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ACTUALITE SPORTSArona Benga, acteur de la série « Cœurs Brisés », s’est récemment marié, suscitant l’admiration de ses fans, notamment la gent féminine. Même après la fin de la série, Arona reste proche des autres acteurs de « Cœurs Brisés ». À l’arrivée de son épouse, […]
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ACTUALITE justiceC’est sur sa page Facebook que Bougane Guèye Dany a réagi, suite au meurtre noté à Pikine. Le leader de Gueum Sa Bopp exige « le même niveau de sécurité qu’à Fann-Mermoz, Fann et Point E…« Texte in extenso : Stop agressions avec nos forces de […]
ACTUALITE POLITIQUEC’est sur sa page Facebook que Bougane Guèye Dany a réagi, suite au meurtre noté à Pikine. Le leader de Gueum Sa Bopp exige « le même niveau de sécurité qu’à Fann-Mermoz, Fann et Point E…«
Texte in extenso :
Stop agressions avec nos forces de défense ou Fajal sa Bopp mo fi sëss
Trop c’est trop…
l’Etat a l’obligation d’arrêter cette série d’agressions et de meurtres.
Cheikh Anta Diop disait que la sécurité précède le développement.
Nous exigeons partout le même niveau de sécurité qu’à Fann-Mermoz, Fann et Point E.
Le ministre de l’intérieur doit mobiliser nos forces de défense (FDS) pour plus de sécurité en zone urbaine surtout avec la recrudescence du phénomène de vol à l’arraché et souvent accompagné de violence.
Mr le ministre, les citoyens sont victimes des bandes agresseurs qui opèrent maintenant de jour comme de nuit. Ces malfrats s’invitent dans les lieux de travail et jusque dans les maisons.
Hier à Pikine la jeune dame Kiné Guèye a été lâchement agressée et tuée dans son lieu de travail alors qu’elle portait une grossesse avancée.
L’État doit agir de manière forte, organisée et continue.
Il faut aussi alourdir les peines contre les vols commis avec violence.
Si des solutions ne sont pas trouvées dans les heures qui suivent, le peuple prendra ses responsabilités face aux agresseurs et vous serez les seuls et uniques responsables.
A méditer..
Rappel du cadre juridique du processus Electoral et du Parrainage pour l’Election des députés. Le contrôle juridictionnel du processus électoral s’étend de l’élaboration des lois électorales jusqu’aux contestations des résultats définitifs. Un cadre normatif de nature constitutionnelle, législative et réglementaire fixe les conditions dans lesquelles […]
ACTUALITE POLITIQUERappel du cadre juridique du processus Electoral et du Parrainage pour l’Election des députés.
Le contrôle juridictionnel du processus électoral s’étend de l’élaboration des lois électorales jusqu’aux contestations des résultats définitifs.
Un cadre normatif de nature constitutionnelle, législative et réglementaire fixe les conditions dans lesquelles doit se dérouler le processus électoral.
Le titre 3 de la Loi n°2021‐35 du 23 juillet 2021, portant code électoral, axé sur les dispositions relatives aux élections des députés à l’Assemblée Nationale, définit la composition, le mode d’élection et la durée du mandat des députés.
L’article L.149 du Code électoral dispose « que pour pouvoir présenter valablement une liste, les partis politiques et les coalitions de partis doivent obligatoirement respecter le nombre de parrains défini entre le seuil minimum de 0, 5% et un seuil maximum de 0,8%. Une partie de ces électeurs doit obligatoirement provenir de sept régions à raison de mille au moins par région ».
Par requête de la coalition GUEM SA BOPP auprès du Conseil Constitutionnel’ suite à l’invalidation de la liste de la coalition de GUEM SA BOPP, au stade du contrôle des parrainages, et après examen approfondi des éléments de fait, des pièces fournies, et des termes de la requête auprès du Conseil Constitutionnel; il apparait clairement que la décision de rejet de la liste de GUEM SA BOPP par le Ministre chargé des élections n’est pas fondée (décision insuffisamment motivée).
L’article 6 de de l’Arrêté n° 006527 du Ministre de l’Intérieur, portant mise en place d’un dispositif de contrôle du parrainage prévoit d’une part « de contrôler si les parrains sont identifiés dans le fichier général des électeurs, et d’autre part d’effectuer une recherche multicritère portant sur les prénoms et noms, le numéro de la carte d’électeur, et le numéro d’identification national ».
Il est spécifié dans l’article 6 dudit arrêté « qu’une erreur purement matérielle, portant sur la transcription ou la saisie d’un élément de contrôle, ne peut en aucun cas être un motif d’invalidation d’un acte de parrainage si la recherche multicritère ou la recours la fiche de collecte, permet son identification, comme électeur ».
S’agissant de l’invalidation des parrainages de la coalition GUEM SA BOPP, les constats préliminaires font apparaître de nombreuses incohérences :
Ø Sur le nombre de parrains : un écart a été relevé entre le nombre de parrains déposé par GUEM SA BOPP et le nombre de parrains mentionné dans le PV de contrôle des parrainages en date du 09 mai 2022,
Ø Des parrainages ont été attribués à tort à la coalition GUEM SA BOPP au niveau de la Diaspora (France, Espagne, GB, Mauritanie, etc.. ), alors qu’aucune liste de parrainage n’a été déposée,
Ø Un taux excessif (anormalement élevé) de rejet de parrains (36 686) pour autres motifs, sans que ces motifs soient précisés,
Ø De nombreux parrainages ont été invalidés au motif « que les parrains n’étaient pas identifiés comme électeurs », alors même que lesdits parrains disposaient d’une CNI délivrés en toute régularité, comportant un numéro d’identification national, un numéro de carte d’électeur, avec un lieu et un bureau de vote.
Les incohérences listées ci-dessous (loin d’être exhaustives), permettent à bon droit, à la coalition GUEM SA BOPP de douter de la fiabilité du logiciel utilisé et du sérieux des opérations de contrôle des parrainages.
La coalition GUEM SA BOPP ne dispose d’aucun élément relatif aux modalités d’authentification des signatures.
Aucune précision n’a été fournie sur le paramétrage du logiciel qui permet des abus (des parrains sont rejetés de manière totalement aléatoire « pour taille non conforme ») et comporte de nombreuses zones grises (risques d’erreurs et d’inexactitudes très élevés).
Compte tenu des éléments précités, il est établi que les opérations de contrôle des parrainages ne se sont pas déroulées dans des conditions transparentes, de nature, à susciter la confiance de toutes les parties.
Par conséquent, la coalition GUEM SA BOPP rejette fermement la sincérité des opérations de contrôle des parrainages et l’invalidation de sa liste; au stade du contrôle de ses parrainages qui sont réguliers et suffisants pour permettre que sa liste fasse l’objet d’une étude de recevabilité.
A la lumières des preuves irréfragables apportées par la Coalition Gueum sa bopp sur les erreurs manifestes des autorités chargées des élections, les défaillances de son système, il est commandé à juste titre de prononcer la recevabilité du dossier de la Coalition gueum sa bopp
Par ailleurs il convient de préciser que les dispositions de l’article 6 de l’arrêté ministériel n° 006527 autorisant un surplus de parrains au moment du dépôt mais qui n’est pas pris en compte au moment du contrôle, sont illégales car le nombre de parrainages ne doit pas dépasser le seuil maximal prévu par l’article L. 149 du code électoral, sous peine d’irrecevabilité absolue.
Aucun arrêté ministériel ne peut fixer des normes contraires au code électoral (hiérarchie des normes) et modifier la loi.
Les éléments fournis au Conseil Constitutionnel devaient lui permettre de savoir que « les modalités techniques liés au dispositif de vérification des parrainages ne sont, ni connus, ni maitrisés et entrainent l’invalidation aléatoire de listes de candidature, en violation totale de la loi ».
Au titre de la prétention subsidiaire, la coalition GUEM SA BOPP a clairement rappelé, à bon droit, au Conseil Constitutionnel, la « Violation manifeste de l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021 » qui « ordonnait à l’état du Sénégal de lever tous les obstacles à une libre participation aux élections consécutifs à cette modification par la suppression du système de parrainage ».
Les décisions de la CDJ de la CEDEAO sont immédiatement exécutoires, ont force obligatoire à l’égard des Etats-membres et ne sont susceptibles d’aucun appel. L’autorité de la chose jugée, le principe de primauté et de l’effet direct font que l’exécution de l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021, ne peut faire l’objet d’aucune entrave au niveau national.
Les normes communautaires ont une valeur supralegislative.
Autrement dit, elles priment sur toutes normes internes de rang législatif ou réglementaire ( lois et arrêtés) dont l’abrogation est commandée sans réserves par le traité fondateur de la communauté des États membres
Le Préambule de la Constitution énonce clairement « la volonté du Sénégal d’être un Etat moderne qui fonctionne selon le jeu loyal et équitable entre une majorité qui gouverne et une opposition qui représente un pilier fondamental de la démocratie et un rouage indispensable au bon fonctionnement du mécanisme démocratique ».
En énonçant le principe de loyauté, comme base de la vie démocratique, le Pouvoir Constituant a voulu écarter toute manœuvre de la majorité, visant à changer les règles du jeu, en sa faveur.
Parce qu’elle n’est pas le fruit d’un consensus entre la majorité et l’opposition, la loi sur le parrainage intégral est contraire à l’équité et revêt un caractère totalement déloyal.
Par conséquent, elle est définitivement frappée du sceau manifeste d’Inconstitutionnalité.
La double irrecevabilité de la liste de la coalition BENNO BOK YAKAAR qui entraine sa non-participation au scrutin du 31 juillet 2022, devrait en principe, conduire le Conseil Constitutionnel à acter la mort du parrainage.
Toutes les listes invalidées « au stade du contrôle des parrainages » doivent être réintégrées, pour permettre une libre participation aux élections.
Recommandations de GUEMP SA BPP
Recommandation n°1
Supprimer le parrainage pour se conformer l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021.
Recommandation n°2 :
Le système électoral sénégalais ne doit plus reposer sur une élimination systématique de candidats ou de listes de candidatures. Les différends politiques doivent être tranchés, sauf cas exceptionnels, et autant que se peut, par la voie des urnes. Le pouvoir judiciaire voit veiller à ce que la limitation des candidatures aux joutes électorales fasse l’objet d’une interprétation restrictive.
La libre participation aux élections doit être la norme.
Recommandation n°3 :
Lancer une grande concertation (après les législatives) entre tous les acteurs pour dépoussiérer les aspérités du code électoral, et supprimer certaines dispositions totalement insensées qui entravent la libre participation aux élections ;
Recommandation n°4 :
Prévoir une plus grande souplesse après le dépôt des candidatures, pour permettre aux listes ou candidats de disposer de pouvoir régularisation leur dossier afin de se conformer aux dispositions légales et réglementaires.
Fait à Dakar, le 22 Mai 2022
Samba Diouf Délégué National Gueum Sa Bopp aux affaires juridiques et des droits humains
C’est le branle-bas de combat dans la coalition Yewwi Askan Wi. Et les protagonistes ne sont que les leaders de cette coalition qui se comportent comme de véritables tueurs en série. Ils s’entretuent pour occuper le haut du pavé avant l’élection finale avec la présidentielle […]
ACTUALITE SOCIETEC’est le branle-bas de combat dans la coalition Yewwi Askan Wi. Et les protagonistes ne sont que les leaders de cette coalition qui se comportent comme de véritables tueurs en série. Ils s’entretuent pour occuper le haut du pavé avant l’élection finale avec la présidentielle de 2024…Ousmane Sonko, Barthélémy Dias et Khalifa Ababacar Sall sont devenus le temps d’une investiture aux législatives, les pires ennemis du monde sous l’œil narquois d’un Serigne Moustapha Sy.
La gourmandise est à l’origine de cette peste politique qui décime Yewwi Askan W (YAW) la coalition de l’opposition formée par Serigne Moustapha Sy, Khalifa Ababacar Sall et Ousmane Sonko. Et cette opposition qui a pu battre la coalition au pouvoir dans plusieurs villes stratégique est en train de s’autodétruire à cause des ambitions personnelles de l’un d’entre eux qui veut se retrouver comme le seul et unique candidat de l’opposition à la course à la présidentielle. Et pour y arriver, il est prêt à mettre son honneur en jeu…
Khalifa Sall a déjà annoncé qu’il serait candidat en 2024. « Tout est politique dans cette histoire et le combat sera politique. Je me battrai pour être candidat en 2024, Inch’Allah ! Nous nous donnerons les moyens d’y parvenir » a-t-il dit lors d’une interview accordée au magazine panafricain Jeune Afrique le 9 décembre 2021. Et il se donne vraiment les moyens d’y parvenir en éliminant du jeu politique tous ses partenaires à commencer par son plus grand défenseur Barthélémy Dias. Les manipulations de Khalifa Sall ont écarté Barthélémy Dias de la course aux Législatives.
Khalifa le « Sale » Type…Barth le hait et Sonko le fuit
Ousmane Sonko mis au courant des manipulations honteuses de Khalifa Sall refuse de le prendre au téléphone. Barthélémy Dias ne veut plus entendre parler de Khalifa Sall à qui il a décerné le titre de « maire honoraire » de la ville de Dakar le 21 avril dernier. Selon l’entourage de Barthélémy Dias, « Khalifa Sall n’est plus le bienvenu et le maire de Dakar ne pense plus à ce qui s’est passé et s’est résolument tourné vers le développement de Dakar et l’épanouissement de ses concitoyens ».
Sonko, loin du tumulte des Dakarois et des polémiques de Yewwi, ne veut plus être associé à Khalifa Sall que d’aucuns traitent déjà taupe de Macky Sall dans la coalition Yewwi Askan Wi. Barthélémy Dias, trahi par son mentor, pense déjà à un autre avenir que celui de député qui lui a déjà échappé. Dans son entourage, on enterre déjà les reliques du compagnonnage avec Khalifa pour les ouvrir vers d’autres horizons. Sonko revenu de Ziguinchor s’affiche avec Barth et essaie de disculper Khalifa Sall pour sauver ce qui reste de Yewwi Askan Wi
Et selon son entourage, Barthélémy est résolu à garder son alliance stratégique avec Ousmane Sonko que de suivre Khalifa le « sale » surnommé ainsi par les jeunes inconditionnels de Barthélémy Dias. « Ousmane Sonko est l’avenir politique de ce pays et Khalifa Sall est un vestige du passé politique de ce pays » nous dit l’un d’entre eux. Les jeunes de Barthélémy Dias comptent même organiser une rencontre politique avec les jeunes de Pastef (Parti Les Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité) pour entamer une nouvelle aventure politique.
Khalifa Sall est le plus grand perdant de cette crise qui décime la coalition Yewwi Askan Wi. L’homme qui voulait faire de Yewwi Askan Wi son piédestal pour la grande aventure présidentielle de 2024, s’est emmêlé les pinceaux. Il a trahi la chartre de Yewwi Askan Wi qui lui a tendu les mains. Et pourtant c’est Khalifa Sall lui-même qui prônait un slogan sur son combat politique : « Je me suis engagé en politique pour servir et non pour me servir. Je dis toujours à mes camarades : « Damay fey bór ! » [« Je rembourse ma dette envers ma communauté », en wolof ». Et il a remboursé sa dette en trahissant ses partenaires…
Deux faits nouveaux dans l’affaire Sweet Beauty. Selon Libération de ce vendredi, les avocats de Ousmane Sonko, accusé de viols et menaces de mort par Adji Sarr, ont adressé une correspondance au Doyen des juges, qui conduit le dossier. Le journal rapporte que Me Bamba […]
ACTUALITE SOCIETEDeux faits nouveaux dans l’affaire Sweet Beauty. Selon Libération de ce vendredi, les avocats de Ousmane Sonko, accusé de viols et menaces de mort par Adji Sarr, ont adressé une correspondance au Doyen des juges, qui conduit le dossier.
Le journal rapporte que Me Bamba Cissé, qui a rédigé la lettre au nom de ses confrères, demande l’audition comme témoin de l’ex-capitaine de gendarmerie Seydina Oumar Touré.
La même source ajoute que les conseils du leader de Pastef ont joint dans leur courrier «six à sept questions destinées» au «capitaine Touré».
Libération informe dans la même édition que l’un des acteurs clés de cette affaire a été interrogé comme témoin hier, jeudi, par le doyen des juges. Il s’agit de Sidy Ahmed Mbaye, qui aurait conduit Adji Sarr à l’hôpital le jour des faits présumés.
Il aurait déclaré avoir rencontré Mamour Diallo, mais après l’éclatement de l’affaire. C’était, a-t-il confié au juge, pour avoir de l’aide pour Adji Sarr après que son appel aux organisations féminines est resté sans suite.
Sidy Ahmed Mbaye, informe le journal, a aussi admis connaître Me Pape Samba So, qui l’a mis en rapport avec le gynécologue qui a consulté Adji Sarr après le viol présumé. En revanche, assure-t-il, selon Libération toujours, il a écarté tout lien avec Me Dior Diagne.
Cheikh Oumar Diagne est toujours dans l’oeil du cyclone .Après la convocation que lui avait servie Djibril War à la Division des investigations criminelles (DIC) le mardi 05 avril 2022, l’étau se resserre contre le secrétaire général du mouvement dénommé Rassemblement pour la vérité, Imam […]
ACTUALITE SOCIETEIl s’agit d’une plainte de dignitaires mourides contre l’Imam pour diffamation et injures par le moyen de diffusion publique. Selon les dernières informations reçues, elle a été déposée par Me Soulèye Macodou Fall, Avocat à la Cour, agissant d’ordre et pour le compte de Serigne Abdou Mbacké, de Serigne Souhayibou ibn khadimou Rassoul et 36 autres guides religieux mourides et descendants de guides religieux mourides.
Des sources autorisées révèlent qu’il est reproché au mis en cause d’avoir, dans un premier temps, posté sur les réseaux sociaux des vidéos dans lesquelles il profère de façon réitérée des propos injurieux et diffamatoires à l’endroit de Cheikh Ahmadou Bamba, de guides religieux mourides, de leurs descendants et de leurs disciples.
La vidéo sous le titre « ADIYA à hauteur de Milliards. Cheikh Oumar DIAGNE dénonce ces chefs religieux… », a été publiée par un site web de la place. Elle est visible sur youtube.
Cette fois-ci, à en croire l’Avocat, cheikh Oumar DIAGNE y affirme sans preuve que plusieurs disciples mourides sont des » trafiquants » et que »les chefs religieux mourides sont leurs complices » dans »leurs activités délictuelles notamment de blanchiment ». Il soutient que la ville sainte de Touba, plaque tournante du trafic de drogue, est également le repaire de tous les délinquants, où ils jouissent d’une impunité totale.
Décidément lmam Cheikh Oumar diagne a une épée de damoclés au-dessus de la tête. En effet, l’on nous signale qu’une enquête est ouverte pour ces nouveaux faits.
A rappeler que le 20 mai 2021, l’Association Xudamoul Xadim avait déposé une première plainte contre Cheikh Oumar Diagne pour diffamation, offense à ministère de culte, en l’occurrence Serigne Touba représenté sur terre par Serigne Mountakha Bassirou Mbacké. Mais elle n’avait pas prospéré.
Quand peut-on considérer qu’une personne est sédentaire ? La sédentarité est une activité faible voire nulle. Elle concerne généralement les personnes qui sont souvent assises devant leur écran, que ce soit la télé ou l’ordinateur, et qui ne pratiquent pas de manière quotidienne le sport. Quand on a une activité qui […]
ACTUALITE SANTEQuand peut-on considérer qu’une personne est sédentaire ?
La sédentarité est une activité faible voire nulle. Elle concerne généralement les personnes qui sont souvent assises devant leur écran, que ce soit la télé ou l’ordinateur, et qui ne pratiquent pas de manière quotidienne le sport. Quand on a une activité qui est généralement très faible ou bien nulle, c’est dans ce cas qu’on parle de sédentarité. La sédentarité est très mauvaise parce ce qu’elle a des conséquences très néfastes sur la vie des personnes. Elle fait partie des facteurs risques de plusieurs maladies que les gens peuvent avoir au cours de leur vie, des maladies tels que le diabète, l’hypertension artérielle, les insuffisances veineuses, cardiaques et rénales ainsi que des troubles articulaires.
Après combien de temps passé en position assise peut-on dire qu’une personne est sédentaire ?
On ne peut pas mesurer la sédentarité en fonction du temps que la personne reste assis ou debout. Une personne peut aller au boulot, faire son travail normalement et à la descente aller faire du sport. Là on peut dire que cette personne a une activité physique.
Et ce sport peut-il combler le temps resté assis ?
Quand une personne reste assise dans le cadre de son travail, il y a des indications à suivre c’est-à-dire qu’il y a ce qu’on appelle les conseils d’hygiène de posture. Cette personne, normalement, si elle reste assise pendant longtemps, doit se lever pour marcher 3 à 5 minutes et ensuite continuer son travail. C’est ce qui est normal, pour éviter d’avoir d’autres pathologies telles que les lombalgies chroniques ou les lombosciatalgies ou bien les hernies discales. Donc l’idéal, c’est de se lever au bout d’une heure en position assise avant de continuer le travail.
Que vous conseillez-vous en retour?
Pour ne pas être victime de la sédentarité, il faudrait avoir une bonne organisation du temps. C’est-à-dire qu’après le boulot, il faudra prendre le temps de faire une activité physique ne serait-ce que marcher pendant 30 minutes et de faire plus si on en a la capacité, en plus des étirements actifs et passifs. Nous conseillons également des exercices ciblés et tout dépendra de l’objectif de la personne. Par exemple, on peut faire des exercices à titre de prévention ou à titre de renforcement. On peut faire beaucoup d’exercices pour essayer d’éviter certaines pathologies. Une personne peut faire une activité physique juste pour booster son activité cardiaque.
Et pour vraiment éviter la sédentarité, il faut que la personne ait une bonne organisation de sa qualité de vie, en pratiquant le sport ne serait-ce que 30 minutes par jour ou même plus. Et si elle peut également faire certains exercices, ce serait bénéfique car cela peut contribuer à éviter certaines pathologies.
Selon votre expérience, quelle est la tranche d’âge la plus touchée par la sédentarité ?
On peut dire, d’après l’expérience que j’ai eue au niveau du service et l’expérience avec le travail que je fais, la sédentarité pratiquement touche plus les femmes que les hommes ; généralement à partir de 45 ans et plus, cette tranche d’âge est beaucoup plus touchée. Et il y a un élément qu’il ne faut pas négliger qui est l’obésité parce qu’il y a beaucoup de personnes qui sont obèses et qui, à la limite, développent la sédentarité. Juste parce qu’elles sont des personnes obèses, elles ont peut-être le complexe de sortir pour pratiquer du sport.
A votre avis, les sénégalais sont-ils conscients des dangers inhérents à la sédentarité ?
Je pense qu’avec la sensibilisation que le personnel de santé fait tous les jours ; mais je pense que parfois il y a un élément qui me paraît très important c’est-à-dire le mode de vie que nous menons de manière générale, les gens n’ont pas le temps de faire du sport. Il faut se dire la vérité ; si parfois certains ont des difficultés à assurer la dépense quotidienne et quand on a parfois un travail très chargé et des heures de descentes tardives, pratiquer le sport devient très difficile pour ces gens-là. Et la pratique du sport que le week-end, c’est zéro fois rien. Le sport doit se faire de manière quotidienne ou régulièrement.
Maintenant, il faudrait qu’un travail énorme se fasse au niveau de la sensibilisation. Si on regarde bien les maladies les plus fréquentes au niveau des hôpitaux, ce sont les maladies cardio-vasculaires ; que ce soit le diabète, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale, le cancer. Il n’y a pas que la sédentarité qui est à l’origine de cela, il y a d’autres facteurs risques qui sont là. Mais je pense que si on avait cette culture de pratiquer le sport de manière régulière ou si la tranche d’âge la plus touchée avait cette culture à pratiquer le sport, on pourrait beaucoup lutter contre ces maladies cardio-vasculaires.
Pour beaucoup, la sédentarité est un mal nécessaire du fait de leur travail. Quels conseils pouvez-vous donner pour se prémunir face à ce fléau?
Il faut essayer d’aménager son emploi du temps, de s’organiser. Si on a une voiture, par exemple, d’essayer de se garer à une distance plus lointaine afin de favoriser la marche. Souvent on dit que c’est difficile mais je pense que c’est simplement des problèmes d’organisation. Au boulot, on peut faire des pas aussi ; c’est possible : marcher le plus possible au boulot au lieu de rester tout le temps assis parce que, parfois, il nous arrive d’avoir de petites minutes pour ne rien faire ; on peut essayer de se dégourdir les jambes.
Après les secousses politiques qui font trembler la coalition de l’opposition radicale, Yewwi Aska Wi, c’est une autre turbulence qui vient mettre en doute la sincérité et l’honnêteté d’un membre de la conférence des leaders de cette coalition. En effet un des leurs a été […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEAprès les secousses politiques qui font trembler la coalition de l’opposition radicale, Yewwi Aska Wi, c’est une autre turbulence qui vient mettre en doute la sincérité et l’honnêteté d’un membre de la conférence des leaders de cette coalition. En effet un des leurs a été reçu par un ministre conseiller de Macky Sall. Et celui qui a été reçu n’est pas n’importe qui car il est l’une des plus grandes gueules de cette coalition.
L’argent est le nerf de la guerre et ce membre de la conférence des leaders de Yewwi Askan Wi qui n’a pas su prospérer en tant que fonctionnaire a voulu se faire une fortune dans la politique. Et il a essayé de négocier avec le pouvoir dès les débuts de sa carrière politique. Leader du Cadre unitaire syndical des enseignants du moyen et du secondaire (Cusems/Authentique) et coordinateur du mouvement citoyen Le Peuple, Dame Mbodj, membre de Yewwi Askan Wi a été reçu par un ministre conseiller du Palais.
Voici les révélations exclusives faites à xibaaru par le journaliste Mamadou Biguine Gueye…
Dame Mbodj, l’homme à la grande gueule, a pourtant négocié avec le pouvoir !
Par Mamadou Biguine Gueye
« Certains ont l’air honnête, mais quand ils te serrent la main, tu as intérêt à recompter tes doigts. » Disait Coluche.
Oui il a raison. Le confortant dans son propos, Victor Hugo renchérit en ces termes : »Ce qui est honteux, c’est de changer d’opinion pour son intérêt et que ce soit un écu ou un galon qui vous fasse brusquement passer du blanc au tricolore, et vice versa. »
Ce syndicaliste très bavard, oui Dame Mbodj, disais-je, a bel et bien négocié avec le pouvoir. Et avec le régime du président Macky Sall auquel il ne cesse de jeter l’anathème ! Je ne serai pas long concernant cette révélation. J’attends juste qu’il démente mes propos. Car je sais parfaitement qu’il est plus bavard qu’un perroquet en détresse. Cet enseignant dépourvu de déontologie et de morale professionnelle se croit le nombril de la terre. Retenez ceci :
– Le véhicule 4×4 qu’il conduit a été acheté grâce aux enseignants par le moyen de leurs cotisations syndicales mensuelles.
Les députés de la majorité présidentielle Boubacar Biaye et Mamadou Sall, impliqués dans l’affaire de trafic de passeports diplomatiques, ont été édifiés, ce jeudi 19 mai 2022, par la Chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance hors classe de Dakar. En effet, Sall a pris 2 […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELes députés de la majorité présidentielle Boubacar Biaye et Mamadou Sall, impliqués dans l’affaire de trafic de passeports diplomatiques, ont été édifiés, ce jeudi 19 mai 2022, par la Chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance hors classe de Dakar.
En effet, Sall a pris 2 ans, dont 6 mois ferme alors qu’une peine de 2 ans, dont 5 mois ferme, est prononcée contre son collègue Biaye pour «association de malfaiteurs, escroquerie, blanchiment de capitaux, trafic de migrants et faux usage de faux en écritures privées de banque dans un document administratif et en écriture publique authentique ».
Quant à leur co-prévenu, Diadji Kondé, il est condamné à 2 ans, dont 10 mois ferme.
Lors du procès, le 20 avril dernier, tous les prévenus avaient plaidé non-coupable. Le Procureur de la République a demandé au tribunal de déclarer tous les prévenus coupables de toutes les infractions qui leur sont reprochées.
Dans son réquisitoire, il avait demandé 2 ans de prison ferme contre El Hadji Diadié Kondé et 2 ans dont 3 mois ferme pour les autres prévenus, à savoir les députés Mamadou Sall, Boubacar Biaye et Sadio Dansokho, ancien président du Conseil départemental de Saraya.
Les victimes de l’affaire au nombre de 6 (Ngamet Camara, Fatoumata Binta Diallo, Oumou Touré, Cheikh Tidiane Thioub, Ibrahima Arabi Kebe et Niélé Sylla), ont chargé El Hadji Diadié Konde. Ce dernier, empochait de l’argent des personnes à qui il promettait des visas ou des passeports diplomatiques sur la base de ses relations avec les deux députés (Boubacar et Mamadou Sall) et Sadio Dansokho, selon leurs déclarations.
Les demandes de mise en liberté provisoire introduites par les mis en cause ont été rejetées, le même jour, par le tribunal pour motif de « risque de trouble à l’ordre public ».
“À tout seigneur, tout honneur. Il faut rendre à chacun ce qui lui est dû, selon son rang, son mérite, sa fonction” . Une expression qui colle parfaitement avec l’entreprise Baye Dame Global Business . Cette dernière a tenu promesse en livrant comme convenu la […]
ACTUALITE SOCIETE“À tout seigneur, tout honneur. Il faut rendre à chacun ce qui lui est dû, selon son rang, son mérite, sa fonction” . Une expression qui colle parfaitement avec l’entreprise Baye Dame Global Business . Cette dernière a tenu promesse en livrant comme convenu la “Maison de Lille” . Un cadre qui devient un Un havre de paix au service de la ville symbolique de Saint Luis . Pour rappel , le chantier de réhabilitation de la maison de l’île de saint Louis, financé par l’état du Sénégal et la commune, pour un coût global de plus de 700 millions sera réceptionné officiellement ce Samedi 21 Mai 2022.
Dans un post, jeudi, le leader du mouvement Gueum Sa Bopp a établi les « preuves du complot » ourdi par Macky Sall occasionnant le rejet de sa liste en marge des élections législatives du 31 juillet 2022. « Pourquoi Bougane Gueye dérange autant Macky Sall ?« , s’interroge […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEDans un post, jeudi, le leader du mouvement Gueum Sa Bopp a établi les « preuves du complot » ourdi par Macky Sall occasionnant le rejet de sa liste en marge des élections législatives du 31 juillet 2022.
« Pourquoi Bougane Gueye dérange autant Macky Sall ?« , s’interroge l’opposant avant de fulminer : « Voici les preuves du complot au niveau de la Direction générale des élections pour invalider la liste de parrains de Gueum Sa Bopp..Weddi Guiss Bokou ci…Des sénégalais déclarés comme Non électeurs alors qui ont même un bureau de vote. C’est Gravissime« .
Geum Sa Bopp
La coalition de Bougane Guèye Dany n’est pas parvenue à franchir l’épreuve du parrainage. Gueum Sa Bopp a vu ses listes recalées au même titre que celles d’And Nawlé Ligeey de Serigne Mboup, maire de Kaolack, et de Jammi Goox Yi de Fadel Barro.
Colère de Bougane Gueye
En point de presse organisé dans la foulée, Bougane Guèye Dany, leader de « Gueum Sa Bopp », et les membres de sa coalition ont accusé le gouvernement d’avoir créé des parrains qui n’existent pas dans certaines régions. Qui plus est, ils ont dénoncé un système ténébreux, orchestré par le chef de l’Etat, à travers son ministère de l’Intérieur.