« Aujourd’hui, nous avons trouvé un Etat en ruine et les Sénégalais en sauront quelque chose dans les jours à venir« . Une déclaration du Premier ministre Ousmane Sonko, le samedi 03 août 2024 en marge de la Journée nationale de l’arbre à Dakar, qui n’est pas […]
POLITIQUEL’organisateur de combat de lutte Albourakh Events a clôturé sa saison le 21 juillet dernier avec l’affiche Balla Gaye 2-Tapha Tine, remportée par le premier. La structure dirigée par Baye Ndiaye, frère de l’ancien promoteur Aziz Ndiaye, a organisé quatre journées de dix combats chacune. […]
SPORTSLa société Télédiffusion du Sénégal (TDS-SA) a mis en demeure la télévision 7TV. Selon le journal Les Echos qui donne l’information, Dr Aminata Sarr réclame 12 millions de francs CFA à la patronne de la chaîne de télé 7TV. « Maïmouna Ndour Faye dispose d’un délai […]
MEDIASSidéré par la sortie mensongère et légère de Clédor Séne aux Assises de la justice. Jamais, une instance régulière de Gueum Sa Bopp n’a produit un communiqué évoquant le nom d’un criminel condamné qui doit son salut à la loi Ezzan. Le Président Bougane Gueye […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUESidéré par la sortie mensongère et légère de Clédor Séne aux Assises de la justice. Jamais, une instance régulière de Gueum Sa Bopp n’a produit un communiqué évoquant le nom d’un criminel condamné qui doit son salut à la loi Ezzan. Le Président Bougane Gueye aurait utilisé les services de Clé…Rouillée ! L’homme utilisé de tous temps jusqu’à accepter d’organiser un commando pour abattre un juge reste pour le Sénégal ce qu’est pour l’Afrique du Sud Maoupa Cedric Maake: le plus grand criminel de notre histoire politique. Comme tous les tueurs, il est mentalement fort pour avoir l’outrecuidance d’affronter frontalement des juges formés par Maître Babacar Seye ! Oui, Clé du mal, Clé de Satan, Clé ensanglantée, le Président Bougane, ne sera jamais le passager d’un train dont le combustible est le sang des Sénégalais et surtout d’un Magistrat digne. Tu porteras toujours sa mort sur ta conscience. Ta « carav…âne » se dirige vers l’abîme. Ceux que tu cites ne s’acquoquinent pas avec l’âne que tu fus, es et resteras. Que ta « carav…âne » emporte tous ceux qui te soutiennent. Le Président Bougane t’appelle Grand…Criminel puisqu’au moment où tu accomplissait ta sale besogne en 1993, il apprenait la sourate « Tabatiyada » qui ôte le certificat d’humanité aux individus de ton acabit. Il n’a ni ton temps ni ta séve criminelle. Il n’a pas besoin de s’imposer dans le débat public comme toi. Ton clapet puant puisque fermé des années durant à Rebeuss vomit des moisissures que seule la vomissure que tu es peut débiter. Dans un pays normal, des dirigeants normaux ne convient pas un homme amoral comme Médor Séne dans un banquet de juges. Honte à toi, tueur rhéteur menteur.Babacar Justin Mbengue Délégue National chargé de la Presse
Le rôle de certains parents devrait vraiment être revu. Être parents requiert une certaine responsabilité, une maturité et surtout une bonne capacité de discernement. Malheureusement, nombreux sont les parents qui ignorent qu’au-delà de leur devoir de protéger, d’éduquer et de pomponner leurs enfants, ces derniers […]
TENDANCELe rôle de certains parents devrait vraiment être revu. Être parents requiert une certaine responsabilité, une maturité et surtout une bonne capacité de discernement. Malheureusement, nombreux sont les parents qui ignorent qu’au-delà de leur devoir de protéger, d’éduquer et de pomponner leurs enfants, ces derniers doivent aussi évoluer dans un environnement qui leur permet de jouir pleinement de leur enfance, en ne sautant pas les étapes.
Aujourd’hui, beaucoup de ces innocents, ne profitent malheureusement pas de leur enfance, surtout chez les petites filles. Elles sont transformées en poupée ou en adulte par leurs propres tuteurs . A l’occasion de certains événements tels que la korité et la Tabaski, les salons de coiffure, à la place des adultes, ont tendance à s’occuper des enfants, souvent âgés de moins de 10 ans, en leur posant des perruques inadaptées en plus de leur proposer du vernis à ongles sans oublier le make up.
Certains parents essaient même de justifier leur choix « d’embellir » leur enfant qui n’a pas de cheveux ou dont les cheveux sont abîmés. Alors que ce choix peut affecter dès le bas âge le développement psychosocial de l’enfant en lui faisant perdre l’estime de soi. Cette option peut aussi avoir comme revers, le fait d’attirer certains prédateurs sexuels qui se délectent devant les vidéos d’enfants déguisés en adultes que beaucoup de parents partagent sur les réseaux sociaux, sans connaître l’identité des futurs destinataires.
Lors de son émission « L’Invité de MNF » diffusée sur 7TV, Maïmouna Ndour Faye, propriétaire de la chaîne et animatrice de l’émission, a saisi l’opportunité de la présence de Moustapha Diakhaté pour adresser une demande directe au président de la République. Elle a rappelé une promesse […]
MEDIASLors de son émission « L’Invité de MNF » diffusée sur 7TV, Maïmouna Ndour Faye, propriétaire de la chaîne et animatrice de l’émission, a saisi l’opportunité de la présence de Moustapha Diakhaté pour adresser une demande directe au président de la République. Elle a rappelé une promesse faite par l’ancien président Macky Sall concernant l’annulation des dettes fiscales de la presse, s’élevant à 40 milliards de francs CFA. Cette promesse avait été annoncée en grande pompe au palais présidentiel durant une période électorale, alors que Macky Sall n’était pas candidat.
Le mardi 28 mai 2024, Maïmouna Ndour Faye a révélé que l’ancien président Macky Sall n’a jamais pris le décret annulant cette dette. Elle a interpellé Moustapha Diakhaté : « Moustapha, utilisez vos canaux pour dire à l’ancien président de la République que c’est lui-même qui avait annoncé qu’il avait pris un décret annulant 40 milliards de dettes fiscales de la presse. » En réponse, Moustapha Diakhaté a indiqué que le président actuel, Bassirou Diomaye Faye, n’était pas en accord avec cette décision.
Maïmouna Ndour Faye a réitéré son propos en soulignant que : « Même si le président actuel n’est pas d’accord avec cette décision, si l’ancien président avait fait ce qu’il fallait, c’est-à-dire prendre un décret et le mettre à la disposition du ministre des Finances, le président actuel ne pourrait rien faire contre cette décision. » Elle a partagé sa surprise et sa consternation en révélant : « Hier, j’ai eu la mauvaise surprise de recevoir une lettre de la part de ma collaboratrice, j’ai failli m’évanouir. »
Elle a continué son explication en s’adressant directement au président Bassirou Diomaye Faye : « Les services des impôts retiennent que le décret n’a pas été pris. L’idée selon laquelle nous allions bénéficier d’une exonération fiscale de 40 milliards de francs CFA n’est pas fondée. Il se trouve que nous allons devoir tout payer. Nous allons quand même interpeller Bassirou Diomaye. Quoi qu’il arrive, il faudra que vous disiez à Macky Sall qu’il n’a jamais pris le décret. »
Cette déclaration de Maïmouna Ndour Faye est corroborée par des faits similaires dans le secteur de la presse. Le groupe DMedia, dirigé par le journaliste Bougane Gueye Dani, a également fait état de pressions fiscales. Ce mardi, la direction des ressources humaines de DMedia a informé son personnel d’un harcèlement de la part des nouvelles autorités, exigeant un paiement de plus de 2 milliards de francs CFA en vertu d’une taxation d’office. Cette situation s’ajoute à la lettre évoquée par Maïmouna Ndour Faye, dont le contenu n’a pas été dévoilé.
Partager Le premier ministre Ousmane Sonko est l’absent le plus présent à l’ouverture des assises de la justice, ce mardi 28 mai au Centre international de Conférence de Diamniadio Abdou Diouf (Cicad). Une absence qui suscite moult interrogations au regard de l’envergure de ce rendez-vous ô combien […]
POLITIQUELe premier ministre Ousmane Sonko est l’absent le plus présent à l’ouverture des assises de la justice, ce mardi 28 mai au Centre international de Conférence de Diamniadio Abdou Diouf (Cicad). Une absence qui suscite moult interrogations au regard de l’envergure de ce rendez-vous ô combien attendu.
Le démarrage des assises de la justice, ce mardi, au Cicad dans le cadre du dialogue national, a été l’occasion pour le Président Bassirou Diomaye Faye de satisfaire l’une de ses promesses électorales. Celle d’appeler la justice à la barre d’une concertation nationale pour la relooker au profit des justiciables.
Journalistes, magistrats, avocats, professeurs d’universités, responsables d’associations et anciens détenus auront reluquer partout dans l’immense salle du Cicad pour voir le très médiatique Chef du gouvernement en vain. C’est à croire même qu’Ousmane Sonko était hors du territoire sénégalais.
Un faux bon qui cristallise beaucoup d’interrogations. Mais semble-t-il, le premier ministre a choisi délibérément de s’inscrire aux abonnés absents. Sinon comment comprendre que celui qui, vouait aux gémonies, pour avoir occupé le devant de la scène politique depuis près de deux mois, puisse manquer à ce grand rendez-vous où se discute et se décide l’avenir de Dame justice ?
Ousmane Sonko n’aurait pas tort de poser un lapin à tout ce beau monde qui trépignait d’impatience de le voir. Le 2 avril dernier, alors que le tout nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, devait procéder à la traditionnelle prestation de serment, militants, sympathisants et autres récipiendaires étaient intenables. Jamais en ce moment plus que solennel, la foule n’a manqué au standing ovation à chaque fois que les caméras sont braqués sur le premier ministre.
Depuis, le semblant de dualisme au sommet de l’Etat commençait à nourrir un débat; bien perçu pour les uns et mal perçu pour les autres. Entre temps, les actes posés par M. Sonko [arrêté ordonnant la suspension pour deux mois des constructions et travaux sur les anciennes dépendances du Domaine public maritime (DPM) dans la région de Dakar, Conseil interministériel consacré à la campagne de production agricole 2024, accueil de Jean-Luc Mélenchon à l’Ucad, audience avec des ambassadeurs dont celui de la France, voyage annoncé en Guinée, au Mali, au Burkina Faso et au Niger], même si cela rentre pour l’essentiel dans la légalité, ont plus que jamais conforté les uns et les autres à l’idée que le Chef du gouvernement porte ombrage au président de la République.
Tout porte à croire dès lors, que le Premier ministre qui mesurerait pleinement la solennité des assises de la justice, a décidé de ne pas faire le déplacement à Diamniadio. Histoire d’éviter le syndrome de la cérémonie de prestation de serment, de la cacophonie à l’Ucad 2 lors de sa conférence co-animée avec le leader de la France Insoumise mais aussi et surtout de faire taire la polémique sur son prétendu empiétement sur les prérogative du Chef de l’Etat.
Le général Magatte Ndiaye est le nouveau chef d’état-major de l’armée de terre. Il remplace le général Souleymane Kandé. Ce dernier a été affecté en Inde en tant qu’attaché militaire à l’ambassade du Sénégal à New Delhi. Mais l’ancien patron de l’armée de terre pourrait […]
justiceLe général Magatte Ndiaye est le nouveau chef d’état-major de l’armée de terre. Il remplace le général Souleymane Kandé. Ce dernier a été affecté en Inde en tant qu’attaché militaire à l’ambassade du Sénégal à New Delhi.
Mais l’ancien patron de l’armée de terre pourrait ne pas rejoindre son poste ou y faire de vieux os. Car, d’après Le Quotidien, il a décidé d’attaquer le décret du Président Diomaye Faye le nommant dans ses nouvelles fonctions. Il va «se pourvoir auprès de la Cour suprême pour faire casser» l’acte du chef de l’État, précise le journal.
La source indique que le général Kandé assimile sa nouvelle affectation à «une humiliation, qui sonnerait à la limite comme une sanction». «Ce qui, dans son cas, ne se justifie en rien. Tous les éléments de l’armée de terre sont au diapason de leur chef», complète Le Quotidien.
Le général Magatte Ndiaye, qui prend sa place, était jusqu’à sa nomination inspecteur des armées et des opérations à l’Inspection générale des Forces armées (IGFA). Il était le commandant de la Force d’intervention de la CEDEAO en Gambie (ECOMIG), qui permit à Adama Barrow de prendre le pouvoir après que Yaya Jammeh a refusé d’accepter sa défaite à la présidentielle de décembre 2016. Le nouveau chef de l’armée de terre a servi aussi en Guinée-Bissau, au Burundi, au Darfour et au Mali, notamment.
Aïda Dial KANE29 mai 2024 à 08:26 Si certains lutteurs ont préféré zapper l’affaire Lac 2, ce n’est le cas de Bécaye Mbaye. Le présentateur et communicateur traditionnel a fait un énorme geste pour faire sortir le lutteur de Guediawaye de la prison. Dans cette […]
SPORTSAïda Dial KANE29 mai 2024 à 08:26
Si certains lutteurs ont préféré zapper l’affaire Lac 2, ce n’est le cas de Bécaye Mbaye. Le présentateur et communicateur traditionnel a fait un énorme geste pour faire sortir le lutteur de Guediawaye de la prison.
Dans cette vidéo, Bécaye montre la somme qu’il a réuni pour soutenir Lac 2 à rembourser l’énorme somme de ses plaignants.
Regardez !
Guy Marius Sagna dit militer pour l’arrêt des arrestations et des emprisonnements systématiques pour des faits d’injures et de diffamations. Le député estime que les insulteurs et ceux qui diffament peuvent être poursuivis au civil et au paiement de dommages et intérêts le cas échéant. […]
A LA UNE ACTUALITÉ justice POLITIQUEGuy Marius Sagna dit militer pour l’arrêt des arrestations et des emprisonnements systématiques pour des faits d’injures et de diffamations. Le député estime que les insulteurs et ceux qui diffament peuvent être poursuivis au civil et au paiement de dommages et intérêts le cas échéant.
Voici l’intégralité de son post :
« DÉPÉNALISER » est un verbe qui signifie aussi « soustraire (une infraction, une action) à la sanction du droit pénal. ».
Autrement dit, je milite pour l’arrêt des arrestations et des emprisonnements systématiques pour des faits d’injures et de diffamations. Ils sont graves. Les insulteurs et ceux qui diffament peuvent être poursuivis au civil et au paiement de dommages et intérêts le cas échéant.
Quel est l’intérêt de la dépénalisation des injures et diffamations et d’une poursuite au civil avec paiement de dommages et intérêts ?
Les insulteurs ne s’échapperont pas.
Ils ne vont pas remplir nos prisons déjà trop remplies. Et personne n’utilisera une diffamation ou une injure réelle ou supposée pour empêcher à un.e Sénégalais.e d’être candidat.e.
D’ailleurs, pour rappel, nos juridictions régionales et sous-régionales africaines, notamment la Cour de justice de la CEDEAO et la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples ont demandé expressément que les peines de prison pour ces infractions (diffamation, injures publiques, etc.) soient dépénalisées.
Pleins succès au dialogue national !
Réformons et modernisons notre justice !
Une justice au service du peuple et de la lutte pour la souveraineté !
JUB, JUBAL, JUBBANTI !
GMS,
Du neuf dans l’affaire Aisha Fatty, la célèbre jet-setteuse gambienne. Suite à la plainte de l’homme d’affaires Abdoulaye Thiam, formulée le 19 juin 2023, la gambienne du nom de Aisha Fatty, après les instructions données par les autorités compétentes, a été arrêtée au niveau de […]
justiceDu neuf dans l’affaire Aisha Fatty, la célèbre jet-setteuse gambienne. Suite à la plainte de l’homme d’affaires Abdoulaye Thiam, formulée le 19 juin 2023, la gambienne du nom de Aisha Fatty, après les instructions données par les autorités compétentes, a été arrêtée au niveau de la frontière de Karang lorsqu’elle tentait de regagner le Sénégal. Aisha Fatty a été acheminée à la division de la cybercriminalité. Elle est poursuivie pour « chantage et tentative d’extorsion de fonds ».
Le parquet du tribunal de grande instance hors classe de Dakar, qui avait ouvert une information judiciaire, a confié le dossier au juge du 3e cabinet d’instruction. Ce dernier a procédé à l’inculpation d’Aisha Fatty pour escroquerie portant sur plus d’un milliard de francs CFA. À la suite de cette inculpation, Aisha Fatty a été placée sous mandat de dépôt.
Pour rappel, Aisha Fatty faisait déjà l’objet d’une procédure devant le tribunal des flagrants délits pour collecte illicite de données à caractère personnel.
Triste nouvelle pour la famille Sing Sing. L’épouse de feu El Hadj Vieux Sing Sing Faye est rappelée à Dieu, ce mardi. Adja Daro Mbaye, maman du célèbre percussionniste et chanteur, Mbaye Diéye Faye, a rendu l’âme aujourd’hui, à Dakar. La levée du corps est prévue […]
NécrologieTriste nouvelle pour la famille Sing Sing. L’épouse de feu El Hadj Vieux Sing Sing Faye est rappelée à Dieu, ce mardi. Adja Daro Mbaye, maman du célèbre percussionniste et chanteur, Mbaye Diéye Faye, a rendu l’âme aujourd’hui, à Dakar.
La levée du corps est prévue demain mercredi à 14h, à la mosquée de Fass, suivie de l’enterrement au Cimetière musulman de Yoff.
Les condoléances seront reçues à la maison familiale sise Fass.
L’homme d’affaires proche de l’ancien régime pourrait être fixé sur son sort ce mercredi. Placé en garde à vue à la Section de recherches (SR) de la Gendarmerie de Colobane, Doro Gaye, poursuivi pour escroquerie foncière portant sur 1,2 milliard de francs CFA, sera déféré […]
justiceL’homme d’affaires proche de l’ancien régime pourrait être fixé sur son sort ce mercredi. Placé en garde à vue à la Section de recherches (SR) de la Gendarmerie de Colobane, Doro Gaye, poursuivi pour escroquerie foncière portant sur 1,2 milliard de francs CFA, sera déféré aujourd’hui.
Libération, qui donne l’information, rappelle que le mis en cause, pour se tirer d’affaire, « avait proposé au plaignant Zakiloulahi Sow, mandaté par plusieurs autres investisseurs, le paiement d’une avance de 500 millions puis du restant de la somme sous forme de moratoire ». Une offre refusée par la partie adverse, réclamant « le règlement de la totalité du montant en cause » versé pour l’achat de 24 terrains sur le site de l’ancien Aéroport international Léopold Sédar Senghor (AILSS), « à raison de 50 millions chacun », chiffre la source. Ce qui bloque la médiation pénale.
Il s’y ajoute que depuis la plainte, poursuit le journal, le prévenu a remis « trois chèque au plaignant mais ceux-ci sont revenus sans provision ».
Selon le quotidien d’information, les enquêteurs ont aussi découvert que « les plans cadastraux supposés être ceux des fameux terrains sont faux ».