L’ONU a estimé jeudi le coût de la reconstruction de la bande de Gaza, ravagée par une guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, entre 30 et 40 milliards de dollars, à cause de l’ampleur sans précédent des destructions. « Les estimations du Programme […]
INTERNATIONALCe fut l’une des premières mesures du Président Diomaye Faye. Dès qu’il a pris le pouvoir, il a annulé les nominations faites dans la Justice par Macky Sall, quelques heures avant sa sortie du pouvoir. Mais Ibrahima Hamidou Dème, qui fut magistrat, n’a pas du […]
POLITIQUEOn en sait davantage sur les raisons pour lesquelles Macky Sall et son régime ont cherché à s’accrocher au pouvoir, surtout en raison des scandales qu’ils ne voulaient pas laisser à leur successeur et qui ont été rendus publics. Selon Libération, le Sénégal n’a plus […]
POLITIQUEEmmuré dans un silence assourdissant depuis l’accession à la magistrature suprême de ses clients, à savoir le tandem Diomaye-Ousmane, le tonitruant avocat, Me Ciré Clédor Ly, sort des bois. Ce sont les décrets pris précipitamment par le président Macky Sall entre la perte du pouvoir […]
POLITIQUEEmmuré dans un silence assourdissant depuis l’accession à la magistrature suprême de ses clients, à savoir le tandem Diomaye-Ousmane, le tonitruant avocat, Me Ciré Clédor Ly, sort des bois. Ce sont les décrets pris précipitamment par le président Macky Sall entre la perte du pouvoir de son camp et sa passation de service.C’est pourquoi Me Ly invite la communauté internationale à ne pas protéger les autorités passibles de poursuites, même pour haute trahison.
L’état de droit est la charpente de toute société démocratique. C’est la pierre angulaire de tout développement. Il inspire la confiance, apaise les esprits, garantit la sécurité juridique et l’épanouissement dans tous les domaines de la vie.En s’attaquant à l’anarchie juridique et aux injustices enrobées d’une fausse légalité par le pouvoir battu démocratiquement à plate couture, lors des dernières élections, le tandem Diomaye-Ousmane qui a commencé par abroger les décrets de la dernière heure, a donné un signal fort sur le sort réservé à tous les actes administratifs et contractuels qui lèsent les intérêts des citoyens, ne sont pas compatibles avec la bonne gouvernance et les intérêts de la nation, ou, puent la corruption à mille coudées, les délits d’initiés, le népotisme ou le favoritisme.Plusieurs actes de dernières minutes ou post-électoraux savamment pensés et froidement exécutés pour des objectifs de déstabilisation socio-économiques, ne relèvent pas seulement de l’inélégance ou de l’indélicatesse princière, mais de la haute trahison et méritent une mise en accusation, en raison des conséquences désastreuses qu’ils induisent si la nouvelle gouvernance ne trouve une parade rapide.L’Amérique et l’Occident, le monde Arabe et le monde asiatique ainsi que les gouvernants Africains, ont le devoir de ne protéger personne sous peine de complicité et de recels de malfaiteurs engageant la responsabilité personnelle des États responsables et des chefs d’états receleurs, car la convention de Vienne n’a pas vocation de protéger les corrupteurs, les » blanchisseurs » d’argent sale, les criminels financiers et ceux qui ont commis des atteintes graves à la démocratie et à l’Etat de droit.Ceux qui prétendent défendre des valeurs universelles inscrites dans les deux premiers pactes après la déclaration universelle d’intention, ne pourraient ne pas rendre justice au Sénégal et à tous ces peuples d’Afrique saignés par des prédateurs qui planquent leurs fortunes illicites à l’étranger aux vues et aux sues des gouvernants qui sont précurseurs de la convention de Mérida.Le Tandem Diomaye-Ousmane doit avoir le soutien de tous les Sénégalais de quelque côté de l’univers qu’ils se trouvent, de tous les panafricanistes qui ont largement et admirablement été de la lutte, de ceux qui dans le monde sont épris de justice et de souveraineté dans la coopération multipolaire juste et équitable.Le soutien au tandem Diomaye-Ousmane doit bannir le criticisme, la critique hâtive et prématurée. Il appelle à davantage de tolérance, le temps qu’il finisse de poser son baluchon et fixe ses repères, car avec la terre brûlée par les vaincus, tout est à reconstruire et à présenter comme modèle de réussite.La décision prise de ne pas extrader le jeune guinéen et fondée sur l’opportunité, le droit interne, le Pacte international sur les droits civils et politiques, la jurisprudence et la doctrine autorisée, est un acte fort de souveraineté ainsi que la marque d’un État de droit qui fixe ses repères.Chaque patriote Africain et du monde pauvre asservi militairement et économiquement doit être une sentinelle et un orfèvre du projet, avec un devoir d’accompagnement et de participation active dans son domaine de compétence, car les ennemis de la réussite, les compradores et les sceptiques restent à l’affût et n’excluent aucune option, mais ils échoueront.C’est véritablement l’heure de l’Afrique !
« Dans le cadre du contrôle et du suivi de la présence effective des agents, il est porté à la connaissance de l’assemble du personnel du ministère, i sera procédé au démarrage effectif du système de pointage biométrique déjà mis en place, à compter du […]
POLITIQUE SOCIETÉ« Dans le cadre du contrôle et du suivi de la présence effective des agents, il est porté à la connaissance de l’assemble du personnel du ministère, i sera procédé au démarrage effectif du système de pointage biométrique déjà mis en place, à compter du lundi 29 avril 2024« , lit-on dans le communiqué parvenu à la rédaction.Le document indique que « ce système, couplé à un dispositif de vidéo-surveillance permet- d’une part, d’effectuer un contrôle d’accès au bâtiment et d’autre part, de monitorer le temps de présence, les retards et les absences des agents« .Le ministère rappelle qu’aux termes du décret n°96-677 du 07 Août 1996 modifiant le décret n°96-982 du 17 septembre 1991 fixant les horaires dans les services administratifs de l’Etat, les horaires de travail sont fixés du lundi au vendredi, de 8 heures à 17 heures avec une pause d’une heure entre 13 heures 30 mn et 14 heures 30 mn.
Au regard de ce qui précède, poursuit le communiqué, tous les agents sont invités à se signaler, à l’arriver comme au départ, par empreinte, sur le terminal situé au poste de police à l’entrée ou au sous-sol. « Toutefois, le personnel d’encadrement et les agents dûment autorisés ne sont pas concernés« , précise le document.
Rappelons que ces dispositifs de pointage biométrique ne sont pas une nouveauté au Sénégal, étant déjà largement utilisés dans de nombreuses structures. En 2022, la mairie de Ziguinchor avait adopté cette technologie sur l’initiative d’Ousmane SONKO, maire de la commune, et actuellement premier ministre de la République du Sénégal.
Lors de sa session du 22 mars dernier, la Collège de supervision de la commission bancaire de l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA) a blâmé trois banques de la zone. Le deux sont basées au Sénégal, la troisième au Togo. Les noms des institutions sanctionnées n’ont pas […]
économieLors de sa session du 22 mars dernier, la Collège de supervision de la commission bancaire de l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA) a blâmé trois banques de la zone. Le deux sont basées au Sénégal, la troisième au Togo.
Les noms des institutions sanctionnées n’ont pas été dévoilés. Ce n’est pas dans la tradition de l’organe de disciplinaire monétaire de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) de lyncher les établissements épinglés. Ce sont juste leurs fautes et la nature des sanctionnées à elles infligées, qui sont portées sur la place publique après que les dirigeants concernés ont été au préalable entendus.
Dans son édition de ce lundi, L’Observateur, qui donne l’information, rapporte qu’il est reproché à la première banque établie au Sénégal sanctionnée «des manquements et des infractions aux textes légaux et règlementaires applicables aux établissements de crédit». Précisément, souligne le journal, «des faiblesses ont été relevées sur la gouvernance, la gestion des risques, les situations financière et prudentielle ainsi que le dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme». En plus de la blâme reçue, cette banque doit s’acquitter d’une amende de 300 millions de francs CFA, rapporte a même source.
La deuxième banque basée au Sénégal rappelée à l’ordre, doit s’acquitter, pour sa part, d’une amende de 151 millions de francs CFA en plus de la blâme essuyée. Il lui est reproché, selon L’Observateur, «des manquements et infractions relevés sur le dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme».
La troisième institution de crédit épinglée a écopé une blâme et 300 millions d’amende pour «non-respect des exigences des autorités monétaires et de contrôle visant le renforcement des fonds propres, à l’effet de mettre l’établissement en conformément avec les normes prudentielles à fin juin 2022». Cette banque est basée au Togo.
L’ancien directeur des domaines, Mamadou Mame Boye Diao reste convaincu que le Sénégal peut bel et bien changer avec le nouveau régime. Mais, le candidat malheureux à la dernière présidentielle a de forts doutes sur la démarche du président de la République et son premier […]
POLITIQUEL’ancien directeur des domaines, Mamadou Mame Boye Diao reste convaincu que le Sénégal peut bel et bien changer avec le nouveau régime. Mais, le candidat malheureux à la dernière présidentielle a de forts doutes sur la démarche du président de la République et son premier ministre. Il invite Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko à changer la constitution et d’autres institutions pour la réussite du projet Pastef.
« J’aurai aimé les entendre tenir au sénégalais un discours lucide en leur disant que cette rupture systémique exige de changer certaines institutions et réformer d’autres structures comme le fonctionnement de la magistrature etc« , a déclaré Mame Boye Diao, lors de l’émission « Instant T » sur Senepeople.
L’ancien directeur des domaines se dit convaincu que le changement que prônent ses anciens « camarades du monde fiscal » passera nécessairement par un changement de la constitution qui pourra en ce moment porter les réformes nécessaires. « Il faut une constitution conforme au projet vendu aux sénégalais. Et cela permettra de concrétiser de manière lucide, toutes les réformes pour la marche du pays. Mais j’ai l’impression qu’ils ont peur du calendrier. Ils donnent l’impression de ne pas avoir du temps alors qu’ils en ont« , a fait savoir Mame Boye Diao.
Le maire de Kolda qui, toujours, précise que ce n’est pas en un jour ou un mois que les réformes attendues vont se réaliser. « Je ne veux pas les voir rater le train du départ, car ils ont créé un nouvel espoir dans le pays. Leur projet est réaliste et réalisable. Sauf que le ticket vice-président est une aberration. En dehors de ce point, je peux être d’accord sur les autres aspects de leur programme notamment la souveraineté sur plusieurs aspects. Tout ceci est possible, mais il faut se donner les moyens d’y parvenir« , considère l’ancien directeur général de la CDC.
Ce lundi matin, les bus Dakar Dem Dikk n’ont pas circulé. Et pour cause, une grève entamée par les syndicalistes de la boîte. Ces derniers fustigent des mesures prises par la direction. D’après Mbaye Diaw, « la direction a rendu des notes de service, annonçant […]
SOCIETÉCe lundi matin, les bus Dakar Dem Dikk n’ont pas circulé. Et pour cause, une grève entamée par les syndicalistes de la boîte. Ces derniers fustigent des mesures prises par la direction. D’après Mbaye Diaw, « la direction a rendu des notes de service, annonçant la promotion de certains employés qui battaient campagne pour le directeur lors de la dernière élection ». « Une promotion dans une entreprise doit être basée sur le mérite, la compétence, l’ancienneté. Mais aujourd’hui même ces anciens sont lésés », déclare M. Diaw.
Après cette grève, les employés menacent de passer à la vitesse supérieure si une solution n’est pas trouvée en urgence : « Nous voulons l’annulation des notes de services prises vendredi dernier. Nous n’excluons pas de passer à la vitesse supérieure et d’aller vers une grève illimitée. Nous interpellons le président de la république et son premier ministre ». En plus de dénoncer des promotions jugées partisanes, ces employés de Dakar Dem Dikk, réclament de meilleures conditions de travail et des salaires décents.
Invité à l’émission Point de vue ce dimanche 28 avril 2024 sur la RTS, l’architecte Pierre Goudiaby Atepa a fait des révélations sur les chantiers encours sur la corniche Ouest de Dakar, qui selon lui est un bien public. A l’en croire, le président de […]
POLITIQUEInvité à l’émission Point de vue ce dimanche 28 avril 2024 sur la RTS, l’architecte Pierre Goudiaby Atepa a fait des révélations sur les chantiers encours sur la corniche Ouest de Dakar, qui selon lui est un bien public.
A l’en croire, le président de la République Bassirou Diomaye Faye a ordonné l’arrêt de toutes les constructions sur la corniche de Dakar. Ce lieu public maritime devenu « objet d’une prédation foncière sans commune mesure où poussent, immeubles, hôtels, villas de luxe comme des champignons », a-t-il déploré.
« Sonko avait promis qu’une fois au pouvoir qu’il allait raser toutes les constructions sur la corniche ouest de Dakar. On ne peut pas tout raser c’est clair. Mais au moins, ils (le président Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement) ont fait arrêter toutes les constructions sur le littoral, sur la corniche depuis avant-hier et je m’en réjouis personnellement », a confié l’architecte et défenseur du littoral Dakarois.
« Tout est stoppé, sauf les travaux d’aménagement entamé par l’État pour le public. Ça c’est différent et cela fait partie des choses dont je me réjouis », a-t-il précisé.
No Face fait encore parler de lui sur les réseaux sociaux. Son post sur son Instagram, a fait réagir beaucoup d’internautes. « C’est le moment de revoir ma liste pour épouser une nouvelle femme. Auparavant, je n’avais pas ouvert mes yeux mais cette fois je le […]
PeopleNo Face fait encore parler de lui sur les réseaux sociaux. Son post sur son Instagram, a fait réagir beaucoup d’internautes.
« C’est le moment de revoir ma liste pour épouser une nouvelle femme. Auparavant, je n’avais pas ouvert mes yeux mais cette fois je le ferai… » , lit-on.
Partager Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye a accompli ce vendredi sa prière à la Mosquée Omarienne située sur la corniche après la porte du millénaire. Il était en effet accompagné de quelques personnalités en plus de ses gardes du corps.Pour rappel, lors de […]
POLITIQUELe Président de la République, Bassirou Diomaye Faye a accompli ce vendredi sa prière à la Mosquée Omarienne située sur la corniche après la porte du millénaire.
Il était en effet accompagné de quelques personnalités en plus de ses gardes du corps.
Pour rappel, lors de la célébration de Aïd el-Kebir, le Premier Sénégalais n’avait pas accompli le rituel dans cette grande Mosquée Omarienne mais à la grande Mosquée de Dakar.
La polémique continue depuis la nomination de Pape Alé Niang au poste de Directeur général de la RTS. Selon certains observateurs, le journaliste ne mérite pas ce poste. Dans certes vidéo, le grand journaliste Moustapha Diop de Walfadjri a fait une analyse pertinente sur le […]
MEDIASLa polémique continue depuis la nomination de Pape Alé Niang au poste de Directeur général de la RTS. Selon certains observateurs, le journaliste ne mérite pas ce poste.
Dans certes vidéo, le grand journaliste Moustapha Diop de Walfadjri a fait une analyse pertinente sur le sujet d’actualité.
« Je ne peux pas faire l’objet d’une poursuite« , a déclaré Mansour Faye à la Rfm. Interpellé sur la publication du rapport 2022 de l’Ofnac, dans lequel il a été cité dans l’affaire de la gestion des fonds Force-Covid, le beau-frère de l’ex chef de l’Etat […]
POLITIQUE« Je ne peux pas faire l’objet d’une poursuite« , a déclaré Mansour Faye à la Rfm. Interpellé sur la publication du rapport 2022 de l’Ofnac, dans lequel il a été cité dans l’affaire de la gestion des fonds Force-Covid, le beau-frère de l’ex chef de l’Etat a tenu à se défendre.
Mansour Faye qui estime n’avoir rien à dire, « parce qu’il n’y a rien. Rien à signaler« , souligne qu’il n’a jamais « été ni appelé, ni convoqué, ni entendu par quelconque entité, que ce soit relativement au programme d’appui alimentaire de la Covid-19. Jamais, ni par l’OFNAC, ni par la Cour des comptes, ni par aucune autre institution. Jamais appelé, jamais entendu, jamais convoqué« .
Poursuites…
D’après le maire de Saint-Louis, « la seule entité qui en a fait, à ma connaissance, c’était la Cour des comptes sur de supposées surfacturations qui n’existent pas, puisque le référentiel évoqué par le vérificateur était un arrêté de 2013 qui était caduc en 2020. Donc, en aucune façon il ne peut y avoir de surfacturations évoquées à l’époque. À part cela, je n’ai pas entendu autre chose concernant l’opération de distribution de riz lors de la Covid… Je ne peux pas faire l’objet d’une poursuite ou d’un contrôle. Parce que moi et l’histoire de la Covid, ça s’est très bien passé et je suis toujours au Sénégal« ..