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POLITIQUELa violence n’a pas sa place dans le combat démocratique, qu’ elle soit verbale ou physique, elle est à dénoncer. Ce qui s’est passé hier à l’Assemblée Nationale est une honte pour tous les citoyens, nous qui portons beaucoup d’espoir sur cette 14ème législature. Concentrons […]
ACTUALITE POLITIQUELa violence n’a pas sa place dans le combat démocratique, qu’ elle soit verbale ou physique, elle est à dénoncer. Ce qui s’est passé hier à l’Assemblée Nationale est une honte pour tous les citoyens, nous qui portons beaucoup d’espoir sur cette 14ème législature. Concentrons nous sur l’essentiel, et ne nous laissons pas divertir. Le vrai combat c’est contre la vie chère, le chômage et les voleurs de la République. Nous rêvons d’une justice qui fera de l’injustice l’ennemi à abattre.#NTM# Non au 3e mandat
En visite au Sénégal du 28 novembre au 1er décembre 2022, dans le cadre du colloque international sur le dialogue interreligieux, Sheikh Moafaq Tarif a tenu une conférence de presse en présence de l’ambassadeur d’Israel au Sénégal ce jeudi 1 décembre. L’homme qui est, entre […]
ACTUALITE INTERNATIONAL SOCIETEEn visite au Sénégal du 28 novembre au 1er décembre 2022, dans le cadre du colloque international sur le dialogue interreligieux, Sheikh Moafaq Tarif a tenu une conférence de presse en présence de l’ambassadeur d’Israel au Sénégal ce jeudi 1 décembre. L’homme qui est, entre autres, le Chef spirituel de la communauté Druze d’Israël a fait le point de sa visite au pays de la Teranga.
De son passage au Sénégal, Sheikh Moafaq Tarif reste particulièrement frappé par la cohésion interreligieuse entre musulmans et chrétiens qu’il qualifie d’exemple sénégalais. Un modèle qu’il compte promouvoir, une fois de retour en Israël, auprès des hauts dignitaires israéliens avec la volonté de s’en inspirer.
En marge de ce colloque international sur le dialogue interreligieux, le chef spirituel de la communauté Druze a rencontré des Imams et des curés notamment à Gorée où il a été accueilli par ces deux guides spirituels. Toujours dans le cadre de sa visite, Sheikh Moafaq a rencontré le président de la République Macky Sall. Au cours de cette audience, le chef spirituel a invité le chef de l’Etat en Israël afin qu’il vienne, aussi, s’imprégner de l’exemple culturel et interreligieux dans ce pays du Moyen-Orient.
Présente à cette conférence de presse, l’ambassadeur d’Israel au Sénégal, Ben Bourgel a fait un bref historique des relations entre le Sénégal et Israël datant des années 60. Il a, par ailleurs, émis sa volonté d’accroître cette entente dans le temps à travers l’organisation de conférences et ateliers sur la culture israélienne mais aussi à travers des voyages immersifs en Israël.
L’assemblée nationale a été, hier, le théâtre d’une scène pugilat inouïe La députée de la majorité, Amy Ndiaye, a, notamment, été giflée par son collègue Massata Samb avant de recevoir un coup de pied au ventre de la part du député Mamadou Niang. Elle-même, pas […]
ACTUALITE POLITIQUEL’assemblée nationale a été, hier, le théâtre d’une scène pugilat inouïe La députée de la majorité, Amy Ndiaye, a, notamment, été giflée par son collègue Massata Samb avant de recevoir un coup de pied au ventre de la part du député Mamadou Niang. Elle-même, pas en reste, a jeté une chaise à ses assaillants.
Une bagarre qui est la suite des propos tenus par la maire de Gniby, dimanche dernier, et jugés offensants par l’opposition à l’endroit de Serigne Moustapha Sy, guide des Moustarchidines, et Président d’honneur du Parti pour l’Unité et le Rassemblement (PUR). « J’ai entendu certains collègues demander pourquoi certains marabouts bénéficient de protection et pas d’autres. L’un d’entre eux a dit que si Khalifa Sall allait en prison, il irait en prison avec lui. Mais il s’est dédit. Si les marabouts ne respectent pas leur parole, je ne respecterai rien non plus », avait-elle déclaré et insisté sous les huées de ses adversaires.
Depuis lors, la tension est vive entre la majorité et l’opposition au sein de l’hémicycle. Et le paroxysme a été atteint, hier, avec cette bagarre qui a fait le tour du monde.
Toutefois, une question se pose : les protagonistes de cette empoignade peuvent-ils être poursuivis par la Justice, d’autant plus que les parlementaires du groupe Benno Bok Yakaar envisagent de déposer plainte ?
Selon un juriste, spécialiste du fonctionnement des institutions, l’entrée en scène de la justice ne risque pas d’être simple.
L’Assemblée nationale, lieu dans lequel s’est produit l’incident, est un pouvoir public constitutionnel, argue-t-il. “Le principe de séparation des pouvoirs ne permet donc pas au procureur d’agir sauf s’il est directement saisi par le président de l’Assemblée nationale comme le stipule l’article 53 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale”, analyse-t-il. Cet article 53 dit : « En cas de crime ou de délit, il (le président) fait dresser procès-verbal et saisit immédiatement le Procureur de la République. Il en rend compte au Bureau de l’Assemblée nationale ».
S’agissant de la discipline à avoir au sein de l’hémicycle, l’article 57 du règlement intérieur stipule que « les sanctions disciplinaires applicables aux membres de l’Assemblée sont :
– le rappel à l’ordre ;
– le rappel à l’ordre avec inscription au procès-verbal ;
– la censure ;
– l’expulsion temporaire dont la durée ne peut excéder vingt-quatre (24) heures. »
Par ailleurs, les députés Massata Samb et Mamadou Niang jouissent d’une immunité parlementaire. “En cas de plainte, même s’agissant d’un flagrant délit pour ce cas, il appartiendra aux collègues députés de décider de la levée ou non de leur immunité”, poursuit le juriste. En clair, si la députée Amy Ndiaye décide de saisir la justice, elle devra prendre son mal en patience car la procédure risque d’être longue.
Rappelons que l’Assemblée nationale a connu, il y a 11 ans, une scène similaire avec la bagarre entre Maître El Hadj Diouf et Doudou Wade. Cet épisode n’avait pas entraîné une suite judiciaire.
La lutte contre la délinquance et la criminalité est une priorité pour la police nationale. C’est dans ce cadre que la Direction de la Sécurité Publique met en œuvre une politique de sécurisation pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens. Les éléments […]
ACTUALITE SOCIETELa lutte contre la délinquance et la criminalité est une priorité pour la police nationale. C’est dans ce cadre que la Direction de la Sécurité Publique met en œuvre une politique de sécurisation pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens.
Les éléments des commissariats et des postes de police du Sénégal sont sur le qui-vive. Ces éléments poursuivent l’opération de sécurisation sur l’étendue du territoire national. Dans la nuit du mercredi au jeudi de 21h à 05h du matin, ils ont intensifié la traque. Seneweb a appris que la mobilisation de plus de 900 limiers en tenue et en civil s’est révélée fructueuse.
La preuve, le large ratissage effectué dans des zones criminogènes a permis d’interpeller 565 personnes. Dans ce lot, 399 personnes ont été interpelées pour vérification d’identité, 97 pour ivresse publique et manifeste, 12 pour nécessité d’enquête, 10 pour détention et usage de drogue et détention et usage collectif de chanvre indien , 6 pour vol, pour 2 pour flagrant délit de vol , 1 pour viol. A cela, il faudra ajouter, 5 pour offre et cession de chanvre indien, 4 pour rixe , 2 pour rébellion contre agent dans l’exercice de ses fonctions,13 pour jeux de hasard , 2 pour vagabondage ,2 pour conduite sans permis , 4 pour usage de produits cellulosiques ,3 pour racolage et un pour non-inscription sur le fichier sanitaire et social.
Un dramatique accident de route est survenu à Bambarayanding, un village situé dans la commune de Sabodala, département de Saraya, région de Kédougou. En partance pour un site d’orpaillage, un conducteur de moto tricycle avait, à son bord, un passager malien du nom de A. […]
ACTUALITE SOCIETEUn dramatique accident de route est survenu à Bambarayanding, un village situé dans la commune de Sabodala, département de Saraya, région de Kédougou. En partance pour un site d’orpaillage, un conducteur de moto tricycle avait, à son bord, un passager malien du nom de A. Tamboura. Seulement, en cours de route, les freins de la moto tricycle ont lâché au moment où le conducteur voulait engager une pente. Les multiples manœuvres du conducteur burkinabè S. Traoré pour immobiliser la moto sont restées vaines. Le passager à bord a été projeté. A Tamboura est tombé à terre et la moto lui a roulé dessus. Du fait de la violence du choc, la gorge du malien a été tranchée certainement par un objet contondant. La tête s’est séparée du corps.
Aux dernières nouvelles, le conducteur et le propriétaire de la moto ont été arrêtés par les éléments de la brigade de Saraya qui ont procédé au constat.À l’issue de leur garde-à-vue, ils ont été déférés hier jeudi au parquet de Kédougou. Une enquête est ouverte auprès des gendarmes pour déterminer les circonstances du drame.
Giflée, la député Amy Ndiaye a également reçu un coup de pied au ventre. Elle peut compter sur ses camarades de parti et de Coalition (BBY) du département de Kaffrine. Ses soutiens ont tenu une conférence de presse pour dénoncer la violence subie par la […]
ACTUALITE POLITIQUEGiflée, la député Amy Ndiaye a également reçu un coup de pied au ventre. Elle peut compter sur ses camarades de parti et de Coalition (BBY) du département de Kaffrine. Ses soutiens ont tenu une conférence de presse pour dénoncer la violence subie par la maire de Gniby. Ils appellent à la mobilisation pour cela ne reste pas impuni, tout en lui témoignant toute leur solidarité.
Pour eux, le 1er décembre consacre désormais « l’intrusion de la violence bestiale et de la barbarie la plus hideuse, dans le temple par excellence de la démocratie et expression la plus achevée de la représentation nationale. »
Repris par Les Echos, ils ajoutent que l’acte posé par Massata Samb sur Amy Ndiaye, est « la preuve de l’agressivité de l’opposition, une horde de lycaons politiques faisant de la violence physique et verbale leur viatique. »
Aujourd’hui, « aucun Sénégalais, aucune sénégalaise, de quelque bord qu’ils puissent se situer ou appartenir ne devrait rester insensible à une aussi grave forfaiture », ont-ils lancé, tout en alertant sur le danger qui guette le Sénégal.
Le ministre du Tourisme et des Loisirs, Mame Mbaye Niang, avait annoncé avoir déposé une plainte auprès du procureur de la République contre le leader de Pastef, l’opposant Ousmane Sonko. D’après les Echos, le parquet, saisi, a remis le dossier à la Division des investigations […]
ACTUALITE POLITIQUELe ministre du Tourisme et des Loisirs, Mame Mbaye Niang, avait annoncé avoir déposé une plainte auprès du procureur de la République contre le leader de Pastef, l’opposant Ousmane Sonko.
D’après les Echos, le parquet, saisi, a remis le dossier à la Division des investigations criminelles (Dic) qui mène l’enquête. Selon la procédure, une convocation sera envoyée à Ousmane Sonko.
Mame Mbaye Niang a déclaré, que Sonko a porté de « fausses allégations » sur sa personne en affirmant qu’il a été épinglé par le rapport de l’Inspection générale d’État (IGE) suite à la passation de marché au Prodac alors qu’il était ministre de la Jeunesse.
« Moi Mame Mbaye Niang, citoyen sénégalais en appelle à sa dignité ou tout au moins pour ce qui lui en reste pour aller sans bruit, ni point de presse, ni incitation à un mortel combat, produire devant la justice le rapport de l’IGE qu’il dit détenir depuis fort longtemps et qu’il a gardé minutieusement », a déclaré le plaignant, lors d’un point de presse.
Le président du mouvement » Gueum sa bop », Bougane Guèye Dany, est en visite à Kolda. Ce dernier est en opération de remobilisation de ses troupes dans le cadre de sa tournée nationale pour 2024.Arrivé la nuit du 25 novembre, il est au Fouladou pour […]
Non classéLe président du mouvement » Gueum sa bop », Bougane Guèye Dany, est en visite à Kolda. Ce dernier est en opération de remobilisation de ses troupes dans le cadre de sa tournée nationale pour 2024.Arrivé la nuit du 25 novembre, il est au Fouladou pour mieux se préparer et échanger avec ses militants afin de consolider ses acquis issus de la présidentielle de 2019. D’après notre source toujours, il se serait étonné de voir l’état désastreux du département de Médina Yoro Foula qui ne dispose toujours pas du premier mètre de goudron.Dans la foulée, il estime que beaucoup de partis et hommes politiques auraient émergé à cause de son mouvement lors de la présidentielle de 2019. Ainsi, selon notre source aussi, il a précisé que si cette situation a été possible, c’est à cause de leur naïveté en politique à l’époque. C’est pourquoi, il faut reculer pour mieux sauter avec l’expérience acquise au fil du temps par le mouvement Gueum sa bop…Avec dakaractu
Durée normale d’un rapport sexuel : Les scientifiques se penchent sur la questionLe sexe n’est, en principe, pas une activité pendant laquelle nos yeux sont rivés sur le chronomètre. Mais pour lever le voile sur le terme scientifique qui détermine la durée moyenne de latence […]
Non classéDurée normale d’un rapport sexuel : Les scientifiques se penchent sur la questionLe sexe n’est, en principe, pas une activité pendant laquelle nos yeux sont rivés sur le chronomètre. Mais pour lever le voile sur le terme scientifique qui détermine la durée moyenne de latence de l’éjaculation intravaginale, il est nécessaire d’y mettre « les moyens », car, fournir une estimation sans aucune assistance peut se révéler difficile, si l’acte a été particulièrement exaltant.Alors, dans un souci de simplicité et de précision, les scientifiques se sont concentrés sur la période allant de la pénétration à l’éjaculation. Ainsi, ils ont mené une étude auprès de 500 couples hétérosexuels, pour mesurer la durée moyenne du coït, hors préliminaires. Ces couples, originaires de divers endroits de la planète, avaient la « noble tâche » de mesurer, à l’aide d’un chronomètre, la durée de leurs relations sexuelles pendant une période de quatre semaines, même si cela semblait bizarre.les participants avaient la « simple mission » d’appuyer sur le bouton start, au moment de la pénétration du pénis, puis sur le bouton stop, lors de l’éjaculation. »Vous objecterez sans doute qu’une telle action est susceptible d’influencer l’humeur des participants et qu’elle ne rentre pas vraiment dans l’ordre naturel des choses. Mais il est rare que la science atteigne la perfection et cette méthode est la meilleure que nous ayons trouvée », justifient les scientifiques qui se sont profondément penchés sur la question.Au terme de cette expérience, les résultats ont démontré une grande différence des couples. La moyenne de chaque couple, calculée à partir de tous leurs rapports sexuels pendant la période de quatre semaines, va de 33 secondes pour la durée la plus courte, à 44 minutes (soit 80 fois plus), pour la plus longue.Par conséquent, le principal enseignement tiré est que la durée de l’activité sexuelle varie considérablement d’un couple à l’autre, 33 secondes pour certains et jusqu’à 44 minutes pour d’autres. Mais la durée médiane mesurée à partir de celles de tous les couples s’élève à 5,4 minutes.
L’Assemblée Nationale a été, ce jeudi 1er décembre, le théâtre d’une scène rocambolesque et scandaleuse ! En effet, la députée Amy Ndiaye Gniby (coalition BBY) a reçu une gifle de la part de son collègue député Massata Samb (Coalition Yewwu Askan Wi). Incident qui a […]
ACTUALITE SOCIETEL’Assemblée Nationale a été, ce jeudi 1er décembre, le théâtre d’une scène rocambolesque et scandaleuse ! En effet, la députée Amy Ndiaye Gniby (coalition BBY) a reçu une gifle de la part de son collègue député Massata Samb (Coalition Yewwu Askan Wi). Incident qui a déclenché une bagarre au sein de l’hémicycle. Le tort de la députée : avoir parlé de Serigne Moustapha Sy , chef de parti (Pur) , sans le nommer lors du vote du budget du ministère de l’intérieur.
Indignés, des députés de l’opposition ont exigé des excuses. Mais c’était sans compter avec l’intransigeance et l’opiniâtreté de Amy Ndiaye Gniby ! Massata Samb a donc décidé de régler l’affaire par les coups.
Rappelons que le 25 novembre, ont démarré les 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre à l’égard des femmes et des filles. Dans ce contexte symbolique, voilà que des députés sénégalais s’illustrent de la honteuse des manières.
Dans un hémicycle où les gros mots, les insultes fusent de partout, il est devenu bien naturel de foutre en l’air les règles de bienséance et de se comporter en goujat.
La « Masculinité positive », ces deux mots ont leur sens, aujourd’hui dans cette assemblée qui est loin de la rupture tant chantée.
Ce n’est pas pour rien que le Sénégal a reçu des hommes et des femmes qui ont débattu sur la « masculinité positive » le mois passé. Egalité Homme-Femme oui, mais pas de violences sur la femme.
Ce n’est pas pour rien, quand une femme doit rejoindre le domicile conjugal que l’on chante cette chanson légendaire « boul door , boul saaga…. ».
Encore une fois, on ne frappe pas une femme.
La violence est l’arme des faibles.
Rendons à l’Assemblée sa sacralité. Que l’on soit du côté du pouvoir ou de l’opposition, tout député a un devoir d’exemplarité.
Un homme qui bat une femme dans ce lieu chargé d’histoire, c’est juste inacceptable !
La femme est sacrée ;
Tout ce que Femme veut, Dieu le veut !