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ACTUALITE justiceL’éditeur du journal sport « Stades », Mamadou Ibra Kane a été condamné à un mois ferme pour injures publiques à l’encontre de son ex employé Bréhima Diakité. Selon le Soleil, l’administrateur général du journal « Stades » est reconnu coupable d’injures publiques. Il a […]
ACTUALITE SOCIETE SPORTSL’éditeur du journal sport « Stades », Mamadou Ibra Kane a été condamné à un mois ferme pour injures publiques à l’encontre de son ex employé Bréhima Diakité. Selon le Soleil, l’administrateur général du journal « Stades » est reconnu coupable d’injures publiques. Il a écopé d’une peine d’emprisonnement ferme d’un mois. Mamadou Ibra Kane devra, également, verser à la partie civile un montant de 1 million de FCFA, en guise de dommages et intérêts.
Le sieur Diakité réclamait 10 millions de FCFA. Par contre, le prévenu est relaxé du délit de coups et blessures volontaires. Il faut noter que le patron de presse avait été traîné en justice par son ex-employé qui l’accuse de l’avoir traité de « fils de p… ». Mais ces propos ont été balayés d’un revers de main par M. Kane dans les débats d’audience.
Lors de sa comparution, il a parlé « d’affabulation » et soutenu que l’enregistrement versé au dossier est un montage, même si la voix est proche de la sienne. Cependant, il a reconnu s’être emporté, mais ne se souvient pas avoir injurié la partie civile. M. Kane avait rejeté le témoignage du gardien, non sans accuser Bréhima Diakité d’avoir initié la procédure en représailles à son licenciement.
« L’opposition doit veiller sur le rôle d’alerte et mettre en avant l’intérêt supérieur. L’institution qui devait rassurer les gens est aujourd’hui au banc des accusés il s’agit de la justice. L’Etat quant à lui devait avoir des priorités. Le système sanitaire ne marche pas […]
ACTUALITE POLITIQUE« L’opposition doit veiller sur le rôle d’alerte et mettre en avant l’intérêt supérieur. L’institution qui devait rassurer les gens est aujourd’hui au banc des accusés il s’agit de la justice. L’Etat quant à lui devait avoir des priorités. Le système sanitaire ne marche pas comme il se doit, l’éducation est dans le gouffre, les drames sociaux avec les incendies des marchés. Notre pays est en ébullition et les politiques sortent pour parler de choses les concernant » s’est désolé Papa Djibril Fall.
Le Chroniqueur de la TFM estime que « l’intérêt collectif est souvent revu au second plan. Il y a une volonté manifeste d’orienter le débat. Les Sénégalais sont orientés vers tout, sauf l’essentiel. Mais cela se comprend. Celui qui vit de ton sommeil ne souhaite pas que tu te réveilles ».
Selon lui, le monde des politiques, du côté du pouvoir comme du côté de l’opposition, a mobilisé beaucoup d’énergies. Le camp du pouvoir mobilise toutes les intelligences qu’il a, et tous les moyens pour ne parler que de choses futiles. De la même manière l’opposition mobilise toute son énergie pour ne parler aussi que de petites phrases pour discréditer. Au même moment, le monde bouge … ».
Dans la même dynamique, il dénonce le fait que « l’Union des magistrats du Sénégal (UMS) veuille se faire passer pour la justice alors qu’elle ne l‘est pas. C’est une organisation corporatiste. La perception que les populations ont sur l’indépendance de justice n’est pas gratuite. Ce sont les magistrats qui demandent leur indépendance pendant leurs rencontres. Il faut aussi noter la fameuse sortie d’un des leurs qui est encore intacte dans les esprits des justiciables. ‘J’ai démissionné de la justice qui a démissionné’, avait dit un membre du conseil supérieur de la magistrature ».
A partir de ce moment, dit-il, « On doit faire le discernement entre deux choses : le système judiciaire républicain par rapport à la séparation des pouvoirs et les hommes et les femmes qui l’animent. Et seul l’équilibre entre les pouvoirs peut être le salut pour tous. Tant que l’exécutif aura la mainmise dans la justice, la question de l’indépendance des magistrats sera posée sur la table. Il n y a que le pouvoir qui arrête le pouvoir et actuellement on n’a pas un pouvoir judiciaire mais une administration judiciaire. On dit souvent qu’on n’a pas besoin d’hommes forts mais d’institutions fortes. On oublie que les institutions ne sont rien d’autres que ce que les hommes en font ». Il ajoute que la justice devient chaotique dans ce pays alors qu’elle devait être le dernier rempart. On a vu dans le monde des magistrats qui se sont dressés contre le pouvoir pour des dossiers grandeur nature.
Je ne veux pas agir comme un lâche. Je veux être quitte avec ma conscience qui ne cesse de me sermonner et m’empêche même de dormir bien des fois. Si la lâcheté n’était jamais un obstacle à la vertu, elle cesserait d’être un vice alors. […]
ACTUALITE POLITIQUEJe ne veux pas agir comme un lâche. Je veux être quitte avec ma conscience qui ne cesse de me sermonner et m’empêche même de dormir bien des fois. Si la lâcheté n’était jamais un obstacle à la vertu, elle cesserait d’être un vice alors. Or, un bon croyant ne doit pas être lâche ni malhonnête ni injuste. C’est cela qui fait l’équilibre de la société afin que l’intérêt général domine nos actions quotidiennes.
Mais quiconque est plus attaché à sa vie qu’à son devoir, ne saurait être solidement vertueux ; pensons à notre fin en tant que croyants et nous craignons Dieu à cause de la mort. Nous allons mourir un jour. Cette crainte de la mort est un simple mouvement de la nature, non seulement indifférent, mais bon en nous-mêmes et conforme à l’ordre naturel des choses, surtout chez nous croyants musulmans et chrétiens.
Cher Ousmane, explique-moi pourquoi inventer toutes ces élucubrations de politiques politiciennes depuis votre entrée en politique ? Quels mérites et quels profits peut-on en tirer devant Dieu, qui est le Seul et unique vrai juge ? Par le mensonge et la manipulation, vous avez sacrifié des jeunes, mis le mal dans des familles, entre collègues de travail et entre des couples, mais ce qui fait encore mal, ce sont les menaces et les violences de vos affidés sur tout citoyen qui pense le contraire de vos pensées. Mais aussi, cette fille du nom de Adji Raby Sarr, dont tu as sacrifié la jeunesse, la dignité et la valeur, bref, la vie entière. Que va-t-elle devenir ? Elle souffre terriblement et, est jetée en pâture par des gens qui n’ont aucune valeur humaine. J’ose dire comme beaucoup de Sénégalais qui vous ont supporté à un moment donné, que vous nous avez dit trop de contrevérités.
Je m’en vais vous en servir quelques uns : 1- vous avez provoqué sciemment votre radiation, car vous avez évoqué dans votre livre SOLUTIONS que vous comptiez démissionner après 15 ans de service dans la Fonction publique. Au lieu de déposer une lettre de démission en bonne et due forme, vous avez préféré provoquer votre radiation en étalant des dossiers secrets, confidentiels, sur la place publique. Vous avez donc provoqué cela de votre gré.
2- Dès votre entrée à l’hémicycle, vous avez accusé vos collègues députés de corrompus ayant reçu chacun 10 millions et de ne pas payer l’impôt ; certains de vos collègues de l’opposition vous ont apporté le démenti.
3- Vous aviez créé les sociétés Atlas et Mercalex en violation flagrante de la loi en tant que fonctionnaire, afin de démarcher le règlement de problèmes fonciers dont vous maîtrisez fort bien le contentieux, quand vous étiez responsable du syndicat des impôts et domaines. Ceci a conduit aux accusations de détournement de 94 milliards portées sur Monsieur Mamour Diallo sur le terrain TF/ 1451. Alors que c’est vous qui vouliez en tirer profit. Votre fameuse réunion avec les membres des familles propriétaires dudit terrain, a éclairé les Sénégalais de bonne foi. Sur ces mêmes accusations, vous aviez dit que vous déteniez le numéro de compte bancaire où étaient logés les 42 milliards. Jusqu’ici vous n’avez rien servi aux Sénégalais.
4- Vous souteniez urbi et orbi que vous combattez le système et qu’un jour, Monsieur Karim WADE a essayé de vous joindre au téléphone mais vous n’aviez pas jugé nécessaire de le prendre, car c’est un produit du système. Aujourd’hui, on vous voit en coalition avec de vrais éléments du système : Khalifa SALL, Aïda MBODJI, Abib SY, Barthélémy DIAS, Malick GAKOU…
5- Lors de l’éclatement du problème de trafic de visas et de passeports diplomatiques des « Y en a marristes », vous êtes allé les soutenir en faisant une déclaration catastrophique : que le dossier était vide et vous avez même revendiqué votre amitié avec Landing Mbissane SÉCK alias KILIFEU. Donc si vous étiez à la place du Président Macky SALL, ce dernier allait être protégé. Vous avez ce jour-là, soutenu des faussaires, pris la main dans le sac, suite à des vidéos qui étaient des preuves irréfutables.
6- Vous aviez nié d’avoir sollicité une audience pour rencontrer le président de la République, en passant par son beau-frère le ministre Mansour FAYE, afin de tirer d’affaire votre ancien bienfaiteur Monsieur Tahibou NDIAYE. Un enregistrement sonore de vos échanges a conforté Monsieur FAYE et vous êtes encore tombé.
7- En plein couvre-feu, en tant que législateur, marié à deux charmantes dames, vous vous êtes rendu de votre plein gré dans un salon de beauté et de plaisir ( SWEET BEAUTY SPA), pour y trouver une fille qui a l’âge de votre fils et celle-ci vous a accusé de viols répétitifs avec menaces. Dans un premier temps vous avez nié les faits en disant que vous ne connaissiez ni ce salon de massage, encore moins une fille du nom de Adji Raby Sarr. Vous l’aviez posté sur votre page Facebook. Ce post a duré 24 mn quand un de vos proches vous a rendu compte de l’état des lieux de ce qui se passait à la Section de Recherches. Les choses étaient sérieuses et allaient vous discréditer à jamais.
8- Vous avez convoqué un point de presse durant lequel vous avez expliqué que vous souffriez terriblement d’un mal de dos depuis votre tendre enfance et qui a certainement disparu, car voilà plus d’un an que certainement vous n’étiez plus allé se faire masser.
9- Vous avez accusé d’honnêtes personnes de vous avoir comploté en appelant les jeunes à un Mortal Combat. Or, c’est vous-même qui se rendait nuitamment et en plein couvre-feu, dans ce salon qui était censé fermer à cette heure.
10- Que n’avez-vous pas dit à Ahmed Khalifa NIASS en plein public, traçant hideusement et honteusement son passé, en le caricaturant comme un cupide doublé d’une malhonnêteté sans commune mesure. Vous êtes ensuite allé le voir après vos déboires avec la masseuse, pour lui demander d’intervenir auprès du président Macky SALL pour qu’on étouffe cette affaire. Cela veut tout dire.
11- Lors de votre convocation par la gendarmerie pour la confrontation, vous avez refusé de déférer, arguant que vous étiez sous le couvert d’une immunité parlementaire en tant que député. L’immunité levée, vous avanciez une vice de forme sur la procédure de la levée de cette immunité. Sentant que l’étau était en train de se serrer autour de vous, vous avez finalement accepté de déférer suite aux conseils de votre marabout. On connaît la suite; vous êtes sorti de chez vous à 09 h 05 mn, heure où vous devriez être dans le bureau du juge et vous avez provoqué des émeutes qui ont coûté la vie à 14 jeunes, détruits des biens d’autrui et des pertes d’emplois. Voilà ce que j’ai pu analyser soigneusement et consciemment dans mon for intérieur.
Et je me suis dit en toute bonne foi, que nous devons tous remettre au centre de l’attention la notion de vérité, ainsi que les effets socialement déstabilisateurs de son absence dans notre pays aujourd’hui. Les jeunes doivent ouvrir les yeux et essayer de faire une petite analyse. Posons-nous la question à savoir si la vie sociale harmonieuse peut-elle se passer de l’idée de vérité ? SONKO mon cher, vous avez commis beaucoup d’erreurs mais aussi, vous avez trop menti aux Sénégalais, surtout à la jeunesse. Et en politique, l’erreur se paie cash, c’est pourquoi beaucoup de vos souteneurs vous ont tourné le dos : Beug Baye, Kalifon SALL, Baye Cissé…
Le mensonge lui, résulte toujours de la volonté de tromper. Le mensonge, déformation intentionnelle d’une vérité, suppose donc de connaître le réel et de le présenter volontairement de manière déformée, pour introduire une relation faussée avec la réalité.
Vous n’avez pas été sincère avec vous, même quand Monsieur Abib SY vous a fait part de l’invitation de son Excellence le président Macky SALL à venir communier avec les lions du football qui venaient d’être sacrés champions d’Afrique. Vous l’aviez remercié et félicité et quelques jours après, face à des journalistes sur une télé de la place, vous avez affirmé sans gêne que même si vous étiez à Dakar, vous ne seriez pas présent à cette communion de toute la Nation sénégalaise qui profiterait au président Macky SALL. Quelle manque d’élégance, de patriotisme, de grandeur ! Quelle petitesse ayant dévoilé votre manque de sincérité !
Cher Ousmane, vos mensonges prennent de l’ampleur et ils sont en train d’influencer la jeunesse et de changer le cours de notre commune volonté de vivre ensemble. Revenez en arrière pendant qu’il est encore temps, car la vérité finit toujours par triompher.
Un de vos anciens militants qui préfère garder l’anonymat.
P.S: Lors de ma seconde lettre, au lendemain de votre procès sur cette affaire de viol, je vous donnerai mes filiations. In cha Allahou.
Ababacar Fall, Secrétaire général du Gradec : «L’élargissement du parrainage à 2 listes pourrait amoindrir les doublons» Permettre à un électeur de parrainer 2 listes, c’est la proposition de Ababacar Fall, Secrétaire général du Gradec, pour réduire les risques de doublons. Une modification qui, si […]
ACTUALITE INTERNATIONAL POLITIQUEAbabacar Fall, Secrétaire général du Gradec : «L’élargissement du parrainage à 2 listes pourrait amoindrir les doublons»
Permettre à un électeur de parrainer 2 listes, c’est la proposition de Ababacar Fall, Secrétaire général du Gradec, pour réduire les risques de doublons. Une modification qui, si elle est adoptée, va entraîner un changement dans le Code électoral, à moins de 5 mois des élections législatives.
A moins de 5 mois des élections législatives, la Direction générale des élections a fourni des éclairages aux partis politiques, coalitions et listes indépendantes, sur le nombre de parrainages défini dans l’article L.149 du Code électoral. Au-delà de recueillir des signatures, l’autre défi est d’éviter les doublons qui ont éliminé beaucoup de candidats déclarés à la Présidentielle de 24 février 2019. Secrétaire général du Groupe de recherches et d’appui à la démocratie participative et la bonne gouvernance (Gradec), Ababacar Fall donne une piste. «L’élargissement du parrainage à 2 listes pourrait amoindrir les doublons, c’est-à-dire, que le parrainage n’étant pas un vote, il faut permettre aux électeurs de parrainer au moins 2 listes», a invité l’expert électoral joint au téléphone par le « Quotidien ».
D’après l’article L.149 du Code électoral, un électeur ne peut parrainer qu’une seule liste. «Je le dis en perspective d’une solution pour amoindrir les doublons, mais cela nécessite une modification du Code électoral sur la base d’un consensus entre les acteurs politiques», précise Ababacar Fall. Un consensus entre les acteurs politiques, c’est la condition afin de respecter les termes du Protocole additionnel de la Cedeao sur la démocratie et la bonne gouvernance. «Aucune réforme substantielle de la loi électorale ne doit intervenir dans les 6 mois précédant les élections, sans le consentement d’une large majorité des acteurs politiques», dispose l’article 2 dudit protocole.
En outre, pour les contestations relatives au contrôle, le Secrétaire général du Gradec demande que les acteurs politiques soient associés à la définition des modalités de contrôle, tout en les informant sur le logiciel utilisé. «Le double filtre pourrait réduire le nombre de candidatures, pas forcément fantaisistes, mais on pourrait avoir un resserrement des listes avec les coalitions de partis», a par ailleurs soutenu Ababacar Fall. D’après ce dernier, la particularité de ces Législatives, «c’est qu’elles se déroulent dans un contexte politique assez particulier, caractérisé par la forte percée de l’opposition aux élections locales avec une victoire dans les grandes villes, ce qui fait qu’une victoire de l’opposition aura forcément un impact sur la Présidentielle de 2024».
C’est pour cela déduit-il, ces élections «vont revêtir un caractère hautement référendaire, en raison également du contexte économique et social très difficile pour les populations».
Les leaders de Wallu Sénégal qui ont fait face à la presse ce jeudi ont soutenu que les dernières élections locales ont démontré les failles qu’ils avaient toujours dénoncées dans le système électoral. Ils estiment que le fichier actuel n’a pas été vidé des « anomalies, […]
ACTUALITE POLITIQUELes leaders de Wallu Sénégal qui ont fait face à la presse ce jeudi ont soutenu que les dernières élections locales ont démontré les failles qu’ils avaient toujours dénoncées dans le système électoral. Ils estiment que le fichier actuel n’a pas été vidé des « anomalies, fraudes et manipulations constatées dans l’ancien fichier ». Face à une telle situation, ils demandent une rencontre immédiate avec le président Macky Sall pour trouver une solution avant les élections législatives du 31 juillet.
« Cette opération permettrait d’accéder au fichier électoral conformément aux dispositions réglementaires, de corriger toutes les irrégularités liées à la production de cartes d’identité sans données électorales et de cartes avec données électorales en dehors des périodes légales et en dehors des commissions administratives régulières ainsi que l’existence de données biométriques corrompues », selon ces leaders.
Pour eux, « le truquage des processus électoraux et des résultats des votes au Sénégal apparaît comme une constante des pratiques du régime de Macky Sall dont il convient de rappeler sans être exhaustif : la perte de fiabilité du fichier électoral enregistrant de nombreuses modifications hors période de révision des listes, le refus de mettre à disposition le fichier électoral avant les élections conformément à la loi, les périodes très courtes de révision électorale pour empêcher l’inscription des jeunes ».
Pour la seconde fois, l’Etat du Sénégal ouvre les inscriptions mais dans des délais qui sont « limités dans le temps et géographiquement », ce qui ne permet pas d’avoir un fichier représentatif. Aussi, la GC WALLU SENEGAL exige le « prolongement » de la durée des inscriptions sur les listes électorales pour permettre notamment aux primo votants et autres d’user de leur droit.
« L’exemple des fraudes massives constatées et documentées dans la ville de Pikine lors des récentes élections communales et départementales est une autre illustration de manque de transparence », a cité Wallu qui demande à la Cour d’Appel de Dakar de « vider ce dossier et de dire le droit en dehors de toute pression politique ».
« Une telle attitude, dans un contexte de mal gouvernance caractérisée par de mauvais choix économiques, une corruption endémique responsable de graves déficits budgétaires qu’un contexte international de crises sanitaires et géopolitiques continue de détériorer, fait peser de lourdes menaces sur la paix au Sénégal », lit-on dans le document.
La grande coalition Wallu Sénégal considère que, dans un contexte régional fait de « graves remises en cause des institutions, l’intelligence de la recherche d’une détente politique et sociale constitue la meilleure protection contre de futures déflagrations que pourrait faire naître la grave détérioration du niveau de vie des populations sénégalaises ».
Ces nombreux sujets étant en suspens depuis des années, la coalition interpelle directement le président de la République, Macky Sall, à « immédiatement rencontrer » les différentes coalitions « sans intermédiaires et sans préalable » pour discuter ouvertement de toutes ces questions et que des solutions consensuelles soient trouvées, afin que l’on puisse aller à des élections « libres, ouvertes, apaisées » et avoir une assemblée nationale représentative.
« Ceci constitue la seule voie qui rétablirait la confiance entre les acteurs qui partagent le jeu politique et le meilleur moyen de préserver la paix et la stabilité du Sénégal en ces moments de grandes turbulences régionales et internationales », disent-ils.
Les opérations de démantèlement dans les bases de Salif Sadio, dans le Nord Sindian, situé dans le département de Bignona ont causé un (1) mort et Cinq (5) blessés dans le camp de l’armée sénégalaise. Difficile L’Armée sénégalaise qui poursuit ses opérations offensives dans le […]
ACTUALITE INTERNATIONAL POLITIQUELes opérations de démantèlement dans les bases de Salif Sadio, dans le Nord Sindian, situé dans le département de Bignona ont causé un (1) mort et Cinq (5) blessés dans le camp de l’armée sénégalaise.
Difficile
L’Armée sénégalaise qui poursuit ses opérations offensives dans le Nord Sindian, contre des groupes rebelles du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC), proches de Salif Sadio, a enregistré un mort et cinq blessés, renseignent nos confrères de la Rfm.
Kawtef
Des blessés ont été aussi notés du côté des rebelles. L’armée a réussi à mettre la main sur une autre base de Salif Sadio.
Le Kremlin a rejeté jeudi la décision de la Cour internationale de justice (CIJ), plus haut tribunal de l’ONU, qui a ordonné la veille à la Russie de suspendre immédiatement ses opérations militaires en Ukraine.“Nous ne pourrons pas tenir compte de cette décision”, a déclaré […]
ACTUALITE INTERNATIONAL POLITIQUELe Kremlin a rejeté jeudi la décision de la Cour internationale de justice (CIJ), plus haut tribunal de l’ONU, qui a ordonné la veille à la Russie de suspendre immédiatement ses opérations militaires en Ukraine.
“Nous ne pourrons pas tenir compte de cette décision”, a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, en soulignant que les deux parties — la Russie et l’Ukraine — devaient être d’accord pour que la décision puisse être mise en oeuvre. “Dans ce cas-là, aucun accord ne peut avoir lieu”, a-t-il affirmé.
Un jugement sans appel mais… impuissantLa juridiction, qui siège à La Haye, aux Pays-Bas, a été saisie par Kiev, qui a salué mercredi “une victoire complète de la justice et une victoire complète de l’Ukraine”. Mais même si les jugements de la CIJ sont contraignants et sans appel, la cour, qui fonde ses conclusions principalement sur les traités et les conventions, n’a aucun moyen de les faire respecter. La Russie a refusé de comparaître lors des audiences tenues par la CIJ sur l’affaire, les 7 et 8 mars. Mais dans un document écrit, Moscou a réfuté la compétence de la cour sur la requête de l’Ukraine.
Incroyable mais vrai ! Le match Ndiambour/ Diambars comptant pour la 14ème journée de Ligue 1, devant se tenir au stade Alboury Ndiaye, a été délocalisé à Saint-Louis, précisément au stade Mawade Wade. Pour cause, le stade Alboury Ndiaye ne sera pas disponible le dimanche, […]
ACTUALITE SPORTSIncroyable mais vrai ! Le match Ndiambour/ Diambars comptant pour la 14ème journée de Ligue 1, devant se tenir au stade Alboury Ndiaye, a été délocalisé à Saint-Louis, précisément au stade Mawade Wade. Pour cause, le stade Alboury Ndiaye ne sera pas disponible le dimanche, car il sera occupé par l’artiste Wally Seck pour les besoins d’un concert. Une décision qui passe mal chez les nombreux amateurs de football de la région de Louga qui ont fustigé cette situation inédite et incompréhensible au pays des champions d’Afrique de football.
Le stade géré par le Conseil départemental de Louga a été loué au lead vocal du Raam daan Waly Ballago Seck pour une série de concerts pendant une dizaine de jours, a informé le chargé de communication du club lougatois, Doudou Ndour Diop. En dépit des nombreuses tentatives des responsables du club pour jouer le dimanche 20 mars, le Conseil départemental est resté sur sa position. Et, selon toujours M. Diop, «une correspondance» avait été envoyée à la FSF «pour demander le report» de la rencontre. «Mais, là également la FSF nous a fait comprendre que le match ne peut être décalé. Et, le club a le choix d’aller jouer à Saint-Louis ou Diourbel. Finalement, la mort dans l’âme, nous nous sommes résignés à programmer le match à Saint-Louis», se désole le dirigeant lougatois. Le Ndiambour qui occupe la dernière place en ligue 1, a plus que jamais besoin de la pelouse du stade Alboury Ndiaye et de ses supporters pour sortir de cette situation extrêmement difficile dans laquelle il se trouve.
Lettre ouverte à Monsieur le Président de l’Union africaine (UA) A propos de votre refus d’exécuter une décision de justice qui s’impose au Sénégal Monsieur le Président de l’Union africaine, Dans votre propre pays, notre pays, vous vous obstinez dans votre refus d’exécuter une décision […]
ACTUALITE Bougane Gueye INTERNATIONAL POLITIQUELettre ouverte à Monsieur le Président de l’Union africaine (UA)
A propos de votre refus d’exécuter une décision de justice qui s’impose au Sénégal
Monsieur le Président de l’Union africaine,
Dans votre propre pays, notre pays, vous vous obstinez dans votre refus d’exécuter une décision de justice qui s’impose à l’État du Sénégal dont vous êtes l’incarnation en votre qualité de Président de la République. En effet, la Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a déclaré contraire au droit la loi instaurant le parrainage des candidatures aux élections et demandé en conséquence son abrogation.
Malgré cette décision de la Cour de justice de la CEDEAO, vous persistez dans votre volonté de faire du parrainage une condition pour participer aux élections législatives du 31 juillet prochain. Comme à votre habitude, vous vous illustrez par des manœuvres à rebours des règles démocratiques avec l’objectif évident d’éliminer des adversaires politiques et de sélectionner les candidats à ces élections. Chaque fois qu’il s’est agi d’exécuter une décision rendue par la Cour de justice de la CEDEAO à l’issue d’un procès impartial et équitable où l’Etat a produit ses moyens de défense par le biais de l’Agent Judiciaire et de ses avocats, vous avez fait preuve de mépris à l’égard de cette juridiction sous régionale et par là même à toutes les institutions d’intégration africaine. Pour rappel, c’était le cas avec Karim WADE et Khalifa SALL où en dépit des décisions rendues par la Cour de justice de la CEDEAO, l’Etat du Sénégal a persisté dans la violation de leurs droits.
Au vrai, notre pays est devenu le mauvais élève de la CEDEAO depuis que vous êtes devenu Président de la République. Or par son rôle dans la création de cette institution sous régionale et dans son évolution, votre responsabilité est de donner notre pays en exemple dans la sous-région et dans les institutions d’intégration. Peu enclin à exécuter les décisions de justice dans votre pays, vous étiez pourtant au premier plan, et en vous appuyant sur un mandat de la CEDEAO dont vous méprisez aujourd’hui les décisions, pour contraindre le Président Yaya JAMMEH à reconnaitre le verdict des urnes et à transmettre le pouvoir à son adversaire. Vous êtes encore le Président qui, siégeant avec ses pairs de la CEDEAO, a décidé de mettre le Mali sous embargo pour sanctionner le régime militaire qui a pris le pouvoir par la force.
Pourtant, il n’y a pas de différence entre un pouvoir militaire qui viole la légalité constitutionnelle et un Président de la République qui vassalise les institutions, manipule la Constitution, élimine ses adversaires politiques et refuse d’exécuter les décisions de justice. Au contraire, ils ont un dénominateur commun : ils sont tous deux des fossoyeurs de la démocratie.
Monsieur le Président de l’Union africaine,
En tant que Président de l’Union africaine, votre responsabilité doit vous incliner à respecter la légalité internationale dans votre pays afin de porter une voix crédible en Afrique et dans le monde. Votre responsabilité, c’est aussi d’apaiser la situation politique nationale pour légitimer les médiations que vous pourrez faire dans les pays du continent en proie à des crises politiques, à des coups d’Etat militaire ou à des conflits armés
L’Afrique et le monde attendent du Président de l’Union africaine un leadership fondé sur le respect de la légalité, et non un politicien «hors la loi dans son propre pays» obsédé par le pouvoir, déterminé à vaincre sans péril et prêt à triompher sans gloire.
Président de l’Union africaine, le continent vous regarde.
Bougane GUEYE Dani
Président de la coalition Gueum Sa Bopp
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