Malgré les démentis de part et d’autre, Cheikh Yérim Seck déclare que Macky Sall et Ousmane Sonko ont bien discuté. Sur la 7TV, le journaliste a fait des allégations sur ce qu’il appelle le « protocole du Cap Manuel ». « Sonko est en train de dialoguer. Il […]
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ACTUALITE SPORTSLe sang a coulé le 20 avril dernier au Point E. Et il faut dire que n’eût été la prompte intervention des éléments du commissariat du point E qui ont été appelés d’urgence, le pire se serait produit. En effet, c’est tard dans la nuit […]
ACTUALITE SOCIETELe sang a coulé le 20 avril dernier au Point E. Et il faut dire que n’eût été la prompte intervention des éléments du commissariat du point E qui ont été appelés d’urgence, le pire se serait produit. En effet, c’est tard dans la nuit que ceux-ci ont été informés d’une bagarre sanglante entre des employés de l’UCG. Une bagarre opposant plusieurs personnes, lesquelles travaillent tous dans la même société. Et selon les témoins des faits, l’altercation résulterait d’une banale dispute. En réalité, ces agents de l’UCG se disputaient la priorité pour le chargement de leurs camions à ordures.
Devant les enquêteurs, P.W. Ngom qui est un agent de l’UCG a expliqué que ce jour-là, dans le cadre de leur travail, ils se sont retrouvés au Point E, pour la collecte d’ordures. Mais alors qu’ils devaient remplir l’un des camions, une dispute a éclaté entre N. Sarr qui était au volant de l’un des véhicules et F. Diop qui se disputaient la priorité pour le chargement de leurs véhicules. Et selon le sieur Ngom qui avait senti que la tension allait monter d’un moment à l’autre, il a tenté d’intervenir.
Mais avant même qu’il ne s’approche d’eux pour les dissuader de se battre, ces ceux-ci ont commencé à s’envoyer des coups de poing. C’est dans cette mêlée dit-il, que F. Sarr s’est saisi d’un couteau que son jeune frère avait saisi pour assener un violent coup à G. Dieng qui s’est affalé au sol. Les deux autres techniciens de surface en l’occurrence F. Diop et B. Dieng qui étaient armés de barre de fer, n’ont également pas été épargnés par Fallou Sarr qui les a également blessés avec son couteau. Sauf que ces derniers ont eu plus de chance, puisqu’ils s’en sont sortis qu’avec de légères blessures.
Ce qui n’a pas été le cas de G. Dieng qui a été sévèrement atteint au dos, à l’épaule gauche et au bras. Il perdait déjà beaucoup de sang, et a été sauvé de justesse par un des témoins de la scène qui maîtrisait les gestes de secours et qui lui a attaché un garrot. Ce, après quoi, il a été évacué en urgence par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Principal de Dakar. Finalement interpellé, F. Sarr s’est prévalu de l’excuse de provocation en soutenant avoir été attaqué par ces trois individus qui étaient tous armés de barre de fer.
Ce qui n’a pas été le cas de G. Dieng qui a été sévèrement atteint au dos, à l’épaule gauche et au bras. Il perdait déjà beaucoup de sang, et a été sauvé de justesse par un des témoins de la scène qui maîtrisait les gestes de secours et qui lui a attaché un garrot. Ce, après quoi, il a été évacué en urgence par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Principal de Dakar. Finalement interpellé, F. Sarr s’est prévalu de l’excuse de provocation en soutenant avoir été attaqué par ces trois individus qui étaient tous armés de barre de fer.« C’est eux qui ont commencé à m’injurier et je n’ai fait que riposter car ils se sont jetés sur moi. C’est ainsi que je me suis précipité à l’avant du camion où je gardais un couteau », a-t-il indiqué. Et selon lui, s’il les a poignardés, c’était juste pour se dégager. Des déclarations qui ne l’ont pas empêché d’être déféré au parquet pour agression physique par arme blanche.
Perdu par ses erreurs, Yewwi Askan Wi (YAW) opte pour le rapport de force. Benno Bokk Yaakaar (BBY) riposte aussi avec…force. C’est parti pour des élections mouvementées au Sénégal. Alors que tous les yeux sont rivés vers la direction générale des élections (DGE), les démons […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEPerdu par ses erreurs, Yewwi Askan Wi (YAW) opte pour le rapport de force. Benno Bokk Yaakaar (BBY) riposte aussi avec…force.
C’est parti pour des élections mouvementées au Sénégal. Alors que tous les yeux sont rivés vers la direction générale des élections (DGE), les démons de la violence refont surface. Cette violence va, encore venir de l’opposition. Et pour cause, le risque de forclusion de la liste départementale de Yewwi Askan Wi (YAW) à Dakar. En attendant d’en savoir un peu plus sur l’issue de cette affaire, les partisans de Khalifa Sall ne devraient s’en prendre qu’à eux-mêmes. Barthélémy Dias et sa coalition sont victimes de leurs erreurs.
Sauf miracle de dernière minute, Yewwi Askan Wi (YAW) ne fera pas partie des élections législatives à Dakar. Un éventuel risque d’invalidation de la liste de YAW plane dans l’air. Une information qui a mis le maire de la ville dans tous ses états. Barthélémy Dias, Abass Fall et Déthié Fall ont pris d’assaut la direction générale des élections (DGE) pour exprimer toute leur colère. Face à la presse, Dias-fils accuse Macky Sall de vouloir éliminer leur liste. Pour régler le problème, il appelle à la résistance et invite tous les jeunes à descendre dans les rues.
Mais cette fois-ci, la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) est complètement tombée dans son propre piège. Si la liste qui circule sur les réseaux sociaux est réellement celle déposée à la direction générale des élections, Barthélemy Dias et Cie ont tort. Cette liste ne respecte pas la loi sur la parité. Il y a 2 femmes dur 7 personnes. Il devrait y avoir au minimum 3 femmes sur 7 . Et le désistement de certains leaders comme Madiop Diop n’arrange pas les choses. Pour parer à leur manquement, YAW accuse même Thiendella Fall d’avoir falsifié la liste. (Voici la liste)
Nos mousquetaires devraient apprendre à accorder leur violon avant de parler. Selon le mandataire national, il ne peut y avoir d’erreurs sur la parité de leur part. Mais cette liste publiée sur les réseaux sociaux dément Déthié Fall. On voit clairement que la parité n’y est pas respectée. Pendant ce moment, Barthélémy Dias, qui a sûrement constaté le non-respect de la parité, parle de démission des concernés. Deux versions qui se contredisent littéralement. Alors YAW devrait gagner en sagesse en apprenant de ces erreurs.
Ce qui s’est réellement passé…Révélation
Selon nos sources qui ont approché l’entourage de Ousmane Sonko, « la liste de départ avait 3 femmes sur 7« . Et notre source de révéler une manipulation malhonnête de la part de Barth et Déthié Fall: « avant de déposer la liste, Barth et Déthié Fall ont enlevé la 3ème femme qui était une partisane de Sonko qui suivait directement Abass Fall sur la liste. Et ils l’ont remplacée par un partisan de Barthélémy Dias. Et ils sont partis déposer à la hâte sans faire attention au respect de la parité car ils ont remplacé cette partisane de Sonko par un partisan de Barth« . le silence du leader du Pastef sur cette affaire confirme les révélations de notre source.
« Les juristes au sein de cette coalition devraient faire comprendre au maire de Dakar que l’article L 179, dont il se prévaut pour valider sa liste, ne concerne pas les cas d’erreur sur l’agencement paritaires des candidats investis », renseigne une source contactée par Xibaaru. Au lieu de se rendre à l’évidence et trouver les moyens juridiques pour contourner ce blocage, Yewwi Askan Wi opte par la manière forte. Barthélemy Dias invite les jeunes à descendre dans les rues, un appel qui rappelle celui de Ousmane Sonko en mars 2021.
Pour une fois, le gouvernement ne devrait pas suivre certains opposants dans leur pensée suicidaire. Exceptionnellement, la direction générale des élections devrait laisser Yewwi Askan Wi remplacer les candidats qui se sont désistés. La DGE passerait outre la loi certes, mais elle permettrait à ces élections de se dérouler dans les meilleures des conditions. Perdu par ses propres erreurs, l’opposition ne laissera pas ses scrutins se dérouler normalement sans une liste de Yewwi à Dakar.
En attendant d’avoir le fin mot de cette affaire, Yewwi Askan Wi doit éviter toute action qui mènera ce pays dans le chaos. Ce qui se passe actuellement est le fruit d’un manque d’expérience de leur part. La situation que traverse Barthélémy Dias et Cie est loin d’être un avantage pour Benno Bokk Yakaar. « Si Yewwi est forclos à Dakar, alors les sénégalais n’iront pas voter le 31 juillet« . Les affidés de cette coalition mettront ce pays à feu et à sang. La coalition Benno a riposté à l’appel à la violence du maire de Dakar…
A la suite de cette déclaration musclée du maire de Dakar que les partisans du président de la République par la voix de Farba Ngom ont convoqué la presse au siège de l’APR pour porter la réplique au bouillant maire de Dakar ; « Barth, c’est à toi que je parle, on ne te concédera rien, on t’attend » a déclaré Farba Ngom rejoint par Zahra Iyane Thiam qui assène : « Trop c’est trop, on demande aux militants et responsables de Benno Bokk Yaakaar de se tenir prêts »
Des universitaires, des responsables politiques et des membres de la société civile étaient en conclave hier, mercredi 11 mai, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis dans le cadre d’une journée d’études et de réflexion initiée par l’Ufr des Sciences Juridiques et Politiques. Le but était […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEDes universitaires, des responsables politiques et des membres de la société civile étaient en conclave hier, mercredi 11 mai, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis dans le cadre d’une journée d’études et de réflexion initiée par l’Ufr des Sciences Juridiques et Politiques. Le but était de leur permettre d’évaluer les dernières élections territoriales de janvier 2022 et d’en tirer les leçons afin d’anticiper sur les prochaines législatives. Le constat du fondateur de AfrikaJom Center, Alioune Tine est que «le Sénégal a connu un recul démocratique car des candidats de l’opposition n’ont pas, pour la première fois de son histoire politique, pu participer à des élections».
«La démocratie sénégalaise est malade», de l’avis du fondateur de Afrika Jom Center qui note un recul démocratique lors des élections territoriales de janvier dernier. Selon Alioune Tine, pour la première fois dans l’histoire politique du Sénégal, des leaders politiques éminents n’ont pas pu participer à des élections, citant ainsi l’exemple de Khalifa Sall, de Karim Wade, et des problèmes auxquels font face d’autres leaders tels que Barthélémy Dias, Ousmane Sonko.
Il a pris part hier, mercredi 11 mai, à la journée d’études et de réflexion organisée par l’unité de formation et de recherche (Ufr) des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. L’exercice portait sur les élections territoriales de janvier dernier passées au crible par les universitaires, les hommes politiques et les acteurs de la Société civile. Il s’agit entre autre d’un cadre d’échanges leur permettant de tirer, à travers quatre panels, les leçons juridiques, politiques, sociales et économiques de ces scrutins du 23 janvier 2022.
Dans le cadre de cette journée scientifique, des enseignants-chercheurs, des étudiants, des acteurs politiques, des autorités judiciaires et administratives et des représentants de la société civile ont pu échanger de manière approfondie sur les conclusions tirées de ces dernières locales dans le but de renforcer la démocratie sénégalaise et par la même occasion d’anticiper sur les prochaines échéances électorales. Les quatre panels ont porté respectivement sur les leçons juridiques des élections territoriales, les leçons politiques de ces élections, les élections territoriales et l’état de la démocratie, et enfin sur les leçons sociales et économiques des élections territoriales. Les organisateurs ont promis de tenir à nouveau cet exercice après les prochaines élections législatives.
La coalition Yewwi askan wi connait des remous. Selon les leaders Cheikh Bamba Dièye, Moustapha Mamba Guirassy, Me Moussa Diop…, les principes de la charte de ladite coalition ont été «bafoués par un esprit stalinien, clanique de copinage» lors des investitures aux élections législatives du […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELa coalition Yewwi askan wi connait des remous. Selon les leaders Cheikh Bamba Dièye, Moustapha Mamba Guirassy, Me Moussa Diop…, les principes de la charte de ladite coalition ont été «bafoués par un esprit stalinien, clanique de copinage» lors des investitures aux élections législatives du 31 juillet prochain.
L’unité de façade de la coalition Yewwi askan wi s’est fissurée. Après la publication des listes des investitures, les frustrés montent au créneau pour dénoncer une «procédure antidémocratique, non transparente et teintée d’ostracisme». D’après les 9 signataires, une «minorité s’est arrogé la totalité des postes électifs reléguant des partis et des leaders, qui ont par leur crédibilité, leur représentativité et leur combativité, construit l’écosystème attractif qu’est devenue la coalition Yewwi askan wi». Ils rejettent ainsi les listes proposées par Ousmane Sonko, Khalifa Sall et Cie. Bess du ñak de Serigne Mansour Sy «Jamil», le Front pour le socialisme et la démocratie/Benno jubel (Fsd-Bj) de Cheikh Bamba Dièye, le Sénégal en tête (Set) de Moustapha Mamba Guirassy, Alternative générationnelle (Ag/Jotna) de Me Moussa Diop, pour ne citer que ceux-là, sont parmi les signataires de la déclaration.
«La procédure de sa mise en place a violé les principes de transparence. Cette liste a trahi les fondements de leur organisation. Elle réveille les vieux démons de la politique. Un esprit tortueux, inique et hégémonique qui n’est pas tolérable dans une coalition comme la nôtre qui a réveillé l’immense espoir d’un avenir radieux pour tous les Sénégalais», expriment-ils avec amertume dans un communiqué. Ils ne manquent pas de qualificatifs. «L’esprit partisan et les calculs politiciens ont prévalu durant cet exercice et les valeurs de solidarité, de partage, de justice et d’équité, qui sont inscrites dans notre charte, ont été bafouées par un esprit stalinien, clanique de copinage.» Les partis signataires de cette déclaration laissent entendre que la liste de Yaw est aux antipodes des valeurs de justice et de transparence dans la gouvernance publique revendiquées par ses leaders. Serigne Mansour Sy et les autres, mécontents, considèrent que la coalition «doit rester une plateforme de solidarité où toutes les parties prenantes seront traitées avec respect et considération».
Par ailleurs, les frustrés disent refuser de cautionner «cette dérive qui heurte l’éthique politique et la solidarité» qui fondent la coalition Yewwi. «Nous ne pouvons accepter que les comportements que nous dénonçons chaque jour deviennent les armes favorites d’une partie de Yewwi pour asservir, à des fins politiciennes, une coalition qui doit être au service du Sénégal et de sa grandeur», tonnent encore Serigne Mansour Sy et ses camarades. Ils en déduisent que «demain au pouvoir, cette situation sera source de beaucoup de désagréments du type népotisme, clientélisme et corruption. Jamais nous n’accepterons que la frustration, le ras-le-bol des Sénégalais soient captés par des politiciens pour servir un dessein hégémonique». Dans ce sillage, Cheikh Bamba Dièye et compagnie précisent que le débat posé n’est pas une querelle de poste ou de préséance mais, disent-ils, porte sur la sincérité de leur engagement et sur leur aptitude à s’y conformer. Ils annoncent une conférence de presse demain vendredi au siège du Fsd-Bj.
Serigne Mansour Sy ne s’est pas limité à cette déclaration commune. Sur sa page Facebook, il s’est adressé à Khalifa Ababacar Sall. «Toutes les appréhensions que j’avais dans le fonctionnement de Yaw se sont révélées justifiées. Je me suis senti au milieu d’un complot dont j’ignore les vrais acteurs. Je ne me suis jamais senti aussi insulté et humilié que dans les réunions d’une coalition à laquelle j’ai cru de toutes mes forces», écrit-il. Et de poursuivre : «En ton âme et conscience Khalifa, crois-tu que je mérite vraiment la 15ème place sur la liste, derrière Saliou Sarr, Déthié Fall.» Zappé, Me Moussa Diop a, dans un communiqué, pointé du doigt la responsabilité de Khalifa Sall. «Je ne figurerai pas sur les listes, telle est la revancharde et indigne attitude d’un prétendu homme d’Etat adoptée par monsieur Khalifa Sall pour m’écarter des listes», a fulminé Me Diop. L’ancien Dg de la société Dakar dem dikk, passé avec armes et bagages dans l’opposition, est d’avis que «cette forfaiture inique n’aurait jamais prospéré sans la complicité de monsieur Ousmane Sonko».
Fatou Fall, née en 1994, agent de service, mariée, habitant aux Parcelles Assainies, Unité 8, est accusée d’avoir escroqué une somme totale de 4 millions 200 mille FCfa. « Je me chargeais de leur acheter de la marchandise. Quand elles me remettaient de l’argent pour l’achat […]
ACTUALITE SOCIETEFatou Fall, née en 1994, agent de service, mariée, habitant aux Parcelles Assainies, Unité 8, est accusée d’avoir escroqué une somme totale de 4 millions 200 mille FCfa.
« Je me chargeais de leur acheter de la marchandise. Quand elles me remettaient de l’argent pour l’achat d’articles, j’allais auprès de mes fournisseurs et je demandais un rabais. Ce qui fait que je prenais comme bénéfice, la somme qui restait. Mais pour cette fois-ci, il y avait une hausse des prix et je suis allée leur rendre leur argent. »
« Cependant, ce sont elles qui m’avaient demandé de le garder avec moi jusqu’à ce que la situation se décante. Je leur ai livré de la marchandise à moitié. Je leur avais dit que je pouvais acheter les 300 sacs de sucre avec 4 millions puisqu’il y avait hausse des prix. Je les ai achetés auprès de mon fournisseur mais, je ne leur ai pas parlé de la Douane. J’ai acheté le prix initial du sucre à 14 mille FCfa le sac. Pour les autres sacs, je les ai achetés à un prix exorbitant. J’ai utilisé le reste de l’argent à des fins personnelles», a-t-elle lâché, après avoir été acculée par la procureur.
« Le reste de l’argent, je l’ai utilisé quand je suis tombée malade et internée. C’est au mois de juillet dernier que j’ai reçu leur argent », poursuit-elle. Les parties civiles ne réclament rien, mais demandent juste le reste de leur reliquat.
Yvonne Diop, l’une des parties civiles soutient : «nous lui avons remis cet argent pour qu’elle nous achète de la marchandise. Comme nous avons toujours l’habitude de voyager ensemble, les deux autres parties civiles et moi pour acheter de la marchandise. Cependant, comme nous n’avons plus la possibilité de le faire à cause de la covid, nous l’avions sollicitée pour nous en acheter, étant donné que nous la considérons comme notre fille. Elle nous avait dit qu’elle avait des relations avec la Douane et qu’elle pouvait nous acheter 2 millions et quelques pour 300 sacs de sucre. Elle nous doit 106 sacs restants. En plus, elle devait nous livrer aussi des cheveux naturels», explique-t-elle devant le juge.
Pour François Diop, Madame Ngom, la parole ne leur a pas été donnée à la barre. Le Procureur demande l’application de la loi, la défense quant à elle sollicite clémence à l’endroit de sa cliente, étant donné qu’une partie de la marchandise a été livrée.
Le tribunal reconnaît Fatou Fall coupable et l’a condamnée à 3 mois avec sursis et obligation de rembourser les parties civiles.
Vous vous souvenez de Mame Coumba de Soleil levant ?Méconnaissable, Métamorphosée, Mame Coumba a fait signe de vie. Devant notre confrère de Sénégal Buzz, l’ex compagnonnage de Sanekh a expliqué son absence sur la scène théâtrale, son analyse des nouvelles séries, entre autres
ACTUALITE SOCIETEVous vous souvenez de Mame Coumba de Soleil levant ?
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La FIFA a sanctionné le Sénégal d’une amende de 112 millions de francs CFA et d’un match à domicile à huis clos pour les incidents du match contre l’Égypte, le 29 mars dernier, en barrage retour du Mondial 2022. Si la Fédération sénégalaise de football […]
ACTUALITE SOCIETE SPORTSLa FIFA a sanctionné le Sénégal d’une amende de 112 millions de francs CFA et d’un match à domicile à huis clos pour les incidents du match contre l’Égypte, le 29 mars dernier, en barrage retour du Mondial 2022. Si la Fédération sénégalaise de football (FSF), par la voix de son président, Me Augustin Senghor, notamment, a dénoncé la sévérité des sanctions, elle n’entend pas les contester en appel.
D’après le journal Record, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi, la décision a été prise avant-hier, mardi, lors de la dernière réunion du Comité exécutif de l’instance. La FSF craint d’aggraver son cas. En effet, renseigne le quotidien sportif, en cas d’appel, les sanctions pourraient être corsées.
En revanche, rapporte Record, la Fédération n’écarte pas d’adresser une demande de clémence à la FIFA avec l’espoir d’obtenir un allégement de la sentence.
Réponse du berger à la bergère. Suite à la sortie du maire de Dakar qui déclare à qui veut l’entendre qu’il n’y aura pas d’élections si la liste départementale de Yewwi askan wi n’est pas validée à Dakar, la coalition Benno bokk yaakaar n’a pas […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETERéponse du berger à la bergère. Suite à la sortie du maire de Dakar qui déclare à qui veut l’entendre qu’il n’y aura pas d’élections si la liste départementale de Yewwi askan wi n’est pas validée à Dakar, la coalition Benno bokk yaakaar n’a pas tardé à apporter la réplique. Face à la presse, hier, ces membres de la mouvance présidentielle, par la voix du ministre Alioune Ndoye, ont déploré l’attitude posée par Dias fils qui avait voulu défier la police pour accéder à la Direction générale des élections.
« Nous n’accepterons plus en tant qu’ acteurs politiques que des gens puissent penser qu’ils sont au-dessus des lois et règlements de ce pays. Nous déplorons l’attitude adoptée par le maire Barthélémy Dias. S’il n’était pas maire, il serait certainement derrière les barreaux parce que nous avons l’obligation de respecter les lois et règlements du pays », déclare le maire de Dakar-Plateau. Il soutient qu’ils n’accepteront plus que des gens pensent pouvoir tenir en otage le système démocratique sénégalais. « Je ne sais pas ce que fera la Direction des élections mais nous demandons à l’administration d’être stricte par rapport aux lois et règlements de ce pays et de les appliquer sans faiblesse », souligne Alioune Ndoye.
Il termine en disant : « Nous sommes des Dakarois et il faut que les gens cessent de penser ou de rêver qu’ils peuvent nous menacer. Nous habitons ensemble dans cette ville et nous nous connaissons. Dorénavant la coalition sera prête pour faire face à toute tentative de confiscation de la liberté d’expression des Sénégalais ».
TRANSPLANTATION RÉNALEProsper Koffi est revenu de loin. Il a entamé une nouvelle vie après sa transplantation rénale estimée à plus de 27 millions de francs CFA. Tous les trois mois, il est tenu d’acheter des médicaments. Son cas peut servir aux insuffisants rénaux du Sénégal […]
ACTUALITE SOCIETETRANSPLANTATION RÉNALEProsper Koffi est revenu de loin. Il a entamé une nouvelle vie après sa transplantation rénale estimée à plus de 27 millions de francs CFA. Tous les trois mois, il est tenu d’acheter des médicaments. Son cas peut servir aux insuffisants rénaux du Sénégal qui veulent aussi subir une transplantation rénale.
La transplantation rénale reste le remède de cheval contre l’insuffisance rénale. Sinon, le sujet sera soumis à un traitement (Dialyse ou hémodialyse) pour le reste de sa vie. Prosper Koffi a décidé de revenir à une vie normale. C’est ainsi qu’ en 2015, il a subi une transplantation rénale en Côte d’Ivoire. L’acte chirurgical coûte les yeux de la tête selon ses témoignages.
Pour des consultations, des analyses, en somme jusqu’à la transplantation, il a déboursé 27 millions de francs CFA. L’acte chirurgical n’est pas donc à la portée de toutes les bourses. L’insuffisance rénale chronique reste une maladie ruineuse, disent, les praticiens de santé. Le cas de Koffi l’atteste, à bien des égards.
Après la transplantation, il a certes poussé un ouf de soulagement, mais, il continue de supporter les coûts post-opératoires. Tous les trois mois, il fait face, aux charges presque incompressibles, à des analyses. Celles-ci servent à contrôler la créatinine pour voir si elle est normale. Il le fait par principe de précaution. A la vérité, Koffi était hypertendu. Il ne savait pas.
Aujourd’hui, il est obligé de prendre des médicaments à vie. Ces produits pharmaceutiques sont très rares. Au Sénégal, une seule officine privée écoule des médicaments recommandés après l’intervention chirurgicale. Il faut donc être prudent pour ne pas perdre le rein transplanté un mois après l’opération.
Le suivi médical est aussi onéreux. « Acheter un médicament à 168. 000F CFA et un autre à 400. 000 n’est pas donné à tout le monde et cela pratiquement tous les mois », s’est confié Prospère Koffi, un transplanté rénal.
Bien avant son opération et au début de sa maladie, il avait voyagé dans beaucoup de pays à la recherche de traitement radical. Prospère peut bien servir de boussole pour d’autres insuffisants rénaux qui cherchent à ouvrir une nouvelle page de leur vie. Il a salué le vote de la loi sur la transplantation rénale et le renforcement de cette disposition en 2015. Il apprécie aussi la mise en place du comité national de don et de transplantation. Prosper n’est ne partage pas l’avis de ceux qui pensent qu’au Sénégal, le processus est lent.
« Il faut prendre tout le temps qu’il faut, réfléchir sur tous les angles et avoir un bon départ. C’est mieux que de commencer avec des failles. C’est bien de transplanter, mais le suivi est encore plus important » dit-il.
Prosper prodigue des conseils aux autorités sénégalaises et aux néphrologues du Sénégal. Il fait référence à la mise en place de mécanisme pouvant faciliter l’accès aux médicaments après la transplantation rénale.
Prise des médicaments à vie
« Au départ, j’avais un stock de médicaments mais quand il s’est épuisé, je me suis retrouvé en face de certaines réalités. On ne m’avait jamais dit que les médicaments étaient rares », se souvient-il. Celui qui a souffert de l’insuffisance rénale insiste : « la première chose à régler, c’est la disponibilité des médicaments. Le coût n’est pas donné à tout le monde. Ce sont des médicaments que l’on doit prendre à vie ». C’est pour cela, qu’il a demandé aux uns et aux autres de mener le combat de la sensibilisation pour faciliter l’accès à ces médicaments.
« Il faut conscientiser l’Etat pour qu’il prenne en charge les futurs transplantés parce que la vie d’un transplanté dépend des médicaments. S’ils ne sont pas disponibles à temps, on est obligé de faire encore la dialyse » avertit Koffi.
En définitive, il a magnifié l’effort de multiplication des structures de prise en charge comme les centres de dialyse.
La liste de Yewwi Askan Wi à Dakar pour les Législatives du 31 juillet prochain n’est pas rejetée. Elle risque certes de l’être. Le problème ? Un non-respect de la parité. En effet, renseigne Source A, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi, […]
ACTUALITE POLITIQUELa liste de Yewwi Askan Wi à Dakar pour les Législatives du 31 juillet prochain n’est pas rejetée. Elle risque certes de l’être.
Le problème ? Un non-respect de la parité. En effet, renseigne Source A, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi, elle est composée de cinq hommes et deux femmes.
Le journal informe que c’est pour rectifier le tir que Barthélémy Dias, maire de Dakar et tête de liste de la coalition pour la capitale, s’est rendu hier, mercredi, au siège de la Direction générale des élections (DGE). Il souhaitait récupérer le dossier de Yewwi en question pour procéder aux changements nécessaires.
Source A affirme que pour convaincre ses interlocuteurs à la DGE, Barthélémy Dias aurait invoqué des démissions dans leur rang.
Il s’est heurté à un refus au motif que l’heure est à la vérification des parrainages. C’est ainsi que l’édile de Dakar a tenté de forcer le passage. En vain.
La liste de Yewwi Askan Wi à Dakar risque d’être rejetée. Le respect de la parité étant une condition indispensable pour qu’un dossier de candidatures soit validé. En cas de manquement à ce niveau, aucune modification n’est possible, si l’on en croit Source A.
Le journal signale que les seuls changements autorisés concernent les candidats décédés ou frappés d’inéligibilité.