Incontestablement, il est l’homme politique le plus célèbre et le plus aimé par la jeunesse Sénégalaise cette dernière décennie. Par son discours antisystème, Ousmane Sonko a réussi la prouesse de pénétrer au plus profond dans le cœur de nombre de jeunes Sénégalais qui ont espoir […]
A LA UNE ACTUALITE POLITIQUELes membres de la plateforme Aar Sunu Élection composée de plusieurs organisations de la société civile, des syndicats de travailleurs, avec le soutien de plusieurs partis et mouvements politiques de l’opposition ont organisé ce samedi 17 février leur marche silencieuse. Les marcheurs mobilisés ont emprunté […]
A LA UNE ACTUALITE POLITIQUEAprès la décision du Conseil constitutionnel qui a invalidé le report de la présidentielle au 15 décembre, le président Macky Sall s’est engagé vendredi à organiser le scrutin « dans les meilleurs délais ».Le chef de l’État Macky Sall s’est engagé vendredi 16 février à organiser la […]
A LA UNE ACTUALITE POLITIQUELes mouvements d’humeur se poursuivent et installent la psychose chez bon nombre de Sénégalais surtout chez les malades. Alors qu’on a pas fini de parler de la grève générale ce jeudi, des sages-femmes et étudiants de la Faculté de Médecine, d’Odontologie et de pharmacie de […]
ACTUALITE SOCIETELes mouvements d’humeur se poursuivent et installent la psychose chez bon nombre de Sénégalais surtout chez les malades. Alors qu’on a pas fini de parler de la grève générale ce jeudi, des sages-femmes et étudiants de la Faculté de Médecine, d’Odontologie et de pharmacie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), en soutien aux travailleurs de l’hôpital de Louga envoyés en prison suite à la mort de Astou Sokhna, les pharmaciens privés se signalent de leur côté.
Ils comptent baisser les rideaux demain, vendredi, entre 8 heures et 15 heures. Ce Pour rétablir le docteur Aicha Goudiam de la Grande Pharmacie Dakaroise dans ses droits et obtenir le départ immédiat de l’actuel Directeur de la Pharmacie et du Médicament.
Une grève qui risque de faire compliquer la situation.
I Inauguré récemment par le ministre de l’Intérieur, le nouveau commissariat d’arrondissement de Diamaguène Sicap Mbao continue de mener la vie dure aux délinquants, criminels et autre hors-la-loi.Et dans leur souci de ratisser large au niveau de leur secteur de compétence, ces policiers ont démantelé […]
ACTUALITE SOCIETEI
Inauguré récemment par le ministre de l’Intérieur, le nouveau commissariat d’arrondissement de Diamaguène Sicap Mbao continue de mener la vie dure aux délinquants, criminels et autre hors-la-loi.
Et dans leur souci de ratisser large au niveau de leur secteur de compétence, ces policiers ont démantelé un trafic de chanvre indien.
C’est ainsi que, exploitant un renseignement, les hommes du commissaire Ousmane Diop ont interpelé une jeune femme en possession d’un colis de 1 kg et 18 cornets de drogue (‘’yamba’’), au niveau de l’arrêt des ‘’clandos’’ de cette localité.
En effet, N. G., âgée de 22 ans, avait dissimulé le produit prohibé dans un sachet, selon des sources de Seneweb.
Mais les policiers, qui surveillaient ses moins déplacements, ont fini par mettre le grappin sur cette jeune femme s’activant dans ce commerce illicite.
Entendue sur procès-verbal, la mise en cause, se disant couturière et footballeuse, a tenté de nier la paternité de la drogue, sans convaincre les enquêteurs rompus à la tâche.
« J’étais chargée de convoyer le produit pour le compte de mon ami », a-t-elle tenté de faire croire, sans plus de précisions.
A l’issue de l’enquête policière, N. G. a été présentée au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye.
Mère de 6 enfants, Y. Ngom en court la réclusion criminelle à perpétuité. Elle est poursuivie pour tentative d’assassinat sur son propre époux. Selon l’enquête de la police, cette dame a tenté de mettre fin à la vie de son époux, M.L. Ndiaye, en lui […]
ACTUALITE SOCIETEMère de 6 enfants, Y. Ngom en court la réclusion criminelle à perpétuité. Elle est poursuivie pour tentative d’assassinat sur son propre époux. Selon l’enquête de la police, cette dame a tenté de mettre fin à la vie de son époux, M.L. Ndiaye, en lui faisant des injections afin de s’accaparer de sa maison. Les faits se sont déroulés le 30 mai 2020 au quartier Keur Massamba Gueye 2 de Thiès. Après le repas de midi, alors que son époux était dans sa chambre avec quelques membres de sa famille, Y. Ngom est allée leur demander de sortir pour qu’elle puisse s’occuper de son mari. Une faveur que ces gens lui ont accordée. Seule dans la chambre avec son mari, elle verrouille la porte pour ensuite commettre son acte. Avec un oreiller, Y. Ngom étouffe d’abord M.L. Ndiaye dans son lit avant de lui faire une injection d’un médicament dénommé Dicynone. Ses cris sont entendus par une de ses filles qui a alerté son oncle B.L. Ndiaye. Ce dernier, pour s’enquérir de la situation, a défoncé la porte et a trouvé Y. Ngom en train d’étrangler son frère. Suite à cette intervention, ils ont trouvé dans la chambre une boîte de Dicynone contenant quatre ampoules injectables et à côté, une seringue.
Alertés, les éléments du poste de police des Parcelles Assainies (Thiès) ont une descente sur les lieux. Interpellée, Y. Ngom est inculpée de tentative d’assassinat. Placée sous mandat de dépôt, elle est jugée hier mercredi à la Chambre criminelle de Thiès. Devant la barre, elle a reconnu les accusations tout en soulignant qu’elle n’a pas commis cet acte pour s’accaparer de la maison de son époux qui est décédé deux semaines après cette injection. Y. Ngom a déclaré avoir agi sous l’emprise d’un esprit maléfique. « Ce jour-là, j’étais inconsciente. Il y avait quelques choses qui me faisait agir. Je l’ai étouffé avec un oreiller, puis je lui ai injecté un médicament avec une piqure. Je ne connais pas les raisons de mon acte. Ce n’est pas à cause de la maison que j’ai voulu le tuer« , a-t-elle dit.
Avant d’ajouter qu’elle était confuse à cause d’un esprit maléfique qui lui disait que son mari voulait la sacrifier avec ses enfants. Entendue à titre de partie civile, la fille de la victime, O.L. Ndiaye, a affirmé que son oncle B.L. Ndiaye lui avait fait part des désirs de sa tante Y. Ngom de tuer son père. Elle a estimé que sa tante a tué son père pour, peut être, s’accaparer de sa maison, parce qu’elle n’est pas au courant d’une maladie mentale qui pourrait l’attaquer.
Avocat de l’accusée, Me Ayi pense que si Y. Ngom avait l’envie de tuer son époux, elle n’allait pas en parler avec son frère B.L. Ndiaye et qu’elle allait aussi attendre la nuit pour poser son acte. Il a fini par plaider la clémence pour sa cliente. Pour le procureur de la République, Y. Ngom est une personne extrêmement dangereuse que l’on doit mettre hors état de nuire, soulignant que les faits de la tentative d’assassinat sont constants. En effet, il a requis la réclusion criminelle à perpétuité. La dame Y. Ngom sera fixée sur son sort le 16 mai 2022.
L’administration fiscale a lourdement « tapé » sur les poches du géant français de la distribution à travers un redressement après une vérification sur des bons d’achats et la taxe sur la valeur ajoutée (Tva) due. Auchan conteste le montant réclamé par le Fisc. Et pour marquer […]
ACTUALITE économieL’administration fiscale a lourdement « tapé » sur les poches du géant français de la distribution à travers un redressement après une vérification sur des bons d’achats et la taxe sur la valeur ajoutée (Tva) due.
Auchan conteste le montant réclamé par le Fisc. Et pour marquer son opposition, le géant de la distribution a saisi le tribunal civil et commercial.
Le dossier a atterri au niveau de la deuxième chambre civile de la juridiction. Laquelle a commis un expert pour éclairer sa lanterne.
Ce dernier doit déterminer les montants des bons d’achats et leur pourcentage sur le chiffre d’affaires d’Auchan pour les exercices 2017 et 2018.
Il doit aussi vérifier la justesse de la base de liquidation fixée par l’administration fiscale et ainsi déterminer la TVA due par le géant de la distribution au titre du premier trimestre de 2019.
Il lui est imparti un délai d’un mois à compter de la notification de sa mission pour déposer son rapport alors que les frais de l’expertise seront avancés par la demanderesse (Auchan).
Terrible vengeance des sages-femmes de Louga. Les femmes enceintes qui se sont rendues dans les 21 maternités que compte la région de Louga pour leurs visites prénatales ont été chassées de la maternité par le personnel soignant. Toutes les maternités ont été fermées pour protester […]
ACTUALITETerrible vengeance des sages-femmes de Louga. Les femmes enceintes qui se sont rendues dans les 21 maternités que compte la région de Louga pour leurs visites prénatales ont été chassées de la maternité par le personnel soignant.
Toutes les maternités ont été fermées pour protester contre l’arrestation des quatre sages-femmes pour non assistance à une personne en danger
Les agents de santé n’ont pas digéré l’emprisonnement de leurs collègues. Ils ont sommé les patientes de se rendre dans les cliniques privées pour se faire consulter.
Même un accidenté de la circulation évacué par l’ambulance du poste de santé de Lompoul a été interdit d’accès à l’hôpital de Louga. Le malade a été finalement évacué à Saint-Louis.
La Banque centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (Bceao) a accordé la licence d’Etablissement de monnaie électronique (Eme) à Wave digital finance, filiale du groupe Wave mobile money. Wave digital finance ajoute une corde à son arc. Au-delà du transfert d’argent, la filiale du groupe […]
ACTUALITE économieLa Banque centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (Bceao) a accordé la licence d’Etablissement de monnaie électronique (Eme) à Wave digital finance, filiale du groupe Wave mobile money.
Wave digital finance ajoute une corde à son arc. Au-delà du transfert d’argent, la filiale du groupe Wave mobile money devient la «première structure non bancaire, non opérateur de télécommunications et opérant dans plusieurs marchés de l’espace Uemoa, à se faire accorder la licence d’Etablis-sement de monnaie électronique (Eme) par la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao)», annonce-t-elle dans un communiqué.
Cette licence Eme, mentionne le document, «permettra à Wave de proposer désormais ses services et produits financiers directement aux clients. En plus, elle permettra à la fintech de diversifier sa proposition de valeur et d’offrir plus de services financiers, tels que les paiements marchands, l’épargne, le crédit et les transferts d’argent internationaux en collaboration avec d’autres partenaires de l’écosystème financier de l’espace Uemoa».
Jusqu’ici, rappelle-t-on, «la fintech panafricaine menait ses activités mobile money à travers des banques partenaires».
A ce propos, Drew Durbin, Président-directeur général de Wave se réjouit de cette décision de la Bceao. «Nous sommes très heureux d’avoir reçu notre licence Eme. Nous sommes reconnaissants envers la Banque centrale pour son
adhésion à notre vision d’offrir des services financiers radicalement inclusifs et
abordables. Les autorités nous ont vu grandir pour devenir le fournisseur de services mobile money le plus important au Sénégal avec plus de 6 millions d’utilisateurs actifs par mois en seulement 4 ans, et ce n’est que le début d’une nouvelle ère donnant la priorité au client dans le mobile money dans l’Uemoa», s’est félicité le Pdg via ce communiqué.
Embouchant la même trompette, la Directrice régionale de Wave dit : «C’est un moment historique pour nous, car cela représente à la fois la reconnaissance du travail abattu ces dernières années et l’ouverture à des perspectives encore plus ambitieuses.» Malgré notre position de leader sur le marché, poursuit Coura Carine Sène : «Nous n’étions pas en mesure d’offrir tous les services financiers que nous aurions souhaités aux clients. Avec ce nouveau statut d’Etablissement de monnaie électronique, nous aurons directement accès à la Banque centrale, au même pied que nos principaux concurrents, et nous aurons toutes les cartes en main pour contribuer plus efficacement à leur mission de promotion de l’inclusion financière dans la région. Nous espérons que nos nouveaux produits attireront plus de clients et permettront plus de revenus à nos partenaires de distribution.»
Son souhait, indique-t-elle, c’est d’étendre assez rapidement leur licence à d’autres pays de l’Uemoa pour que la totalité de notre base de clientèle dans la région puisse en bénéficier également.
Beaucoup de maires qui ont été élus lors des élections locales du 23 janvier sous la bannière de la coalition Yewwi Askan Wi, ont rejoint le président de la république Macky Sall. Et ce dernier a promis que d’autres vont venir poser leurs valises dans […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEBeaucoup de maires qui ont été élus lors des élections locales du 23 janvier sous la bannière de la coalition Yewwi Askan Wi, ont rejoint le président de la république Macky Sall. Et ce dernier a promis que d’autres vont venir poser leurs valises dans la mouvance présidentielle.
Le chef de l’Etat a tenu ces propos lors de l’audience qu’il a accordée aux responsables de l’Alliance pour la république à Dakar.
«Si vous perdez les élections, c’est votre avenir qui est en jeu parce que moi j’aurai la majorité à l’Assemblée nationale. D’ailleurs, j’ai accueilli tout de suite un ralliement. D’autres maires de l’opposition vont encore nous rejoindre, même ici à Dakar», a-t-il indiqué dans les colonnes du journal ‘’Libération’’.
Après les élections locales mouvementées et marquées par de très nombreuses listes parallèles dans le camp présidentiel, nous allons vers les Législatives où de telles pratiques risquent de se répéter. Selon un contact de senego, Monsieur Alassane Sène, ami du Président Macky Sall, travaille activement […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEAprès les élections locales mouvementées et marquées par de très nombreuses listes parallèles dans le camp présidentiel, nous allons vers les Législatives où de telles pratiques risquent de se répéter.
Selon un contact de senego, Monsieur Alassane Sène, ami du Président Macky Sall, travaille activement dans l’ombre pour la mise en place d’une liste parallèle qu’il va conduire pour la conquête de quelques sièges à l’hémicycle.
Et pourtant, il y a seulement quelques semaines le patron de la grande coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar, avait partout dépêché des émissaires à la rencontre des responsables pour réunifier les rangs dans le seul but de faire face à ces listes parallèles parfois improductives.
Wait and see !
« Avantage Macron » barre la Une de Sud Ouest jeudi au lendemain du débat télévisé ayant opposé le président sortant à Marine Le Pen, qui ont pu, selon la presse, présenter deux visions de la France dans un climat plus serein qu’en 2017. « Macron domine, Le […]
ACTUALITE INTERNATIONAL POLITIQUE SOCIETE« Avantage Macron » barre la Une de Sud Ouest jeudi au lendemain du débat télévisé ayant opposé le président sortant à Marine Le Pen, qui ont pu, selon la presse, présenter deux visions de la France dans un climat plus serein qu’en 2017.
« Macron domine, Le Pen tient le choc », résume l’ultime édition du Figaro à sa Une, Vincent Trémolet de Villers notant dans son éditorial « une légitimité acquise et persistante d’Emmanuel Macron ».
Les journaux soulignent la bonne tenue des échanges contrastant avec le dernier duel entre les deux candidats, il y a cinq ans, où Mme Le Pen était passée à côté de l’exercice.
« Pas de jeux du cirque, pas de provocations de la part de Marine Le Pen, ni de suffisance excessive de la part d’Emmanuel Macron, malgré un +Vous dites n’importe quoi!+ », relève Jean-Marcel Bouguereau dans la République des Pyrénées, accordant un avantage au chef de l’Etat sortant pour sa « technicité ».
A la Une, les journaux privilégient souvent une photo de chaque candidat en pleine argumentation, mains accompagnant la parole et regard déterminé. Le Télégramme titre ainsi « Duel sans concession ».
« Il y a cinq ans, c’était une parodie démocratique (…) cette fois, le débat d’idées a eu lieu », se félicite pour sa part Luc Bourrianne dans L’Est Républicain.
Il y eut des piques pendant les près de trois heures d’échanges, certes. Le Parisien/Aujourd’hui en France retient celle de M. Macron: « Quand vous parlez à Poutine, vous parlez à votre banquier », pour appuyer son titre de Une « Macron à l’attaque, Le Pen en défense ».
Mais aucun des deux candidats ne l’a emporté par KO. M. Macron a tiré « surtout des balles à blanc », explique Michel Klekowicki dans le Républicain Lorrain, tandis que Mme Le Pen s’est montrée « policée » selon La Voix du Nord.
« Merci pour ce moment », ose même Frédéric Vézard dans son édito pour les Dernières Nouvelles d’Alsace, content d’avoir assisté à un « débat limpide » où « deux visions de la France se sont confrontées à ciel ouvert ».
Un moment « long et dense, un peu ennuyeux au démarrage sur le pouvoir d’achat mais, au final, instructif, à défaut d’être véritablement passionnant », a, pour sa part, trouvé Laurent Bodin de L’Alsace.
Comme ce couple installé devant son poste de télévision à la Une de Ouest France, les Français ont assisté à « deux visions si opposées », titre le quotidien.
Le débat a réussi sa mission de poser les antagonismes et de souligner les lignes de partage entre les deux candidats. « Les deux France » (Corse Matin) ou « Tout les oppose » (L’Union et L’Ardennais) s’imposent alors dans la presse régionale, souvent contrainte par une heure de bouclage antérieure à la fin de l’émission.
Tout le monde avait en mémoire une Marine Le Pen fatiguée et perdue dans ses fiches en 2017. Elle « s’en est nettement mieux sortie. Mais elle n’a pas renversé la table: son adversaire n’a pas perdu le match », juge Patrice Chabanet dans le Journal de la Haute-Marne.
Libération se montre plus sévère. « Toujours pas à la hauteur », titre le quotidien de gauche sur une photo en gros plan de Mme Le Pen, regard dans le vide.
« Contradictoire et floue dans bien des domaines, Marine Le Pen, combative et modérée, a montré les limites de l’exercice », abonde Olivier Biscaye dans Midi Libre, jugeant qu’Emmanuel Macron « un tantinet certain de son fait » mais « offensif et précis », a « gagné cette première manche » avant le vote de dimanche.
Les fans de foot ont, eux, le regard tourné vers la deuxième place du championnat et dans cette course narrée par L’Equipe, sans stress mais avec (Dimitri) Payet, « l’OM domine les débats », titre malicieusement le quotidien sportif.
Une explosion jeudi 21 avril dans une mosquée chiite de Mazar-i-Sharif, dans le Nord de l’Afghanistan, a fait au moins 25 victimes, a indiqué à l’AFP un responsable taliban local, deux jours après un attentat contre une école d’un quartier chiite de Kaboul.«Les informations préliminaires […]
ACTUALITE INTERNATIONAL SOCIETEUne explosion jeudi 21 avril dans une mosquée chiite de Mazar-i-Sharif, dans le Nord de l’Afghanistan, a fait au moins 25 victimes, a indiqué à l’AFP un responsable taliban local, deux jours après un attentat contre une école d’un quartier chiite de Kaboul.
«Les informations préliminaires confirment qu’il y a au moins 25 victimes», a déclaré à l’AFP Zabihullah Noorani, chef du service de l’Information et de la Culture de la province de Balkh, dont Mazar-i-Sharif est la capitale.