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ACTUALITE SPORTSÂgé de 22 ans, M. Diouf a été condamné hier, à trois mois de prison ferme et à payer 150.000 francs, à titre de dommages et intérêts. Le prévenu avait brûlé son condisciple, A. K. Ndiaye, avec du café Touba bouillant. Aux Maristes, M. Diouf […]
ACTUALITE SOCIETEÂgé de 22 ans, M. Diouf a été condamné hier, à trois mois de prison ferme et à payer 150.000 francs, à titre de dommages et intérêts. Le prévenu avait brûlé son condisciple, A. K. Ndiaye, avec du café Touba bouillant.
Aux Maristes, M. Diouf et A. K. Ndiay multipliaient les bonnes actions durant le ramadan. Mais, la relation entre les deux « Baye Fall » n’était plus au beau fixe au cinquième jour du mois de piété.
Petite calebasse à la main, M. Diouf continuait à demander aux passants leur participation alors qu’on était à l’heure de la rupture. Ce que A. K. Ndiaye n’a pas apprécié. C’est alors qu’il a demandé à son condisciple de venir servir le « ndogou ».
Une consigne qui avait mis M. Diouf dans tous ses états. Après un échange houleux, les deux hommes ne s’adressaient plus la parole.
Mais, M. Diouf a déversé une cafetière remplie de café Touba chaud à son antagoniste le 24 avril dernier.
Ce dernier qui s’est retrouvé avec de graves blessures au dos, a saisi la justice pour coups et blessures volontaires ayant entraîné 15 jours d’incapacité temporaire de travail.
Comparaissant hier, devant le tribunal d’Instance de Dakar, le prévenu soulève l’excuse de provocation, alléguant que la partie civile ne cessait de lui lancer des quolibets. « Le jour des faits, il m’a injurié. Plus grave, il a dit que ma mère m’a abandonné à la naissance », fustige-t-il.
Peintre de son état et domicilié à Mbao, la partie civile a expliqué qu’il avait un chantier à la Patte d’Oie Builders. Le soir, il se rendait aux Maristes pour prêter main forte à ses condisciples.
« Le jour des faits, j’avais demandé à mon ami Kader de m’offrir du café Touba. À ma grande surprise, le prévenu s’est levé pour me traiter de tous les noms d’oiseaux. Ulcéré par mon attitude glaciale, il m’a versé au dos du café Touba chaud. Depuis, je n’ai pas travaillé », a déploré A. K. Ndiaye qui dit avoir dépensé 160.000 francs pour ses frais médicaux.
Rendant sa décision, le juge a condamné le prévenu à une peine de trois mois ferme et à payer 150.000 francs à la victime.
Le vieux Oumar Diop a été condamné, hier, à une peine ferme de 10 jours par le juge du tribunal d’instance de Dakar. Il est reconnu coupable de vol portant sur 2 flacons de parfum au préjudice du supermarché Auchan. Même s’il a plaidé la […]
ACTUALITE SOCIETELe vieux Oumar Diop a été condamné, hier, à une peine ferme de 10 jours par le juge du tribunal d’instance de Dakar. Il est reconnu coupable de vol portant sur 2 flacons de parfum au préjudice du supermarché Auchan.
Même s’il a plaidé la démence à la barre du tribunal d’instance des flagrants délits de Dakar, le vieux Oumar Diop a néanmoins été condamné à une peine de 10 jours ferme par le juge. Il comparaissait pour des faits de vol portant sur deux flacons de parfum au préjudice de Auchan. Des faits qu’il a réfutés à la barre arguant être atteint de crise d’épilepsie. «J’habite à liberté VI. Ce jour-là, je me suis rendu à Auchan Liberté 6 extension pour faire quelques courses. Alors j’ai pris deux flacons de parfum que j’ai gardés dans ma poche pour ensuite continuer mes achats. Au rayon des rafraîchissements, j’ai pris quelques bouteilles de boisson pour me diriger ensuite à la caisse. J’avais complétement oublié les parfums que j’avais gardés dans ma poche et j’ai juste payé les boissons. Mais avant même que j’atteigne le seuil de la porte, l’agent m’a interpellé pour me le signaler. J’ai tenté de lui parler de ma maladie mais en vain. J’avais même collaboré pour payer mais il m’a exigé de payer une amende de 20.000 Francs en sus du coût des parfums. Ce que j’ai refusé», explique le prévenu au juge.
Non sans expliquer les situations dans lesquelles il vit : «Depuis ma retraite, je suis éleveur de Ladoum. Je vis seul chez moi. Je souffre de l’épilepsie et je fais tout le temps des crise». Convaincu de la constance des faits, le délégué du procureur a requis l’application de la loi pénale. Le juge, en rendant son délibéré, a reconnu Oumar Diop coupable des faits de vol avant de lui coller une peine ferme de 10 jours.
Malgré le désistement de la partie civile, Mamadou Diallo qui l’a conduit, hier, à la barre du tribunal d’instance de Dakar, Samba Yade a tout de même écopé d’une peine de six (6) mois assortie du sursis. Celui-ci lui reprochait les faits de coups et […]
ACTUALITE SOCIETEMalgré le désistement de la partie civile, Mamadou Diallo qui l’a conduit, hier, à la barre du tribunal d’instance de Dakar, Samba Yade a tout de même écopé d’une peine de six (6) mois assortie du sursis. Celui-ci lui reprochait les faits de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail de 15 jours.
Samba Yade n’a aucune cordialité dans la manière d’accueillir les hôtes. La manière dont il a traité Mamadou Diallo en est la parfaite illustration. Celui-ci qui a commis l’erreur d’aller leur rendre visite, lui et son compatriote Ghanéen, à leur lieu de travail est rentré chez lui avec la nuque et le front fracassés et enflés.
À l’origine de leur différend : un bol de Thieb. La victime qui l’a traduit à la barre u tribunal d’instance des flagrants délits de Dakar, hier, raconte être parti à leur lieu de travail pour voir son ami qui, d’ailleurs leur a servi d’interprète, au prétoire. Racontant sa mésaventure au juge, Mamadou Diallo renseigne avoir trouvé le bol contenant du riz à l’atelier quand il est arrivé.
Sans être invité, il s’empare du récipient pour apaiser sa faim. Mais c’était sans savoir que non seulement il ne goûtera pas à une cuillère du riz mais sera rudement bastionné pour avoir touché au bol. «Lorsque je l’ai pris pour me servir, le prévenu l’a arraché de mes mains et a commencé à parler dans une autre langue que je ne comprenais pas. C’est par la suite qu’il m’a donné des coups de poing avant de m’assener des coups de bâton sur la tête», narre le plaignant. Toutefois, ce dernier qui a été clément à l’égard du prévenu s’est désisté de sa constitution de partie civile.
«Comme celui qui nous sert d’interprète devant le juge est une connaissance de très longue date, je pardonne son compatriote qui le fréquente vu les liens que nous avons tissé», dit-il. Prévenu de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail de 15 jours, le vendeur de savon Samba Yade a plaidé coupable. «C’est moi qui l’ai interdit de manger le bol de riz. C’est avec un bâton que je l’ai blessé à la tête. Je demande pardon. J’étais à cet endroit pour dormir tout simplement», reconnaît le prévenu demeurant à Grand-Yoff. Tout de même, Samba Yade, âgé de 45 ans, a demandé pardon à la partie civile.
L’interprète, lui, a soutenu que le prévenu est un compatriote Ghanéen qu’il a voulu aider en l’hébergeant mais, il ne le connaît pas. Il informe qu’il le voyait juste passer lorsqu’il partait pour vendre ses savons.
À la suite du représentant du ministère public qui a requis l’application de la loi pénale, le juge a condamné Samba Yade à une peine assortie du sursis de 6 mois. Le magistrat explique avoir été clément à l’endroit du prévenu parce que la partie civile s’est désisté.
Un drame a eu lieu ce dimanche 8 mai dans un immeuble en construction sis au Point E. En effet, c’est vers les coups de 11 heures qu’un ouvrier burkinabè a chuté du 5ème étage. Il est décédé sur le coup. Ouvrier de nationalité burkinabè, […]
ACTUALITE SOCIETEOuvrier de nationalité burkinabè, Salia Ouattara qui était venu au Sénégal pour travailler ne va plus revoir sa famille. Il est décédé dimanche matin dans le chantier où il travaillait. Un chantier qui se trouve au Rond-Point Dabakh, sis au Point E. Agé de 21 ans, le jeune homme est tombé du 5 étage d’un immeuble en construction. Une chute qui lui a été fatale puisqu’il est mort sur le coup.
Alertés, les éléments du commissariat de Point E ont effectué un déplacement sur les lieux. Ils ont trouvé le corps sans vie gisant dans une marre de sang. Et après les constats d’usage, les sapeurs-pompiers ont acheminé le corps à l’hôpital Abass Ndao de Dakar.
Un des témoins des faits raconte qu’il était dans son véhicule lorsqu’il a entendu un bruit assourdissant. «J’ai vu un jeune homme couché dans une mare de sang, avec la tête fracassée et c’était horrible à voir», a-t-il dit. A l’en croire, après avoir appelé les sapeurs-pompiers, ils sont restés pendant au moins une heure de temps à attendre et c’est ainsi qu’ils ont appelé le Samu.
Le témoin a ainsi regretté la recrudescence de ce genre d’accident mortels dans les chantiers qui se situent au Point E ou à l’Amitié 2 et qui font au moins 10 à 11 étages. «Ce sont des ouvriers maliens, guinéens ou sénégalais qui travaillent dans des chantiers non sécurisés et qui perdent comme ça la vie, alors qu’on ne leur paye que 3000 francs par jour. C’est choquant !», s’est-il insurgé sur les ondes de iradio.
Selon lui, l’Etat doit aider les jeunes qui n’ont pas de travail et qui sont prêts à sacrifier leur vie pour des miettes. Il faut à ce propos rappeler que l’année dernière aussi un cas similaire avait eu lieu dans un chantier sis au Point E.
Il s’agit d’un jeune malien qui essayait de faire monter un monte-charge, remplie de briques au 7e étage. Mais malheureusement pour lui, l’appareil lui est tombé dessus accidentellement. La machine lui a fracassé la tête et il est mort sur le coup, de façon atroce. Et les exemples font florès.
Institut Pasteur de Dakar a été victime de cambriolage. Deux Guinéens y ont dérobé six ordinateurs portables professionnels et leurs chargeurs, de même qu’une montre connectée de marque K60, une sacoche contenant des documents administratifs et un montant de 50.000 Fcfa. L’Institut Pasteur a été […]
ACTUALITE SOCIETEInstitut Pasteur de Dakar a été victime de cambriolage. Deux Guinéens y ont dérobé six ordinateurs portables professionnels et leurs chargeurs, de même qu’une montre connectée de marque K60, une sacoche contenant des documents administratifs et un montant de 50.000 Fcfa.
L’Institut Pasteur a été visité deux fois. Le premier cambriolage a eu lieu dans la nuit du 9 au 10 mars 2022 et le second dans celle du 27 au 28 avril dernier.
Les malfrats étaient entrés par effraction à partir de la fenêtre, en défonçant les grilles de protection, pour accéder dans la grande salle de l’IPD.
L’exploitation de la caméra de surveillance a permis d’identifier les deux malfrats, tous les deux de nationalité guinéenne.
Il s’agit des nommés Ismaila Diallo et Mamadou Oury Barry. Leur receleur nommé Thiaw est activement recherché par la police.
Joli coup de filet de la Police du Tourisme. Lors d’une opération nocturne vendredi dernier, elle a interpellé une bande de 14 personnes, dont 12 homosexuels et deux prostitués, dans des appartements à Hann Maristes et aux Parcelles Assainies, notamment à la résidence « Bassiste […]
ACTUALITE SOCIETEJoli coup de filet de la Police du Tourisme. Lors d’une opération nocturne vendredi dernier, elle a interpellé une bande de 14 personnes, dont 12 homosexuels et deux prostitués, dans des appartements à Hann Maristes et aux Parcelles Assainies, notamment à la résidence « Bassiste » sise à la Cité Soprim.
Dans cette résidence composée de quatre étages, les policiers ont surpris au 1er étage 7 garçons, âgés entre 17 et 20 ans, torse-nu. Dans une des chambres, ils étaient allongés sur le lit laissant par terre des préservatifs fraîchement utilisés.
Au 3e étage, les limiers ont surpris un couple homosexuel tout nu. Le couple a confié qu’il a pris en location l’appartement à 25.000 Fcfa la nuitée. Aux Maristes, les 7 personnes arrêtées, dont 2 filles et 5 homosexuels ont confié avoir loué l’appartement à 30.000 Fcfa la nuitée pour 4 jours.
Plusieurs préservatifs déjà utilisés ont été saisis par les limiers. Les deux pédés s’adonnaient à des actes contre nature alors que les travailleuses de sexe collaboraient avec l’un des pédés pour qu’il leur trouve des clients.
Ils ont été tous placés sous mandat de dépôt hier lundi. Ils seront jugés ce jeudi devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, rapporte
Du nouveau dans l’affaire du bébé qui a été déclaré mort, alors qu’il était encore vivant. Selon les informations de Rfm, c’est tôt, ce matin, que la dame Seynabou Dieng, l’aide-infirmière qui aurait outrepassé ses prérogatives et délivré un certificat de décès du bébé qui […]
ACTUALITE SOCIETEDu nouveau dans l’affaire du bébé qui a été déclaré mort, alors qu’il était encore vivant. Selon les informations de Rfm, c’est tôt, ce matin, que la dame Seynabou Dieng, l’aide-infirmière qui aurait outrepassé ses prérogatives et délivré un certificat de décès du bébé qui était encore en vie, a été cueillie chez elle par la police. Actuellement dans les locaux du commissariat central de Kaolack, elle attend son audition. Quant au père du bébé, il a été entendu à la police centrale de Kaolack. Selon des sources, le médecin traitant voulait étouffer l’affaire, en récupérant le certificat de décès des mains d’Al Hassan Sow, le père du bébé. C’est au niveau de la police, qu’il a été demandé au père d’aller récupérer le certificat de décès.Pour rappel, l’incident s’est produit dans la nuit du 6 mai, à l’hôpital régional El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack.Pour sa part, le ministère de la Santé et de l’Action sociale n’a pas attendu les résultats de l’enquête ouverte sur cette affaire, pour prendre des mesures conservatoires. Ces mesures détaillées par Ousmane Dia, le directeur des Etablissements publics de santé, sur les ondes de la Rfm.« Nous nous sommes offusqués que ces situations se produisent dans des établissements publics de santé, d’autant plus que l’hôpital régional de Kaolack est une structure où nous avons l’habitude de voir les choses se faire conformément à la réglementation. Aujourd’hui, je pense qu’avec beaucoup de sérénité et comme nous l’a instruit Monsieur le Ministre de la Santé à la suite de la réunion d’urgence qui est tenue régulièrement chaque semaine, c’est de prendre les mesures conservatoires qui sont allées du blâme de la sage-femme à une demande d’explication. Et, en temps utile, des sanctions seront encore prises, parce qu’elle a fait fi de la procédure, soit par ignorance, soit par négligence et cela peut être source d’ennuis. Donc à partir de là, le ministère a instruit de prendre des mesures conservatoires, le temps que l’enquête se déroule. La demande d’explication est adressée au chef de service et à l’assistante-infirmière. Parce que le chef de service est le responsable du service et l’assistante-infirmière est la fautive ».
Une affaire d’infanticide plonge Dalifort dans la consternation. Selon Les Échos, un fœtus âgé d’environ de 7 mois a été retrouvé flottant dans les eaux usées d’une fosse septique. La découverte macabre a eu lieu hier dimanche au quartier Dalifort Touba Seras. La dépouille mortelle du […]
ACTUALITE SOCIETEUne affaire d’infanticide plonge Dalifort dans la consternation. Selon Les Échos, un fœtus âgé d’environ de 7 mois a été retrouvé flottant dans les eaux usées d’une fosse septique. La découverte macabre a eu lieu hier dimanche au quartier Dalifort Touba Seras. La dépouille mortelle du bébé a été repêchée et déposée à l’hôpital Aristide Le Dantec pour autopsie.Tous les occupants de l’immeuble R+4 près de la fosse septique été convoqués au commissariat de Pikine pour les besoins de l’enquête.
Les femmes et filles occupant l’immeuble ont toutes clamé leur innocence. N’empêche, elles ont toutes soumis à des examens cliniques.
La coalition Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal ont trouvé des compromis pour aller vers les élections législatives de juillet 2022, en se donnant le maximum de chances pour bousculer la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar. Mais sous quel forma ? Wallu Sénégal ne s’est […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELa coalition Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal ont trouvé des compromis pour aller vers les élections législatives de juillet 2022, en se donnant le maximum de chances pour bousculer la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar. Mais sous quel forma ?
Wallu Sénégal ne s’est pas fondue dans celle de Yewwi Askan Wi. Chacune de ses deux entités va aller aux législatives avec une liste nationale qui lui est propre. En réalité, il s’agit d’un compagnonnage départemental. Elles vont en effet se rejoindre dans les départements pour une liste commune. Il a été ainsi convenu que chaque coalition vienne renforcer l’autre dans un département où elle est dans une position favorable. Du point de vue national, chaque coalition aura sa liste nationale qui lui est propre.
À travers ce schéma, la coalition Wallu Sénégal s’est jointe à Yewwi Askan Wi après des tractations qui ont pris fin dimanche soir avec notamment la décision parallèle, de choisir Ousmane Sonko comme tête de liste de la coalition Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal, de désigner Lamine Thiam au niveau national. Ce n’est point une fusion entre les deux coalitions, mais plutôt des accords dans le cadre électoral au niveau des départements.
Donc Sonko ne dirige pas la liste de la Grande Coalition Wallu. Mais au niveau des départements les 2 coalitions se sont entendues sur un modèle novateur qui consiste à unir leurs forces au niveau de chaque département.
Dans certains départements Yewwi va investir des candidats de Wallu mais avec la bannière Yewwi. Et dans d’autres départements Wallu va investir des candidats Yaw, mais sous la bannière Wallu. Chaque coalition va déposer sa propre liste mais avec un mix dans les départements.
Contrairement à certains propos, la coalition Wallu Sénégal ne s’est pas fondue dans celle de Yewwi Askan Wi. Chacune de ces deux entités va aller aux législatives avec une liste nationale qui lui est propre. « C’est uniquement sur les départements qu’il y a alliance. Sur […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEContrairement à certains propos, la coalition Wallu Sénégal ne s’est pas fondue dans celle de Yewwi Askan Wi. Chacune de ces deux entités va aller aux législatives avec une liste nationale qui lui est propre.
« C’est uniquement sur les départements qu’il y a alliance. Sur les départements, il a été décidé que Yewwi et Wallu feront liste commune.
Donc Sonko ne dirige pas la liste de la Grande Coalition Wallu. Mais au niveau des départements les 2 coalitions se sont entendus sur un modèle novateur qui consiste à unir nos forces au niveau de chaque département », a expliqué Nafi Diallo responsable Pds de Matam,
Qui ajoute que le Directeur de campagne du Pds, Lamine Thiam va annoncer en temps voulu le nom de la tête de liste nationale du Pds pour les Législatives.
Du côté du Pastef, après avoir semé la confusion en annonce une fusion de Wallu dans YAW, une rectification a été apportée qui suit renseigne la même source.