Condamnés à trois mois de prison ferme, Bah Diakhaté et l’Imam Cheikh Tidiane Ndao ont déjà purgé leur peine. L’activiste « républicain » et le prêcheur ont été élargis de prison, a appris Seneweb de Me Alioune Badara Fall.Pour rappel, le duo avait été arrêté par la […]
justiceSidy Diop, poursuivi pour défaut de permis de conduire et d’assurance, a été placé sous mandat de dépôt après son face à face avec le Procureur Le chanteur sera jugé lundi devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar. « Dans la nuit du 19 […]
PeopleC’est une réponse suite à la sortie du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, vendredi dernier, au lancement officiel de la plateforme déclaration médias Sénégal. Lors de cette rencontre, Alioune Sall a fait l’état des lieux de la dette fiscale, […]
MEDIASLa député, Ndialou Bathily a adressé une question écrite à la ministre des Affaires étrangères sur les difficultés rencontrées pour les demandes de visas au niveau des ambassades notamment celles de la France, de l’Italie, de l’Espagne et du Portugal. « Il se trouve que […]
SOCIETÉLa député, Ndialou Bathily a adressé une question écrite à la ministre des Affaires étrangères sur les difficultés rencontrées pour les demandes de visas au niveau des ambassades notamment celles de la France, de l’Italie, de l’Espagne et du Portugal. « Il se trouve que pour avoir ce rendez-vous, il est demandé à l’usager de payer des sommes allant de deux cent mille (200 000) F CFA à trois cent mille (300 000) F CFA juste pour avoir une date et cela ne garantit même pas le dépôt encore moins l’obtention du visa. Il arrive que cette date soit changée entre-temps sans que la personne concernée ne dépose son dossier et ne reçoive pas non plus de remboursement», a renseigné la députée membre du groupe parlementaire Yewwi Askaan Wi.
Mme Bathily veut être édifiée sur ces pratiques dans le processus des demandes et rendez-vous de visas. « Madame le ministre, pourquoi demande-t-on de payer pour avoir un rendez-vous ? Ce montant étant différent des frais de visas qui ne sont pas remboursés en cas de refus correspondrait à quoi ? Quelles sont les vraies contraintes liées à la délivrance des visas ? » s’est interrogée la député.
Par ailleurs, Ndialou Bathily invite les autorités à se pencher sur la question afin de lutter contre l’immigration irrégulière. « Les jeunes face à cette incapacité d’accéder aux services de dépôts des visas s’adonnent à l’immigration irrégulière en empruntant les pirogues. […] Nous vous demandons de contacter les services concernés pour être éclairés sur le processus normal de demande de visas afin d’identifier les dysfonctionnements et y remédier », a-t-elle soutenu.
Alors que le foot camerounais est plongé dans une profonde crise, Samuel Eto’o a publié un long message sur ses réseaux sociaux. Le patron de la Fédération camerounaise de football condamne une « focalisation malsaine sur sa personne » et assure qu’il n’est pas candidat à la […]
SPORTSAlors que le foot camerounais est plongé dans une profonde crise, Samuel Eto’o a publié un long message sur ses réseaux sociaux. Le patron de la Fédération camerounaise de football condamne une « focalisation malsaine sur sa personne » et assure qu’il n’est pas candidat à la présidence de la République.
Samuel Eto’o en avait visiblement gros sur le cœur. Embarqué dans une profonde crise, sur fond de désaccords entre la Fédération camerounaise de football, qu’il préside, et le ministère des Sports, l’ancien attaquant a publié sur ses réseaux sociaux un très long message intitulé « non à la manipulation ».
L’ancien buteur du Barça tient notamment à faire une mise au point sur ses supposées ambitions politiques. « Soyons clairs: la présidence de la Fecafoot n’est pas un tremplin pour accéder à la présidence de la République. Je le redis haut et fort: moi, Samuel Eto’o fils, je ne suis pas candidat à la présidence du Cameroun. Cette clarification me semble nécessaire pour que cesse cette focalisation malsaine sur ma modeste personne. Elle fait souffrir ma famille, fait peur à mes amis, entrave notre projet sportif et fait peser une menace sur ma sécurité. »
« Vous me défendez contre la diffamation qui veut m’abattre »Avec un ton grave, Eto’o revient également sur la polémique qui secoue le foot camerounais depuis plusieurs semaines. « Je suis béni de compter mes amis par millions. Combien de légions êtes-vous pour faire rempart face à l’adversité qui me traque? Vous plaidez ma cause quand les mensonges me harcèlent. Vous me défendez contre la diffamation qui veut m’abattre. Vous faites barrage quand la mauvaise foi m’accable », indique-t-il.
Fin mai, Eto’o a eu une altercation avec le sélectionneur du Cameroun, Marc Brys, Ce dernier a été nommé par le ministre des Sports « suite aux très hautes directives du président de la République », Paul Biya. Sa nomination avait été dénoncée et qualifiée d' »illégale » par la Fecafoot, seule habilitée, selon elle, à désigner le sélectionneur national. Eto’o s’en était alors pris violemment à Marc Brys et au représentant du ministre, une scène capturée dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux. Réunis début juin pour disputer deux matchs de qualification à la Coupe du monde 2026, les joueurs camerounais ont eu la désagréable surprise de découvrir qu’ils n’avaient pas reçu… leur équipement. Les Lions Indomptables ont été accueillis par deux staffs différents: celui de la fédération et celui du ministère des Sports. Preuve d’une situation toujours aussi tendue, les forces de l’ordre auraient bloqué l’accès aux chambres des joueurs aux membres de la Fécafoot. Le point d’orgue d’une situation que beaucoup considèrent comme intenable.
Moda Thioune, un acteur talentueux connu sous plusieurs pseudonymes grâce à ses rôles dans diverses séries, est actuellement en vogue grâce à son personnage d’Ibrahima Khalil Thiam, alias Khalil, dans la série « Baabel ». Depuis son apparition dans la série « Karma » où il interprétait le rôle […]
PeopleModa Thioune, un acteur talentueux connu sous plusieurs pseudonymes grâce à ses rôles dans diverses séries, est actuellement en vogue grâce à son personnage d’Ibrahima Khalil Thiam, alias Khalil, dans la série « Baabel ».
Depuis son apparition dans la série « Karma » où il interprétait le rôle de Chérif, Moda a su captiver le public sénégalais et gravir les échelons de la scène cinématographique.
Ce rôle marquant lui a permis de démontrer ses compétences d’acteur et de se faire une place dans le milieu du cinéma sénégalais. Sa carrière a pris un nouvel essor avec sa participation à la série « Impact », produite aussi par Marodi Production, où il a encore une fois prouvé son talent et sa polyvalence. Aujourd’hui, dans la série « Baabel », son personnage de Khalil est devenu très populaire, renforçant sa notoriété et consolidant sa position d’acteur phare dans l’industrie.
En dehors de ses engagements cinématographiques, Moda Thioune a également réussi à se faire un nom dans le mannequinat. Son allure et son charisme naturel lui ont permis de décrocher des contrats publicitaires avec plusieurs marques de vêtements et grands couturiers du Sénégal. En tant que top model, il a participé à de nombreuses campagnes publicitaires, démontrant une fois de plus sa capacité à s’adapter et à exceller dans différents domaines artistiques. Ses apparitions dans les publicités de grandes marques ont contribué à accroître sa visibilité et à diversifier son portfolio professionnel.
Moda Thioune, par son talent et sa détermination, a su s’imposer comme une figure incontournable de la scène cinématographique et du mannequinat au Sénégal. De ses débuts remarqués dans « Karma » à son rôle actuel dans « Baabel », en passant par ses multiples collaborations avec des marques de renom, il a démontré une polyvalence et une capacité d’adaptation exceptionnelles.
Le 11 juin 2024, Dr. Nafissatou Diouf, ancienne directrice générale de la société Télédiffusion du Sénégal (TDS), a été convoquée à la Brigade de recherches dans le cadre d’une enquête sur la restitution des véhicules de la présidence. Elle figurait sur la liste des personnalités […]
POLITIQUELe 11 juin 2024, Dr. Nafissatou Diouf, ancienne directrice générale de la société Télédiffusion du Sénégal (TDS), a été convoquée à la Brigade de recherches dans le cadre d’une enquête sur la restitution des véhicules de la présidence. Elle figurait sur la liste des personnalités tenues de restituer un véhicule de l’État.
Selon le journal libération, les vérifications effectuées par les gendarmes ont cependant révélé que son nom s’était retrouvé sur cette liste par erreur. Le véhicule en question, faisant partie du parc automobile de la présidence, a été identifié, confirmant qu’elle n’en était pas détentrice.
Il est important de noter que 130 véhicules appartenant au parc de la Présidence circulent actuellement entre les mains des dignitaires de l’ancien régime. Parmi les détenteurs présumés de ces véhicules, on trouve des généraux, des anciens ministres, des députés, des anciens chargés de mission, des anciens conseillers à la Présidence, ainsi que des personnes extérieures, dont des marabouts.
Finalement, Dr. Nafissatou Diouf a été blanchie dans cette affaire et n’a rien à voir avec les véhicules de la Présidence. Son nom avait été confondu avec celui d’un autre bénéficiaire, et la situation a été clarifiée : elle ne détient aucun véhicule de la présidence.
Le Sénégal a démarré l’extraction de son pétrole. Alors que les nouvelles autorités jubilent, l’ancien ministre de l’Énergie Madické Niang rappelle, dans une déclaration publiée dans L’Observateur, que l’ancien chef de l’État a posé le premier jalon de ce succès. «Aujourd’hui, notre pays, le Sénégal, […]
POLITIQUELe Sénégal a démarré l’extraction de son pétrole. Alors que les nouvelles autorités jubilent, l’ancien ministre de l’Énergie Madické Niang rappelle, dans une déclaration publiée dans L’Observateur, que l’ancien chef de l’État a posé le premier jalon de ce succès.
«Aujourd’hui, notre pays, le Sénégal, vient d’extraire son premier baril de pétrole (l’annonce a été faite mardi 11 juin dernier, NdIr). En ce jour symbolique de triomphe national, fruit de tant d’efforts collectifs successifs, nous ne pouvons pas manquer de rappeler le jalon fondateur posé le 15 juillet 2004 par la signature du Contrat de Recherche et de Partage de Production portant sur les Blocs de Rufisque offshore, Sangomar offshore et Sangomar offshore profond, entre la Société Hunt, représentée par Monsieur Larry Bottomley et Petrosen, représentée par Monsieur Serigne Mboup.
«Ce contrat que nous avons signé au nom de la République du Sénégal, en notre qualité de ministre des Mines et de l’Energie, avant de le faire approuver par le président de la République, Maître Abdoulaye Wade, marque le départ d’une formidable aventure humaine avec ses hauts et ses bas, aventure qui se parachève aujourd’hui dans l’allégresse.
«L’espoir et la vision du Président Maître Abdoulaye Wade se concrétisent ce jour, au tout début du magistère d’un jeune président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye, comme pour signaler à la génération présente que la réussite est toujours au bout de l’effort lorsque la nation reste constante dans ses principes fondateurs et fondamentaux.»
Maître Madické Niang,
Avocat, ancien ministre de l’Énergie
Le Sénégal a recueilli ses premières gouttes de pétrole. Avec le lancement de la phase de production de l’or noir, se pose désormais la question du partage des ressources qui en découlent et de l’impact de celles-ci sur le quotidien des Sénégalais. Le pays peut […]
SOCIETÉLe Sénégal a recueilli ses premières gouttes de pétrole. Avec le lancement de la phase de production de l’or noir, se pose désormais la question du partage des ressources qui en découlent et de l’impact de celles-ci sur le quotidien des Sénégalais.
Le pays peut compter sur trois sources de revenus pétroliers : la part de Petrosen (18%), la production par tranche pour l’État (20%) et les impôts et taxes. Mais au seuil de la phase de production, l’ancien directeur général de Petrosen Serigne Mboup considère que le plus important est ailleurs. «Ces montants importent peu, au début, puisqu’il faut rembourser les frais d’investissements», a-t-il tempéré dans un entretien paru ce jeudi dans L’Observateur.
Libération informe que pour le projet pétrolier Sangomar, il faut parcourir le Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) 2024-2026 pour avoir une idée du montant à rembourser. «Le contribution de Petrosen aux dépenses de développement s’élève à environ 756 millions de dollars (455 milliards F CFA), financés à hauteur de 450 millions de dollars (271 milliards F CFA) par un prêt consenti par Woodside, précise-t-on dans le document repris par le journal. Un financement complémentaire d’un montant d’environ 270 millions de dollars (162 milliards F CFA) a été mobilisé par l’État et rétrocédé à Petrosen durant l’année 2021.»
Suivant les termes du contrat signé entre le Sénégal et Woodside, a mentionné Serigne Mboup, les coûts pétroliers (Cost oil) représentent 75% des retombées et les profits (Profil oil), 25%. C’est avec cette dernière tranche que les Sénégalais pourront directement ressentir les bienfaits des ressources pétrolières. «Dès que la SAR [Société africaine de raffinage] est en mesure de recevoir assez de brut (environ 45 000 barils par jour), on pourra le sentir [par exemple] sur les prix [à la pompe]», a précisé l’ancien patron de Petrosen.
Et ce n’est pas tout. Mboup a signalé que le lancement de la phase de production du pétrole permettra au Sénégal, par exemple, de faire basculer sa balance commerciale, qui est déficitaire. «La SAR va acheter en CFA. C’est le premier impact sur la souveraineté du pays, il vaut même plus que le pourcentage du Sénégal sur les contrats», a comparé le spécialiste.
Autre avantage indirect : «Nous allons faire la transformation. Nous allons pouvoir faire de l’urée à partir de notre pétrole, pour le Sénégal et aussi pour toute la sous-région. L’impact du pétrole va bien au-delà des contrats, sans compter le renforcement de la position géopolitique et géostratégique du Sénégal.»
Mohamed Magassouba, nouveau Directeur général a décidé de fouiller la gestion de son prédécesseur, Mamadou Kassé. Il a annoncé un audit dans les prochains jours, et a procédé à un appel d’offres pour le choix d’un cabinet en charge de l’audit. Car, d’après « Bés bi » […]
POLITIQUEMohamed Magassouba, nouveau Directeur général a décidé de fouiller la gestion de son prédécesseur, Mamadou Kassé. Il a annoncé un audit dans les prochains jours, et a procédé à un appel d’offres pour le choix d’un cabinet en charge de l’audit.
Car, d’après « Bés bi » quotidien, « de sources autorisées », le nouveau Dg a été « surpris » de découvrir que son prédécesseur, Mamadou Kassé, « utilisait 1900 litres d’essence par mois alors qu’il n’avait droit qu’à 500 litres« .
Ainsi, « dans un soucis de rationaliser le carburant« , M. Mouhamadou Magassouba, a, à travers une note de service en date du 30 mai 2024, demandé aux directions administrative, juridique et des affaires domaniales, marketing et commerciale, technique et du développement de veiller à l’application de cette directive.
« Dans le cadre des attributions de vos directions respectives, vous disposez de véhicules de service auxquels sont alloués une dotation mensuelle de carburant. Dans le souci de mieux rationnaliser nos dépenses, vous voudrez bien, chacun en ce qui le concerne, produire et transmettre mensuellement à la direction générale, un rapport de gestion ainsi que les justificatifs de chargement en carburant desdits véhicules« , souligne la note.
D’après toujours la même source, reprise par e-média, en ce qui concerne sa dotation, le Dg de la Sicap applique la directive de l’ancien chef de l’Etat, Macky Sall. Laquelle matérialisée par la décision n°00116/PR/SG du 6 janvier 2021 disposait : « Dotation portée à 500 litres d’essence par mois sur instruction du président de la République. Obligation faite à toutes les directions de respecter la loi mais aussi de faire un rapport mensuel ».
« Au niveau de la Sicap, le directeur général a mis en place une fiche mensuelle de relevé du carburant. Dans la fiche, il est apposé le nom, la fonction et le nombre de litres pris« , selon nos confrères.
A cet effet, Mamadou Kassé a été joint au téléphone pour donner sa version sur ces accusations. Le concerné qui indique être en vacance « ces temps-ci« , a promis de rappeler nos confrères, sans donner de délai.
Le grand pèlerinage annuel musulman débute vendredi à La Mecque, dans l’ouest de l’Arabie saoudite, pour plus d’un million et demi de fidèles, avec la guerre à Gaza dans tous les esprits.Réunis dans la ville la plus sainte de l’islam, les pèlerins commencent par accomplir […]
RELIGIONLe grand pèlerinage annuel musulman débute vendredi à La Mecque, dans l’ouest de l’Arabie saoudite, pour plus d’un million et demi de fidèles, avec la guerre à Gaza dans tous les esprits.
Réunis dans la ville la plus sainte de l’islam, les pèlerins commencent par accomplir le rite du « tawaf » qui consiste à tourner autour de la Kaaba, la structure cubique noire vers laquelle les musulmans du monde entier se dirigent pour prier, au cœur de la Grande mosquée.
Ils se dirigeront ensuite vers Mina, une vallée surplombée de montagnes rocheuses située à quelques kilomètres de la Mecque, où ils passeront la nuit dans des tentes climatisées.
Alors que la guerre fait rage entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza, de nombreux pèlerins ont dit prier pour les habitants du territoire palestinien, bombardé et assiégé depuis plus de huit mois.
– « Images de guerre » –
La guerre a été déclenchée le 7 octobre par une attaque sans précédent du Hamas en Israël, qui a entraîné la mort de 1.194 personnes, selon des données officielles israéliennes.
En riposte, l’armée israélienne a lancé une offensive de grande envergure à Gaza qui a fait 37.232 morts, selon le ministère de la Santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas.
Agée de 78 ans, la marocaine Zahra Benizahra ne peut retenir ses larmes en parlant « des images de guerre, de gens déplacés, d’enfants perdus » qui la hantent. « Nos frères sont en train de mourir, nous les voyons de nos propres yeux. »
Venue d’Indonésie, le premier pays musulman au monde par le nombre de croyants, Belinda Elham, 43 ans, se désole elle aussi de cette guerre. « Quand nos frères souffrent, nous souffrons aussi. »
La monarchie saoudienne a annoncé cette semaine qu’elle prenait en charge le pèlerinage de 1.000 Palestiniens parmi les familles des victimes de la bande de Gaza, portant à 2.000 le nombre de Palestiniens bénéficiant de cette mesure.
Elle a toutefois prévenu, par la voix de son ministre du Hajj, Tawfiq al-Rabiah, qu’aucune manifestation politique ne serait tolérée, le pèlerinage devant être strictement consacré aux prières.
Le hajj, qui consiste en une série de rites codifiés qui se déroulent sur plusieurs jours au cœur de La Mecque et ses environs, est l’un des cinq piliers de l’islam. Tous les musulmans sont censés accomplir le hajj au moins une fois dans leur vie s’ils en ont les moyens.
Certains attendent parfois des années pour avoir la chance de faire le voyage, les permis étant attribués chaque année par le royaume sur la base de quotas par pays.
Nonaartina Hajipaoli se sent privilégiée de faire partie du millier de pèlerins venus du sultanat de Brunei. « Je suis sans voix, je ne peux pas décrire ce que je ressens », dit cette femme de 50 ans.
– Chaleur écrasante –
L’organisation du hajj est une source de légitimité pour l’Arabie saoudite, dont le souverain a le titre de « gardien des deux saintes mosquées », à La Mecque et Medine.
Mais c’est aussi un important défi logistique pour le royaume qui a reçu plus de 1,8 million de pèlerins l’année dernière, dont environ 90% venus de l’étranger.
Le hajj a connu dans le passé plusieurs drames, notamment en 2015 lorsqu’une bousculade gigantesque a fait 2.300 morts.
Les autorités ont procédé ces dernières années à d’importants aménagements, notamment à la Grande mosquée dont les travaux d’agrandissement devraient s’achever en 2025.
Les autorités utilisent également la technologie de l’intelligence artificielle pour assurer la sécurité et la fluidité des mouvements de la foule.
Le royaume désertique a multiplié les initiatives pour aider les pèlerins à surmonter la chaleur écrasante de l’été.
Des messages adressés aux fidèles préviennent que la température peut atteindre 48 degrés Celsius et conseillent de boire « deux litres d’eau au moins par jour » et de se munir d’ombrelles.
Mais avec de telles températures, les rituels en plein air risquent d’être éprouvants, notamment lors de la journée de prière samedi sur le mont Arafat, moment fort du pèlerinage.
Selon le porte-parole du ministère saoudien de la Santé, Mohammed al-Abdulali, plus de 10.000 cas de maladies liées à la chaleur ont été recensés l’année dernière durant le hajj, dont 10% de coups de chaleur.
Après Walfadjri, le groupe E-Média Invest ne va pas octroyer une avance de Tabaski à son personnel. La Direction Générale a pris cette décision en raison des difficultés que traverse l’entreprise en ce moment. Seneweb vous livre la note dudit groupe de presse. « La Direction […]
MEDIASAprès Walfadjri, le groupe E-Média Invest ne va pas octroyer une avance de Tabaski à son personnel. La Direction Générale a pris cette décision en raison des difficultés que traverse l’entreprise en ce moment. Seneweb vous livre la note dudit groupe de presse.
« La Direction Générale regrette de ne pouvoir mettre à la disposition du personnel une avance Tabaski en raison des difficultés que traverse l’entreprise en ce moment.
Celles-ci tiennent à la délicatesse de la situation marquée par la rareté de la ressource, les aléas du recouvrement et l’affaiblissement de nos marges opérationnelles.
Ces facteurs obèrent nos efforts de mobilisation financière et impacte négativement notre capacité de mise à disposition de cet acompte.
La Direction Générale vous remercie de votre compréhension et espère une rapide inversion des circonstances » lit-on dans une note du groupe E média-Invest.
Quatre mois de salaire. C’est le dû que réclament, en cette veille de Tabaski, les travailleurs de l’Urbaine d’entreprise (UDE), une société de gestion des ordures ménagères dans la ville de Thiès, propriété du député-maire de Tivaouane, Demba Diop Sy. Très en colère, ces chauffeurs […]
SOCIETÉQuatre mois de salaire. C’est le dû que réclament, en cette veille de Tabaski, les travailleurs de l’Urbaine d’entreprise (UDE), une société de gestion des ordures ménagères dans la ville de Thiès, propriété du député-maire de Tivaouane, Demba Diop Sy.
Très en colère, ces chauffeurs et mécaniciens qui s’occupent au quotidien de la gestion des ordures ménagères dans la ville aux-deux-gares et de l’entretien des camions, crient leur désarroi. «Nous vivons dans des conditions misérables au sein de cette entreprise, avec les retards des salaires. Nous n’avons jamais vu nos contrats. On nous paye sous l’arbre à palabre. On met l’argent sous pli, dans une enveloppe et nous le recevons n’importe où et quand. C’est inadmissible !», s’offusquent-ils.
Tout en poursuivant «Dans cette entreprise, il n’y ni assurance ni augmentation de salaire. Les salaires varient entre 100.000 FCFA et 125. 000 FCFA».
Chauffeur ayant totalisé presque une quinzaine d’années de travail dans cette entreprise, Cheikh Ndiaye, se désole du fait qu’ «après avoir passé la Korité dans la dèche, les travailleurs de l’UDE risquent, pour la Tabaski, de fermer les yeux sur leurs besoins familiaux».
Et de fulminer: «Je dois aller passer la fête à Mbilor, mon village natal, dans le département de Dagana avec ma famille, mais, jusqu’à l’heure où je vous parle, je me trouve dans le doute, désorienté. J’ai peur d’y aller avec les mains vides ».
« Nous sommes dans l’inquiétude totale. Comme à Tivaouane, d’autres travailleurs dans d’autres coins du pays, vivent la même situation », ajoute un autre chauffeur du nom de Madické Sarr.