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SPORTSLeader du Championnat de Ligue 1 avec trois points d’avance sur Jaraaf à deux journées de la fin, Teungueth FC conserve intactes ses chances de réaliser un doublé national. Le TFC s’est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe du Sénégal, après sa victoire (3-0) sur Cneps Excellence (L2).
À domicile au Stade Ngalandou Diouf, les hommes de Cheikh Guèye ont ouvert le score par Ndiaga Djiguel à la 17e minute, avant que Bonaventure Fonseca ne double la marque quatre minutes plus tard. Malick Ndoye a inscrit le troisième but en fin de rencontre, préparant ainsi les deux dernières journées de championnat.
Son poursuivant direct, le Jaraaf, a également assuré sa place en quarts en battant Dakar Sacré-Cœur (1-0). Le seul but de ce match a été marqué par Pape Ababacar Diop en première période.
En difficulté en Championnat, le Casa Sports reprend de la vigueur en Coupe. Vainqueur du trophée en 2021 et 2022, le club de Ziguinchor s’est qualifié après une victoire sur l’AS Pikine (2-1) à Kolda, un match plutôt fermé où le Casa Sports a fait la différence en début de seconde période.
Jamono Fatick a battu HLM sur le score de deux buts à un. Les huitièmes de finale se clôtureront jeudi avec quatre rencontres: Dial Diop contre Wallidaan, Férus Foot Louga contre As Douanes, Mbour PC contre As Kaffrine, et Keur Madior contre Jeanne d’Arc.
Lors des auditions, les enquêteurs ont interpellé Bah Diakhaté sur ses propos tenus à l’encontre du président de la République Bassirou Diomaye Faye. L’activiste a déclaré avoir abordé le sujet, disant qu’il parlait de Diomaye en tant que Inspecteur des Impôts et Domaines. Les enquêteurs ont rappelé à […]
POLITIQUELors des auditions, les enquêteurs ont interpellé Bah Diakhaté sur ses propos tenus à l’encontre du président de la République Bassirou Diomaye Faye. L’activiste a déclaré avoir abordé le sujet, disant qu’il parlait de Diomaye en tant que Inspecteur des Impôts et Domaines.
Les enquêteurs ont rappelé à Bah Diakhaté que ses propos tenus à l’endroit du président de la République, du premier ministre et des autres personnalités constituent des actes punis par le Code pénal sénégalais, articles 254 alinéa 2 et 255. Selon L’Obs, l’activiste s’est défendu, disant qu’il n’a pas prononcé les noms du président de la République ou du premier ministre dans ses publications.
Il a terminé ses déclarations arguant qu’il a tenu ses propos en tant que lanceur d’alerte. Et dire qu’il s’adresse à un président de parti qui a invité un autre président de parti dans le cadre d’une activité politique à l’Ucad et un Inspecteur des Impôts et Domaines par rapports aux litiges fonciers.
C’est en septembre 2022 que M. Dia a vu sa famille dispersée. A l’origine, une un signalement auprès de la Direction de la protection de la Jeunesse ( DPJ). L’organisme québécois a des pouvoirs lui permettant d’intervenir lorsqu’un enfant n’est pas en sécurité ou lorsque […]
INTERNATIONALC’est en septembre 2022 que M. Dia a vu sa famille dispersée. A l’origine, une un signalement auprès de la Direction de la protection de la Jeunesse ( DPJ). L’organisme québécois a des pouvoirs lui permettant d’intervenir lorsqu’un enfant n’est pas en sécurité ou lorsque son développement est en danger. Un pouvoir qui, depuis deux ans, sépare Dia de ses deux enfants et qui empêche à celui qui est devenu père pour une troisième fois en début mai de voir son bébé.
« Le 27 septembre 2022 la DPJ m’a appelé et nous avons tenu une réunion en présence de ma femme. Durant cette réunion, ils m’ont demandé de signer un document attestant d’un mauvais traitement psychologique sur les enfants étant donné que ma femme avait l’habitude de quitter le domicile. Chose que j’ai refusé de faire. Face à mon refus, ils ont décidé de judiciariser l’affaire », nous raconte M. Dia.
Face son refus d’obtempérer, la DPJ a décidé de faire une pression sur la femme. D’après le mari, les représentants de la direction auraient demandé à la femme de faire de sorte que son mari quitte la maison. A défaut, elle se verrait retirer la garde de ses enfants. Ayant pris peur, madame Dia, en complicité avec une de ses voisines, a fait venir la police dans sa demeure accompagnée d’agent de la DPJ. La police n’ayant pas constaté d’infraction a opposé son refus d’expulser des lieux monsieur Dia. « La police avait également refusé de fournir un 810 qui est une interdiction de contact entre moi et ma famille puisqu’aucune violence n’avait été constatée », narre Dia.
Au lendemain, le 24 octobre 2022, les enfants furent placés dans une maison d’hébergement avec leur mère. Cette dernière sera, quelque temps après, expulsée de la maison d’accueil car n’étant pas victime de violence. « Elle s’est retrouvée dans la rue et il a fallu que je paie pendant deux ans un logement pour elle » nous raconte M. Dia. Les deux enfants, un garçon et une fille, se retrouvent ainsi seuls avec des inconnus pour s’occuper d’eux.
Entre-temps, le père de famille a poursuit sa bataille judiciaire afin de réunir sa famille. « Le 28 octobre 2022, nous avons fait face au juge. Ce dernier m’a demandé de quitter la maison pour que le dossier soit fermé. Ce que j’ai refusé de faire parce que j’ai trouvé la décision injuste. A la fin du procès, j’ai remarqué aussi qu’ils ont rajouté des faits de violence conjugale alors que ni les policiers, ni mes voisins n’ont confirmés ces faits. Les documents ont donc été falsifiés afin de me priver de mes enfants. Il affirmait que ma femme était victime de violence financière, physiques, sans preuve tangibles. »
Malgré tout, le 09 juin 2023, après une longue procédure, M. Dia a pu obtenir du juge que les enfants vivent au moins avec leur mère et ceci pendant un an. Une sentence qui devait prendre fin le 09 juin prochain. Mais les espoirs de Dia de voir sa famille de nouveau réunie risque encore une fois de tomber à l’eau.
« J’ai appris que la DPJ tente de faire renouveler la sentence. Le 09 juin 2023, après le jugement, j’avais saisi la cour supérieure qui a accepté ma demande. Ils (DPJ) ont, à leur tour, souhaité que ma demande soit rejetée. Ce que le juge a refusé. J’ai donc été entendu par la Cour supérieure le 07 février 2024. Le juge m’a donné raison et m’a demandé de m’entendre avec la DPJ. Elle m’a aussi dit que j’avais trois mois pour décider » raconte M. Dia.
Loin de voir le bout du tunnel, le père de famille a reçu une notification de rejet de sa dernière requête auprès de la DPJ, le 20 février dernier. 09 jours après, l’organisme récupère les enfants à leur école et les place de nouveau dans des maisons d’accueil et cette fois-ci en les séparant alors que leur père venait de déposer un appel le 27 février. « L’article 355 du code de procédure civil stipule qu’un appel dûment fait suspend le jugement ». Partant de ce fait, Dia estime avoir été victime d’une injustice. Il a donc saisi la justice pour enlèvement.
Séparés de leurs parents depuis deux ans, les enfants du couple Dia commencent à subir les conséquences de ce drame familial. « Les enfants sont aujourd’hui séparés alors qu’ils ont l’habitude d’être ensemble. Le garçon a changé de comportement à l’école et commence à être violent. Quant à la fille, elle ne fait que pleurer. La dernière fois que je l’ai vue, elle m’a demandé de lui apporter ma photo » raconte madame Dia. Cette dernière a d’ailleurs donné naissance à un garçon début mai. Le nouveau-né a lui aussi été placé dans une maison d’accueil avec un aménagement de visite pour l’allaitement.
A ce, M. Dia qui n’a pas le droit de voir le nouveau membre de la famille, ne passe que quelques heures dans la semaine avec les deux premiers. Interpellé sur les difficultés traversées par la famille Dia, la représentation diplomatique du Sénégal à Ottawa qui dit suivre l’affaire de très près n’a pas voulu s’épancher davantage. De leur côté, le couple Dia a déploré le manque de soutien de l’ambassade.
Le 17 avril 2024, lors du Conseil des ministres au palais de la République, le président sénégalais a demandé au ministre de la Justice, Garde des sceaux, de finaliser avant le 15 mai 2024 un projet de loi sur la protection des lanceurs d’alerte. Cette […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUELe 17 avril 2024, lors du Conseil des ministres au palais de la République, le président sénégalais a demandé au ministre de la Justice, Garde des sceaux, de finaliser avant le 15 mai 2024 un projet de loi sur la protection des lanceurs d’alerte. Cette initiative vise à renforcer la démocratie et la transparence dans les affaires publiques.
La définition précise du statut de « lanceur d’alerte » est essentielle pour éviter des « règlements de comptes » potentiels. Le législateur doit protéger les lanceurs d’alerte contre toute forme de représailles, telles que le licenciement ou des procédures judiciaires intimidantes. Sans ces protections, ces individus, appelés « sentinelles de la démocratie », risquent d’être exposés à des sanctions et à des procès visant à les intimider.
La protection des lanceurs d’alerte par le législateur renforcera la procédure de signalement des faits d’intérêt commun aux employeurs, autorités administratives ou à l’opinion publique. Cette activité citoyenne est cruciale pour le bon fonctionnement de la société.
Par ailleurs, il est important de distinguer les lanceurs d’alerte des « influenceurs » sur les réseaux sociaux, qui insultent régulièrement en toute impunité et portent atteinte à la dignité des guides religieux, des autorités et des institutions de la République. Une régulation s’avère nécessaire pour contrôler ces dérives.
Enfin, le Secrétaire général du Synpics, Bamba Kassé, a évoqué le problème des charlatans envahissant les sites d’information, qualifiant cela de « mal profond » nécessitant également une intervention législative. La presse appelle à une loi pour mettre fin à cette menace, afin d’éviter une potentielle explosion de désinformation.
Un matin ordinaire, Abdoulaye Guèye, imam de la mosquée de la Cité Marine de Derklé, dirige la prière de l’aube. Subitement, il est surpris par deux fidèles. Ces derniers le ceinturent, le maîtrisent et l’expulsent du lieu de culte. Le tort de Guèye ? Il […]
SOCIETÉUn matin ordinaire, Abdoulaye Guèye, imam de la mosquée de la Cité Marine de Derklé, dirige la prière de l’aube. Subitement, il est surpris par deux fidèles. Ces derniers le ceinturent, le maîtrisent et l’expulsent du lieu de culte.
Le tort de Guèye ? Il n’habite pas le quartier et il serait incompétent. La sentence est prononcée par les assaillants, El Malick Bâ et Ahmed Tidiane Ndiaye.
Ces derniers étaient jugés devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, ce mercredi 22 mai. À la suite de la plainte de l’imam, ils ont été arrêtés et placés sous mandat de dépôt, le 13 mai, pour coups et blessures volontaires, entrave à l’exercice d’un culte et outrage au ministère d’un culte.
En plus d’avoir interrompu son office, Abdoulaye Guèye reproche aux mis en cause de l’avoir roué de coups. Ce qui lui aurait valu 21 jours d’ITT (Incapacité temporaire de travail). Un certificat médical à l’appui.
D’après le compte-rendu d’audience de L’Observateur, le plaignant a déclaré à la barre que les prévenus avaient ourdi leur plan. Il explique que lorsqu’il a été désigné pour assurer l’intérim par l’imam titulaire alité, ces derniers ont clamé leur volonté de poser leur véto. C’est ainsi qu’ils ont convoqué une assemblée générale pour destituer Abdoulaye Guèye, à son insu, et désigner un autre imam.
S’ils ont reconnu avoir joué les gros bras pour expulser Guèye de la mosquée, El Malick Bâ et Ahmed Tidiane Ndiaye ont contesté en chœur avoir levé la main sur lui. Et à la barre, ils ont défendu le bienfondé de la destitution du plaignant.
«Le comité de gestion [de la mosquée] avait déjà désigné un imam, justifie Ndiaye. Le sieur Guèye ne devait pas diriger les prières. Il n’a rien d’un imam. Il veut nous diriger alors qu’il ne maîtrise même pas le Coran. Un jour, il s’est trompé en pleine prière. Et depuis, on s’est fait la promesse qu’il ne dirigerait plus les prières dans notre mosquée.»
Ces arguments n’ont pas convaincu le procureur de la République qui, jugeant les faits constants, a requis l’application de la loi. La partie civile a réclamé 1 millions de francs CFA tandis que la défense a plaidé la relaxe des prévenus pour le chef de coups et blessures volontaires, contestant la validité de son certificat médical attestant 21 jours d’ITT, avant de demander une application bienveillante de la loi pour le délit- assumé- de trouble dans un lieu de culte.
Relaxés pour ce qui est des coups et blessures volontaires, El Malick Bâ et Ahmed Tidiane Ndiaye ont été par contre reconnus coupables d’entrave à l’exercice d’un culte et outrage au ministère d’un culte. Leur peine : trois mois de prison avec sursis et 200 000 francs CFA à verser à la partie civile en guise de réparation du préjudice subi.
Une nouvelle plainte pour agression sexuelle a été déposée contre le rappeur américain Sean « Diddy » Combs, la dernière d’une série d’accusations contre ce poids lourd du hip-hop américain. Crystal McKinney, une ancienne mannequin, l’accuse d’agression sexuelle à New York en 2003, dans une plainte déposée […]
PeopleUne nouvelle plainte pour agression sexuelle a été déposée contre le rappeur américain Sean « Diddy » Combs, la dernière d’une série d’accusations contre ce poids lourd du hip-hop américain.
Crystal McKinney, une ancienne mannequin, l’accuse d’agression sexuelle à New York en 2003, dans une plainte déposée mardi.
La plaignante affirme avoir été « poussée à boire » de l’alcool et à consommer de la marijuana, mélangée à un autre stupéfiant, avant d’avoir été forcée à une fellation.
Le rappeur et producteur de 54 ans, qui se fait aussi appeler « Puff Daddy » et « P. Diddy », a été rattrapé depuis 2023 par plusieurs accusations de viols, d’exploitations sexuelles et de violences physiques et psychologiques.
Une plainte au civil avait été déposée à New York en novembre par son ex-compagne, la chanteuse de R&B Cassie, qui l’accusait d’un viol en 2018 et de « comportement violent » et « déviant » durant une décennie, comme des relations sexuelles forcées avec des hommes prostitués. L’affaire a finalement été réglée « à l’amiable » selon un accord confidentiel.
La télévision américaine CNN a diffusé vendredi un montage d’images de vidéo-surveillance d’un hôtel de Los Angeles daté de mars 2016 montrant un déchaînement de violence du rappeur contre sa compagne de l’époque.
Depuis, le rappeur s’est excusé pour son comportement « dégoûtant ».
Crystal McKinney affirme qu’elle s’est sentie « moralement obligée de s’exprimer » après avoir vu les autres plaintes contre le rappeur.
« À ce jour, la plaignante souffre de dépression, d’anxiété, de problèmes d’image, d’un sentiment de dévalorisation et de problèmes d’intimité à cause de l’agression de M. Combs », indique la plainte, qui précise que le rappeur aurait usé de son influence pour étouffer la carrière de la plaignante.
Selon des informations nos confrères de E-Media, le maire de Sindia, Thierno Diagne, a été arrêté et déféré au parquet de Mbour ce mercredu 22 mai 2024. Les raisons de cette arrestation restent pour l’instant inconnues, Mais elles pourraient être liées à une enquête de […]
POLITIQUESelon des informations nos confrères de E-Media, le maire de Sindia, Thierno Diagne, a été arrêté et déféré au parquet de Mbour ce mercredu 22 mai 2024. Les raisons de cette arrestation restent pour l’instant inconnues, Mais elles pourraient être liées à une enquête de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) ouverte en 2017.
Le 10 janvier 2017, l’Ofnac a été saisi d’une dénonciation anonyme mettant en cause Thierno Diagne dans des affaires de détournement de deniers publics, d’escroquerie et de blanchiment de capitaux. Ces faits auraient été commis lors du versement de 2 milliards de francs CFA par la Coopérative d’habitat des agents de la Sonatel à des propriétaires terriens de Sindia-ndombo, en guise de dédommagement.
Il est également cité dans le rapport de 2021 pour une affaire de plus de 54 millions.
Partager Abass Fall s’est fendu d’un post, mercredi, pour appeler le gouvernement à déclencher des poursuites judiciaires contre les détourneurs de derniers publics. « Le gouvernement doit déclencher les poursuites judiciaires contre ces voyous coupables de détournement de nos deniers publics. Ils se cachent derrière ce pitre […]
POLITIQUEAbass Fall s’est fendu d’un post, mercredi, pour appeler le gouvernement à déclencher des poursuites judiciaires contre les détourneurs de derniers publics.
« Le gouvernement doit déclencher les poursuites judiciaires contre ces voyous coupables de détournement de nos deniers publics. Ils se cachent derrière ce pitre pour faire des contrefeux . C’est fini la récréation. Le peuple attend cela« , a notamment écrit le député.
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Séparation des pouvoirs
Le ministre de la Formation professionnelle, porte-parole du gouvernement, Moustapha Sarré, qui évoquait en mi-mai la publication des rapports des corps de contrôle de l’Etat soulignait qu’au nom de la séparation des pouvoirs, il appartient à la Justice de décider des suites à donner à ces documents.
Poursuite judiciaire
Plusieurs personnalités publiques sont épinglées par les rapports des corps de contrôle. Mais jusque-là, aucune poursuite judiciaire.
Étant un chanteur à succès, Davido profite logiquement de la gloire et de l’argent qui va avec et il est d’ailleurs l’un des artistes les plus fortunés en Afrique. Le chanteur nigérian ne manque alors aucune occasion de le faire remarquer, comme pour l’achat de […]
PeopleÉtant un chanteur à succès, Davido profite logiquement de la gloire et de l’argent qui va avec et il est d’ailleurs l’un des artistes les plus fortunés en Afrique. Le chanteur nigérian ne manque alors aucune occasion de le faire remarquer, comme pour l’achat de son nouveau jet il y a quelques semaines.
Mais outre le prix exorbitant que le jet privé de Davido pourrait lui avoir coûté, les frais d’entretien seraient également de l’ordre d’une bagatelle.
Davido présentait il y a un peu plus d’un mois son Bombardier 7500, un avion biréacteur réservé au gotha mondial. Et même si le chanteur n’a pas dévoilé le coût de cette acquisition, les internautes ont pu mener des enquêtes de leur côté.
Il en ressort que le Global 7500, un modèle souvent prisé des riches hommes d’affaires serait vendu à 70 millions de dollars, soit 47 627 361 600,00 Francs CFA par le constructeur Bombardier. De quoi donner évidemment du tournis, mais les performances ainsi que les options luxueuses que proposent l’appareil justifient ce prix.
Posséder un jet privé est le rêve de toute personne riche, mais les dépenses à prendre en charge ne se limitent pas qu’au coût d’acquisition. À la suite, l’entretien nécessite de très lourds investissements et de généreux frais connexes sont également à assumer pour faire voler l’appareil.
Pour le jet privé de Davido, des dépenses d’environ 2 millions de dollars (plus d’1 milliard de FCFA) seraient alors nécessaires pour l’entretien. De plus, ces travaux de maintenance se feront exclusivement par le constructeur de l’appareil.
Entre l’acquisition du Bombardier 7500 et la gestion des frais afférents, l’on comprend que la fortune globale de Davido n’est pas des moindres. Forbes estimait par exemple ses revenus en 2023 à plus de 20 millions de dollars sans que sa fortune exacte ne soit dévoilée. Finalement, être propriétaire d’un jet privé n’est pas à la bourse de toutes les personnes riches, comme le rappelait récemment le chanteur sénégalais Akon.
Ayoba Faye raconte le film de son agression. Le journaliste de Walfadjiri fait savoir que c’est sur le chemin du retour de Keur Massar qu’il s’est fait agresser. Il était dans cette zone avec un ami. Ils travaillaient sur un dossier. « J’étais à Keur Massar […]
A LA UNE ACTUALITÉ SOCIETÉAyoba Faye raconte le film de son agression. Le journaliste de Walfadjiri fait savoir que c’est sur le chemin du retour de Keur Massar qu’il s’est fait agresser. Il était dans cette zone avec un ami. Ils travaillaient sur un dossier.
« J’étais à Keur Massar avec un ami, on travaillait sur un dossier. J’ai pris un taxi de covoiturage. J’ai dit au chauffeur que je descends au rond-point Cambérène mais j’ai raté l’arrêt. J’étais tellement fatigué, j’avais mis les écouteurs et c’est quand le chauffeur m’a demandé de descendre que j’ai remarqué qu’il a un peu dépassé l’arrêt. C’était à 100m du rond-point Cambérène », a-t-il expliqué dans cette vidéo de Walf Tv.
Selon lui, c’est au moment où il rejoignait le rond-point qu’il a senti des pas derrière lui. « Et puis subitement, j’ai senti des machettes sur mon cou. Ils m’ont demandé de leur donner tout ce que j’avais. Ce que j’ai fait. Je n’ai pas riposté. Tout de suite après, ils ont disparu dans le jardin de Technopole », a révélé Ayoba Faye.
Le journaliste confie en outre qu’il a retrouvé ses papiers. « Après avoir fait ma plainte, je suis retourné sur le lieu où je me suis fait agresser, avant l’auto pont de Cambérène. J’ai retrouvé mes papiers: passeport, carte d’identité, chéquier, etc. Le tout était dans le sac qu’ils avaient emporté », a-t-il laissé entendre. Il trouve que c’est une « banale agression ».