Cette année, compte tenu de certains facteurs liés au Covid et la guerre en Ukraine, le prix accordé aux intrants connaît une flambée qui n’a jamais été connue des producteurs sénégalais. Selon le président régional des organismes privés et stockeurs du Sénégalais El Hadji Bou Goumbala, « cette cherté du prix de l’engrais a aujourd’hui poussé l’Etat à réduire les 150.000 tonnes qu’il avait prévues de mettre à la disposition des producteurs à 115.000 tonnes. L’urée qui coûtait 319.000 Frs la tonne revient aujourd’hui à l’Etat à 750.000 frs. Si c’est à l’étranger, le prix revient à 680.000 voire 700.000 Frs la tonne, soit le triple du prix fixé pendant ces dernières années ».
Le président régional des Ops poursuit par ailleurs : » quant aux différents types d’engrais (6/20/10, 15/10/10, 15/15/15, 10/10/20,), ce qui s’achetait sur le marché au prix de 175.000 Frs et qui concerne l’arachide est vendu aujourd’hui à 295.000 Frs », nous informe-t-il. Le président El Hadji Bou Goumbala, face à cette flambée difficile à maitriser, exhorte toutefois l’Etat à reprendre la gestion de l’usine des Industries Chimiques du Sénégal (Ics) ou, à défaut, reprendre son contrôle. Comme c’est d’ailleurs le cas avec la Sonacos. Surtout éviter de favoriser certains pays voisins au détriment des producteurs sénégalais. Et, conclut-il, « savoir avant tout que les Ics constituent un patrimoine national, une souveraineté qui fonde essentiellement le développement de la politique agricole du pays qu’on doit jalousement garder ».
La Fédération sénégalaise de football (FSF) a annoncé dans un communiqué que le Sénégal ne jouera pas de match amical durant la fenêtre FIFA mai-juin (30 mai-14 juin). Après les deux premières journées des qualifications de la CAN 2023, contre le Bénin (le 7 juin) […]
ACTUALITE SPORTSLa Fédération sénégalaise de football (FSF) a annoncé dans un communiqué que le Sénégal ne jouera pas de match amical durant la fenêtre FIFA mai-juin (30 mai-14 juin). Après les deux premières journées des qualifications de la CAN 2023, contre le Bénin (le 7 juin) et le Rwanda (le 14), les Lions ne reprendront service qu’en septembre avec leurs clubs avant de rejoindre la Tanière pour la préparation du Mondial 2022.
Si les fédéraux ont fait le choix de ne pas faire jouer la sélection en juin, c’est pour permettre aux hommes d’Aliou Cissé, le sélectionneur national, de reposer leurs muscles après une saison harassante au cours de laquelle ils étaient partagés entre les compétitions de leurs clubs et celles de la sélection (Mondial 2022, CAN 2021).
Le carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara séjournent, depuis la semaine dernière, à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Mbour. À en croire le quotidien L’Observateur qui donne l’information, leur incarcération fait suite à une rocambolesque histoire de viol sur la […]
ACTUALITE SOCIETELe carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara séjournent, depuis la semaine dernière, à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Mbour.
À en croire le quotidien L’Observateur qui donne l’information, leur incarcération fait suite à une rocambolesque histoire de viol sur la fille mineure C. D.
Une affaire qui met au devant de la scène le carreleur, accusé d’enlèvement, de séquestration et de viols, avec la complicité de sa belle-sœur.
Selon les sources du journal, les faits incriminés continuent de faire grand bruit au quartier Oncad de Mbour où ils ont eu lieu. C’était le dimanche 15 mai dernier, aux environs de 18 heures.
Sur ces entrefaitres, la Brigade de gendarmerie de Mbour a été saisie par les parents de la fille qui est aussi conduite en consultation gynécologique à l’hôpital l’hôpital de Mbour.
Les conclusions des blouses blanches sont sans équivoque : « présence de plusieurs lésions sur les parties intimes de la fille mineure de 15 ans ». D’autant qu’elle était très mal-en-point.
Au terme de la durée légale de leur garde à vue, le carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara ont été purement et simplement déférés au parquet du Tribunal de Mbour.