Invité de Pape Alé Niang sur DakarMatin, le Pr. Cheikh Oumar Diagne, récemment libéré de prison, prédit que Macky Sall organisera une élection, mais sans la diaspora. Selon l’homme politique, le chef de l’État a identifié les Sénégalais de la diaspora comme des ennemis du […]
ACTUALITE POLITIQUEDans un entretien avec Source A, Makane Mbengue révèle que Modou Lô fait partie des rares lutteurs à avoir rendu visite à son père, Gaston Mbengue, qui est malade et établi à l’étranger pour se soigner. Saluant le geste du Roi des arènes, le nouveau […]
ACTUALITE SPORTSLe président de la République du Sénégal, Macky Sall, a réitéré son intention de quitter ses fonctions le 2 avril, date qui marque la fin de son mandat. Cette affirmation a été renouvelée dans un message publié sur les réseaux sociaux, où il a souligné […]
ACTUALITE POLITIQUEDu nouveau dans l’enquête sur la mort de Kiné Gaye à Pikine. ‘’L’Observateur’’ dans sa livraison de ce mercredi, révèle que la police a procédé hier, mardi, à la reconstitution des faits avec le suspect, Kasshim Ba, sur les lieux du crime. Ce dernier d’après […]
ACTUALITE SOCIETEDu nouveau dans l’enquête sur la mort de Kiné Gaye à Pikine. ‘’L’Observateur’’ dans sa livraison de ce mercredi, révèle que la police a procédé hier, mardi, à la reconstitution des faits avec le suspect, Kasshim Ba, sur les lieux du crime.
Ce dernier d’après le journal a entraîné sa mère dans sa chute. Elle a été interpellée et retenue dans les locaux par la Sûreté urbaine pour «nécessité d’enquête».
Nos confrères ne précisent pas si des charges ont été retenues contre la dame, mais, ajoute le journal, certains de ses voisins croient savoir que son maintien dans les locaux du commissariat central de Dakar est lié au fait qu’elle a organisé, dimanche dernier, le baptême de la fille de Khassim Ba alors que ce dernier était en détention pour le meurtre de Kiné Gaye.
Retour sur les faits d’un père qui viol sa fille pendant plusieurs années à Seguéla (Nord-ouest de la Côte d’Ivoire). Le nommé K.D, agent en service au Centre de santé urbain (CSU) de Massala, a été appréhendé, vendredi 20 mai 2022, par des éléments de […]
ACTUALITE SOCIETERetour sur les faits d’un père qui viol sa fille pendant plusieurs années à Seguéla (Nord-ouest de la Côte d’Ivoire).
Le nommé K.D, agent en service au Centre de santé urbain (CSU) de Massala, a été appréhendé, vendredi 20 mai 2022, par des éléments de la brigade de gendarmerie de Séguéla, accusé d’avoir entretenu, durant sept années, des rapports sexuels avec sa fille mineure aujourd’hui âgée de 15 ans.
Les faits
Selon des sources proches du dossier, la jeune fille aurait été violée depuis l’âge de huit ans par son géniteur qui, pour accomplir sa besogne, la droguait.
36% des filles ivoiriennes sont mariées ou en union avant 18 ans ; 38% des femmes entre 15 et 49 ans ont subi une excision.
Deux faits majeurs, en l’occurrence la chute drastique des résultats scolaires de l’adolescente qui fréquente l’un des lycées publics de la ville et la prise de conscience de celle-ci qui va se confier à sa mère, elle-même agent au centre social de Séguéla, vont faire éclater l’affaire au grand jour.
En attendant d’être déféré lundi pour viol devant le juge d’instruction de la section de tribunal de Séguéla, le sieur KD est gardé à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie
Un centre de formation aux métiers portuaires est en gestation dans la zone du futur port de Ndayane. Les mairies de Diass, Yène et Ndayane Popenguine ont décidé de mettre à la disposition du futur Port de Ndayane, une assiette foncière de 5 ha pour […]
ACTUALITE économieUn centre de formation aux métiers portuaires est en gestation dans la zone du futur port de Ndayane.
Les mairies de Diass, Yène et Ndayane Popenguine ont décidé de mettre à la disposition du futur Port de Ndayane, une assiette foncière de 5 ha pour abriter un centre de formation aux métiers portuaires. Le protocole d’accord a été signé hier par le Directeur général du Port autonome de Dakar (Pad), Aboubacar Sédikh Bèye, le maire de Ndayane Popenguine, Mansour Thiandoum, et les représentants des maires de Diass et de Yène.
Ce projet, selon un communiqué, sera piloté par la directrice du Centre de formation aux métiers portuaires et à la logistique (Cfmpl), qui a participé à la cérémonie de signature du protocole. Expliquant les différentes offres de formation du Cfmpl, Mme Awa Ndiaye Sagna a indiqué que depuis 2011, ledit centre a formé 1243 stagiaires, 5905 professionnels en renforcement de capacités, 801 travailleurs formés en 2018 en certificats de spécialité.
A ce propos, affirme le Dg du Port autonome de Dakar cité dans le communiqué, «la création d’emplois de qualité requiert la disponibilité de ressources humaines qualifiées et compétentes. La création d’un centre de formation à dimension internationale met en œuvre l’ambition du Président Macky Sall de donner une formation qualifiante à notre jeunesse et surtout pour les populations environnantes des 3 communes qui souhaitent prendre une part active dans l’exploitation du futur port». Et assure Aboubacary Sadikh Bèye, «le partenariat signé avec les 3 communes sera bénéfique et ira au-delà de la formation, parce qu’il permettra à la fois de doter la zone d’infrastructures modernes de dernière génération et de jeter les jalons de l’intercommunalité pour un territoire viable, porteur d’espoir et d’espérance pour les populations».
Ne voulant manifestement pas froisser les grandes coalitions politiques en lice, le Conseil constitutionnel a trouvé le moyen de remettre en selle leurs listes. Les petits candidats recalés par l’Administration électorale n’ont pas connu le même bonheur. Une décision qui suscite beaucoup de commentaires, on […]
ACTUALITE SOCIETENe voulant manifestement pas froisser les grandes coalitions politiques en lice, le Conseil constitutionnel a trouvé le moyen de remettre en selle leurs listes. Les petits candidats recalés par l’Administration électorale n’ont pas connu le même bonheur. Une décision qui suscite beaucoup de commentaires, on devait s’en douter.
Par Mohamed GUEYE – Depuis le Roi Salomon, les choses n’ont pas changé. Quand le juge veut satisfaire tout le monde, il ne fait plaisir qu’à très peu de gens. La publication hier des décisions du Conseil constitutionnel, sur les recours qui ont été portés contre certains listes, aura laissé à certains, un goût amer dans la bouche. Il est vrai que Barthélemy Dias aura été heureux de se voir autorisé, avec ses colistiers, à concourir au suffrage pour le poste de député pour la région de Dakar. Mais en contrepartie, la liste nationale de Benno bokk yaakaar (Bby) que sa coalition politique, Yewwi askan wi (Yaw), cherchait à faire invalider, pourra également prendre part aux Législatives.
Saisi par le mandataire de Yaw, Dethié Fall, pour annuler la décision du ministre de l’Intérieur, chargé des élections, qui refusait à sa coalition de déposer une liste de substitution aux candidats ayant sollicité leur retrait de leur liste, le Conseil constitutionnel a jugé que la décision du ministre «n’est pas justifiée» car «l’article L.173 de la loi de 2017-12 du 18 janvier 2017 portant Code électoral qui prévoyait l’interdiction de retirer des candidatures et d’effectuer des substitutions de candidatures, a été abrogée par la loi no2021-35 du 23 juillet 2021 portant Code électoral». Par conséquent, le mandataire de Yaw est autorisé à retirer et substituer d’autres candidats aux deux démissionnaires. Et donc, à se présenter aux élections.
Auparavant, dans sa décision no1, le Conseil avait rejeté le recours introduit par Yaw et Gueum sa bopp, qui cherchait à invalider la liste de Bby pour avoir déposé un nombre de parrains supérieur au maximum légal de 55 327. Les Sages ont considéré que «selon les dispositions de l’article LO 184…, seuls les actes du ministre chargé des Elections, pris en application des articles L. 179, L. 180, et LO 183 du Code électoral, peuvent être contestés par les mandataires ; qu’il s’ensuit que les recours sont irrecevables». Cela lui a évité de se prononcer sur le fond de la validité de ladite liste.
Ce jugement de Salomon n’a pas protégé les coalitions jugées peu représentatives ou moins menaçantes. Les 7 ont ainsi confirmé les rejets frappant Gueum sa Bopp, Ascosen/Force ouvrière, Jammi gox yi de Fadel Barro, Defar sa gox et la coalition And nawlé and ligueey, entre autres. Aucun des arguments développés par ces différentes coalitions n’a rencontré l’agrément des membres du Conseil, qui les ont recalées.
Toutefois, des observateurs affirment que les questions de fond, concernant notamment les deux listes nationales de Benno et Yaw, pourraient éventuellement être encore soulevées une fois ces listes rendues publiques.
Suite au verdict rendu, ce mardi 24 mai 2022, par le Conseil constitutionnel qui a pris le contre-pied de la Direction générale des élections (Dge) concernant la liste départementale de Yewwi Askan Wi à Dakar, l’ancien président du groupe parlementaire de BBY Moustapha Diakhaté estime […]
ACTUALITE SOCIETESuite au verdict rendu, ce mardi 24 mai 2022, par le Conseil constitutionnel qui a pris le contre-pied de la Direction générale des élections (Dge) concernant la liste départementale de Yewwi Askan Wi à Dakar, l’ancien président du groupe parlementaire de BBY Moustapha Diakhaté estime que « Il n’y a aucun fondement légal pour rejeter la décision de la DGE portant invalidation de la liste non paritaire de Coalition de Yewwi Askan wi. »
In extenso sa publication !
« Au Sénégal le ridicule ne tue pas au Conseil constitutionnel
Le Juge constitutionnel outrepasse ses prérogatives et immole la Loi électorale. Il n’y a aucun fondement légal pour rejeter la décision de la DGE portant invalidation de la liste non paritaire de Coalition de Yewwi Askan wi. Avec une si illégale décision les Conseil constitutionnel autorise désormais les politiciens sénégalais à se prévaloir de leur propre turpitude.Plus simplement, cela signifie que des politiciens peuvent, à partir de cette décision, utiliser en leurs faveurs, des fautes ou erreurs qu’ils ont commises.En vertu du code électoral et de la Loi sur la parité, le non respect de la parité est une cause absolue d’irrecevabilité d’une liste sans appel.L’absence de parité résulte de l’incompétence des mandataires des coalitions et non d’un quelconque manquement de la Direction générale des élections
Parler de vide juridique est une supercherie. La Loi électorale ne prévoit ni démission ni désistement encore moins de remplacement à l’exception des cas d’inéligibilité ou de décès.Manifestement, le Conseil constitutionnel a cédé à la terreur et aux menaces.
La Dge forte des dispositions pertinentes du Code électoral et de la Loi sur la parité doit classer sans suite l’illégale décision du Conseil constitutionnel sur la validation de la liste départementale de yewwi askan wi.En vertu des pouvoirs dont il dispose et garant du bon fonctionnement des institutions, le Président de la République doit prendre toutes mesures utiles y compris la dissolution du Conseil constitutionnel et la poursuite des auteurs de cette forfaiture.En tout état de cause, seules listes qui sont en règle doivent participer aux élections législatives du 31 juillet 2022. »
Moustapha Diakhate
Bougane appelle les populations à descendre dans la rue « J’appelle tous les sénégalais soucieux de l’avenir de notre pays et de nos institutions de nous rejoindre pour faire cesser le projet d’accaparement et de manipulation de nos institutions. Le combat contre le régime de Macky […]
ACTUALITE POLITIQUEBougane appelle les populations à descendre dans la rue « J’appelle tous les sénégalais soucieux de l’avenir de notre pays et de nos institutions de nous rejoindre pour faire cesser le projet d’accaparement et de manipulation de nos institutions. Le combat contre le régime de Macky Sall se fera dans la rue » ,a fait savoir le président Bougane sur sa page Facebook.
Son état de santé l’avait éloigné des écrans de la télé, le grand humoriste Abdoulaye Ndiaye est finalement décédé. Imitant avec brio les voix de grands noms de la culture sénégalaise comme américaine, »Ndiaye », comme il était affectueusement appelé, s’était imposé dans le quotidien des […]
ACTUALITE SOCIETESon état de santé l’avait éloigné des écrans de la télé, le grand humoriste Abdoulaye Ndiaye est finalement décédé.
Imitant avec brio les voix de grands noms de la culture sénégalaise comme américaine, »Ndiaye », comme il était affectueusement appelé, s’était imposé dans le quotidien des sénègalais de par ses talents de comique.
Noyés dans les eaux du fleuve Sénégal dans la nuit du samedi au dimanche, les corps des trois garçons sont toujours introuvables malgré les recherches actives et coordonnées des marines mauritaniennes et sénégalaises. De retour d’un concert organisé à Diowol Worgo (Sénégal), par la traversée du […]
ACTUALITE SOCIETENoyés dans les eaux du fleuve Sénégal dans la nuit du samedi au dimanche, les corps des trois garçons sont toujours introuvables malgré les recherches actives et coordonnées des marines mauritaniennes et sénégalaises. De retour d’un concert organisé à Diowol Worgo (Sénégal), par la traversée du fleuve Sénégal, six jeunes garçons mauritaniens ont vu leur pirogue chavirer. Trois en sortent sains et saufs alors que leurs trois compagnons sont toujours dans les eaux.
Par Demba NIANG – Partis la nuit du samedi avec leur barque de Diowol Réwo (Mauritanie) pour un concert organisé à l’autre village qui porte le même nom au Sénégal, Diowol Worgo, les six jeunes mauritaniens ne s’attendaient pas à pareil sort : le concert se termine tard la nuit et les six garçons ont vu leur pirogue chavirer dans les eaux du fleuve Sénégal, lors de leur retour à leur localité. Trois des six garçons n’ont pas pu se sauver et restent dans les eaux depuis samedi nuit. Parmi ces trois garçons noyés, deux sont des frères.
Dès l’annonce de la nouvelle par les trois jeunes hommes qui s’en sont sortis vivants, les populations des deux Diowol sont depuis à pied d’œuvre pour repêcher les corps sans vie. Les recherches entamées quelques minutes après la noyade se sont poursuivies jusqu’au dimanche au petit matin par les pêcheurs (soubalbé), qui faisaient la course contre la montre pour retrouver les garçons vivants, en vain. Les marines des deux pays sont entrées en lice dans les recherches dans l’optique de retrouver les trois corps en vue de leur inhumation, mais jusqu’au lundi soir ceux-ci étaient encore introuvables. C’est ce qui a amené les populations des localités riveraines du fleuve, celles de la Mauritanie et Sénégal, à s’associer massivement aux recherches et à alerter les autres localités sur le long du fleuve. Pour les populations de ces deux localités très apparentées, ce qui a été une ambiance de fête le samedi s’est transformée en une atmosphère de deuil et de tristesse.
Dans cette zone, les populations de la Mauritanie et du Sénégal que tout unit (liens de parenté, cérémonies familiales, activités sportives et culturelles et parfois même de nom de village) sont séparées par le fleuve Sénégal et les traversées quotidiennes des personnes et de leurs biens sont incalculables.
La région de Kédougou et le département de Mbour sont devenus des « plaques tournantes » du trafic des migrants et de la traite des personnes. C’est la révélation faite hier, par le substitut du procureur du tribunal de grande instance de Mbour, rapporte l’Aps. […]
ACTUALITE SOCIETELa région de Kédougou et le département de Mbour sont devenus des « plaques tournantes » du trafic des migrants et de la traite des personnes. C’est la révélation faite hier, par le substitut du procureur du tribunal de grande instance de Mbour, rapporte l’Aps. Lors d’un atelier à Saly Portudal, portant sur « La prise en charge du trafic des migrants et des infractions assimilées », François Diouf a expliqué, en effet, que ce sont les deux « zones de départ, de transit ou de destination » de ce fléau. Il souligne que la brigade de gendarmerie de Joal-Fadiouth et la brigade de recherche de Mbour ont procédé à une multitude de déferrements au parquet liés à des faits de trafic de migrants.
Dans ses décisions rendues publiques ce matin, le Conseil constitutionnel a opposé une fin de non-recevoir aux requêtes des coalitions Yewwi Askan Wi et Gueum Sa Bopp qui demandaient le rejet de la liste nationale de Benno Bokk Yakaar.
ACTUALITE POLITIQUEDans ses décisions rendues publiques ce matin, le Conseil constitutionnel a opposé une fin de non-recevoir aux requêtes des coalitions Yewwi Askan Wi et Gueum Sa Bopp qui demandaient le rejet de la liste nationale de Benno Bokk Yakaar.