En préparation de son combat face à Tapha Tine, Balla Gaye 2 a fait son open presse ce jeudi à Guédiawaye, au Stade Amadou Barry. Devant ses nombreux supporters, le Lions de Gueye a enflammé le public avec sa nouvelle chorégraphie. Rappelons que le grand […]
SPORTSBah Diakhaté vient de faire l’objet d’un deuxième retour de parquet, selon nos confrères de Seneweb.L’activiste proche de Benno Bokk Yaakaar va faire face au procureur de la République demain, vendredi 19 juillet.Pour rappel, Bah Diakhaté a été extrait avant-hier de prison et conduit au […]
justiceLe Président Bassirou Diomaye Diahar Faye a présidé, ce jeudi 18 juillet 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres au Palais de la République. Plusieurs décisions cruciales ont été prises, dont des nominations stratégiques à des postes de haute responsabilité. Birame Sene, magistrat et […]
POLITIQUETreize imams titulaires d’une licence, d’un master, voire d’un doctorat envoyés en Europe pour le ramadan disparaissent au moment du retour au pays. Ils ont été envoyés dans plusieurs pays européens (France, Belgique ou encore Allemagne) par le ministère des Affaires religieuses du Maroc pour diriger les prières des […]
RELIGIONTreize imams titulaires d’une licence, d’un master, voire d’un doctorat envoyés en Europe pour le ramadan disparaissent au moment du retour au pays.
Ils ont été envoyés dans plusieurs pays européens (France, Belgique ou encore Allemagne) par le ministère des Affaires religieuses du Maroc pour diriger les prières des Tarawih pendant le mois du Ramadan. Ils ne sont plus rentrés, renonçant ainsi à leurs postes dans différentes mosquées du Royaume. Les imams « ont disparu dans la nature » au moment de leur retour au pays, rapporte la presse marocaine.
La plupart des imams sont titulaires, d’une licence, d’un master, voire d’un doctorat. Ils sont rémunérés mensuellement par l’État marocain pour exercer dans leur mosquée et bénéficiaient d’un aller-retour, tous frais payés en Europe, pour y diriger des prières du ramadan.
Ces missions sont habituelles pour le Maroc, qui compte des millions d’expatriés dans les pays européens. Chaque ramadan, plusieurs centaines d’universitaires traversent la Méditerranée pour accompagner les musulmans marocains qui le souhaitent.
Le processus de sélection est pourtant très strict, mais selon plusieurs médias marocains, les profils restés sur place seraient célibataires et sans enfants. D’après le quotidien Assabah, le ministère des Habbous aurait donc décidé de durcir les conditions de départ. Pour éviter toute mauvaise surprise l’année prochaine, il sera exigé que les imams soient mariés et pères de famille avant d’être envoyés en Europe.
Cette opération est destinée à répondre à la demande et aux attentes des Marocains établis en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Espagne, en Italie, en Belgique, au Canada, aux États-Unis, en Suède, au Danemark, au Royaume-Uni, en Hongrie, en Norvège et en Islande. La délégation est composée de 41 professeurs universitaires, 38 prédicateurs titulaires d’un Doctorat et 45 prêcheurs titulaires d’un Master.
Clôture à Banjul, hier dimanche, du 15e Sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) et cap sur 3 ans pour la prochaine édition. En attendant, à l’ouverture de cette rencontre au sommet, le samedi 4 mai 2024, dans la capitale gambienne, le Chef de l’Etat sénégalais, […]
POLITIQUEClôture à Banjul, hier dimanche, du 15e Sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) et cap sur 3 ans pour la prochaine édition. En attendant, à l’ouverture de cette rencontre au sommet, le samedi 4 mai 2024, dans la capitale gambienne, le Chef de l’Etat sénégalais, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a renouvelé le soutien indéfectible du Sénégal aux «revendications légitimes du peuple palestinien», pour un Etat viable et souverain, avec Jérusalem-Est comme capitale, conformément aux Résolutions pertinentes des Nations Unies.
«Le Sénégal restera fidèle à son engagement envers les revendications légitimes du peuple palestinien». C’est Bassirou Diomaye Diakhar Faye qui affirme ainsi maintien par le Sénégal de sa solidarité avec les aspirations légitimes du peuple palestinien. Dans sa déclaration, lors de la rencontre à huis clos des chefs d’Etat et de Gouvernement, dans le cadre du 15e Sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), le samedi 4 mai 2024, à Banjul, en Gambie, le président de la République a soutenu que «le Sénégal est particulièrement préoccupé par la situation catastrophique à Gaza, sous le regard indifférent de la communauté internationale, face à l’inertie du Conseil de Sécurité et au mépris des règles humanitaires les plus élémentaires», a-t-il dit dans l’APS.
Conformément à la position de ses prédécesseurs, avec le Sénégal présidant le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien, créé en novembre 1975 par les Nations Unies (ONU), Diomaye Faye, «en tant que président nouvellement élu du Sénégal», un pays membre fondateur de l’OCI, a assuré à ses pairs, de «l’ancrage continu» de son pays au sein de l’organisation, «dans un esprit de solidarité et de fraternité islamiques».
Selon l’APS, le chef de l’Etat a renouvelé «le soutien indéfectible du Sénégal aux revendications légitimes de nos frères et sœurs palestiniens, pour un Etat viable et souverain, avec Jérusalem Est comme capitale, conformément aux résolutions pertinentes des Nations Unies». Dès lors, Bassirou Diomaye Faye a appelé à «une mobilisation plus conséquente de la Oummah islamique pour un cessez le feu immédiat à Gaza et la solution à deux Etats, seul gage d’une paix durable dans la région».
Dans un autre registre, face aux attaques de tous ordre, surtout en occident, le président Faye trouve «important que l’OCI et les Etats membres renforcent, par ailleurs, la diffusion des valeurs authentiques de l’Islam, religion qui prône la modération, le savoir, le savoir-faire et le savoir être». Initialement prévu en 2020 puis reporté pour permettre au pays hôte de disposer d’infrastructures adéquates pour accueillir ce conclave d’envergure, le 15e Sommet de l’OCI s’est tenu au Centre de conférences international Dawda Kairaba Jawara sur le thème : «Renforcement de l’unité et de la solidarité par le dialogue pour le développement durable».
De nombreuses voix se sont élevées, à l’ouverture de la rencontre, pour condamner les exactions israéliennes dans la bande de Gaza et rappeler le droit des Palestiniens à un Etat souverain. La rencontre a été sanctionnée par une Déclaration commune, lue hier dimanche, lors de la cérémonie de clôture, par le président Adama Barrow, qui assure la Présidence de l’OCI pour les 3 prochaines années.
C’est sa première prise de parole depuis l’élection du Président Bassirou Diomaye Faye. Anta Babacar Ngom, candidate malheureuse à la présidentielle de 2024 a réagi sur la formation du Gouvernement « Sonko 1 », fustigé par certaines à cause de la faible représentation des femmes. Elle est […]
POLITIQUEC’est sa première prise de parole depuis l’élection du Président Bassirou Diomaye Faye. Anta Babacar Ngom, candidate malheureuse à la présidentielle de 2024 a réagi sur la formation du Gouvernement « Sonko 1 », fustigé par certaines à cause de la faible représentation des femmes. Elle est aussi revenue sur les moqueries qu’elle a essuyé lors de la récente campagne présidentielle.
En effet, ce samedi 04 mai, des féministes se sont fait entendre, à cet effet. Occasion pour Anta Babacar Ngom, membre du Cadre de Concertation pour le respect et la préservation des droits des femmes et des filles, d’inviter ces femmes à s’investir davantage dans la politique.
« Notre combat va au-delà de ça…
« Moi Anta Babacar Ngom, je fais partie du Cadre de Concertation, je veux que ce soit clair. Il ne faut pas que des gens se servent de ma candidature comme moyen pour diviser ou pour mettre en mal les femmes, je ne l’accepterai pas. Notre combat va au-delà de ça (…) Aujourd’hui, je me présente comme étant Anta Babacar, femme politique assumée et affirmée. Je vous rassure qu’on ne change jamais de priorités. Aujourd’hui, nous sommes encore plus déterminés et je tends la main à tout un chacun, parce que c’est l’union qui fait la force. Nous sommes toujours sur cette lancée. Donc, je peux me permettre d’affirmer que c’est moi Anta Babacar qui devait être la présidente de la République. Je suis toujours, j’y crois en mon fond intérieur, c’est n’est qu’un combat décalé et si Dieu le veut, j’y arriverais« , a-t-elle soutenu.
« J’ai entendu des tas de moqueries, comme…
Elle profite, ainsi de l’occasion pour inviter les femmes à s’assumer en politique. « Chacun à sa manière de faire de la politique. Il faut se battre pour s’imposer dans les instances dirigeantes. Et ne pas vivre dans l’espoir que celui qui est à la tête du pays vous nomme pour un poste. Cela m’insupporte« , renchérit-elle.
Victime de moqueries lors de la présidentielle de 2024, Anta Babacar dit en sortir plus ragaillardie. « J’ai entendu des tas de moqueries, comme ‘Anta Thiouthie’, ‘Anta poussin’, mais cela ne m’affecte en rien… Au contraire, je suis devenue plus brave, courageuse et surtout résiliente. Je souhaite que ce cadre de concertation soit mis en place, soit une réussite. Et que ceux qui souhaitent notre échec ne puissent se réjouir. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir, tant que ça va dans le sens de protéger et préserver les droits de la femme« , promet-elle.
La nomination par décret du nouveau DG de l’Artp est illégale, elle viole le droit communautaire au sein de l’Uemoa et de la Cédéao. L’affirmation est de l’Association des utilisateurs du tic (Asutic). L’Association dirigée par Ndiaga Gueye justifie cette affirmation par les dispositions contenues […]
TechnologieLa nomination par décret du nouveau DG de l’Artp est illégale, elle viole le droit communautaire au sein de l’Uemoa et de la Cédéao. L’affirmation est de l’Association des utilisateurs du tic (Asutic). L’Association dirigée par Ndiaga Gueye justifie cette affirmation par les dispositions contenues dans les textes règlementaires de l’Uemoa et de la Cédéao qui exigent un appel à candidatures.
Dans l’article 4 alinéa 6 de la Directive de l’Uemoa, il est dit que les pouvoirs publics doivent garantir « le recrutement des membres à travers une procédure transparente d’appel à candidature ». Quant à la Cédéao, dans son acte additionnel à l’article 11, elle préconise « le recrutement des membres des organes décisionnels selon une procédure transparente d’appel à candidature sur la base de compétences et de qualifications professionnelles avérées ».
Ces textes disent donc clairement qu’il faut recruter les membres de l’Artp par appel à candidatures. Ce qui fait dire à l’Asutic que le décret de nomination du nouveau directeur pris par le président Bassirou Diomaye Faye est illégal.
Certes, reconnaît Asutic, le code des télécommunications du Sénégal dit clairement que le DG est nommé par décret. Cependant, Ndiaga Guèye rappelle que le droit communautaire est au-dessus des lois nationales et que les Etats se sont engagés à respecter la primauté du droit communautaire.
Ainsi l’Asutic recommande au président Diomaye Faye d’annuler le décret pour procéder à un appel à candidatures pour le choix du DG, mais aussi « la modification des articles 2 et 14 alinéa 2 du décret 2019-591 du 14 février 2019 portant organisation et fonctionnement de l’ARTP ».
D’après l’Asutic, avec cette nomination par décret le nouveau pouvoir s’inscrit dans la dynamique de ses devanciers. Ndiaga Guèye et Cie notent que l’absence d’impartialité et de transparence dans la régulation depuis plus de 20 ans a eu comme résultat « la transformation du marché des télécommunications d’un monopole à un oligopole avec un opérateur dominant. Autrement dit, d’un monopole public à un monopole privé. »
Selon l’association, la régulation a plus bénéficié à Orange, aux actionnaires et autres équipementiers. Le secteur lui reste toujours confronté à ses défis de 1996 (année de l’ouverture du marché) à savoir le difficile accès à des services de qualité, le problème de la sécurité et des prix restés toujours inabordables.
Le plus inquiétant pour l’Asutic est que le numérique ne figure pas parmi les 5 axes prioritaires du gouvernement, même si l’association pense qu’il n’est pas trop tard pour rectifier le tir.
Les retrouvailles annoncées chez la famille socialiste après la présidentielle du 25 mars 2024, divisent les deux camps. Beaucoup de militants aussi bien du côté des partisans de Khalifa Ababacar Sall que des fidèles restés au Ps dont Aminata Mbengue Ndiaye est la secrétaire générale […]
POLITIQUELes retrouvailles annoncées chez la famille socialiste après la présidentielle du 25 mars 2024, divisent les deux camps. Beaucoup de militants aussi bien du côté des partisans de Khalifa Ababacar Sall que des fidèles restés au Ps dont Aminata Mbengue Ndiaye est la secrétaire générale ne sont pas pour cette conjugaison des forces.
Selon le journal Les Echos, à Taxawu Sénégal, certains s’opposent catégoriquement à cela. Ils l’ont même fait comprendre à Khalifa Sall, arguant qu’il n’avait rien à faire de l’appareil.
Selon eux, il ( Khalifa Sall) peut s’en sortir sans cette machine du Ps. Mais d’autres pensent qu’il doit avoir l’appareil socialiste pour la réalisation des objectifs de Taxawu.
Par conséquent, souligne le journal, c’est un Taxawu divisé sur la question qui essaie d’envisager l’avenir avec la meilleure forme possible.
Kylian Mbappé va disputer son dernier match de Ligue des champions au Parc des Princes avec le PSG, mardi face au Borussia Dortmund (21h), en demi-finale retour. Dans un climat particulier lié à son départ prochain mais surtout à son langage corporel sur le terrain.Kylian […]
SPORTSKylian Mbappé va disputer son dernier match de Ligue des champions au Parc des Princes avec le PSG, mardi face au Borussia Dortmund (21h), en demi-finale retour. Dans un climat particulier lié à son départ prochain mais surtout à son langage corporel sur le terrain.
Kylian Mbappé (25 ans) va faire ses adieux au Parc des Princes comme joueur du Paris Saint-Germain cette semaine. Mardi, il va disputer son dernier match européen comme parisien face au Borussia Dortmund (21h, sur RMC Sport 1), quelques jours avant la réception de Toulouse en Ligue 1, dimanche (21h, 33e journée). Une affiche secondaire qu’il n’est même pas certain de jouer au regard de sa récente utilisation en championnat par Luis Enrique. L’attente sera immense, en revanche, mardi à une marche de la deuxième finale du club dans la compétition. Mbappé est attendu au tournant à un moment où l’attaquant fait grincer des dents en raison de son départ cet été. Mais pas principalement, selon Florent Gautreau, journaliste de l’After Foot sur RMC Sport.
« Un joueur exceptionnel qui peut te faire gagner un match mais qui ne s’inscrit pas dans le collectif » »Quand tu dis que tu veux être au centre du projet, que tu l’es, que tu demandes des garanties, que tu changes l’équipe à ton image, à tes besoins, c’est une des raisons », convient-il. Mais selon lui, le récent comportement du champion du monde 2018 sur le terrain concentre davantage les critiques, à la sortie d’une prestation sans relief à Dortmund à l’aller.
« Le désamour est mérité parce que sportivement, Mbappé ne fait pas ce qu’il faut. »
« Si Luis Enrique était allé au bout de sa logique sportive dans le dernier match, il devait sortir Mbappé parce qu’il n’y arrivait pas et ne faisait pas le match qu’il fallait », poursuit Florent Gautreau. « Mbappé n’est pas content de la façon dont il est utilisé. Parfois il l’oublie, il décide de faire ce qu’il faut et ça devient un joueur qui rentre dans le collectif. Mais la plupart du temps, il n’est pas décidé à le faire et ça devient un joueur qui est hyper compliqué à gérer. Ce qui me gêne avec Mbappé, c’est qu’il demande le ballon dans les pieds, genre ‘l’action ne débute que lorsque vous m’avez donné le ballon’. On a déjà parlé des replacements défensifs inexistants, il fait semblant de se replacer, il coupe à peine la ligne de passe. J’ai critiqué le choix de Luis Enrique de faire rentrer Kolo Muani l’autre jour mais je sais pourquoi il l’a fait. Avec ce côté gauche qui n’allait pas avec Nuno Mendes, il s’est dit: ‘si je mets Mbappé, qui ne faisait pas le travail défensif, côté gauche, on peut prendre d’autres buts’. »
« C’est un joueur exceptionnel qui peut te faire gagner un match à tout moment mais qui ne s’inscrit pas, une partie du temps, dans le collectif. »
« Tout ce que Mbappé ne fait pas, il est capable de le faire », poursuit Gautreau. « Je veux que Mbappé grandisse sportivement pour devenir un joueur plus collectif et il n’y aura pas le désamour aujourd’hui. Il y a du dépit amoureux lié à son contrat mais aussi en raison de ce qu’il ne fait pas sportivement sur un terrain. »
Le journaliste de l’After voit Mbappé s’atteler à ses tâches sans rechigner au Real Madrid, son futur club, la saison prochaine. Il défend aussi la gestion de Luis Enrique. « Il n’essaie pas seulement de le piquer en le mettant sur le banc mais le changement de poste, c’est pour dire à Mbappé, ‘il te faut les deux postes, il faut que tu sois performant en 9 d’autant que je ne peux pas jouer avec toi si tu es en haut à gauche si tu ne fais pas plus d’efforts défensifs. Dans les deux postes, tu as des progrès à faire. Si tu es 9, oui il faut revenir dans le jeu, il faut jouer dos au but, il faut faire des appels pour les autres et si tu es ailier, oui il faut défendre’. Luis Enrique aimerait que Mbappé se défonce pour aller chercher un ballon, fait des efforts. Ils se sont d’ailleurs expliqués et lui a dit: ‘tu es le meilleur joueur du monde mais montre-moi que si tu obéis à deux ou trois trucs très simples, tu vas progresser, Mbappé n’a pas suffisamment montré au coach et à ses supporteurs qu’il pouvait être ça. Il y a aussi le body language et la façon d’être sur ces derniers matchs qui me paraissent un peu problématiques. »
Les ministres Birame Soulèye et Yankhoba Diémé ont annoncé leur démission de leurs postes respectifs de maire et de président du conseil départemental de Bignona. Biram Soulèye Diop, ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, a décidé de se retirer de sa fonction de […]
POLITIQUELes ministres Birame Soulèye et Yankhoba Diémé ont annoncé leur démission de leurs postes respectifs de maire et de président du conseil départemental de Bignona.
Biram Soulèye Diop, ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, a décidé de se retirer de sa fonction de maire, mettant ainsi fin à son mandat à la tête de Thiès Nord. Ousseynou Ly, ministre-conseiller et porte-parole de la Présidence, a confirmé sa démission du poste de maire de Thiès Nord.
De même, Yakhoba Diémé, ministre du Travail et des Relations avec les institutions, a également choisi de quitter son rôle de président du conseil départemental de Bignona.
Cette décision survient dans le cadre d’une mesure visant à mettre un terme au cumul des mandats pour les ministres et les députés. Le 5 mai était la date limite fixée pour que les membres du gouvernement ayant un mandat électif renoncent à leurs autres fonctions.
Face à la presse ce dimanche, le Parti démocratique sénégalais a approuvé la décision des autorités de suspendre tous les travaux sur le littoral. Le PDS n’a pas aussi manqué de se réjouir de la publication des rapports des corps de contrôle et de la […]
POLITIQUEFace à la presse ce dimanche, le Parti démocratique sénégalais a approuvé la décision des autorités de suspendre tous les travaux sur le littoral. Le PDS n’a pas aussi manqué de se réjouir de la publication des rapports des corps de contrôle et de la volonté affichée de transparence du régime. Par ailleurs, ces libéraux, qui promettent de faire face à la presse au moins une fois par mois, ont, encore une fois, annoncé le retour de Karim Wade. Et à les en croire, ce dernier sera la tête de liste lors des élections législatives qui vont se tenir en 2027 : «À l’approche du cinquantenaire de notre parti, nous envisageons une célébration à la hauteur du patrimoine national que représente le Pds et de son leader visionnaire. Cet anniversaire sera l’occasion de revenir sur les grandes réalisations du Pds et de projeter notre vision pour l’avenir, notamment en préparation des élections législatives avec Karim Wade en tant que chef».
L’annonce est faite par le Premier ministre, Ousmane Sonko. Lors du conseil interministériel dédié à la campagne agricole 2024-2025 tenu, ce vendredi, au Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio (Cicad), le chef du gouvernement a indiqué que la distribution des semences sera désormais […]
POLITIQUEL’annonce est faite par le Premier ministre, Ousmane Sonko. Lors du conseil interministériel dédié à la campagne agricole 2024-2025 tenu, ce vendredi, au Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio (Cicad), le chef du gouvernement a indiqué que la distribution des semences sera désormais confiée aux Forces de défense et de sécurité, en plus d’être digitalisée.
« Désormais, les ressources et moyens consentis à l’Agriculture iront à ceux qui la pratiquent. Nous nous y engageons à partir de cette campagne agricole 2024 qui doit être marquée par l’amorce des ruptures en matière d’organisation et de procédures. Ce nouveau dispositif organisationnel va se développer au-delà de cet hivernage, à travers le processus de digitalisation du système de distribution des intrants agricoles et leur sécurisation par les Forces de défense et de sécurité », a-t-il notamment déclaré.
Le Premier ministre a souligné que malgré les investissements massifs alloués au secteur agricole ces dernières années, les résultats escomptés n’ont pas été atteints. « Plus de 310 milliards de F CFA ont été investis entre 2020 et 2023, mais ces ressources n’ont pas pleinement bénéficié aux acteurs agricoles concernés », a-t-il fait savoir lors de son discours. Et dans un souci de restructuration et d’efficacité, le gouvernement prévoit une refonte des mécanismes de subvention et de financement pour garantir une distribution adéquate des semences.
« Cette refonte inclut un virage vers la digitalisation du système de distribution des intrants agricoles, ainsi que la sécurisation de ce processus par les forces de défense et de sécurité », a ajouté Ousmane Sonko, qui a souligné l’importance de cette initiative, la qualifiant de première du genre depuis l’arrivée au pouvoir du Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Pour accompagner cette transition, des sessions de renforcement des capacités seront organisées pour informer et former les acteurs agricoles sur les nouveaux schémas de financement et de distribution.