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POLITIQUELe Conseil national du Laïcat aussi, s’exprime sur le débat lié au voile dans les établissements privés catholiques. Dans un communiqué parcouru par iGFM, il marque son indignation suite aux propos du chef du gouvernement et déclare que l’Église ne saurait «remettre en cause les principes […]
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SOCIETÉL’affaire risque de faire grand bruit. Après le fils d’Idrissa Seck, Bés Bi annonce que la fille du maire de Saint-Louis, Mansour Faye, a été arrêtée. Mais, à la différence de Abdoulaye Seck, qui a été placé sous mandat de dépôt pour trafic de cocaïne […]
SOCIETÉL’affaire risque de faire grand bruit. Après le fils d’Idrissa Seck, Bés Bi annonce que la fille du maire de Saint-Louis, Mansour Faye, a été arrêtée. Mais, à la différence de Abdoulaye Seck, qui a été placé sous mandat de dépôt pour trafic de cocaïne présumé, Aïssatou Faye est libre comme l’air.
Selon le quotidien d’information, l’affaire remonte à quatre semaines : « Suite à une opération routinière de fouille de son véhicule, la jeune Aissatou Faye, déjà célèbre pour avoir fait l’objet d’un reportage de BBC Afrique en 2022 pour sa ferme de 50 vaches, a été arêtée par deux policiers de la circulation qui ont découvert dans son véhicule des dizaines de millions. Certains parlent de 25 millions de francs CFA. »
Mais, avancent des sources du journal, «c’est plus que ça, c’est beaucoup d’argent liquide».
Comment la fille de l’ancien ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement est parvenue à se tirer d’affaire ? « Prise de panique apparemment, la fille propose aux deux agents une forte somme d’argent », rapportent les informateurs du journal. Les deux agents auraient accepté l’offre.
Consciente de sa faute, la fille se dépêche d’informer son père de sa mésaventure. Mansour Faye s’en ouvre aux autorités policières. Signalés, les deux agents ont été suspendus et risquent la radiation tandis que la corruptrice présumée ne fait l’objet d’aucune enquête, souffle Bés Bi.
L’homme d’affaires Doro Guèye est dans de beaux draps. Proche de l’ancien régime, il est entre les mains des enquêteurs de la Section de recherches de la Gendarmerie de Colobane, depuis hier, tard dans la soirée. Il est arrêté pour une affaire d’escroquerie foncière présumée […]
A LA UNE ACTUALITÉ justiceL’homme d’affaires Doro Guèye est dans de beaux draps. Proche de l’ancien régime, il est entre les mains des enquêteurs de la Section de recherches de la Gendarmerie de Colobane, depuis hier, tard dans la soirée. Il est arrêté pour une affaire d’escroquerie foncière présumée portant sur plus d’un milliard de FCfa.
Cette nouvelle arrestation de l’homme d’affaires fait suite à une plainte déposée contre lui par le Directeur de la société Sci Amanah, Zakiloulahi Sow. La partie civile a évalué le préjudice à 1,2 milliard de FCfa. Les gendarmes-enquêteurs ont remis à Doro Guèye une convocation à comparaître dès réception. Une injonction respectée par Doro qui se rend aussitôt dans les locaux de la Section de recherches de la gendarmerie sis à la Caserne Samba Dièry Diallo de Colobane.
Arrivé chez les enquêteurs, le mis en cause a été soumis à une audition. Selon les informations de L’Observateur, Doro Guèye a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Cependant, l’homme d’affaires aurait cité le nom de l’ancien président de la République, Macky Sall, pour se dédouaner. Il aurait déclaré qu’il agissait sous les ordres de Macky Sall. Il a soutenu, devant les gendarmes-enquêteurs, que l’ancien Chef de l’État lui avait donné feu vert sur un lot de terrains situés à l’Aéroport Léopold Sédar Senghor. La mission consistait à procéder à la régularisation des parcelles avant de les vendre, mais entre-temps, il s’est confronté à un litige.
Selon toujours les informations de L’Observateur, Doro Guèye a trouvé un accord de paiement avec le plaignant. Il s’est engagé à verser un acompte de 500 millions FCfa et le reliquat avant la fin du mois de juillet 2024. L’audition s’est déroulée jusqu’à tard dans la soirée. Et malgré les engagements de Doro Guèye, les gendarmes lui ont notifié son placement en position de garde à vue pour escroquerie. L’enquête est en cours. De sources proches de l’enquête, cette médiation pénale tentée hier par Doro Guèye et ses conseils n’a pas encore été validée par le procureur de la République. Et l’avis du plaignant est déterminant pour conclure une telle médiation. Ce qui ne va pas arrêter la procédure…
Le procureur a requis une peine de prison ferme de 6 mois contre Bah Diakhaté et l’Imam Cheikh Tidiane Ndao, ce lundi au Tribunal des Flagrants Délits de Dakar. Il a également demandé qu’on leur inflige une amende 100 000 F CFA. Les deux hommes […]
justiceLe procureur a requis une peine de prison ferme de 6 mois contre Bah Diakhaté et l’Imam Cheikh Tidiane Ndao, ce lundi au Tribunal des Flagrants Délits de Dakar. Il a également demandé qu’on leur inflige une amende 100 000 F CFA. Les deux hommes sont jugés, ce lundi 27 mai, pour « diffusion de fausses nouvelles » et « offense » à l’encontre du chef du gouvernement, Ousmane Sonko.
L’activiste Bah Diakhaté, interpellé lundi dernier par la Division des investigations criminelles (Dic), s’est livré dans une vidéo à des attaques contre M. Sonko après une déclaration de ce dernier sur le thème de l’homosexualité à l’occasion de la visite de l’opposant de gauche française Jean-Luc Mélenchon.
Le prêcheur Cheikh Ahmed Tidiane Ndao, placé en garde à vue mardi par les mêmes services, a reproché dans une autre vidéo au Premier ministre ce qu’il dénonce comme de la complaisance vis-à-vis de l’homosexualité.
Ce matin, un incident malheureux a marqué le début des audiences devant la salle des flagrants délits. Mahmoud Diakhaté, le père de Bah Diakhaté, a été victime d’un vol en pleine effervescence judiciaire. L’incident s’est produit alors que M. Diakhaté s’était brièvement absenté pour se rendre aux […]
FAIT DIVERSCe matin, un incident malheureux a marqué le début des audiences devant la salle des flagrants délits. Mahmoud Diakhaté, le père de Bah Diakhaté, a été victime d’un vol en pleine effervescence judiciaire. L’incident s’est produit alors que M. Diakhaté s’était brièvement absenté pour se rendre aux toilettes.
À son retour, il a découvert avec stupeur que son téléphone, un modèle Android, avait disparu. Malgré des recherches intenses et la mobilisation des personnes présentes, le téléphone reste introuvable selon pressafrik.
La disparition de l’appareil a eu lieu en plein milieu de la foule, rendant les chances de le retrouver particulièrement minces.
Bah Diakhaté lors de son interrogatoire ce lundi devant le tribunal des flagrants délits, a déclaré que Ousmane Sonko a trompé les sénégalais en faisant sa déclaration de patrimoine. Selon lui, l’actuel premier ministre n’a pas mentionné un de ces immeubles qui ne figurait pas […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEBah Diakhaté lors de son interrogatoire ce lundi devant le tribunal des flagrants délits, a déclaré que Ousmane Sonko a trompé les sénégalais en faisant sa déclaration de patrimoine. Selon lui, l’actuel premier ministre n’a pas mentionné un de ces immeubles qui ne figurait pas dans sa déclaration. Devant le juge, l’activiste a brandit des titres de propriétés du nom de Ousmane Sonko qu’il a revendu en 2018 à une dame répondant au nom de Astou après avoir acquis cette immeuble. « Il l’a vendu à 100 millions. Le président de la République Bassirou Diomaye Faye a vendu un immeuble à un inspecteur des impôts », révèle Bah Diakhaté.
Du côté de la défense, Me Amadou Sall déclare que son client a donné ces informations sur la place publique en tant que lanceur d’alerte. « Il alerte l’opinion sur des faits cachés. Et le président Bassirou Diomaye Faye a informé sur l’adoption d’une loi protégeant les lanceurs d’alerte » déclare la robe noire. Prenant la parole, le représentant du ministère public se doute de la véracité de ces titres brandit par le prévenu.
Petit-déjeuner amer pour Abdoulaye Mamadou Guissé. Alors invité de Pierre Edouard FAYE à l’émission RÉVEIL sur Walf TV ce lundi 27 mai, le leader du MCSS a vécu un début de semaine très difficile. Evouqant les dérives du nouveau régime, monsieur Guissé n’a pas digéré […]
POLITIQUEPetit-déjeuner amer pour Abdoulaye Mamadou Guissé. Alors invité de Pierre Edouard FAYE à l’émission RÉVEIL sur Walf TV ce lundi 27 mai, le leader du MCSS a vécu un début de semaine très difficile. Evouqant les dérives du nouveau régime, monsieur Guissé n’a pas digéré l’attitude de la journaliste Salma Ibrahima Fall qui selon lui est partisane puisque elle ne lui a pas donné la possibilité de s’exprimer sur le thème débattu. Après des échanges de propos aigre-doux, Abdoulaye Mamadou Guissé a préféré quitter le plateau avant même la fin de l’émission.
Regardez!
Modou Lo a pratiquement zappé les propos de Aziz Ndiaye sur le combat Tapha Tine et Balla Gaye 2. Le lutteur en a profité pour répondre à Siteu. « Je ne vais pas répondre aux dires de Aziz Ndiaye car les autres ont répondu à ma […]
SPORTSModou Lo a pratiquement zappé les propos de Aziz Ndiaye sur le combat Tapha Tine et Balla Gaye 2. Le lutteur en a profité pour répondre à Siteu.
« Je ne vais pas répondre aux dires de Aziz Ndiaye car les autres ont répondu à ma place. Je suis le roi. Quant à Siteu, plus il se met à parler, çà va se compliquer pour lui… », dit-il.
Le temps passe et les cas de violences conjugales continuent de faire les choux gras de la presse sénégalaise. L’on se souvient des images de femmes battues qui avaient fuité avec certaines de nos célébrités en l’occurrence Adja Diallo, Mia Guissé et la dernière en […]
A LA UNE ACTUALITÉ SOCIETÉLe temps passe et les cas de violences conjugales continuent de faire les choux gras de la presse sénégalaise. L’on se souvient des images de femmes battues qui avaient fuité avec certaines de nos célébrités en l’occurrence Adja Diallo, Mia Guissé et la dernière en date celles de Ndakhté Lo à travers ses confessions. Même la chanteuse Dieyla Gueye est citée parmi les victimes de violences conjugales.
Et pourtant, loin des comptes Instagram et Tik Tok où l’on voit certaines célébrités, toutes rayonnantes, ce qu’elles traversent dans leur couple au quotidien est loin d’être un long fleuve tranquille. Si ce n’est pas des cas d’infidélité, c’est de la maltraitance physique et psychologique à n’en plus finir. Selon certaines de ces victimes , « le fait de dénoncer aiderait peut-être celles qui supportent en silence, de prendre un décision », comme elles, notamment divorcer.
Il est vrai que le mariage c’est pour le meilleur et pour le pire mais vivre le meilleur est le principal objectif qui pousse les tourtereaux à s’engager dans cette aventure qui est malheureusement devenue très risquée de nos jours vu le nombre croissant de divorces enregistrés.
En effet, en 2022, l’ANSD avait recensé 126.286 divorces au Sénégal.
Le constat est que beaucoup de couples ne savent pas dans quoi ils s’engagent et ne tiennent compte que de l’aspect festif avec le henné time, la réception de cadeaux, et le fait d’être à la une sur tous les statuts WhatsApp et les plateformes digitales. A cet effet, les fondamentaux du mariage sont laissés en rade comme le fait d’être présent lors du sermon de l’autorité religieuse qui officialise l’union sacrée. Et pourtant, comme à l’église, devant Dieu et devant les hommes, l’Islam recommande la présence des deux concernés dans les lieux de la célébration religieuse.
En fin de compte, avec tous ces cas de maltraitance dévoilés, certaines femmes célibataires se demandent même si elles oseront, un jour, épouser un homme.
Le ministre de l’Education nationale a apporté des précisions suite à la polémique née de ses propos sur le sujet des corrections des copies d’examens. Moustapha Guirassy, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a souligné qu’il ne s’agissait pas « d’une stigmatisation », mais plutôt « une plaidoirie » […]
ÉducationLe ministre de l’Education nationale a apporté des précisions suite à la polémique née de ses propos sur le sujet des corrections des copies d’examens. Moustapha Guirassy, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a souligné qu’il ne s’agissait pas « d’une stigmatisation », mais plutôt « une plaidoirie » en faveur des enseignants qui corrigent des copies d’élèves en temps record.
« L’allusion faite aux enseignants qui corrigent des copies d’élèves en temps record est loin d’être une stigmatisation du comportement de ces enseignants. Je ne faisais que partager par empathie un message d’un enseignant relatant un épisode de sa vie de correcteur qu’il avait par la suite beaucoup regretté », a précisé M. Guirassy.
Et, a-t-il ajouté, « par honnêteté intellectuelle, et pour son respect pour l’élève et l’école, il avait jugé opportun de partager ce message avec le ministre de l’Education que je suis ».
Le ministre de rappeler qu’il déplorait dans son message « la charge excessive de correction de copies dans des délais extrêmement courts. Sous une aussi forte pression de temps, il ne pouvait dès lors garantir la rigueur, l’équité, la justice et l’impartialité dans l’exécution de la tâche de correcteur. Il craignait fort d’avoir ainsi causé du tort à certains élèves indépendamment de sa volonté », a-t-il rapporté.
Moustapha Guissary a tenu à préciser qu’il n’a émis aucun doute sur la conscience élevée des enseignants dans l’exercice de leur métier. Mais, c’était juste « pour faire le plaidoyer de ces agents de l’ombre ».
« Pour ma part, je n’ai aucun doute sur la conscience élevée des enseignants dans l’exercice du métier dont les contraintes et les exigences sont connues et reconnues par tous. Pour être du secteur, j’ai plusieurs fois eu la preuve que les enseignants dans leur écrasante majorité remplissaient en toutes circonstances, leurs obligations professionnelles. Ces enseignants travaillent dans des conditions difficiles et s’acquittent, sans broncher, de leurs obligations professionnelles. C’est justement pour faire le plaidoyer de ces agents de l’ombre, que j’ai évoqué dans une haute instance telle que celle du Conseil interministériel présidée par le PM, cet exemple donné par un enseignant lui-même et relatant les conditions précaires dans lesquelles il se trouvait pour corriger un nombre de copies énorme en peu de temps. Cela signifie tout simplement pour le ministre que je suis, que le déficit criard d’enseignants pourrait expliquer cette situation », a-t-il plaidé.
Par conséquent, a avancé M. Guirassy, » il ne s’agit pas d’une stigmatisation, mais plutôt d’une plaidoirie pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants »
Le ministre constate pour le dénoncer qu’ »une mauvaise interprétation a donc amené certains à considérer que les enseignants sont responsables de cet état de fait »
Mais, a-t-il renseigné, « mon rôle est de corriger en améliorant leurs conditions de travail qui passe par l’augmentation du nombre d’enseignants et de correcteurs aux examens. La justice et l’équité passent aussi par cette amélioration des conditions de travail ».
A en croire le ministre, aucun sujet ne doit être tabou si l’on veut changer le système.
« Si nous voulons changer le système, aucun sujet ne doit être tabou. Discutons de tout dans un esprit positif et constructif pour progresser », a-t-il lancé
Avant de conclure en lançant un appel aux enseignants : « Chers enseignants, vous êtes au cœur de l’école et de sa transformation. Je suis avec vous. Nous sommes ensemble ».
.Des vomissures face à nos magistrats pour réformer la justice, ce pays est une grosse farce !263 personnes pour assommer la justice ! Les assises de ce mardi seront la plus grosse plaie de la justice de notre pays. Des assises réunissant des justiciers professionnels, […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUE.Des vomissures face à nos magistrats pour réformer la justice, ce pays est une grosse farce !263 personnes pour assommer la justice ! Les assises de ce mardi seront la plus grosse plaie de la justice de notre pays. Des assises réunissant des justiciers professionnels, des condamnés jamais jugés et des criminels amnistiés : On balafre notre justice. C’est l’œuvre de politiciens capables de faire avaler à la justice ses propres verdicts à travers des compromissions entérinées par une majorité honteuse au Parlement. Dans cette république qui gémit, point de terroristes. Nul n’a tué les sœurs Diallo dans l’attentat du bus Tata de Yarakh ! Qui a intérêt pour une amnistie des crimes commis entre 2021 et 2024 ? Cette amnistie profite à qui ? Maintenant, des voix s’élèvent pour crier leurs culpabilités en brandissant des mains entachées du sang de nos martyrs. Il y a juste 3 mois, ceux qui dénigraient à tort notre justice et vilipendaient nos magistrats se retrouvent gouvernants d’un pays encore clivant. Ces mêmes magistrats vont devoir faire face à des criminels et des menteurs invités à corriger leurs copies et décider de la voie désormais à suivre. Je rêve!Ce n’est pas de ce sénégal dont je rêve. Je ne rêve pas d’un Sénégal où l’on fait asseoir la justice. Je ne rêve pas d’un Sénégal où des vomissures corrigent nos valeureux magistrats, un assassin de haut magistrat regarde dans le blanc de l’oeil d’autres magistrats, un charlatan fraîchement exfiltré de sa cellule sans jugement, un diffamateur, accusateur de juges et des hommes soumis du système se mettent ensemble pour une justice au service du peuple. L’initiative risque de revenir à son point de départ : une justice du service politique. Ce n’est pas ça la rupture promise !Une relecture du rapport 2018 du Comité de concertation sur la modernisation de la justice montre à suffisance que des vomissures choisies de façon sectaire ne produiront rien de grand pour réformer notre Justice. Lionel Jospin avait bien raison « ce n’est jamais la Justice qui rend la justice, ce sont des juges, des hommes et des femmes susceptibles, comme tout autre, de commettre des erreurs ». A condition que ces hommes et femmes ne soient pas comme les bonimenteurs partisans et disqualifiés pour prendre part aux assises de mardi
.Moussa Niang Délégué National intérimaire du Mouvement Guëm Sa Bopp.Chargé de la vie politique.