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POLITIQUEMoustapha Diop a été interpellé sur la visite du Président du Conseil Européen, Charles Michel, au Sénégal. Le journaliste a salué le discours du président Diomaye Faye axé sur les renonciations des contrats concernant les entreprises françaises qui produisent de la richesse dans le pays et qui paient les impôts dans leurs pays d’origine, en France. À l’en croire, toute la population doit applaudir cette décision qui va permettre à des centaines de milliards d’entrer dans le pays.
« Tous les Sénégalais devraient être debout pour applaudir Diomaye Faye pour cette décision : une coopération repensée ou rénovée, mais il y a mieux dans son discours ; il pense que les entreprises de l’Union Européenne, plus précisément françaises, devraient payer leurs impôts dans le pays où elles produisent de la richesse… », a souligné le directeur de Walf.
Le journaliste a souligné que les entreprises françaises dans ce pays ne paient pas d’impôts au Sénégal mais en France, une convention qui a été signée entre les deux pays depuis longtemps. C’est une grosse perte pour le pays.
« Quand j’ai lu ce que Bassirou Diomaye Faye a dit au Président du Conseil Européen, je me suis vraiment réjoui, Macha Allah, Alhamdulillah… Que Dieu lui donne toutes les forces pour qu’il obtienne les résultats attendus, car les milliards de francs CFA qu’il va récupérer de ces entreprises peuvent construire beaucoup de choses dans le pays. De plus, cela permettra aux pays étrangers d’accorder plus de respect au Sénégal… »
Pour Moustapha Diop, les anciens présidents comme Senghor, Diouf, Macky Sall et Wade, dans une moindre mesure, pensent dans leur tête que s’ils sont devenus président de la République, c’est grâce à la France, c’est-à-dire, ils doivent quelque chose à la France.
Contrairement au président Diomaye qui sait très bien que s’il dépendait uniquement de la France, il ne mettrait pas les pieds sur l’avenue Room. Par conséquent, il ne doit rien à aucun chef d’État, en particulier aux Français et aux autres puissances du monde, mais au peuple sénégalais.
L’affaire de la plainte du DG des Impôts et Domaines pour fraude fiscale et détournement de deniers publics connait un nouveau rebondissement. L’ex-directeur général de la société Fs Oil, Daouda Gaye, et Mamadou Bâ, gérant de Fs Oil, ont été arrêtés avant d’être mis à la disposition […]
SOCIETÉL’affaire de la plainte du DG des Impôts et Domaines pour fraude fiscale et détournement de deniers publics connait un nouveau rebondissement.
L’ex-directeur général de la société Fs Oil, Daouda Gaye, et Mamadou Bâ, gérant de Fs Oil, ont été arrêtés avant d’être mis à la disposition du procureur de la République. Sekou Fofana, qui a repris DG-OIL est en fuite en Guinée. Un mandat d’arrêt international sera lancé contre lui pour son rapatriement au Sénégal, rapporte Le Témoin;
La société Fs Oil spécialisée dans la vente de carburant doit environ un milliard de FCFA de dette fiscale au Trésor public. Pour recouvrer la somme, Abdoulaye Diagne, Dg de la Direction générale des impôts et domaines (Dgid), a porté plainte contre l’ancien et l’actuel Dg.
La société Fs Oil, dirigée tour à tour par Daouda Gaye et Sékou Fofana, n’a pas libéré 412 264 516 FCfa représentant des impôts, droits et taxes à verser au Trésor public. Daouda Gaye et Sékou Fofana sont accusé d’avoir vidé les comptes de la société.
Pire, ils se permettaient d’émettre des chèques sans provision pour la Dgid». Daouda Gaye qui a dirigé la boîte de 2019 à 2020, déclare avoir laissé à son départ une dette fiscale de 51 millions FCfa. Il poursuit et révèle que c’est sous le magistère de Sékou Fofana que les arriérés d’impôts se sont cumulés jusqu’à 412 264 516 FCfa.
Mamadou Bâ, Dg de la société Fs Oil qui avait un délai de 10 jours pour régler la dette fiscale de 513 427 617 Fcfa, n’a pas respecté ses engagements. Patron de la société spécialisée dans la commercialisation de carburant, il a également usé de la même méthode que ses prédécesseurs : vider les comptes de la société et émettre des chèques sans provision.
Par ailleurs , l’actuel directeur général de FS Oil, Mamadou Bâ, a humé l’air de la liberté.
Le Témoin rapporte qu’il a obtenu « une médiation pénale avec engagement de respecter les moratoires de paiement. Ce qu’il est en train de faire. » Son prédécesseur, Daouda Gaye, est encore en garde à vue. Épinglé pour fraude fiscale et détournement de deniers publics d’un montant de plus de 513 millions de francs CFA, ce dernier a été arrêté vendredi.
Les agents municipaux semblent déterminés dans leur mouvement d’humeur pour exiger le respect des accords signés avec l’Etat. Après leur mot d’ordre de grève de 120 heures déclenché la semaine dernière et largement suivi, ils entendent passer à la vitesse supérieure. Selon Mouhamet Sougou membre […]
SOCIETÉLes agents municipaux semblent déterminés dans leur mouvement d’humeur pour exiger le respect des accords signés avec l’Etat. Après leur mot d’ordre de grève de 120 heures déclenché la semaine dernière et largement suivi, ils entendent passer à la vitesse supérieure. Selon Mouhamet Sougou membre du collectif des agents municipaux du Sénégal et officiant à Pikine, ils vont vers un blocage des cimetières. Mouhamet Sougou a fait la révélation ce lundi sur le plateau de l’émission MidiKeng sur Pressafrik.
« Le collectif des agents municipaux va tenir une assemblée générale intersyndicale pour mettre en place des plans d’action que nous comptons mener. Nous allons bloquer les cimetières. Il n’y aura pas d’inhumation », a déclaré M. Sougou.
Selon lui, « le peuple sénégalais doit savoir que nous faisons partie de ce pays et nous souffrons depuis deux ans. Le peuple ne nous a pas soutenu. L’Etat ne s’en est pas occupé. On a attendu deux ans avant de prendre une quelconque décision. Mais on a jugé qu’il était temps qu’on le fasse », a -t-il
« Il faut que les gens sachent à quel point nous souffrons. On va bloquer tout accès aux cimetières même pour les inhumations. C’est malheureux, mais on doit le faire », a -t-il déploré.
Après avoir été installé dans ses fonctions, le ministre de l’Education nationale a posé un nouvel acte pour la réforme du système éducatif. Il a rencontré, hier le G7, une organisation intersyndicale qui regroupe les sept principaux syndicats d’enseignement du pays. L’objectif visé par Moustapha […]
ÉducationAprès avoir été installé dans ses fonctions, le ministre de l’Education nationale a posé un nouvel acte pour la réforme du système éducatif. Il a rencontré, hier le G7, une organisation intersyndicale qui regroupe les sept principaux syndicats d’enseignement du pays. L’objectif visé par Moustapha Guirassy c’est d’écouter ces syndicalistes pour avoir une idée nette sur l’ensemble des revendications mais aussi avoir une idée sur la marche de l’école sénégalaise. A cette occasion, les syndicats d’enseignants ont ont invité le nouveau Ministre à mettre en place un cadre de concertation permanent pour maintenir le fil du dialogue.
Lors de cette rencontre entre le ministre de l’Education nationale et les syndicats du G7, ces derniers, par la voix de leur porte-parole, Hamidou Djedjiou, ont exposé leurs doléances sur la table de leur tutelle. Ils ont présenté les aspirations de l’enseignant parce que pour eux, l’enseignant doit être motivé et retrouver sa dignité et sa crédibilité. Ils demandent également à ce que l’Etat du Sénégal prenne au sérieux leurs doléances.
Les conclusions de la rencontre :
COMPTE-RENDU DE LA RENCONTRE DE PRISE DE CONTACT ENTRE LE NOUVEAU MINISTRE DE L’EDUCATION NATIONALE ET LES SYNDICATS REPRESENTATIFS DU SECTEUR :
Le nouveau Ministre de l’Éducation nationale, Monsieur Moustapha Mamba GUIRASSY a convié les
syndicats représentatifs dudit secteur à une rencontre de prise de contact ce lundi 22 avril 2024 aux
sphères ministérielles de Diamniadio.
Monsieur le Ministre de l’éducation nationale a remercié tous les SG des syndicats d’avoir bien voulu
rehausser de leur présence la rencontre et a annoncé son intention de nouer partenariat fort avec eux pour la bonne marche de l’école. Il a invité, en tant que partenaires sociaux du ministère à migrer d’un
système éducatif vers une « société éducative » pour une école inclusive et performante.
Il a enfin rappelé aux SG les objectifs qu’il s’est fixé dès sa nomination à la tête du département, portant
notamment sur la réorientation des enseignements et apprentissages vers les sciences, la technologie et le recours à l’intelligence artificielle ainsi que la prise en compte de nos valeurs et croyances.
Les Secrétaires généraux ont respectivement pris la parole pour adresser leurs vives félicitations au nouveau ministre et surtout s’engager à l’accompagner dans sa nouvelle mission pour une école
sénégalaise qui cadre avec les attentes des populations. Ils ont ainsi affirmé leur adhésion totale au
concept de société éducative qui requiert d’une part l’implication de tous pour la refondation de notre
école et appelle d’autre part à la rupture définitive pour l’instauration de « l’école de la réussite ».
Appréciant l’état du partenariat entre le ministère et les syndicats, les Secrétaires généraux ont déploré le climat social délétère marqué par des crises récurrentes et l’absence de cadre de concertation permanent avec les partenaires sociaux. La léthargie du dispositif de dialogue social ainsi que le faible niveau d’implication des syndicats dans certaines activités phares du ministère ont été décriés par les syndicats.
Les syndicats ont également dénoncé le non-respect des engagements souscrits, les violations récurrentes des droits des travailleurs, du principe de la gestion démocratique et le manque de volonté
notoire du Gouvernement sortant qui ont souvent été les véritables causes des crises notées dans le secteur, Pour la bonne marche de l’école, les syndicats ont invité le nouveau Ministre à mettre en place un cadre de concertation permanent pour maintenir le fil du dialogue avec les syndicats et à adopter une démarche inclusive et participative pour reconstruire ensemble notre école.
Parlant du passif social, les Secrétaires généraux sont largement revenus sur les accords qui cristallisent l’espoir des enseignants du Sénégal et dont la matérialisation est indispensable à la transformation du secteur de l’éducation. IL s’agit essentiellement :
➢ De la dématérialisation des actes et des procédures administratifs ;
➢ De la révision du statut des décisionnaires grâce à la signature diligente du décret n° 374è347
du 12 avril 1974 en tenant compte de la rétroactivité et en améliorant considérablement leur pension de retraite ;
➢ Du parachèvement de toutes les formations diplômantes des enseignants :
La formation des professeurs de philosophie et surtout de la formation spéciale n’a pas encore démarré ;
La formation de tous les chargés cours ;
L’apurement de toutes les demandes de mise en position de stage ;
La formation de tous les MEPS au CNEPS de Thiès ;
La formation de tous les PC issus du recrutement spécial de 2021 : les profs d’EPS, de philosophie, d’économie sont laissés en rade ;
La formation des PC ayant capitalisé plusieurs années d’expérience ;
La formation des professeurs d’économie à l’ENSEPT.
(Les syndicats ont déploré la persistance de certaines difficultés internes à la FASTEF malgré le
paiement de l’enveloppe financière destinée à la prise en charge de toutes les formations.)
➢ De la poursuite de la correction des iniquités dans la rémunération des enseignants ;
➢ De la suppression de la catégorisation des lycées : les nouvelles créations de 2022 à 2024 ne
sont pas catégorisées ;
➢ De la publication des actes de nomination des chefs d’établissements ;
➢ Du paiement des indemnités de sujétion aux chefs d’établissements nommés entre 2022 et
2024 ;
➢ De la création du corps des administrateurs scolaires ;
➢ De l’organisation du concours des passerelles professionnelles dans le moyen secondaire avec
le relèvement des quotas ;
➢ De la réforme du CAP pour permettre aux instituteurs formés dans les CRFPE de sortir avec
leurs diplômes de CAP ;
➢ De l’apurement des rappels et l’arrêt de la surimposition ;
➢ De l’apurement des prêts au logements ;
➢ De l’apurement des rappels et de l’arrêt de la surimposition ;
➢ Du relèvement des budgets des établissements ;
➢ Du choix des présidents de jury au baccalauréat qui devrait être élargi à tous les formateurs des
CRFPE sans aucune forme de discrimination ;
➢ De la correction des nouveaux critères de zonage pour éviter de léser les enseignants exerçant
dans les zones déshéritées ;
➢ Du reversement des METP dans le corps des professeurs d’enseignement technique du moyen ;
➢ De l’immatriculation à l’entrée des écoles de formation de enseignants ;
➢ Du paiement de l’indemnité de recherche documentaire à tous les chargés de cours ;
➢ De la résorption des abris provisoires dans le système éducatif ;
➢ De la formation des enseignants polyvalents ;
➢ Du recrutement des enseignants des classes passerelles et des classes communautaires.
Abordant les perspectives, les Secrétaires généraux ont invité les autorités à la tenue de concertations
dans le secteur de l’éducation pour examiner les questions relatives à :
➢ La réformes des programmes ;
➢ La refondation de l’école ;
➢ La revalorisation des pensions de retraite ;
➢ Au relèvement de l’âge de la retraite de 60 à 65 ans en optionnel ;
➢ La réforme des examens du CFEE et du BFEM et c…
Appréciant les nouvelles mesures prises par le ministre portant sur le recensement des personnels
enseignants, les Secrétaires ont invité le ministre à poursuivre la dynamique et à faire un état des lieux
sur la gestion globale du département de l’éducation nationale.
Le Ministre est largement revenu sur la notion de société éducative pour montrer qu’il vise l’implication
de tous les acteurs. Il a invité les syndicats à s’orienter davantage vers les réformes structurelles, la
dimension spirituelle dans l’école, le recours à l’intelligence artificielle pour la transformation de notre
école.
Il a réaffirmé sa volonté de procéder à l’apurement du passif des accords signé avec le
Gouvernement et à la tenue de rencontres régulières avec les syndicats. Enfin, le Ministre a rappelé la
nécessité de s’inscrire dans une dynamique d’anticipation et proactivité pour la résolution des problèmes
du secteur éducatif.
Tant attendue par les amateurs de lutte sénégalaise, la revanche entre Balla Gaye 2 et Tapha Tine est désormais officiellement fixée au dimanche 21 juillet 2024.Le lions de Guediawaye et le géant du Baol se confronteront verbalement pour la première fois dans moins de deux […]
SPORTSTant attendue par les amateurs de lutte sénégalaise, la revanche entre Balla Gaye 2 et Tapha Tine est désormais officiellement fixée au dimanche 21 juillet 2024.
Le lions de Guediawaye et le géant du Baol se confronteront verbalement pour la première fois dans moins de deux semaines.
« Je vais profiter de ce plateau pour annoncer que le face à face entre Balla Gaye 2 et Tapha Tine aura lieu le 5 mai 2024. Ce sera le jour du combat entre Sa Thiès et Eumeu Sène », a annoncé le promoteur Baye Ndiaye
Pour réduire le train de vie de l’État, l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye, a proposé la vente de l’avion présidentiel. « Le Sénégal vit au-dessus de ses moyens, sous le couvert de faux taux de croissance donnant lieu à des budgets tout aussi irréalistes (…) L’une […]
POLITIQUEPour réduire le train de vie de l’État, l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye, a proposé la vente de l’avion présidentiel. « Le Sénégal vit au-dessus de ses moyens, sous le couvert de faux taux de croissance donnant lieu à des budgets tout aussi irréalistes (…) L’une des solutions est de réduire dans l’urgence le train de vie de l’État par des mesures concrètes et parfois symboliques. La vente de l’avion présidentiel en est une pour créer de la recette et économiser un énorme budget de fonctionnement », a-t-il dit dans un post sur Facebook.
Cependant, ce post n’a pas eu l’effet escompté.
En effet, plusieurs personnes ont rejeté cette proposition, dont Mbaye Diouf, ancien conseiller spécial à la présidence de la République. D’autres, par contre, ont été plus critiques.
Sur les réseaux sociaux, Abdoul Mbaye a fait une nouvelle publication pour faire savoir que ses avis et propositions sont faits de bonne foi. « Je ne suis ni dans la critique ni dans l’opposition. Je ne l’étais pas contre la coalition en place avant sa victoire du 24 mars, je ne commencerai pas aujourd’hui au moment où la non-continuité que nous avons souhaitée a besoin de soutien. Mais je reste libre de donner des avis et des conseils. Ils peuvent être suivis, critiqués, rejetés. Mais ils seront toujours guidés par mon souci de vérité et de constance, par des préoccupations citoyennes plutôt que politiciennes », explique l’ancien Premier ministre sous Macky Sall.
Des tensions se font ressentir au sein du Groupe Futurs Médias (Gfm). Les employés ont exprimé leur mécontentement hier lundi, en portant des brassards rouges. Dans les jours à venir, les travailleurs du groupe dirigé par Youssou Ndour prévoient de déposer un préavis de grève, […]
MEDIASDes tensions se font ressentir au sein du Groupe Futurs Médias (Gfm). Les employés ont exprimé leur mécontentement hier lundi, en portant des brassards rouges. Dans les jours à venir, les travailleurs du groupe dirigé par Youssou Ndour prévoient de déposer un préavis de grève, articulé autour de sept revendications
Mouhamed Alimou Bâ, secrétaire général du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal, section Gfm, a énuméré les points de revendication. Parmi eux, le paiement des salaires à l’échéance conformément à la législation en vigueur et le paiement du treizième mois, acquis après une longue lutte.
En plus de cela, ils demandent » l’augmentation des salaires ; une revalorisation des tarifs des pigistes de 2 000 à 4 000 Fcfa ; l’adoption d’une politique de régularisation des prestataires ; le recrutement de journalistes correspondants dans les différentes régions du pays et la fin des recrutements non pertinents qui grèvent le budget de l’entreprise. » Mais aussi une sécurité sociale et sanitaire ; la formation professionnelle et la définition d’une meilleure stratégie marketing et un mode de gestion adapté.
Le rapport du département d’État américain sur les pratiques de droits de l’homme au Sénégal pour l’année 2023 soulève plusieurs préoccupations majeures concernant les droits civils et politiques, ainsi que les conditions de vie des minorités, notamment la communauté LGBTQ+ Le rapport souligne les restrictions […]
INTERNATIONALLe rapport du département d’État américain sur les pratiques de droits de l’homme au Sénégal pour l’année 2023 soulève plusieurs préoccupations majeures concernant les droits civils et politiques, ainsi que les conditions de vie des minorités, notamment la communauté LGBTQ+
Le rapport souligne les restrictions à la liberté d’expression, la liberté des médias, ainsi que les manquements à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d’association. La question de l’indépendance de la justice est également soulevée, ainsi que les droits des personnes LGBTQ+.
Le département d’État dénonce des homicides arbitraires ou illégaux, des traitements cruels, inhumains ou dégradants, ainsi que des conditions carcérales difficiles et potentiellement mortelles. Les responsabilités sont souvent attribuées à des agents pénitentiaires, des forces de sécurité ou des collaborateurs agissant en leur nom.
Le rapport évoque des homicides lors d’émeutes et de violentes manifestations, notamment en lien avec les partisans de l’opposant Ousmane Sonko. L’attaque au cocktail Molotov sur un bus Tata à Yarakh est également mentionnée, ainsi que l’usage excessif de la force par les forces de sécurité.
Le rapport met en avant la surpopulation carcérale, notamment à la prison de Rebeuss, qui accueille plus du double de sa capacité recommandée.
La justice sénégalaise est décrite comme étant sous pression et influence de l’Exécutif, confrontée à des problèmes de corruption, de mauvaises conditions de travail, et de manque de ressources.
Le rapport dénonce les censures, restrictions et pressions exercées sur les médias et les journalistes, notamment en ligne, malgré l’influence du gouvernement sur l’information à travers des médias gouvernementaux.
Le rapport accorde une attention particulière à la situation des personnes LGBTQ+ au Sénégal, évoquant l’intolérance ou l’encouragement de la violence à leur encontre, ainsi que les menaces, attaques, chantage et viols dont elles sont victimes.
Le Président de la république ,Bassirou Diomaye Faye est attendu avec beaucoup d’espoir, pour régler les problèmes des Sénégalais, notamment trouver une solution à la cherté de la vie, par une baisse des prix des denrées de première nécessité. Conscient des attentes des populations, qui étaient […]
POLITIQUELe Président de la république ,Bassirou Diomaye Faye est attendu avec beaucoup d’espoir, pour régler les problèmes des Sénégalais, notamment trouver une solution à la cherté de la vie, par une baisse des prix des denrées de première nécessité.
Conscient des attentes des populations, qui étaient surexcitées suite à la rumeur sur la réduction du coût du pain, le chef de l’État semble être dans les dispositions de mettre en œuvre sa stratégie pour lutter contre la cherté de la vie. Selon nos informations, le successeur de Macky Sall reçoit le secteur privé,ce mardi.
Cette rencontre vise d’abord à rassurer les opérateurs économiques qui, depuis la prise de pouvoir du Président Diomaye, sont hantés par la baisse annoncée des prix.
Ils hésitent même par ces temps qui courent, à acheter de nouveaux produits, craignant que la baisse ne leur fasse perdre beaucoup d’argent.
Mais le nouveau chef de l’État qui est dans une logique de privilégier le dialogue dans toutes ses actions, a ainsi convié les organisations du secteur privé, pour discuter de la baisse, rapporte Senegal7.