Abdou Karim Gueye, connu sous le pseudonyme de Karim Xrum Xax, a publié une vidéo le 16 juillet 2024 sur ses réseaux sociaux depuis la Mecque. L’ex-rappeur, devenu activiste, y prononce une série de prières pour le Sénégal. Bien que formulées sous forme de bénédictions, […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUELes familles de Fulbert Sambou et Didier Badji ont joint l’acte à la parole. Elles avaient promis de demander à la justice l’audition de Ismaïla Madior Fall pour éclairer leur lanterne au sujet de la disparition de leurs parents. C’est fait. Les Échos informe, en […]
justicelLes présidents des trois groupes parlementaires de l’Assemblée nationale, Abdou Mbow (Benno), Ayib Daffé (YAW) et Lamine Thiam (Wallu), se sont réunis mardi dernier dans le bureau du premier. Objectif : calmer la tension qui couve ces dernières semaines entre l’exécutif et le législatif. Le […]
POLITIQUELa Cour des comptes a publié en juin 2023 un rapport critique concernant la gestion de l’Agence nationale de la maison de l’outil (Anamo) pour les années 2017 à 2020. Le document met en lumière une série de manquements dans les pratiques comptables et administratives […]
POLITIQUELa Cour des comptes a publié en juin 2023 un rapport critique concernant la gestion de l’Agence nationale de la maison de l’outil (Anamo) pour les années 2017 à 2020. Le document met en lumière une série de manquements dans les pratiques comptables et administratives de l’agence.
Selon ce rapport, l’Anamo a accordé des appuis financiers à des individus sans justification, contredisant la circulaire de 2015 qui encadre ces procédures. Ces aides concernent aussi bien des employés que des tiers, ce qui soulève des questions sur la régularité des transactions financières effectuées.
En outre, le rapport expose des recrutements et augmentations de salaire effectués sans l’autorisation requise de la part du Conseil de surveillance, ce qui viole les dispositions réglementaires en vigueur. La gestion des contrats de marché est également critiquée : les procès-verbaux ne documentent pas les articles ni les quantités réceptionnées, rendant impossible la vérification de la conformité des livraisons.
Moustapha Diop, Directeur Général de Walf TV, a exprimé au ministre de la Communication, Alioune Sall, ses préoccupations suite à l’incendie survenu mardi soir dans les locaux de la télévision du groupe Walfadjri. Il a salué la réaction rapide du ministre face à cet incident […]
MEDIASMoustapha Diop, Directeur Général de Walf TV, a exprimé au ministre de la Communication, Alioune Sall, ses préoccupations suite à l’incendie survenu mardi soir dans les locaux de la télévision du groupe Walfadjri. Il a salué la réaction rapide du ministre face à cet incident et, dans la foulée, a souligné l’importance de l’assistance et du soutien au groupe, .
Diop a rappelé que Walfadjri est un élément essentiel de la presse sénégalaise, un patrimoine qui appartient à tous les Sénégalais, et non seulement au PDG Cheikh Niass ou aux employés de Walfadjri. Il a donc encouragé le ministre à considérer cette situation comme la défense d’un patrimoine national.
Notre confrère a également souligné les difficultés financières du groupe Walfadjri, affirmant qu’avec leurs ressources limitées, ils ne pouvaient pas éteindre l’incendie par eux-mêmes et auraient besoin d’une assistance extérieure.
Enfin, Moustapha Diop a évoqué sa volonté de rencontrer le ministre pour discuter des problèmes auxquels est confrontée la presse et solliciter son soutien dans ce contexte difficile.
La communauté de la lutte au Sénégal est en deuil après l’annonce du décès de Gaston Mbengue, survenu ce mercredi 1er mai, des suites d’une longue maladie. Connu sous le vrai nom de Salif Mbengue, il était une personnalité incontournable de ce sport, ayant marqué […]
NécrologieLa communauté de la lutte au Sénégal est en deuil après l’annonce du décès de Gaston Mbengue, survenu ce mercredi 1er mai, des suites d’une longue maladie. Connu sous le vrai nom de Salif Mbengue, il était une personnalité incontournable de ce sport, ayant marqué de son empreinte l’histoire de la lutte dans le pays.
Gaston Mbengue âgé de 73 ans, surnommé parfois le « géant de la lutte sénégalaise », a joué un rôle crucial en tant que promoteur, où il a orchestré de nombreux combats épiques qui ont captivé les amateurs du sport. Ses initiatives novatrices dans le domaine de la promotion ont non seulement enrichi le sport mais ont également contribué à sa popularité croissante. Sa disparition laisse un vide immense dans le milieu de la lutte, mais son héritage est assuré de perdurer à travers les générations futures grâce à son engagement et sa passion indéfectibles pour la lutte sénégalaise
Toute l’équipe de Senego présente ses condoléances à sa famille et à tous ses proches.
Les lenteurs administratives préoccupent au plus haut titre le président de la République. A l’occasion de la réception des cahiers de doléances des centrales syndicales, le président Bassirou Diomaye Faye a tenu à rassurer les usagers du service public.« A l’heure du numérique, le service […]
POLITIQUELes lenteurs administratives préoccupent au plus haut titre le président de la République. A l’occasion de la réception des cahiers de doléances des centrales syndicales, le président Bassirou Diomaye Faye a tenu à rassurer les usagers du service public.
« A l’heure du numérique, le service public connaît une profonde mutation qui à termes va permettre de juguler les lenteurs administratives dont se plaignent les usagers. L’Etat du Sénégal compte engager de grands chantiers de digitalisation des procédures administratives » promet le Chef de l’Etat.
L’Ancien directeur général de “Dakar Dem Dikk” (DDD), Me Moussa Diop a largement contesté le dernier rapport de la Cour des Comptes. En effet ce dernier l’a indexé sur sa gestion, en son temps, de la société et sur certaines de ses dépenses. La réplique […]
POLITIQUEL’Ancien directeur général de “Dakar Dem Dikk” (DDD), Me Moussa Diop a largement contesté le dernier rapport de la Cour des Comptes. En effet ce dernier l’a indexé sur sa gestion, en son temps, de la société et sur certaines de ses dépenses.
La réplique ne se fait pas attendre par Me Diop, qui indique “être blindé”. “Je n’ai rien fait de mal. J’ai tout ordonné et exécuté dans les règles de l’art”, a-t-il dit.
D’ailleurs, “vous n’avez vu nulle part dans le Rapport de la Cour des Comptes où je suis épinglé sur quoique ce soit. Je suis blanc comme neige. Je suis irréprochable”, a martelé Me Moussa Diop.Qui de renchérir : “Je suis blindé, je suis irréprochable”.
L’avocat et juriste d’affaires a justifié sans relâche ses débuts de gestion de la filiale DDD, notamment avec le foncier de la boîte. “Sur ce cas, je n’ai jamais cédé un mètre carré sans paiement. Ceux qui disent que j’ai cédé une parcelle de DDD au Parti Alliance pour la République (APR), ils ont tout faux. J’en ai moi-même discuté avec l’ancien Président Macky Sall sur cette affaire”, a soutenu l’ancien Directeur. Et d’ajouter “l’État du Sénégal a payé un montant de plus d’un milliard pour acquérir les droits du terrain. Tout est clair depuis le début”.
D’ailleurs, selon Me Moussa Diop, un expert de l’Ambassade de Chine au Sénégal voulait même une parcelle dans ce dépôt à Ouakam. “Pour juste vous montrer, ma clairvoyance des choses et la sobriété avec laquelle j’ai diligenté cette affaire”, a déclaré Me Diop.
Sur l’affaire foncière de DDD, Me Moussa Diop a indiqué, en citant le maire de Dakar Barthélémy Dias, qu’il a “toujours été victime de reproches” sur sa “gestion foncière”. “Il faut souligner que j’ai toujours demandé l’autorisation des concernés avant d’exécuter quoique ce soit. D’ailleurs, je me suis rapproché, à l’époque, d’experts pour encadrer la vente”, a-t-il justifié.
Il a poursuivi dans sa déclaration, montrant des documents : “nous avons vendu trois terrains, sous ma direction. Toutes ces ventes, notariées, ont été autorisées par le Conseil d’administration. Le premier terrain, nous l’avons vendu, devant notaire à 1 milliard francs CFA. Le deuxième est vendu à l’APR, à coup d’un milliard de francs CFA. Donc le terrain n’est pas gratuitement donné au Parti politique. Le troisième terrain est un lot de 3000 mètres carrés vendu à l’ambassade de Chine pour 600 mille francs le m2”.
L’avocat dit qu’il n’y a aucune infraction en cela et, qu’il n’a jamais été objet de détournement de fonds. “Sur le Car plan, j’ai saisi le Conseil d’administration”, a-t-il fait savoir.
Le Rapport de la Cour des Comptes a également souligné la mise en œuvre du programme Car plan au temps du directeur. Il s’agissait de toucher des véhicules aux différents cadres de la société. La Cour reproche au DG d’avoir acheté, pour lui, un “véhicule Nissan Patrol d’un coût de 58 000 000 FCFA, pour le Secrétaire général un véhicule Toyota Prado VX d’un coût de 38 000 000 FCFA, pour les directeurs un véhicule hyundai Santafé 2019 d’un coût de 27 500 000 FCFA, pour les Chefs de division un véhicule hyundai Tucson d’un coût de 19 500 000 FCFA et les autres cadres touchés d’un véhicule hyundai Creta d’un coût de 14 500 000 FCFA”.
La Cour ajoute que “L’acquisition par l’ancien Directeur général M. Moussa DIOP d’un véhicule de marque Nissan Patrol V6 Essence d’une puissance de 23 CV dans le cadre du Car plan constitue une violation de l’article 9 du décret n°2014-696 du 27 mai 2014 précité qui accorde aux Directeurs généraux, un véhicule de fonction dont la puissance maximale ne doit pas dépasser 14 CV”. Les véhicules ont été acquis pour la “somme globale de 1 104 000 000 FCFA sans compter les intérêts bancaires, les frais de dossier et l’assurance tous risques pour une durée de 5 ans alors que la situation financière critique de la société ne lui permet pas d’assurer le paiement des dépenses prioritaires comme le carburant et les salaires dans l’année”, a indexé l’institution.
Interpellé, Me Moussa Diop dit pas comprendre la démarche de la Cour, et lâche : “lorsque je suis venu à Dakar Dem Dikk en juillet 2014, je n’avais pas de véhicule. J’ai dû travailler et me déplacer jusqu’en 2018 avec mon propre véhicule. C’est qui était anormal. C’est pourquoi c’est nécessaire d’en parler au Conseil d’administration pour régler ce cas. J’ai donc dû initer le Carplan pour toucher aux cadres de DDD des véhicules de fonction”. Ne voyant rien d’illégal dans cette démarche, Me Moussa Diop cite le Directeur général, Boune Khatab Sylla qui “a lui-même acheté une voiture de Hyundai V8 à plus de 83 millions FCFA”. Ce qui signifie que je n’ai fait aucune infraction, j’ai toujours eu l’approbation du Conseil d’administration avant d’ordonner quoique ce soit”, s’est-il défendu.
Tentant de balayer tout ce qu’on lui reproche, Me Moussa Diop espère que son honneur sera bien lavé, quid à traduire en justice tous ceux qui “veulent le mêler à cette affaire de mauvaise gestion”.
Mansour Faye a été épinglé par la Cour des Comptes. L’organe de contrôle a décelé plusieurs dépenses non justifiées. Le maire, son adjoint, son chef de cabinet et des billeteurs cités. Des irrégularités ont été notées dans la gestion de la commune de Saint-Louis par […]
POLITIQUEMansour Faye a été épinglé par la Cour des Comptes. L’organe de contrôle a décelé plusieurs dépenses non justifiées. Le maire, son adjoint, son chef de cabinet et des billeteurs cités.
Des irrégularités ont été notées dans la gestion de la commune de Saint-Louis par la Cour des Comptes. En effet, dans son rapport d’activités, l’organe a révélé qu’au cours de la période de revue, 2017-2020, les billeteurs de la commune de Saint-Louis, Alioune Dieng et Diama Diop, n’ont pas produit les justificatifs de la remise de numéraires à certains fournisseurs, agents ou partenaires de la commune pour le règlement de certaines dépenses. Pas moins de 31 ordres de paiements ont été délivrés, pour des montants entre 250000 Fcfa et 3, 4 millions Fcfa, sans aucun justificatif. « En dépit que le billeteur ne doit pas payer ces dépenses, les règlements ont été effectués sans la production de la facture du fournisseur ou du prestataire de service», constaté les contrôleurs de la Cour des comptes.
Et pourtant, les dispositions de l’instruction n°0138/MEF/DCT/TG du 18 juillet 1981 modifiant l’instruction n20030/MEFAE/DCT/DCP du 4 février 1974 fixant les règles à observer en matière de paiement collectif par billeteurs prévoit que « les billeteurs sont chargés de recueillir l’acquit individuel de chacun des bénéficiaires ou ceux des membres de la commission de paie qui peuvent intervenir le cas échéant, en tant que témoins pour les sommes perçues par les illettrés et que l’état appuyant le titre de paiement doit être émargé par les bénéficiaires ».
L’adjoint au maire et le chef de cabinet du maire cités dans une affaire de plus de 3 millions de Fcfa non justifiée
Par ailleurs, la Cour constate au demeurant que, pour certaines dépenses, les paiements sont reçus par des personnes intermédiaires à la place des bénéficiaires. Il en est ainsi de la décharge du montant de 2 000 000 FCFA remis à M. Alioune Badara DIOP 20 adjoint au maire, destiné au soutien du comité régional de gestion des entreprises (COVID 19) et la décharge d’un montant de 1 355 000 FCFA par Amadou NDIAYE, Chef de cabinet du maire, pour le remboursement des cadeaux (tableau d’art et tissu Bazin) offerts aux hôtes et partenaires de la Commune dans le cadre des relations de travail.
Aussi, révèlent les contrôleurs, « le maire a ordonné le paiement de plusieurs dépenses par billetage sans la mise en place d’une commission de paie conformément à la réglementation en vigueur. Il en est ainsi du mandat n° 390 d’un montant de 3 024 000 FCFA imputé au compte 341/65111 payé le 03 mars 2017 à Alioune DIENG billeteur de la commune pour le salaire du personnel temporaire de collecte des recettes du mois de février 2017, à travers un état nominatif de 64 agents au taux journalier de 1750 FCFA, du mandat nº 1189 d’un montant de 3 024 000 FCFA imputé au compte 341/65111 payé le 03 juillet 2017 à Alioune DIENG billeteur de la commune pour le salaire du personnel temporaire de collecte des recettes du mois de juin 2017, à travers un état nominatif de 64 agents au taux journalier de 1750 FCFA, du mandat n° 1720 d’un montant de 2 550 000 FCFA imputé au compte 391/65110 payé le 11 octobre 2017 à Diama DIOP billeteur, pour le salaire des volontaires pour la prise en charge du désensablement et de l’entretien sommaire des infrastructures de la commune dans le cadre de la convention AGEROUTE/Commune de Saint-Louis et du mandat n 1976 d’un montant de 435 750 FCFA imputé au compte 421/65110 payé le 06 décembre 2017 à Diama DIOP billeteur de la commune pour le salaire du personnel temporaire pour les travaux de nettoiement ou d’assainissement du mois de novembre 2017, à travers un état nominatif de 09 agents au taux journalier de 1750 FCFA.
Plus de 10 millions décaissés sans aucune preuve
En outre, les contrôleurs ont révélé le paiement irrégulier de dépenses de restauration, d’hébergement et de réception publique. En effet, le maire a ordonnancé successivement, le paiement d’un montant de 3 267 000 FCFA, payé le 10 février 2017 à Hôtel de la Tour à Saint-Louis, pour les frais d’hôtel et de restauration du séjour pour 03 jours de 55 invités de la commune à l’occasion de la fête du 31 décembre 2016; le paiement d’un montant de 510 000, payé le 26 avril 2017, à Alioune DIENG, billeteur de la commune pour la prise en charge en charge de la délégation de Toulouse, du 20 au 25 mars 2017, le paiement d’un montant 180 000 FCFA au profit de Darou Salam Pâtisserie pour la restauration de 15 personnes pour une journée, le paiement d’un montant de 960 000 FCFA, payé le 28 décembre 2017, à Espace Jeunes De Saint-Louis pour les frais d’hébergement de l’équipe de la société ECOTRA chargée d’appuyer la commune dans les opérations de nettoiement dans la période du 18 au 24 novembre 2017, le paiement d’un montant 494 900 FCFA le 23 janvier 2020 au profit de LA Maison Rose pour une nuitée de 09 personnes; le paiement de 5 900 000FCFA, le 06 janvier 2020, au profit de Sénégal Bâches pour la location de bâches pour les besoins du salon du livre tenu du 29 au 30 novembre 2018 à Saint-Louis et le paiement de 781 000 F CFA, le 03 septembre 2020 au profit de Exotic Restauration pour la restauration des sites de distribution de riz. « Ces différents paiements sont effectués sans la production de la facture du prestataire de service ». Néanmoins, le maire a produit les certificats administratifs mais certains n’indiquent pas le nombre ou la liste des convives aux différentes réceptions.
Plus de 5 millions pour le paiement de dépenses de transfert relatives à l’organisation d’activités sans aucune preuve
Loin de se limiter, le maire a ordonnancé le paiement de dépenses de transfert relatives à l’organisation d’activités : 2 414 000 FCFA payé le 06 octobre 2017 à M. Samba POUYE, gestionnaire de l’Inspection d’Académie(IA), relatif au versement de la première tranche concernant la convention de partenariat entre la commune et l’IA de Saint Louis pour l’ouverture de cinq (5) classes d’alphabétisation, 500 000 FCFA payés le 14 avril 2017 à M. Fara NDIAYE, Président du Conseil régional de la jeunesse de Saint Louis pour la participation de la commune à l’organisation des séminaires régionales de la jeunesse édition 2017, 2 500 000 FCFA payé le 12 octobre 2017 à M. Abdel Kader FALL, gestionnaire du Centre culturel régional de Saint-Louis, au titre du fonds de dotation destiné au renforcement de capacités des acteurs de la commune sur les techniques d’élaboration de plan d’affaires ou business plan dans les filières artistiques. Cependant, les trésoriers des comités d’organisation susmentionnés qui ont exercé les fonctions de régisseurs d’avances temporaires, n’ont pas justifié l’emploi des fonds mis à leur disposition par la production des pièces justificatives des opérations de dépense effectuées, conformément à la réglementation en vigueur.
C’est une information de Les Échos. Dans son édition de ce jeudi, le journal rapporte qu’un membre du gouvernement, «très proche de Ousmane Sonko (le Premier ministre, Ndlr), est attributaire d’un terrain sur la bande des filaos». La bande des filaos est cette étendue de […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEC’est une information de Les Échos. Dans son édition de ce jeudi, le journal rapporte qu’un membre du gouvernement, «très proche de Ousmane Sonko (le Premier ministre, Ndlr), est attributaire d’un terrain sur la bande des filaos».
La bande des filaos est cette étendue de végétation qui ceinture Guédiawaye et ses environs. Elle est en train d’être balayée par un décret de l’ancien Président Macky Sall au profit de projets immobiliers.
Plusieurs associations dénoncent cette décision de l’ancien chef de l’État qui, disent-elles, menace les dunes et expose les populations riveraines à l’avancée de la mer, entre autres méfaits.
Les Échos informe que le ministre en question est propriétaire de la parcelle Lot GW 1227. «Le terrain lui a été attribué le 23 juillet 2021», précise la source.
Ce mardi, dans la soirée, un incendie s’est déclaré dans les locaux de Walfadjiri. Il n’y a eu aucune perte en vie humaine, mais les dégâts matériels sont élevés, selon le patron, Cheikh Niass. Selon lui, le groupe Walf a perdu plusieurs centaines de millions […]
A LA UNE ACTUALITÉ MEDIASCe mardi, dans la soirée, un incendie s’est déclaré dans les locaux de Walfadjiri. Il n’y a eu aucune perte en vie humaine, mais les dégâts matériels sont élevés, selon le patron, Cheikh Niass. Selon lui, le groupe Walf a perdu plusieurs centaines de millions Fcfa.
«Hier, le préjudice était estimé à quelques dizaines de millions, car nous pensions que seul le studio avait été impacté. Mais aujourd’hui, nous pouvons l’estimer, sans erreur, à plusieurs centaines de millions. En effet, non seulement le studio a pris feu, mais également la salle Régis et la salle serveur ; tout l’investissement est touché. Il s’agit vraiment du poumon de Walfadjri qui a été atteint. C’est un coup dur pour le groupe Walfadjri. La seule consolation est que nous ne déplorons aucune perte de vie humaine ni de blessé ; tout le préjudice est donc purement matériel. Ce préjudice est énorme, surpassant toutes les coupures de signal que Walfadjri a pu connaître par le passé », a-t-il déclaré.
Pour Cheikh Niass, il s’agit « sans doute de la plus grande catastrophe de l’histoire de Walfadjri », tout simplement.
L’ancien président de la République du Sénégal semble tenir à la vie de sa formation politique, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Après ces quelques audiences à la veille de la présidentielle du 24 mars dernier, il a accordé une entrevue aux membres de son pool […]
POLITIQUEL’ancien président de la République, Abdoulaye Wade a reçu ce mardi, le pool des porte-paroles, quelques membres de la Communication digitale et la secrétaire nationale en charge de la Communication. C’est à travers un communiqué que le Parti démocratique sénégalais (PDS) a révélé cette rencontre. « Il a longuement discuté avec les jeunes autour des valeurs telles que la loyauté, la conviction », a rapporté la note reçue à PressAfrik.
Nafy Diallo de souligner toujours via ce communiqué que « Me Wade a insisté sur le travail et a appelé à la formation des jeunes »
L’audience a pris deux tours d’horloge. Un temps qui a permis à l’ancien chef d’Etat (2000/2012) de délivrer un cours magistral sur le parcours du PDS, sur son pédigrée personnel. Il a été évoqué le prochain cinquantenaire du PDS. Un événement pour lequel, précise le communiqué, le Président Wade a « également donné une ligne directrice au porte-parole et à ses adjoints pour une meilleure communication du parti » adaptée au contexte certainement.
Abdoulaye Wade s’est dit rassuré car, selon lui « la relève est assurée par une belle jeunesse éduquée, mais aussi pleine de valeurs ». Il en a profité pour formuler des prières pour le pays.
Accueil Envoyer à un ami Version imprimable Partager La Cour des comptes a procédé au contrôle de la gestion de la Direction de l’Administration Générale et de l’Equipement du ministère de l’Elevage et des Productions animales (MEPA) gestions 2016-2019. L’organe a examiné les pratiques, procédures et processus de gestion […]
A LA UNE ACTUALITÉ POLITIQUEAccueil Envoyer à un ami Version imprimable Partager
La Cour des comptes a procédé au contrôle de la gestion de la Direction de l’Administration Générale et de l’Equipement du ministère de l’Elevage et des Productions animales (MEPA) gestions 2016-2019. L’organe a examiné les pratiques, procédures et processus de gestion administrative, financière et comptable de la Direction de l’Administration Générale et de l’Equipement (DAGE) dudit ministère de 2016 à 2019.
La Cour a constaté des irrégularités quant à la nomination des gestionnaires des comptes de dépôt non conforme à l’arrêté n°21136 du 21 novembre 2017, le paiement d’un montant trente million (30 000 000) francs CFA sur le compte de dépôt au profit du MAER, du crédit non justifié d’un milliard de francs CFA versé sur le compte de dépôt n°368.8.044.
L’organe de contrôle a également noté une absence d’arrêté portant organisation de la DAGE du ministère de l’Elevage et des Productions animales.
Dans le Chapitre 2 intitulé : « L’exécution du budget », la Cour des comptes a constaté un paiement irrégulier d’un montant de trente millions (30 000 000) francs CFA sur un compte de dépôt du MAER au profit du MEPA.
Elle indique que par lettre n°1739 MEPA/DAGE du 05 avril 2018, Monsieur Amadou Sokhna Tine FALL a sollicité le DAGE du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement Rural (MAER) pour le « préfinancement d’une rencontre », des Walis de la République Islamique de Mauritanie et des Gouverneurs de régions du Sénégal qui devait se tenir à Saint-Louis, du 09 au 13 avril 2018, dans le cadre du Protocole sur le suivi de la transhumance transfrontalière signé entre la République du Sénégal et la République de Mauritanie.
Faisant suite à cette demande, le DAGE du MAER a remis, à cet effet, au DAGE du MEPA le chèque n°0321709 d’un montant de trente millions (30 000 000) FCFA à tirer sur le compte de dépôt SN750 010970000 368809 11 Programme Equipement du Monde Rural.
Le 03 septembre 2018, le DAGE du MEPA a émis, à son tour, un chèque de trente million (30 000 000) de FCFA au profit du Programme Equipement du Monde Rural en utilisant le compte de dépôt 368. 8. 044 Programme Renforcement protection Zoosanitaire.
D’après la Cour des comptes, il a été décelé dans cette opération plusieurs irrégularités.
La première irrégularité porte sur le fait que, sans aucune base légale, le DAGE du MEPA a sollicité le DAGE du MAER pour le financement d’activités propres à son département et la seconde irrégularité est liée au fait que ce dernier a exécuté des dépenses extérieures à son département ministériel et non autorisées.
Versement d’un crédit non justifié d’un milliard
« La Cour prend acte des pièces de dépenses fournies par Monsieur Amadou Sokhna Tine FALL pour justifier l’effectivité des dépenses et constate que Monsieur Mamadou Lamine Diouf n’a pas répondu à l’interpellation de la Cour », lit-on dans le rapport.
Concernant le versement d’un crédit non justifié d’un milliard de francs CFA sur le compte de dépôt n°368.8.044, la Cour a constaté que POSTEFINANCES a versé, par chèque n°1131785 du 10/03/2017, un montant d’un milliard (1000 000 000) de FCFA dans le compte de dépôt n°368.8.044 pour le programme de Renforcement Protection Zoosanitaire du MEPA.
D’après l’organe de contrôle, cette opération n’était pas prévue au budget 2017 du MEPA et aucune décision règlementaire n’a été produite pour justifier le versement de ce montant.
De plus, des irrégularités ont été constatées dans l’examen des comptes bancaires.
Dans sa réponse, le Trésorier Général, Abdoulaye FALL, soutient que, le 16 mars 2017, le chèque N°1131785 d’un montant d’un milliard de francs CFA (1.000.000.000) déposé par POSTEFINANCES a bien été crédité dans son compte de dépôt sous l’avis de crédit N°5377 dans les écritures passées dans ASTER (logiciel de comptabilité générale de l’Etat).
Il souligne qu’à la même date l’avis de crédit susmentionné a été par erreur imputé en comptabilité auxiliaire dans SlGCDD (Système Intégré de gestion des Comptes de Dépôts) dans le compte de dépôt 368.8.044 ouvert au profit du Programme de Renforcement Zoosanitaire.
Par conséquent, il relève une erreur manifeste de saisie qui devra nécessairement être régularisée en relation avec les services compétents du Ministère de l’Elevage.
Dans ses recommandations, la Cour des comptes invite le ministre des Finances et du Budget à demander au Directeur général de la Comptabilité publique et du Trésor de faire procéder à des contrôles réguliers des comptes de dépôt.
L’organe de contrôle invite également le Trésorier Général à faire les diligences nécessaires pour régulariser le versement d’un crédit non justifié d’un milliard de francs CFA sur le compte de dépôt n°368.8.044.Autres article