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POLITIQUEL’ex-Président va envoyer une délégation de l’Alliance pour la République (APR), samedi prochain, dans les régions de Kolda, Kaffrine et Tamba. «Malgré son absence du pays, Macky Sall mobilise ses troupes. Il ne veut pas laisser l’APR mourir avec la perte du pouvoir», décrypte L’AS, qui donne l’information dans son édition de ce mardi.
Le journal précise qu’il s’agira pour les émissaires du président des Marron-Beige «de remobiliser et remercier les militants et sans doute les préparer aux combats futurs». L’AS ajoute que «la délégation de Macky Sall va le représenter au Daaka de Médina Gounass. Elle va transmettre le message de l’ancien chef de l’État au khalife».
Après avoir rendu grâce au vénéré prophète Mohameth (PSL),Serigne Mansour Sy Al Makhtoum a attiré l’attention des Sénégalais et des autorités sur les dommages collatéraux suscités par les réseaux sociaux. Le religieux tire en effet la sonnette d’alarme. « Je vous salue moi Mahamad Al Mansour […]
SOCIETÉAprès avoir rendu grâce au vénéré prophète Mohameth (PSL),Serigne Mansour Sy Al Makhtoum a attiré l’attention des Sénégalais et des autorités sur les dommages collatéraux suscités par les réseaux sociaux. Le religieux tire en effet la sonnette d’alarme.
« Je vous salue moi Mahamad Al Mansour Sy en tant que l’ainé des talibés de Seyid Ahmath Tidiane .Faisons très attention aux réseaux sociaux surtout en ce moment précis sur la marche de notre pays. Les dommages collatéraux sont énormes, les conséquences néfastes sont énormes, les bouleversement que cela suscite sont inestimables, les sorties se multiplient. Tout le temps les gens parlent au niveau des médias sociaux. Si notre administration pouvait réguler cette déferlante, assainir les médias et les réseaux sociaux, ce serait profitable pour tous les Sénégalais. « Ecoutez.
Ce lundi matin, à la surprise générale, les travailleurs de la société de transport public Dakar Dem Dikk ont entamé une grève et suspendu l’ensemble des bus. Un mouvement d’humeur désamorcé par le ministre des Transports El Malick Ndiaye qui s’est rendu au dépôt de […]
SOCIETÉCe lundi matin, à la surprise générale, les travailleurs de la société de transport public Dakar Dem Dikk ont entamé une grève et suspendu l’ensemble des bus. Un mouvement d’humeur désamorcé par le ministre des Transports El Malick Ndiaye qui s’est rendu au dépôt de Ouakam pour échanger avec les grévistes. Ces derniers reprochent à leur directeur général une gestion partisane, notamment avec la décision de promouvoir certains agents. Des accusations battues en brèche par Ousmane Sylla.
« Le fait est qu’au dépôt de Thiaroye, le chef de division est parti depuis quatre mois à la retraite. Dans un premier temps, je n’ai pas voulu le remplacer. On m’a demandé de sortir l’organigramme, ce que j’ai refusé de faire. Quand j’ai vu que la situation se dégradait techniquement et qu’il y avait des manquements dans le management, j’ai décidé de faire de celui qui était adjoint à ce poste, chef de division. J’ai ensuite fait de celui qui suivait l’adjoint du chef de division, chef d’atelier. Mais connaissant la difficulté de la charge, je me suis dit qu’il fallait rajouter un autre chef d’atelier. On a pris quelqu’un du dépôt de Ouakam pour l’amener à Thiaroye. Cette personne est un délégué du personnel, c’est aussi un syndicaliste. Il est, par ailleurs, un technicien en maintenance. En outre, il faut savoir que ces gens ont trois mois de préavis de tests. Si on se rend compte qu’elles ne sont pas à la hauteur, elles seront démises de leur poste ».
S’agissant des accusations de malversations qui pèsent sur lui, Ousmane Sylla fait remarquer que la société connaît aujourd’hui une augmentation des recettes de 45 %, en plus d’une réduction des charges de 25 %. « Nous avons également augmenté notre flotte, ce qui s’est traduit par l’augmentation du nombre de départs », a-t-il poursuit.
En outre le DG de DDD annonce avoir « réduit le nombre de personnels qui se trouvait être pléthorique ». Ceci est, selon lui, le résultat d’une orientation vers « l’excellence opérationnelle », alors qu’à son arrivée, « Dakar Dem Dikk était dans une situation de faillite et il y avait même un plan social prévu », a-t-il rappelé.
Ainsi, Ousmane Sylla se dit confiant quant à l’audit qui sera fait après son départ. « Je demande d’ailleurs qu’un audit se fasse, car cela permettra de montrer les bonnes choses qui ont été faites, mais également les actions à améliorer. Mais je peux vous assurer que dans cette situation actuelle, Dakar Dem Dikk est une société qui est en train de se redresser et pour la première fois depuis 2014, elle sera rentable avec un résultat net positif. Ce qui ne s’était jamais produit auparavant ».
Malgré le fait qu’ils soient à leur première expérience gouvernementale, les ministres du nouveau régime ont la confiance du Pm Ousmane Sonko. Ce dernier affiche l’espoir de les voir répondre aux attentes placées en eux. C’était lors d’un séminaire gouvernemental tenu ce samedi. Le Pm […]
POLITIQUEMalgré le fait qu’ils soient à leur première expérience gouvernementale, les ministres du nouveau régime ont la confiance du Pm Ousmane Sonko. Ce dernier affiche l’espoir de les voir répondre aux attentes placées en eux. C’était lors d’un séminaire gouvernemental tenu ce samedi.
Le Pm Ousmane Sonko est conscient que les ministres ne disposent d’aucune formation pour être ministre, mais espère que l’équipe qui compose le nouveau gouvernement soit à la hauteur des attentes placées en elle. «Je crois que la majorité des ministres autour de cette table en sont à leur première expérience, comme nous tous. Il n’y a pas d’école pour former un ministre. Mais, nous sommes conscients que chacune et chacun, ceux qui sont là ont le potentiel et les dispositions pour être le meilleur ministre de l’histoire du Sénégal dans son domaine. Mais il était utile d’harmoniser sur un certain nombre de pratiques. Ce qui a démarré aujourd’hui», a déclaré le chef du gouvernement, Ousmane Sonko, lors d’un séminaire gouvernemental sur l’importance des fonctions confiées aux ministres et secrétaires généraux de la Présidence et du gouvernement.
Tenu avant-hier samedi, ce séminaire a été présidé par le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Le Pm Sonko a remercié le président de la République «d’avoir rapidement pris l’initiative d’organiser ce séminaire», estimant que «c’est parce que c’est un besoin».
Après avoir réussi à supplanter l’ancien régime, le nouveau pouvoir, qui prône la rupture, a mis en place un gouvernement de 25 ministres et 5 secrétaires d’Etat pour apporter les changements pour lesquels les Sénégalais ont porté leur choix sur eux, au soir du scrutin présidentiel du 24 mars dernier. Avec au bout du compte une victoire dès le premier tour du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
Dans une «Enquête» sur les pratiques mystiques visant les magistrats, pour faire pencher la balance de la justice, L’Observateur a donné la parole à des témoins directs ou indirects. Voici le témoignage d’un magistrat en service dans la capitale du Nord. Tribunal de Guédiawaye. Le […]
FAIT DIVERSDans une «Enquête» sur les pratiques mystiques visant les magistrats, pour faire pencher la balance de la justice, L’Observateur a donné la parole à des témoins directs ou indirects. Voici le témoignage d’un magistrat en service dans la capitale du Nord.
Tribunal de Guédiawaye. Le clerc d’un cabinet d’avocat fait irruption dans le bureau d’un jeune juge nommé P. F. Il suggère à ce dernier de se préparer mystiquement avant de rejoindre la salle d’audience pour une affaire soumise à son tribunal.
Surpris par cette sombre mise en garde, il en demande la raison. Le clerc lui révèle avoir surpris un parent de détenu, arrêté pour trafic de chanvre, en train de demander à un démarcheur les noms de ses parents. Interloqué, le magistrat vérifie l’information auprès du démarcheur en question. Ce dernier confirme.
«Il nous arrive très souvent de remarquer que le prévenu qu’on est en train de juger, récite des versets ou nous pointe son doigt. Certains collègues n’hésitent pas à les sommer d’arrêter de faire des incantations», rapporte P. F.
Ce dernier se souvient : «L’un d’eux [ses collègues] m’avait raconté que durant une session de la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Kaolack, un accusé inculpé de meurtre refusait de porter une chaussure à son pied gauche. Recadré à plusieurs reprises par les juges, il leur a enfin révélé que son marabout lui a conseillé d’enlever sa chaussure. Pour le mettre à l’aise, on lui a permis cette faveur.»
Mais la manœuvre mystique n’a pas fonctionné pour le prévenu. Le juge P. F. : «Malheureusement pour lui, il a été déclaré coupable et condamné à sept ans de réclusion criminelle. Juste pour dire que cette forte conviction mystique de certains justiciables ne repose sur rien de solide.»
Le Premier ministre Ousmane Sonko a reçu Abdoulaye Diop, le président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). La rencontre a tourné autour de la question de la souveraineté monétaire, avec notamment la question du franc CFA.Devant Abdoulaye Diop, Ousmane Sonko a […]
POLITIQUELe Premier ministre Ousmane Sonko a reçu Abdoulaye Diop, le président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). La rencontre a tourné autour de la question de la souveraineté monétaire, avec notamment la question du franc CFA.
Devant Abdoulaye Diop, Ousmane Sonko a remis en question la destination de la croissance économique de l’UEMOA. « Le fondement de notre programme qui nous a fait élire par les Sénégalais tourne autour de la souveraineté et la correcte appropriation de tous nos atouts. C’est pourquoi nous avons posé ce débat avec le président de la Commission de l’UEMOA et sa délégation. Sur le plan statistique, la zone a été particulièrement résiliente et a pu continuer à produire une croissance correcte. Mais à qui profite cette croissance ? (Là) réside tout le débat et nous pensons qu’une réflexion en profondeur doit être poursuivie pour que nos richesses bénéficient réellement à nos populations », a déclaré le Premier ministre.
Des propos qui ont fait esquisser un sourire à Abdoulaye Diop. Lors de sa prise de parole, le président de la Commission de l’UEMOA a confirmé les propos de Sonko. « Ce qui est ressorti de cette rencontre, c’est une très forte volonté de faire face aux besoins des populations, d’avoir une croissance économique plus forte comme cela a été dit par le Premier ministre, mais une croissance économique qui impacte davantage les populations », a-t-il affirmé.
Le ministre des Transports, El Hadj Malick Ndiaye, s’est déplacé ce lundi 29 avril à Dakar Dem Dikk après la grève entamée par les travailleurs de cette société. Un déplacement qui a permis de constater « des actes de sabotages perpétrés sur les bus de l’inter-urbain […]
POLITIQUELe ministre des Transports, El Hadj Malick Ndiaye, s’est déplacé ce lundi 29 avril à Dakar Dem Dikk après la grève entamée par les travailleurs de cette société. Un déplacement qui a permis de constater « des actes de sabotages perpétrés sur les bus de l’inter-urbain particulièrement » a-t-il indiqué. D’après le ministre, 19 bus ont été saccagés hier dans la soirée.
D’après les agents trouvés au siège de Dakar Dem Dikk sis à Ouakam, « ces bus ont été saccagés à dessein pour leur imputer la responsabilité des actes ». Au moment où ces lignes sont écrites, la police et la gendarmerie sont sur place.
El Malick Ndiaye a tenu, toutefois, à rassurer les travailleurs : « Le plus important est de vous dire que nous avons entendu vos réclamations. Nous sommes au courant de tout et sommes en train de solutionner les problèmes. Sachez que Dakar Dem Dikk n’est pas un cas isolé. En termes de nomination, de promotion et tout ce que vous avez souligné. Nous avons constaté que cela existe dans plusieurs secteurs publics et parapublics. C’est quelque chose que nous sommes en train de régler de manière globale mais particulièrement pour la situation de DDD, nous avons pris les choses en main et nous allons rencontrer le directeur et le nécessaire sera fait« .
Mais en attendant, El Malick Ndiaye demande aux travailleurs « de reprendre le travail pour permettre aux sénégalais de vaquer à leurs occupations ».
Après le départ de leur ministre de tutelle, les responsables syndicaux se sont enfermés dans une salle afin de d’apporter une réponse à la requête du ministre.
Emmuré dans un silence assourdissant depuis l’accession à la magistrature suprême de ses clients, à savoir le tandem Diomaye-Ousmane, le tonitruant avocat, Me Ciré Clédor Ly, sort des bois. Ce sont les décrets pris précipitamment par le président Macky Sall entre la perte du pouvoir […]
POLITIQUEEmmuré dans un silence assourdissant depuis l’accession à la magistrature suprême de ses clients, à savoir le tandem Diomaye-Ousmane, le tonitruant avocat, Me Ciré Clédor Ly, sort des bois. Ce sont les décrets pris précipitamment par le président Macky Sall entre la perte du pouvoir de son camp et sa passation de service.C’est pourquoi Me Ly invite la communauté internationale à ne pas protéger les autorités passibles de poursuites, même pour haute trahison.
L’état de droit est la charpente de toute société démocratique. C’est la pierre angulaire de tout développement. Il inspire la confiance, apaise les esprits, garantit la sécurité juridique et l’épanouissement dans tous les domaines de la vie.En s’attaquant à l’anarchie juridique et aux injustices enrobées d’une fausse légalité par le pouvoir battu démocratiquement à plate couture, lors des dernières élections, le tandem Diomaye-Ousmane qui a commencé par abroger les décrets de la dernière heure, a donné un signal fort sur le sort réservé à tous les actes administratifs et contractuels qui lèsent les intérêts des citoyens, ne sont pas compatibles avec la bonne gouvernance et les intérêts de la nation, ou, puent la corruption à mille coudées, les délits d’initiés, le népotisme ou le favoritisme.Plusieurs actes de dernières minutes ou post-électoraux savamment pensés et froidement exécutés pour des objectifs de déstabilisation socio-économiques, ne relèvent pas seulement de l’inélégance ou de l’indélicatesse princière, mais de la haute trahison et méritent une mise en accusation, en raison des conséquences désastreuses qu’ils induisent si la nouvelle gouvernance ne trouve une parade rapide.L’Amérique et l’Occident, le monde Arabe et le monde asiatique ainsi que les gouvernants Africains, ont le devoir de ne protéger personne sous peine de complicité et de recels de malfaiteurs engageant la responsabilité personnelle des États responsables et des chefs d’états receleurs, car la convention de Vienne n’a pas vocation de protéger les corrupteurs, les » blanchisseurs » d’argent sale, les criminels financiers et ceux qui ont commis des atteintes graves à la démocratie et à l’Etat de droit.Ceux qui prétendent défendre des valeurs universelles inscrites dans les deux premiers pactes après la déclaration universelle d’intention, ne pourraient ne pas rendre justice au Sénégal et à tous ces peuples d’Afrique saignés par des prédateurs qui planquent leurs fortunes illicites à l’étranger aux vues et aux sues des gouvernants qui sont précurseurs de la convention de Mérida.Le Tandem Diomaye-Ousmane doit avoir le soutien de tous les Sénégalais de quelque côté de l’univers qu’ils se trouvent, de tous les panafricanistes qui ont largement et admirablement été de la lutte, de ceux qui dans le monde sont épris de justice et de souveraineté dans la coopération multipolaire juste et équitable.Le soutien au tandem Diomaye-Ousmane doit bannir le criticisme, la critique hâtive et prématurée. Il appelle à davantage de tolérance, le temps qu’il finisse de poser son baluchon et fixe ses repères, car avec la terre brûlée par les vaincus, tout est à reconstruire et à présenter comme modèle de réussite.La décision prise de ne pas extrader le jeune guinéen et fondée sur l’opportunité, le droit interne, le Pacte international sur les droits civils et politiques, la jurisprudence et la doctrine autorisée, est un acte fort de souveraineté ainsi que la marque d’un État de droit qui fixe ses repères.Chaque patriote Africain et du monde pauvre asservi militairement et économiquement doit être une sentinelle et un orfèvre du projet, avec un devoir d’accompagnement et de participation active dans son domaine de compétence, car les ennemis de la réussite, les compradores et les sceptiques restent à l’affût et n’excluent aucune option, mais ils échoueront.C’est véritablement l’heure de l’Afrique !
« Dans le cadre du contrôle et du suivi de la présence effective des agents, il est porté à la connaissance de l’assemble du personnel du ministère, i sera procédé au démarrage effectif du système de pointage biométrique déjà mis en place, à compter du […]
POLITIQUE SOCIETÉ« Dans le cadre du contrôle et du suivi de la présence effective des agents, il est porté à la connaissance de l’assemble du personnel du ministère, i sera procédé au démarrage effectif du système de pointage biométrique déjà mis en place, à compter du lundi 29 avril 2024« , lit-on dans le communiqué parvenu à la rédaction.Le document indique que « ce système, couplé à un dispositif de vidéo-surveillance permet- d’une part, d’effectuer un contrôle d’accès au bâtiment et d’autre part, de monitorer le temps de présence, les retards et les absences des agents« .Le ministère rappelle qu’aux termes du décret n°96-677 du 07 Août 1996 modifiant le décret n°96-982 du 17 septembre 1991 fixant les horaires dans les services administratifs de l’Etat, les horaires de travail sont fixés du lundi au vendredi, de 8 heures à 17 heures avec une pause d’une heure entre 13 heures 30 mn et 14 heures 30 mn.
Au regard de ce qui précède, poursuit le communiqué, tous les agents sont invités à se signaler, à l’arriver comme au départ, par empreinte, sur le terminal situé au poste de police à l’entrée ou au sous-sol. « Toutefois, le personnel d’encadrement et les agents dûment autorisés ne sont pas concernés« , précise le document.
Rappelons que ces dispositifs de pointage biométrique ne sont pas une nouveauté au Sénégal, étant déjà largement utilisés dans de nombreuses structures. En 2022, la mairie de Ziguinchor avait adopté cette technologie sur l’initiative d’Ousmane SONKO, maire de la commune, et actuellement premier ministre de la République du Sénégal.