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ACTUALITE POLITIQUE SOCIETE
Le président du groupe parlementaire du Parti Démocratique Sénégalais dévoile le problème derrière la liste de la coalition Yewwi- Wallu. Selon Cheikh Bara Dolly Mbacké, il y a eu des divergences entre les deux coalitions.
Cheikh Bara Dolly révèle que la liste comprend bel et bien Cinq Hommes et deux femmes. Il explique cette situation par des divergences entre Yewwi et Wallu qui voulaient chacun faire passer son candidat.
« Khalifa voulait donner son poulain et le Pds voulait donner son responsable à Dakar. On a discuté pour trouver un consensus mais malheureusement nous n’avons pas trouvé un accord. Finalement on a mis les deux personnes sur la liste mais avant de déposer la liste tout le monde savait que la liste n’était pas paritaire », lance-t-il.
Cheikh Bara Dolly ne s’arrête pas là et informe que les deux coalitions voulaient tromper la direction générale des élections. Le Pds a proposé Joseph Sarr, coordonnateur de Dakar et Khalifa a proposé son poulain Babacar Mbengue de Hann Bel Air, voilà ce qui nous a proposé Cinq Hommes et deux femmes’’.
Le risque de forclusion de la liste de Yewwi a suscité une véritable polémique, amenant le président du groupe parlementaire « Liberté et Démocratie », Serigne Cheikh Mbacké Bara Dolly, à donner son éclairage sur la question. Selon le parlementaire, ce qui s’est passé à Dakar entre […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELe risque de forclusion de la liste de Yewwi a suscité une véritable polémique, amenant le président du groupe parlementaire « Liberté et Démocratie », Serigne Cheikh Mbacké Bara Dolly, à donner son éclairage sur la question.
Selon le parlementaire, ce qui s’est passé à Dakar entre la coalition Yewwi et Wallu est très simple. Il explique : » Khalifa Sall voulait faire figurer son propre poulain tandis que le PDS manœuvrait aussi pour placer son responsable à Dakar. Nous avons discuté pour le retrait de l’autre, mais en vain. Nous n’avons pas pu trouver un terrain d’entente. C’est par la suite que nous avons mis les deux hommes sur la liste », a tenté de justifier le député libéral.
Par contre, révèle-t-il, avant de déposer la liste, nous savions parfaitement que la liste avait cinq hommes et deux femmes. « Tout le monde savait que notre liste n’était pas paritaire. On voulait tromper la vigilance de la Direction générale des élections. Le PDS a proposé Joseph Sarr et Khalifa Sall a proposé Babacar Mbengue. Ce dernier est le poulain de Khalifa par ailleurs maire de Hann Bel Air et le choix du PDS est également un responsable politique à Hann Bel Air », indique Bara Dolly.
Le président du groupe parlementaire du PDS estime que les deux partis ont voulu tromper la vigilance de l’État en mettant le nom de Palla Samb qui peut être le nom d’un homme ou d’une femme…
Déployée au Mali en février 2021, la lieutenante Ndéye Sanou Dièye commande le troisième peloton du huitième contingent sénégalais (Senfpu2) de la MIinusma. Avec ses éléments de la Police des Nations Unies (Unpol), elle assure les missions de sécurisation et d’escortes, dans la région de […]
ACTUALITE SOCIETEDéployée au Mali en février 2021, la lieutenante Ndéye Sanou Dièye commande le troisième peloton du huitième contingent sénégalais (Senfpu2) de la MIinusma. Avec ses éléments de la Police des Nations Unies (Unpol), elle assure les missions de sécurisation et d’escortes, dans la région de Gao.En ce dimanche matin et comme les autres jours, pas question de baisser la garde pour la commandante du troisième peloton Ndéye Sanou Dièye. D’un pas décidé, elle avance vers les 19 éléments de la Force de réaction rapide (Qrf) rassemblés dans le camp du contingent sénégalais pour le briefing. « La situation sécuritaire dans la ville de Gao comme vous le savez est très volatile. Nous devons être prêts à intervenir à tout moment. Je vous demande de rester vigilant », leurs rappelle-t-elle. A quelques mètres de là, son supérieur, le capitaine de police Babacar Ngom, chef des opérations de la Senfpu2 l’observe. « J’ai une entière satisfaction du travail abattu depuis 15 mois par la commandante de peloton Ndéye Sanou Dièye », affirme-t-il avant d’ajouter qu’elle a « accompli avec brio toutes les missions que nous avons eu à lui confier. Elle fait honneur aux Nations Unies et à son pays le Sénégal ».Devenir policière a toujours été une ambition pour Ndéye Sanou Dièye. « J’ai choisi de servir au sein de la police parce que j’ai toujours aimé cette institution. En tant que femme, j’ai remarqué que tout le temps, ce sont les hommes qui servent dans les corps habillés. Je me suis dit pourquoi ne ferais-je pas comme eux ?», explique-t-elle. A l’issue d’une formation de deux ans, la future lieutenante intègre la police sénégalaise en octobre 2010. Elle est affectée à la Direction de la surveillance du territoire (Dst) comme cheffe d’antenne du Service régional des renseignements généraux de Dakar. Par la suite, Ndéye Sanou Dièye sert au commissariat de police de l’arrondissement du Golf sud toujours à Dakar. Elle y gagne en expérience et c’est de là qu’elle est désignée par sa hiérarchie pour servir sous le drapeau de l’Opération de paix des Nations unies au Mali.
Contribuer à la paix au Mali, une immense fierté.Contribuer à la restauration de la Paix au Mali et « montrer que les femmes sont capables d’avoir et de jouer les mêmes rôles que les hommes, les mêmes postes de responsabilité que les hommes, » c’est ce qui, affirme la lieutenante, a motivé son engagement au sein de la Minusma.Au quotidien à Gao, explique-t-elle, « soit nous sommes de servitude, soit en intervention rapide (Force d’intervention rapide). Vous venez d’ailleurs de me voir briefer les collègues pour leur dire d’être en état d’alerte 24h/24, car la Force d’intervention rapide doit pouvoir intervenir dans un bref délai en cas de nécessité ». La position dite de servitude quant à elle, consiste à mener des patrouilles de sécurisation et de protection des populations civiles. Celles-ci sont souvent menées conjointement avec les Forces de sécurité malienne (Fsm).« Les Fsm et la Minusma ont un partenariat très important et nous travaillons en étroite collaboration avec elles, » souligne la cheffe de peloton Dièye. En plus des patrouilles, le quotidien de la commandante consiste à effectuer des missions d’escorte et de sécurisation. Elle garde un souvenir de l’une d’entre elles et le raconte avec une émotion perceptible. « J’étais en détachement à Ansongo et j’ai été chargée, avec mon équipe, de transférer un suspect en garde à vue de Ansongo à Gao. C’était une mission à haut risque mais avec mon équipe nous l’avons fait sans incidents » se souvient-elle. Fier d’elle, son supérieur le capitaine de police Babacar Ngom, confirme le professionnalisme dont a fait montre la commandante lors de cette mission. « J’éprouve une grande fierté à servir sous le drapeau onusien et bien entendu, je suis prête à me mettre au service de la paix si je suis à nouveau sollicitée », affirme Ndéye Sanou Dièye.
Mame Makhar Gueye est monté au créneau, jeudi, pour dénoncer, à nouveau, l’affaire Dubaï Porta Potty qui défraie la chronique au Sénégal. Une occasion pour le vice-président de l’Ong islamique Jamra de lever le coin du voile sur l’audience que le chef de l’Etat lui […]
ACTUALITE SOCIETEMame Makhar Gueye est monté au créneau, jeudi, pour dénoncer, à nouveau, l’affaire Dubaï Porta Potty qui défraie la chronique au Sénégal. Une occasion pour le vice-président de l’Ong islamique Jamra de lever le coin du voile sur l’audience que le chef de l’Etat lui accordée le lundi 9 mai, à cet effet.
C’est une audience qui aura duré 2 tours d’horloge entre les deux hommes. Une rencontre lors de laquelle Mame Makhtar Gueye a restitué au chef de l’Etat les informations que son Ong détient au sujet de l’affaire Dubaï Porta Potty.
43 Sénégalaises concernées
Dans cette affaire, pas moins de 43 Sénégalais ont été identifiés, précise M. Gueye.
6 pays africains…
Selon le religieux, six États sont concernés par cette sulfureuse affaire, dont le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Bénin, la Guinée Conakry, le Mali et la République Démocratique du Congo (RDC).
Mafia de trafic de migrants
Selon Mame Makhtar Gueye, la particularité de l’affaire Dubaï Porta Potty est la mafia du trafic de migrants à l’insu des États concernés.
Le fétichisme
Une affaire qui serait motivée par le fétichisme. « Une victime m’a raconté qu’après avoir encaissé et mangé les cacas de son patron, ce dernier a, aussitôt, appelé quelq’un pour, semble-t-il, lui signifier qu’il a accompli la mission telle que demandée », a-t-il expliqué.
Passeports confisqués…
A l’arrivée à Dubaï, les passeports des victimes sont souvent récupérés. Histoire de s’assurer la main mise sur elles. Le coordonnateur de l’Ong Jamra dit même détenir des photos de Sénégalaises prises en otages aux Emirats Arabes Unis.
12 Sénégalaises supplémentaires localisées à Dubaï
Au lendemain de l’audience, affirme M. Gueye, 12 compatriotes supplémentaires ont été déjà localisées à Dubaï avec adresses précises (à Dubaï) et au Sénégal.
Pour ce faire, Mame Makhtar Gueye a promis le remettre « dès la semaine prochaine » la liste afin qu’il puisse travailler en étroite collaboration avec les autorités dubaïotes pour les besoins de rapatriement.
Macky Sall vole au secours de victimes
Le chef de l’Etat, en ce qui le concerne, a pris la ferme décision de volet au secours de nos compatriotes » en situation de détresse ». A en croire Mame Makhtar Gueye, il a promis de le mettre en rapport avec une autorité. Cerise sur le gâteau, l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis l’a contacté par l’entremise de son chargé d’affaires. Ensemble, les deux Etats ont décidé de coopérer.
A l’approche des élections Législatives du 31 juillet 2022 et de la présidentielle de février 2024, on assiste au jeu des alliances mais aussi aux négociations secrètes voire « hautement confidentielles » qui détermineront la carrière des uns et des autres. Et à ce stade, […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETE
A l’approche des élections Législatives du 31 juillet 2022 et de la présidentielle de février 2024, on assiste au jeu des alliances mais aussi aux négociations secrètes voire « hautement confidentielles » qui détermineront la carrière des uns et des autres. Et à ce stade, un jeu trouble se joue entre le Palais et Yewwi Askan Wi (YAW), cette opposition dite radicale. Un lien secret unirait un des membres fondateurs de la coalition et un émissaire du Palais qui ne rendrait compte qu’à Macky Sall…pour un seul but : faire exploser Yewwi et détruire Sonko au bon moment.
« La destruction du PROS (Président Ousmane Sonko) » est toujours d’actualité au Palais. Et c’est de bonne guerre car la politique est la conquête du pouvoir qui doit passer obligatoirement par le triomphe sur ses adversaires politiques. Ousmane Sonko est le seul homme politique qui menace les ambitions des républicains et libéraux qui est la conservation du pouvoir « pendant 50 ans » comme le prônait Me Abdoulaye Wade. Les pièges tendus par le pouvoir pour stopper l’avancée fulgurante du PROS ont échoué jusqu’à ce jour. Et la popularité grandissante du PROS inquiète jusqu’au plus niveau.
Et tout est mis en œuvre pour détruire le PROS. Nos sources bien introduites nous renseignent sur un plan ourdi par des personnes tapies dans la coalition Yewwi Asklan Wi pour éliminer politiquement Sonko après les Législatives et pendant la course à la présidentielle de 2024. Et le coup de sabre viendrait de l’intérieur avec la complicité du palais de la République. Un émissaire de Macky Sall serait même l’instigateur avec la complicité d’un des membres fondateurs de la coalition Yewwi Askan Wi. Le PROS (Président Ousmane Sonko) serait la cible de sa propre coalition avec la bénédiction du camp d’en face.
Ousmane Sonko n’arrange personne. Il est l’incarnation de ce nouveau type de Sénégalais qui veut absolument effacer de l’histoire tout un passé. D’ailleurs, c’est lui qui avait préconisé de fusiller tous les anciens présidents du Sénégal. Ousmane Sonko est un danger pour le pouvoir mais aussi pour l’opposition qui voit dans sa radicalité une menace pour le pays. Il serait alors dans le collimateur de ses alliés
Ousmane Sonko est un radical et un anti système. Son accession à la magistrature mettrait en péril plusieurs pans de la société et pourrait ouvrir les portes des prisons à des familles entières. Et Sonko, dans sa démarche, n’opérerait aucun rapprochement avec les autres membres de l’opposition. L’érection de l’alliance Yewwi-Wallu n’est pas de lui. Elle a été faite par d’autres responsables de Yewwi.
Dans une récent sortie, un mandataire de la coalition Yewwi Askan Wi a confié que Khalifa Ababacar Sall et Me Abdoulaye Wade sont à l’origine du rapprochement de la coalition Wallu et Yewwi Askan Wi. Et pour qui connaît Me Wade, défenseur infatigable du libéralisme, il ne prendrait jamais langue avec un socialiste comme Khalifa Sall. Cette entente s’est faite entre khalifa Ababacar Sall et l’héritier du PDS, Karim Wade qui piétine les idéologies libérales.
Et l’élimination politique de Sonko serait une aubaine pour ces responsables de Yewwi et des autres coalitions de l’opposition. Selon nos sources, les négociations secrètes entre Yewwi et le palais sont menées avec la complicité de Karim Wade dont l’objectif est sa réintégration politique qui n’aurait aucun effet avec la présence de Sonko. Donc tous, opposition comme parti au pouvoir, veulent voir Sonko disparaître de l’échiquier politique.
La taupe dans Yewwi a de solides attaches avec Macky Sall même s’il montre aux yeux de tous qu’il est un opposant radical. Il serait aussi un candidat sérieux à la succession de Macky Sall en 2024.
Farba Ngom n’a pas été tendre avec les membres de YAW, accusés de ne pas être capables de confectionner une liste ou un complot. C’est leur problème s’ils sont incompétents. « On rend hommage à la police nationale qui a été très sereine, sinon il y […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEFarba Ngom n’a pas été tendre avec les membres de YAW, accusés de ne pas être capables de confectionner une liste ou un complot. C’est leur problème s’ils sont incompétents. « On rend hommage à la police nationale qui a été très sereine, sinon il y aurait des drames. Il voulait créer une émeute, mais les populations ont d’autres chats à fouetter », fulmine Farba Ngom.
Le sang a coulé le 20 avril dernier au Point E. Et il faut dire que n’eût été la prompte intervention des éléments du commissariat du point E qui ont été appelés d’urgence, le pire se serait produit. En effet, c’est tard dans la nuit […]
ACTUALITE SOCIETELe sang a coulé le 20 avril dernier au Point E. Et il faut dire que n’eût été la prompte intervention des éléments du commissariat du point E qui ont été appelés d’urgence, le pire se serait produit. En effet, c’est tard dans la nuit que ceux-ci ont été informés d’une bagarre sanglante entre des employés de l’UCG. Une bagarre opposant plusieurs personnes, lesquelles travaillent tous dans la même société. Et selon les témoins des faits, l’altercation résulterait d’une banale dispute. En réalité, ces agents de l’UCG se disputaient la priorité pour le chargement de leurs camions à ordures.
Devant les enquêteurs, P.W. Ngom qui est un agent de l’UCG a expliqué que ce jour-là, dans le cadre de leur travail, ils se sont retrouvés au Point E, pour la collecte d’ordures. Mais alors qu’ils devaient remplir l’un des camions, une dispute a éclaté entre N. Sarr qui était au volant de l’un des véhicules et F. Diop qui se disputaient la priorité pour le chargement de leurs véhicules. Et selon le sieur Ngom qui avait senti que la tension allait monter d’un moment à l’autre, il a tenté d’intervenir.
Mais avant même qu’il ne s’approche d’eux pour les dissuader de se battre, ces ceux-ci ont commencé à s’envoyer des coups de poing. C’est dans cette mêlée dit-il, que F. Sarr s’est saisi d’un couteau que son jeune frère avait saisi pour assener un violent coup à G. Dieng qui s’est affalé au sol. Les deux autres techniciens de surface en l’occurrence F. Diop et B. Dieng qui étaient armés de barre de fer, n’ont également pas été épargnés par Fallou Sarr qui les a également blessés avec son couteau. Sauf que ces derniers ont eu plus de chance, puisqu’ils s’en sont sortis qu’avec de légères blessures.
Ce qui n’a pas été le cas de G. Dieng qui a été sévèrement atteint au dos, à l’épaule gauche et au bras. Il perdait déjà beaucoup de sang, et a été sauvé de justesse par un des témoins de la scène qui maîtrisait les gestes de secours et qui lui a attaché un garrot. Ce, après quoi, il a été évacué en urgence par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Principal de Dakar. Finalement interpellé, F. Sarr s’est prévalu de l’excuse de provocation en soutenant avoir été attaqué par ces trois individus qui étaient tous armés de barre de fer.
Ce qui n’a pas été le cas de G. Dieng qui a été sévèrement atteint au dos, à l’épaule gauche et au bras. Il perdait déjà beaucoup de sang, et a été sauvé de justesse par un des témoins de la scène qui maîtrisait les gestes de secours et qui lui a attaché un garrot. Ce, après quoi, il a été évacué en urgence par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Principal de Dakar. Finalement interpellé, F. Sarr s’est prévalu de l’excuse de provocation en soutenant avoir été attaqué par ces trois individus qui étaient tous armés de barre de fer.« C’est eux qui ont commencé à m’injurier et je n’ai fait que riposter car ils se sont jetés sur moi. C’est ainsi que je me suis précipité à l’avant du camion où je gardais un couteau », a-t-il indiqué. Et selon lui, s’il les a poignardés, c’était juste pour se dégager. Des déclarations qui ne l’ont pas empêché d’être déféré au parquet pour agression physique par arme blanche.
Perdu par ses erreurs, Yewwi Askan Wi (YAW) opte pour le rapport de force. Benno Bokk Yaakaar (BBY) riposte aussi avec…force. C’est parti pour des élections mouvementées au Sénégal. Alors que tous les yeux sont rivés vers la direction générale des élections (DGE), les démons […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEPerdu par ses erreurs, Yewwi Askan Wi (YAW) opte pour le rapport de force. Benno Bokk Yaakaar (BBY) riposte aussi avec…force.
C’est parti pour des élections mouvementées au Sénégal. Alors que tous les yeux sont rivés vers la direction générale des élections (DGE), les démons de la violence refont surface. Cette violence va, encore venir de l’opposition. Et pour cause, le risque de forclusion de la liste départementale de Yewwi Askan Wi (YAW) à Dakar. En attendant d’en savoir un peu plus sur l’issue de cette affaire, les partisans de Khalifa Sall ne devraient s’en prendre qu’à eux-mêmes. Barthélémy Dias et sa coalition sont victimes de leurs erreurs.
Sauf miracle de dernière minute, Yewwi Askan Wi (YAW) ne fera pas partie des élections législatives à Dakar. Un éventuel risque d’invalidation de la liste de YAW plane dans l’air. Une information qui a mis le maire de la ville dans tous ses états. Barthélémy Dias, Abass Fall et Déthié Fall ont pris d’assaut la direction générale des élections (DGE) pour exprimer toute leur colère. Face à la presse, Dias-fils accuse Macky Sall de vouloir éliminer leur liste. Pour régler le problème, il appelle à la résistance et invite tous les jeunes à descendre dans les rues.
Mais cette fois-ci, la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) est complètement tombée dans son propre piège. Si la liste qui circule sur les réseaux sociaux est réellement celle déposée à la direction générale des élections, Barthélemy Dias et Cie ont tort. Cette liste ne respecte pas la loi sur la parité. Il y a 2 femmes dur 7 personnes. Il devrait y avoir au minimum 3 femmes sur 7 . Et le désistement de certains leaders comme Madiop Diop n’arrange pas les choses. Pour parer à leur manquement, YAW accuse même Thiendella Fall d’avoir falsifié la liste. (Voici la liste)
Nos mousquetaires devraient apprendre à accorder leur violon avant de parler. Selon le mandataire national, il ne peut y avoir d’erreurs sur la parité de leur part. Mais cette liste publiée sur les réseaux sociaux dément Déthié Fall. On voit clairement que la parité n’y est pas respectée. Pendant ce moment, Barthélémy Dias, qui a sûrement constaté le non-respect de la parité, parle de démission des concernés. Deux versions qui se contredisent littéralement. Alors YAW devrait gagner en sagesse en apprenant de ces erreurs.
Ce qui s’est réellement passé…Révélation
Selon nos sources qui ont approché l’entourage de Ousmane Sonko, « la liste de départ avait 3 femmes sur 7« . Et notre source de révéler une manipulation malhonnête de la part de Barth et Déthié Fall: « avant de déposer la liste, Barth et Déthié Fall ont enlevé la 3ème femme qui était une partisane de Sonko qui suivait directement Abass Fall sur la liste. Et ils l’ont remplacée par un partisan de Barthélémy Dias. Et ils sont partis déposer à la hâte sans faire attention au respect de la parité car ils ont remplacé cette partisane de Sonko par un partisan de Barth« . le silence du leader du Pastef sur cette affaire confirme les révélations de notre source.
« Les juristes au sein de cette coalition devraient faire comprendre au maire de Dakar que l’article L 179, dont il se prévaut pour valider sa liste, ne concerne pas les cas d’erreur sur l’agencement paritaires des candidats investis », renseigne une source contactée par Xibaaru. Au lieu de se rendre à l’évidence et trouver les moyens juridiques pour contourner ce blocage, Yewwi Askan Wi opte par la manière forte. Barthélemy Dias invite les jeunes à descendre dans les rues, un appel qui rappelle celui de Ousmane Sonko en mars 2021.
Pour une fois, le gouvernement ne devrait pas suivre certains opposants dans leur pensée suicidaire. Exceptionnellement, la direction générale des élections devrait laisser Yewwi Askan Wi remplacer les candidats qui se sont désistés. La DGE passerait outre la loi certes, mais elle permettrait à ces élections de se dérouler dans les meilleures des conditions. Perdu par ses propres erreurs, l’opposition ne laissera pas ses scrutins se dérouler normalement sans une liste de Yewwi à Dakar.
En attendant d’avoir le fin mot de cette affaire, Yewwi Askan Wi doit éviter toute action qui mènera ce pays dans le chaos. Ce qui se passe actuellement est le fruit d’un manque d’expérience de leur part. La situation que traverse Barthélémy Dias et Cie est loin d’être un avantage pour Benno Bokk Yakaar. « Si Yewwi est forclos à Dakar, alors les sénégalais n’iront pas voter le 31 juillet« . Les affidés de cette coalition mettront ce pays à feu et à sang. La coalition Benno a riposté à l’appel à la violence du maire de Dakar…
A la suite de cette déclaration musclée du maire de Dakar que les partisans du président de la République par la voix de Farba Ngom ont convoqué la presse au siège de l’APR pour porter la réplique au bouillant maire de Dakar ; « Barth, c’est à toi que je parle, on ne te concédera rien, on t’attend » a déclaré Farba Ngom rejoint par Zahra Iyane Thiam qui assène : « Trop c’est trop, on demande aux militants et responsables de Benno Bokk Yaakaar de se tenir prêts »
Des universitaires, des responsables politiques et des membres de la société civile étaient en conclave hier, mercredi 11 mai, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis dans le cadre d’une journée d’études et de réflexion initiée par l’Ufr des Sciences Juridiques et Politiques. Le but était […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEDes universitaires, des responsables politiques et des membres de la société civile étaient en conclave hier, mercredi 11 mai, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis dans le cadre d’une journée d’études et de réflexion initiée par l’Ufr des Sciences Juridiques et Politiques. Le but était de leur permettre d’évaluer les dernières élections territoriales de janvier 2022 et d’en tirer les leçons afin d’anticiper sur les prochaines législatives. Le constat du fondateur de AfrikaJom Center, Alioune Tine est que «le Sénégal a connu un recul démocratique car des candidats de l’opposition n’ont pas, pour la première fois de son histoire politique, pu participer à des élections».
«La démocratie sénégalaise est malade», de l’avis du fondateur de Afrika Jom Center qui note un recul démocratique lors des élections territoriales de janvier dernier. Selon Alioune Tine, pour la première fois dans l’histoire politique du Sénégal, des leaders politiques éminents n’ont pas pu participer à des élections, citant ainsi l’exemple de Khalifa Sall, de Karim Wade, et des problèmes auxquels font face d’autres leaders tels que Barthélémy Dias, Ousmane Sonko.
Il a pris part hier, mercredi 11 mai, à la journée d’études et de réflexion organisée par l’unité de formation et de recherche (Ufr) des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. L’exercice portait sur les élections territoriales de janvier dernier passées au crible par les universitaires, les hommes politiques et les acteurs de la Société civile. Il s’agit entre autre d’un cadre d’échanges leur permettant de tirer, à travers quatre panels, les leçons juridiques, politiques, sociales et économiques de ces scrutins du 23 janvier 2022.
Dans le cadre de cette journée scientifique, des enseignants-chercheurs, des étudiants, des acteurs politiques, des autorités judiciaires et administratives et des représentants de la société civile ont pu échanger de manière approfondie sur les conclusions tirées de ces dernières locales dans le but de renforcer la démocratie sénégalaise et par la même occasion d’anticiper sur les prochaines échéances électorales. Les quatre panels ont porté respectivement sur les leçons juridiques des élections territoriales, les leçons politiques de ces élections, les élections territoriales et l’état de la démocratie, et enfin sur les leçons sociales et économiques des élections territoriales. Les organisateurs ont promis de tenir à nouveau cet exercice après les prochaines élections législatives.
La coalition Yewwi askan wi connait des remous. Selon les leaders Cheikh Bamba Dièye, Moustapha Mamba Guirassy, Me Moussa Diop…, les principes de la charte de ladite coalition ont été «bafoués par un esprit stalinien, clanique de copinage» lors des investitures aux élections législatives du […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELa coalition Yewwi askan wi connait des remous. Selon les leaders Cheikh Bamba Dièye, Moustapha Mamba Guirassy, Me Moussa Diop…, les principes de la charte de ladite coalition ont été «bafoués par un esprit stalinien, clanique de copinage» lors des investitures aux élections législatives du 31 juillet prochain.
L’unité de façade de la coalition Yewwi askan wi s’est fissurée. Après la publication des listes des investitures, les frustrés montent au créneau pour dénoncer une «procédure antidémocratique, non transparente et teintée d’ostracisme». D’après les 9 signataires, une «minorité s’est arrogé la totalité des postes électifs reléguant des partis et des leaders, qui ont par leur crédibilité, leur représentativité et leur combativité, construit l’écosystème attractif qu’est devenue la coalition Yewwi askan wi». Ils rejettent ainsi les listes proposées par Ousmane Sonko, Khalifa Sall et Cie. Bess du ñak de Serigne Mansour Sy «Jamil», le Front pour le socialisme et la démocratie/Benno jubel (Fsd-Bj) de Cheikh Bamba Dièye, le Sénégal en tête (Set) de Moustapha Mamba Guirassy, Alternative générationnelle (Ag/Jotna) de Me Moussa Diop, pour ne citer que ceux-là, sont parmi les signataires de la déclaration.
«La procédure de sa mise en place a violé les principes de transparence. Cette liste a trahi les fondements de leur organisation. Elle réveille les vieux démons de la politique. Un esprit tortueux, inique et hégémonique qui n’est pas tolérable dans une coalition comme la nôtre qui a réveillé l’immense espoir d’un avenir radieux pour tous les Sénégalais», expriment-ils avec amertume dans un communiqué. Ils ne manquent pas de qualificatifs. «L’esprit partisan et les calculs politiciens ont prévalu durant cet exercice et les valeurs de solidarité, de partage, de justice et d’équité, qui sont inscrites dans notre charte, ont été bafouées par un esprit stalinien, clanique de copinage.» Les partis signataires de cette déclaration laissent entendre que la liste de Yaw est aux antipodes des valeurs de justice et de transparence dans la gouvernance publique revendiquées par ses leaders. Serigne Mansour Sy et les autres, mécontents, considèrent que la coalition «doit rester une plateforme de solidarité où toutes les parties prenantes seront traitées avec respect et considération».
Par ailleurs, les frustrés disent refuser de cautionner «cette dérive qui heurte l’éthique politique et la solidarité» qui fondent la coalition Yewwi. «Nous ne pouvons accepter que les comportements que nous dénonçons chaque jour deviennent les armes favorites d’une partie de Yewwi pour asservir, à des fins politiciennes, une coalition qui doit être au service du Sénégal et de sa grandeur», tonnent encore Serigne Mansour Sy et ses camarades. Ils en déduisent que «demain au pouvoir, cette situation sera source de beaucoup de désagréments du type népotisme, clientélisme et corruption. Jamais nous n’accepterons que la frustration, le ras-le-bol des Sénégalais soient captés par des politiciens pour servir un dessein hégémonique». Dans ce sillage, Cheikh Bamba Dièye et compagnie précisent que le débat posé n’est pas une querelle de poste ou de préséance mais, disent-ils, porte sur la sincérité de leur engagement et sur leur aptitude à s’y conformer. Ils annoncent une conférence de presse demain vendredi au siège du Fsd-Bj.
Serigne Mansour Sy ne s’est pas limité à cette déclaration commune. Sur sa page Facebook, il s’est adressé à Khalifa Ababacar Sall. «Toutes les appréhensions que j’avais dans le fonctionnement de Yaw se sont révélées justifiées. Je me suis senti au milieu d’un complot dont j’ignore les vrais acteurs. Je ne me suis jamais senti aussi insulté et humilié que dans les réunions d’une coalition à laquelle j’ai cru de toutes mes forces», écrit-il. Et de poursuivre : «En ton âme et conscience Khalifa, crois-tu que je mérite vraiment la 15ème place sur la liste, derrière Saliou Sarr, Déthié Fall.» Zappé, Me Moussa Diop a, dans un communiqué, pointé du doigt la responsabilité de Khalifa Sall. «Je ne figurerai pas sur les listes, telle est la revancharde et indigne attitude d’un prétendu homme d’Etat adoptée par monsieur Khalifa Sall pour m’écarter des listes», a fulminé Me Diop. L’ancien Dg de la société Dakar dem dikk, passé avec armes et bagages dans l’opposition, est d’avis que «cette forfaiture inique n’aurait jamais prospéré sans la complicité de monsieur Ousmane Sonko».