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ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEL’affaire Sweet Beauty a connu un tournant avant-hier, jeudi, avec la confrontation entre deux personnes clés du dossier.
Pendant près de douze heures, devant le Doyen des juges, Adji Sarr, qui accuse Ousmane Sonko de viol et menaces de mort, a fait face à Ndèye Khady Ndiaye, qui était sa patronne à Sweet Beauty, l’institut où se seraient déroulés les faits.
Les deux dames étaient flanquées de leurs avocats. Les échanges étaient houleux. Le journal Libération a relevé «au moins quatre incidents», précisant que les propos ont souvent volé bas.
L’incident le plus violent, selon le quotidien d’information, a opposé Me El Hadji Diouf et Ndèye Khady Ndiaye. Cette dernière contestait la déclaration d’Adji Sarr selon laquelle à Sweet Beauty on ne pratiquait pas des massages thérapeutiques, comme l’affirme la propriétaire, mais des massages sexuels.
Devant l’air scandalisé de Ndèye Khady Ndiaye, qui tentait de discréditer sa cliente, Me El Hadji Diouf s’est arraché les cheveux en la traitant, notamment, de prostituée.
Réponse du berger à la bergère : Ndèye Khady Ndiaye qualifie l’avocat de
«violeur international». Ajoutant qu’elle détient contre lui des vidéos compromettantes qu’elle rendrait publiques en cas de procès.
Adji Sarr et le député de l’APR
Me El Hadji Diouf et la patronne de Sweet Beauty vont une nouvelle fois s’écharper. Le premier martelant qu’à Sweet Beauty, les messages sexuels étaient au menu.
Faux, rétorque la seconde, qui maintient qu’elle ne pratiquait que des massages thérapeutiques. Et pour prouver qu’elle a des compétences en la matière, elle propose à l’avocat d’Adji Sarr de lui faire un message pour «diminuer son ventre».
L’autre incident a opposé Adji Sarr et Ndèye Khady Ndiaye. L’accusatrice d’Ousmane Sonko a martelé avoir été violée à Sweet Beauty. Son ex-patronne l’a démentie, soulignant qu’Adji Sarr serait de mœurs légères.
À preuve, raconte-t-elle, elle l’a une fois surprise dans une de ses cabines en pleins ébats avec un «député de l’APR». Une déclaration qui a déclenché des échanges de propos aigres-doux entre les deux dames.
En somme, les deux parties ont campé sur leurs positions. Adji Sarr maintenant qu’Ousmane Sonko l’a violée à plusieurs reprises et menacée de mort.
Ndèye Khady Ndiaye, pour sa part, lavant le leader de Pastef. L’époux de cette dernière rejoindra les deux parties dans le bureau du Doyen des juges pour une confrontation à trois.
Il n’est désormais plus question d’augmenter le nombre de députés. En effet, constatant l’absence de consensus autour du projet de loi devant consacrer l’augmentation de 7 sièges à l’assemblée nationale, la majorité a décidé du retrait du projet et propose, à la place, des amendements […]
ACTUALITE POLITIQUEIl n’est désormais plus question d’augmenter le nombre de députés. En effet, constatant l’absence de consensus autour du projet de loi devant consacrer l’augmentation de 7 sièges à l’assemblée nationale, la majorité a décidé du retrait du projet et propose, à la place, des amendements pour se conformer aux dispositions de la Cedeao. Ainsi les deux amendements ci-après proposés par le député Seydou Diouf proposent un retour au statu quo, soit 165 députés. Ainsi les 7 sièges à pourvoir pour le nouveau département de Keur Massar et corriger les disparités à Thiès et Mbour, lesdits amendements proposent de les puiser sur les 60 sièges du scrutin proportionnel. Voici l’intégralité dès amendements proposés par Seydou Diouf:
EXPOSÉ SOMMAIRE DES MOTIFS DES AMENDEMENTS
L’augmentation du nombre de députés de 165 à 172 pour pourvoir en siège le nouveau département de Keur Massar et corriger les disparités territoriales dans la représentation nationale nées d’une forte augmentation de la population dans certaines localités, semble ne pas emporter l’adhésion d’une partie de la classe politique qui souhaite remettre en cause le consensus issu des concertations initiées par le ministère de l’intérieur sur ce sujet. Afin d’éviter toute polémique sur la question, les présents amendements proposent de maintenir le nombre de députés à 165 et de diminuer le nombre de députés élus sur la liste nationale pour, à la fois, maintenir les 165 députés et répondre à l’obligation de pourvoir le département de Keur Massar en siège, d’octroyer un siège supplémentaire à ceux ayant atteint 170.000 habitants et corriger les disparités territoriales sus évoquées.
Amendement n 1
A l’article LO. 148, au lieu de « le nombre de députés à l’Assemblée nationale est fixé à 172». Lire « le nombre de députés à l’Assemblée nationale est fixé à 165 ».
Amendement n 2 A l’Article L.150 alinéa premier, au lieu de « les députés à l’assemblée nationale sont élus à raison de 112 députés dont quatre-vingt-dix-sept (97) pour l’intérieur du pays et quinze ( 15) pour l’extérieur au scrutin majoritaire à un tour dans le ressort du département et soixante (60) députés au scrutin proportionnel sur la liste nationale».
Lire « les députés à l’assemblée nationale sont élus à raison de 112 députés dont quatre-vingt-dix-sept (97) pour l’intérieur du pays et quinze (15) pour l’extérieur au scrutin majoritaire à un tour dans le ressort du département et cinquante-trois (53) députés au scrutin proportionnel sur la liste nationale».
Ousmane Sonko a raison de crier au complot. Il joue au voleur qui crie « au voleur ». Le leader du Pastef se sentant pris au piège depuis le début, a jeté de pauvres enfants dans la rue. Et Pour sa survie politique, Sonko était prêt à […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEOusmane Sonko a raison de crier au complot. Il joue au voleur qui crie « au voleur ». Le leader du Pastef se sentant pris au piège depuis le début, a jeté de pauvres enfants dans la rue. Et Pour sa survie politique, Sonko était prêt à sacrifier beaucoup plus que 14 vies lors des émeutes de mars 2021. Et ce qu’il appelle la seconde vague encore plus meurtrière est une menace pour la justice et le pouvoir en cas d’inculpation ou de condamnation dans cette affaire de viol qui n’a pas encore fini de révéler ses secrets.
Des secrets, il y en a. Et c’est Adji Sarr qui détient les secrets du salon du sweet Beauty où elle a déshabillé le sieur Ousmane Sonko pour le masser. Et ce dernier a en retour, abusé de sa masseuse. Et c’est Adji Sarr qui, selon des témoignages, détiendrait des vidéos de Ousmane Sonko qui pourtant, a bien fouillé tous les recoins du salon avant de passer à l’acte délictuel. Un témoignage parvenu à notre rédaction par un proche du dossier…
Selon cette source, Ousmane Sonko a été piégé par ses pulsions. Venu une première fois, Sonko avait fouillé les coins du salon avec la patronne du sweet Beauty pour dénicher les cameras et téléphones enfouis. Il n’avait rien trouvé. Partis après un premier acte, Ousmane Sonko devait revenir pour assouvir une seconde fois ses pulsions. Mal lui en pris, il n’avait pas pris la peine de fouiller une seconde fois. Et c’est là où il a été filmé par la fille…
Voici le témoignage anonyme…
A l’attention des théoriciens du complot :
Il y a 2 choses qui leur échappent et qui échappent à Ousmane Sonko.
1) Dans ce dossier, il n’y a que 3 personnes plus en vue : Ndeye Khady Ndiaye, Ousmane Sonko et Adji Sarr.
Vous oubliez aussi, qu’il y a 8 mois environ, les enquêteurs ont mené des investigations profondes sur plus de 5 personnes Fifi de Ouest Foire, Fifi des Mamelles, amie de Kia la minette du salon de Nord Foire, Maman Ba dite Aissata qu’on entend plus etc.
Ces enquêtes ont ainsi révélé que Adji est loin d’être la seule dont la jeunesse a été volée. Kia, Mya, Aissata Ba, Nene Gallé, Fifi entre autres mineures, jeunes adolescentes qui ont vu leur chemin croiser celui de Ndeye Khady Ndiaye et des prédateurs sexuels à la recherche de la chair fraîche. Ceux-là qui rodent la nuit, aux alentours des lupanars, hameçon bien arrimé par une passeuse, obnubilée par l’argent. Elles étaient ainsi enfermées dans ces damnés salons, se livrant aux exercices les plus vils.
Ndeye Khady Ndiaye les faisait offrir à ses clients le Nourou, le lomi lomi, le Body Body le sensuel, le tonifiant et le relaxant complet à la sénégalaise ou l’américaine. Elles ne disposaient guère de leur vie, juste des objets sexuels, insouciantes, innocentes, dépourvues qu’elles étaient face à leurs bourreaux.
Elles ont répondu aux questions des enquêteurs et ont décrit de la vile manière les tontons Saï saï et leurs exercices peu orthodoxes. Toutes connaissent Sonko et toutes ont témoigné du caractère pervers de ce dernier.
2) Ousmane Sonko, dans son fameux aller et retour du 31 décembre 2020, a oublié une chose très importante et qui hante ses nuits : À l’aller, il avait vérifié les pots de fleurs, demandé à Ndeye Khady de faire désactiver les caméras par son mari mais au retour, lors de son second passage, il a complètement oublié de refaire la même vérification.
Tout ce que Adji détient, elle l’a obtenu ce jour, lors du second passage. Audio comme vidéo. (Il y en a 3, les vidéos, la première a été prise ce jour).
Continuez à louer votre Icare, le Soleil n’est plus loin.
Il est très facile de s’accrocher sur la personne de Mamour Diallo, mais ça ne passera pas.
La chance n’a pas souri à Seydina Oumar Touré. L’ancien capitaine de la gendarmerie a encore perdu son poste de professeur à l’Institut Africain de Management (IAM); ce, un jour seulement après de sa prise de fonction. En effet, suite à ce brusque limogeage, des […]
ACTUALITE SOCIETELa chance n’a pas souri à Seydina Oumar Touré. L’ancien capitaine de la gendarmerie a encore perdu son poste de professeur à l’Institut Africain de Management (IAM); ce, un jour seulement après de sa prise de fonction. En effet, suite à ce brusque limogeage, des informations largement partagées sur les réseaux ont impliqué la gendarmerie dans cet affaire.
La Gendarmerie se dit, surprise d’apprendre cette nouvelle, la gendarmerie a réagi. Elle dit n’être mêlée ni de près ni de loin à cette mesure de limogeage. Et penser que l’école a reçu le moindre ordre ou la moindre pression venant de la gendarmerie c’est se tromper car la justice militaire ne fonctionne pas de la sorte, informe-t-on.
Selon toujours les explications de la gendarmerie, l’armée n’a d’ailleurs aucun droit pour demander à l’IAM de rompre le contrat qui le lie à l’ancien capitaine de la gendarmerie étant donné que la liberté de travailler est garantie par la constitution.
Pour rappel, Seydina Oumar Touré a été radié de la gendarmerie pour avoir divulgué le secret de l’enquête dans l’affaire Adji Sarr-Ousmane Sonko.
Reste à voir qui est derrière ce licenciement après que la gendarmerie a démenti son implication dans cette affaire.
Attrait pour escroquerie foncière, E. A. Samb avait grugé ses quatre victimes de 88 millions Francs CFA. Pour ce motif, le sexagénaire encourt six mois de prison ferme. Le métier de promoteur immobilier est devenu juteux pour certaines personnes véreuses comme E. A. Samb qui […]
ACTUALITE SOCIETEAttrait pour escroquerie foncière, E. A. Samb avait grugé ses quatre victimes de 88 millions Francs CFA. Pour ce motif, le sexagénaire encourt six mois de prison ferme.
Le métier de promoteur immobilier est devenu juteux pour certaines personnes véreuses comme E. A. Samb qui a soutiré 88 millions FCFA à Modou Bâ, Thierno Yoro Diouf, Malick Samba et Adja Gana Ndir. Quand ces derniers ont découvert que les terrains achetés étaient litigieux ou qu’il n’en était pas propriétaire, ils ont déposé plainte. Placé sous mandat de dépôt le 8 mars dernier, le prévenu répondait hier, des faits d’escroquerie devant le tribunal des flagrants délits de Dakar. Voulant investir dans le foncier, Modou Bâ avait remis cinq véhicules de luxe d’une valeur de 63 millions francs au mis en cause pour l’acquisition de 16 terrains courant mai 2021. Depuis, il n’arrive pas à entrer en possession de ses parcelles, alors que l’escroc présumé lui avait promis de lui remettre les papiers en août 2021. « Il est le père d’un ami. Après avoir reçu les bagnoles, il ne venait plus à mon parking. Je n’arrivais pas non plus à le joindre », regrette le concessionnaire de véhicules. Thierno Yoro Diouf a affirmé avoir acheté un terrain à Keur Ndiaye Lô à 6 millions francs en juin 2021. Cependant, le notaire lui a fait savoir que le terrain était litigieux. Sur ce, le prévenu lui a remboursé 2,8 millions de francs. Malick Samba a, pour sa part, informé avoir acquis deux terrains à Keur Ndiaye Lô à 5 millions FCFA. Mais, après avoir investi 5 millions de francs sur les travaux de la fondation, il a appris que le promoteur avait revendu les parcelles à d’autres personnes. Adja Gana Ndir a indiqué avoir versé 14 millions francs au sexagénaire pour l’acquisition de sept terrains. En guise de réparation, elle a réclamé 22 millions de francs.
Pour se dédouaner, E. A. Samb a soutenu que les parcelles sont en cours de régularisation. Né en 1955 et marié à quatre épouses, il souligne qu’il était parti en Gambie pour se soigner, raison pour laquelle les parties civiles n’arrivaient plus à le joindre.
Pour se dédouaner, E. A. Samb a soutenu que les parcelles sont en cours de régularisation. Né en 1955 et marié à quatre épouses, il souligne qu’il était parti en Gambie pour se soigner, raison pour laquelle les parties civiles n’arrivaient plus à le joindre.
Pour le conseil de Modou Bâ, le prévenu savait qu’il n’avait pas le droit de vendre. « Tous les actes ont été faits dans son bureau en présence de son fils. Il y a plusieurs manœuvres tendant à se faire remettre de l’argent », a plaidé la robe noire qui a réclamé 70 millions FCFA, à titre dommages et intérêts. Le substitut du procureur a requis six mois ferme. Selon Me Khadim Kébé, le comparant a eu un accord avec les propriétaires. « Il est chargé de viabiliser des terrains moyennant paiement en nature. C’est la procédure de régularisation qui n’est pas arrivée à terme », relève l’avocat. « Il a un passé très glorieux en matière de transaction foncière. Il n’est pas un élément à abattre. Il a investi plus de 300 millions francs sur les terrains », ajoute Me Abdoulaye Tall. La défense a ainsi sollicité la relaxe, à titre principal et une application bienveillante de la loi, à titre subsidiaire.
La confrontation entre Adji Sarr et Ndèye Khady Ndiaye a eu lieu hier jeudi, en présence du premier substitut du procureur de la République de Dakar. Accompagnées de leurs conseils, les deux dames se sont livrées à un débat sans merci. Selon L’Observateur, la célèbre […]
ACTUALITE SOCIETELa confrontation entre Adji Sarr et Ndèye Khady Ndiaye a eu lieu hier jeudi, en présence du premier substitut du procureur de la République de Dakar. Accompagnées de leurs conseils, les deux dames se sont livrées à un débat sans merci.
Selon L’Observateur, la célèbre masseuse par ailleurs accusatrice d’Ousmane Sonko, sous le feu roulant des questions, a maintenu ses accusations de viols répétés. Elle a démonté devant les avocats les arguments de Sonko selon lesquels il se faisait masser seulement en torse nu en gardant son pantalon.
« A chaque fois que Ousmane Sonko manifestait son désir de recevoir son massage rapide, il gardait son pantalon, mais le plus souvent, il exigeait son massage complet. Dans ce dernier cas, il était tout nu, allongé sur le lit de la cabine. D’ailleurs, c’est ça la règle dans le salon. Tous les hommes sont nus et nous, les masseuses, sommes en string et soutien-gorge », a révélé Adji Raby Sarr, rapporte toujours le quotidien L’Observateur.
Interpellée sur ses connaissances en kinésithérapie, Ndèye Khady Ndiaye a répondu qu’elle ne s’y connaît pas. Toutefois, elle a avoué avoir le don de soigner Ousmane Sonko de ses maux de dos à chaque fois qu’il se présentait au salon.
Sur l’affaire du viol qui serait passé dans son salon de masseuse, la patronne de Sweet beauté a soutenu mordicus n’avoir jamais été informée de scènes de viol dans son salon. Une déclaration qui a poussé Adji Raby Sarr à sonner la charge, en accusant son ancienne patronne d’adultère avec le leader de Pastef Les patriotes. Pour être plus convaincante, elle a cité des masseuses comme témoins des faits.
Au Sénégal, le »ngalakh », un dessert sucré, est associé à la fête de pâques. C’est en effet avec ce mélange de pâte d’arachide et de pain de singe dégusté avec du couscous que les chrétiens du Sénégal célèbrent la fin du carême. De grandes quantités […]
ACTUALITE SOCIETEAu Sénégal, le »ngalakh », un dessert sucré, est associé à la fête de pâques. C’est en effet avec ce mélange de pâte d’arachide et de pain de singe dégusté avec du couscous que les chrétiens du Sénégal célèbrent la fin du carême. De grandes quantités sont préparées le jour du vendredi Saint. C’est aussi des moments de solidarité et de partage. Ces derniers en distribuent aux voisins et invités, pour la plupart, des musulmans. Une pratique qui participe au raffermissement des liens et le dialogue Islamo chrétien. Seneweb est allé à la rencontre de quelques fidèles chrétiens et des commerçants pour en savoir un peu plus sur la ferveur autour du Ngalakh.
Comme chaque année, la communauté catholique boucle le carême par la célébration de la fête de pâques. Avant le jour de Pâques, ils optent pour ‘’Ngalakh’’.
Sur le marché, il n’y a pas beaucoup d’affluence. Les fidèles chrétiens ne sont pas encore venus à l’exception de quelques femmes qui viennent s’enquérir des prix des composants de ce dessert. Alpha Ba, commerçant au marché Tilène, estime que cela peut se justifier par la flambée des prix des denrées de première nécessité. Tout est cher. Les prix sont revus à la hausse depuis un certain temps. « Actuellement, même les céréales ne sont pas épargnées par cette flambée. Le mil, par exemple, se vend à 375 FCFA le kilo. Le prix peut même aller jusqu’à 400F CFA. Concernant le ‘’bouye’’ (pain de singe), le kilogramme coûte 700 alors qu’auparavant c’était 550 FCFA. La pâte d’arachide est à 1000 FCFA le kilo alors que ça se vendait à 750 ou 800. Certains le vendent, même, à 1100 voire 1200 F CFA », renseigne ce jeune homme de nationalité guinéenne, vivant à Dakar depuis quelques années.
Seulement les gens semblent tellement habitués à boire du Ngalakh qu’il est difficile de rompre avec cette tradition qui de plus contribue à renforcer le dialogue islamo-chrétien. Cependant, depuis quelques années, ce n’est plus l’engouement surtout lors des 3 dernières années marquées par la pandémie du Coronavirus de même que cette année ou l’on assiste à une crise mondiale marquée par l’inflation sur de nombreux produits.
Entre coutume et solidarité
Ces trois dernières années, cette tradition n’a pas été célébrée en grandes pompes. La pandémie de Coronavirus est passée par là. Cette année encore, la crise mondiale marquée entre autres par des conflits au niveau de la sous-région et mondial en est pour quelque chose. Madeleine Mbaye en témoigne : « C’est une préparation spirituelle parce qu’on sort quand même de 40 jours de carême et après c’est la fête de Pâques. On va célébrer la résurrection du Christ qui est une joie, une allégresse pour nous et Ce sera en famille. Pour le ‘’ngalakh’’ c’est quelque chose que j’ai trouvé ici, car mes grands parents le faisaient, ma mère le faisait donc c’est une tradition, c’est un acte de générosité envers nos prochains. Mais la coutume en tant que telle, n’est pas dans l’Eglise. La conjoncture actuelle ne s’y prête pas trop parce que effectivement les denrées ont augmenté mais ça dépend de comment chacun le ressent. Moi, cette année je vais en faire. C’est une habitude chez nous. On en offre à quelques voisins même si ces dernières années, la Covid a un peu sapé la dynamique. Nous allons simplement réduire la quantité habituelle ».
Elisabeth Diémé confirme d’ailleurs qu’il s’agit d’une tradition venant des juif et qui est considérée comme une offrande après 40 jours de spiritualité. Les juifs l’appellent la fête du «Saba » et les chrétiens le font le vendredi saint avant Pâques qui symbolise la résurrection du Christ.
Le sucre, le vrai casse-tête
A son image, les nombreux fidèles trouvés à la paroisse des martyrs de l’Ouganda, sont préoccupés par cette conjoncture. Par exemple, le sucre, une des composantes du ‘’Ngalakh’’ a connu une hausse excessive. Mère de famille, Françoise Dessou est l’une d’elles. Elle n’a pas encore trouvé le sucre pour assaisonner son ngalakh le jour j. « Je prépare le Ngalakh. J’ai le mil, l’arachide, le bouye. Il n’y a que le sucre qui me manque et le sac coûte 30 000 F CFA. on est obligé de le faire juste pour partager avec nos frères musulmans. C’est pourquoi, je compte en faire 2 bassines cette année », confie-t-elle. À quelques encablures, Béatrice Amy Lo, une fidèle chrétienne, est venue assister à la messe de la dernière semaine du Carême. Cette dernière estime que les fêtes se préparent mais difficilement “On a augmenté le sucre car le kg qui coûtait à 600 FCFA a bondi à 700 FCFA. Le pot de pain de singe qui coûtait 500 FCFA revient à 700”.
Malgré la conjoncture difficile, la plupart des familles chrétiennes vont tout de même sacrifier à cette coutume ancrée dans nos mœurs de partage et de générosité.
Les six sages-femmes et la gynécologue de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye, accusées de négligence ayant causé la mort d’Astou Sokhna, ont été entendues hier, jeudi, au niveau du commissariat central de Louga. Elles étaient de garde le jour du décès de la victime, qui était […]
ACTUALITE SOCIETELes six sages-femmes et la gynécologue de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye, accusées de négligence ayant causé la mort d’Astou Sokhna, ont été entendues hier, jeudi, au niveau du commissariat central de Louga. Elles étaient de garde le jour du décès de la victime, qui était au terme de sa grossesse.
Les mises en cause ont balayé les accusations de négligence et de non-assistance à personne en danger ayant entraîné la mort d’Astou Sokhna.
«Elles ont démonté pièce par pièce les accusations portées contre elles, renseigne, dans les colonnes de L’Observateur de ce vendredi, un syndicaliste venu soutenir ses collègues. Elles ont prouvé face aux enquêteurs qu’elles n’avaient pas fait preuve de négligence car après avoir reçu la dame Astou Sokhna, elles l’avaient mise en observation au poste opératoire situé en face de la salle d’accouchement.»
Le témoin ajoute : «Elles voulaient juste avoir un œil sur elle. La gynécologue veillait au grain, mais ce jour-là, elle était très débordée. Ensuite, elles ont démontré qu’elles travaillaient dans des conditions très difficiles.»
Les six sages-femmes et la gynécologue, qui était flanquée de son avocat, ne se sont donc pas confiées directement à la presse. Elles repassent devant les enquêteurs ce vendredi pour de nouvelles auditions, informe L’Observateur.
Le décès d’Astou Mbacké a coûté son poste au directeur de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye. Dr Amadou Guèye Diouf est remplacé par Mouhamed Abdallah Guèye.
«C’était dur à l’intérieur. Parce que je suis j’ai quitté chez moi depuis 10heures. J’y ai laissé mon enfant et depuis le matin ma bonne m’appelle au téléphone et je ne peux pas la décrocher. Ce n’est pas celle à qui j’ai fait face à […]
ACTUALITE SOCIETE«C’était dur à l’intérieur. Parce que je suis j’ai quitté chez moi depuis 10heures. J’y ai laissé mon enfant et depuis le matin ma bonne m’appelle au téléphone et je ne peux pas la décrocher.
Ce n’est pas celle à qui j’ai fait face à la section de recherches que j’ai revue aujourd’hui. Je veux dire aux sénégalais que je n’ai pas fait face à Adji Sarr aujourd’hui. J’ai fait face à une autre personne. Celle que j’ai vue aujourd’hui n’est pas Adji Sarr. Mais je vais tout endurer avec l’aide de Dieu. Nous laissons tout à Dieu.
Nous ne changerons jamais notre posture. Tan que je vivrai je resterai fidèle à ma posture. Je n’ai pas peur et je reculerai pas. Car seul Dieu est tout puissant. Le pouvoir ne se limite qu’à ce bas monde.»
Malgré les assauts répétés de l’armée sénégalaise dans les bastions de la rébellion et le démantèlement de plusieurs bases stratégiques, Salif Sadio demeure toujours introuvable. Cependant, selon une source officielle, citée par Jeune Afrique, le chef du MFDC se trouve en vérité déjà hors du […]
ACTUALITE SOCIETEMalgré les assauts répétés de l’armée sénégalaise dans les bastions de la rébellion et le démantèlement de plusieurs bases stratégiques, Salif Sadio demeure toujours introuvable.
Cependant, selon une source officielle, citée par Jeune Afrique, le chef du MFDC se trouve en vérité déjà hors du Sénégal. “L’hypothèse la plus probable est celle de la Gambie, qu’il aurait réussi à atteindre avec six de ses lieutenants”, renseigne l’hebdomadaire.
« Salif Sadio a conservé des connexions avec l’armée gambienne depuis la période de Yahya Jammeh », confie une source proche du dossier dans JA. “Battu par Adama Barrow à la présidentielle de 2016, l’autocrate permettait en effet à la rébellion d’user d’une base de repli sur son territoire.
D’anciens combattants du MFDC auraient d’ailleurs rejoint l’armée nationale gambienne et, à son arrivée au pouvoir, Adama Barrow a tout fait pour les en écarter”, précise Jeune Afrique