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Non classéKhadre SAKHO17 mai 2024 à 13:38
Cheikh Bara Ndiaye critique encore Thérèse Faye. Le chroniqueur a révélé que l’ancienne ministre sous Macky Sall va bientôt terminer « la construction de sa maison d’une valeur d’un milliard FCFA ».
Il a également informé qu’il n’a pas encore reçu de plainte de sa part, peut-être parce que « la dame n’a pas encore eu le temps, étant donné que son mari a pris une seconde femme. »
« Avant tabaski, migui beugeu inauguré un immeuble. Yaw ‘sa diogou’ soko dioxé un milliard douloko diaaye… »
Au Sénégal, l’homosexualité n’est pas tolérée. Elle est interdite. C’est un délit.L’homosexualité est juridiquement punie et pénalement réprimée au Sénégal en tant qu’attentat aux mœurs. Elle y est qualifiée juridiquement d’ « acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe », et […]
POLITIQUEAu Sénégal, l’homosexualité n’est pas tolérée. Elle est interdite. C’est un délit.
L’homosexualité est juridiquement punie et pénalement réprimée au Sénégal en tant qu’attentat aux mœurs. Elle y est qualifiée juridiquement d’ « acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe », et punie d’un à cinq ans de prison.
L’homosexualité est punie au Sénégal par l’article 319 du Code pénal, alinéa 3, issu de la loi 66-16 du 12 février 1966 qui dispose : « Sans préjudice des peines plus graves prévues par les alinéas qui précédent ou par les articles 320 et 321 du Code pénal, sera puni d’un emprisonnement d’un à cinq ans et d’une amende de 100 000 à 1 500 000 francs, quiconque aura commis un acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe. Si l’acte a été commis avec un mineur de 21 ans, le maximum de la peine sera toujours prononcé ».
Monsieur Ousmane Sonko doit retirer ses propos mensongers et présenter ses excuses aux étudiants et aux Sénégalais.
Cette déclaration est contraire à ses engagements antérieurs de criminaliser l’homosexualité une fois arrivé au pouvoir.
Comment Monsieur Sonko, Premier ministre du Sénégal, peut-il mentir sur la tolérance de l’homosexualité alors qu’elle est prohibée par le législateur sénégalais et qu’il n’y a guère longtemps le corps d’un présumé homosexuel a été déterré et entièrement brulé à Kaolack par une meute de jeunes fanatiques et barbares ?
Certes Ousmane Sonko était un député incompétent. Il était absentéiste et ne fréquentait guère la bibliothèque de l’Assemblée nationale.
Son absence de culture générale et de culture d’Etat peut-elle justifier d’ignore que le Sénégal a pénalisé l’homosexualité depuis 1966 ?
Contrairement à ses affabulations devant Mélenchon, le Sénégal réprime l’homosexualité. La loi y prévoit des sanctions. Les juges ont souvent prononcé des condamnations pénales et pécuniaires.
Dans notre pays, les relations homosexuelles sont passibles d’emprisonnement.
Le code pénal sénégalais considère explicitement les relations entre adultes de même sexe comme des délits.
L’homosexualité est punie par la loi, les personnes homosexuelles ou soupçonnées de l’être vivent dans la peur d’être arrêtées, condamnées ou lynchées.
Dans ces conditions, parler de tolérance de l’homosexualité est un gros mensonge. Mais il faut reconnaître que Sonko n’a jamais eu la moindre gêne de mentir en public ou face caméra. C’est même dans son ADN politique.
Le pire est que la déclaration de Sonko sur la gestion de l’homosexualité jure d’avec ses engagements antérieurs sur la question.
Le 12 mars 2022, il promettait de durcir les sanctions contre l’homosexualité dans un retentissant tweet dont le contenu était le suivant : « Si je suis élu président du Sénégal, la loi criminalisant l’homosexualité sera l’une des premières que je ferai voter ». À l’époque il évoquait la religion et son souci « de préservation de notre humanité », pour justifier sa position anti homosexualité ».
Sur l’homosexualité au Sénégal, Sonko a menti et trahi sa promesse de criminalisation.
Sur la question de l’homosexualité, Ousmane Sonko a fait preuve d’une grande lâcheté devant Jean Luc Mélenchon lorsqu’il affirme, toute honte bue, que le phénomène est toléré au Sénégal. Il a trahi sa base fanatique et ses soutiens issus pour beaucoup des milieux extrémistes et des associations religieuses, qui avaient fait de la manipulation sur le sujet une arme contre le régime précédent.
Le discours de Sonko rappelle son recours systématique au double langage pour toujours dire ce qui plaît à son interlocuteur du moment. Et ce contrairement à Jean-Luc Mélenchon qui a fait preuve de plus d’honnêteté, de courage et de cohérence. Ce dernier est resté constant et conséquent avec la ligne de son parti La France insoumise. Ce qui est aux antipodes des reniements répétitifs du chef de Pastef et du gouvernement sénégalais.
Pour terminer, je voudrais condamner l’attitude opportuniste du Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop.
Le Professeur Ahmadou Aly Mbaye a violé la décision du Conseil académique portant suspension de toutes les activités politiques dans le campus universitaire. Cette suspension n’est pas encore levée. Par conséquent, le Recteur ne devrait pas autoriser cette rencontre qui n’a aucun caractère officiel et scientifique encore moins y prendre part.
Il s’y ajoute que le Pastef est une association privée. Il peut recevoir Jean Luc Mélenchon et organiser une rencontre entre lui et ses militants où il veut sauf à l’Ucad aussi longtemps que reste en vigueur la décision du Conseil académique.
Vive le Sénégal !
Vive la République !
Dakar, le 17 mai 2024
Moustapha Diakhaté
Lors d’une conférence co-animée par Ousmane Sonko, et Jean-Luc Mélenchon, fondateur de La France Insoumise, le leader de Pastef a fait des remarques notables sur la polygamie. Ousmane Sonko a déclaré que bien que la polygamie soit interdite en France, cela ne l’empêcherait pas de […]
POLITIQUELors d’une conférence co-animée par Ousmane Sonko, et Jean-Luc Mélenchon, fondateur de La France Insoumise, le leader de Pastef a fait des remarques notables sur la polygamie.
Ousmane Sonko a déclaré que bien que la polygamie soit interdite en France, cela ne l’empêcherait pas de se rendre à Paris avec les deux dames. Cette déclaration a été perçue comme une affirmation de son identité culturelle et une défiance des lois françaises.
La rencontre entre Ousmane Sonko et Mélenchon avait pour objectif de discuter des relations entre la France et le Sénégal. Mélenchon a souligné les différences de programme entre les deux leaders mais a noté leur volonté commune de lutter contre ce qu’ils perçoivent comme des dérives autoritaires de leurs gouvernements respectifs.
Ces déclarations et cette collaboration visent à renforcer les liens entre les mouvements politiques des deux pays, tout en défendant les traditions culturelles et les droits individuels.
Le président du mouvement AGIR a tenu à rappeler au nouveau régime sa promesse d’une loi criminalisant l’homosexualité après que le premier ministre Ousmane Sonko s’est exprimé sur la question, ce jeudi 16 mai à l’occasion d’une conférence qu’il a co-animée avec Jean Luc Mélenchon. « Ils […]
POLITIQUELe président du mouvement AGIR a tenu à rappeler au nouveau régime sa promesse d’une loi criminalisant l’homosexualité après que le premier ministre Ousmane Sonko s’est exprimé sur la question, ce jeudi 16 mai à l’occasion d’une conférence qu’il a co-animée avec Jean Luc Mélenchon.
« Ils avaient opté pour la criminalisation. Ils l’avaient déclaré publiquement et l’avaient aussi signé à travers le mémorandum des législatives 2022 de And Samm Jikko Yi (ASJ) » ASSOCIATION POUR LA PRESERVATION DES VALEURS (APV) » a-t-il écrit.
Par ailleurs, Thierno Bocoum invite les dirigeants actuels à exprimer « définitivement une position très claire sur le gordjiguénisme, qu’ils matérialiseront à travers une loi ». Ce dernier estime que « se limiter à dire que cela ne fait pas partie de nos valeurs, ce n’est pas faire plus que le régime précédent qu’ils avaient accusé d’en faire la promotion ».
Des taximen comptent organiser une marche motorisée, ce samedi 18 mai à bord de leurs taxis. Ce, pour dénoncer au transport irrégulier, mais aussi exiger l’abrogation du décret 847 signé le 28 mars 2024 par le président Macky Sall et le renouvellement du parc automobile. Après avoir […]
SOCIETÉDes taximen comptent organiser une marche motorisée, ce samedi 18 mai à bord de leurs taxis. Ce, pour dénoncer au transport irrégulier, mais aussi exiger l’abrogation du décret 847 signé le 28 mars 2024 par le président Macky Sall et le renouvellement du parc automobile. Après avoir déposé une plainte auparavant contre les applications qui favorisent le transport irrégulier.
Et dans cette lettre d’information adressée à l’autorité administrative, les signataires soutiennent : «Le Mouvement Dolel transport vient auprès de votre haute autorité déclarer la tenue de notre marche motorisée le samedi 18 mai 2024 de 11 heures à 13 heures, avec comme point de départ la Vdn, en face des résidences Mamoune et avec comme point d’arrivée l’intersection relais, sur la route de Ouakam».
Sur les motifs avancés pour justifier ce mouvement d’humeur, les signataires mentionnent «la lutte contre les applications qui favorisent le transport irrégulier (Yango-Yassir- Heetch- Kay nu Dem), entre autres points.
Etre mère célibataire peut parfois être compliqué à vivre. Car, au fur et à mesure que les enfants grandissent et atteignent l’adolescence, les soucis et inquiétudes se multiplient. Si certaines peuvent gérer les crises de leur progéniture, d’autres y arrivent difficilement. Awa Ndoye, 36 ans, […]
SOCIETÉEtre mère célibataire peut parfois être compliqué à vivre. Car, au fur et à mesure que les enfants grandissent et atteignent l’adolescence, les soucis et inquiétudes se multiplient. Si certaines peuvent gérer les crises de leur progéniture, d’autres y arrivent difficilement.
Awa Ndoye, 36 ans, est mère de cinq enfants. Elle est divorcée depuis sept ans et depuis lors, elle a la garde de ses enfants avec qui elle partage la même chambre.
Awa est femme de ménage et commerçante. Avec ses deux métiers, elle arrive tant bien que mal à s’occuper de ses enfants. « Depuis mon divorce, mon ex-mari a complètement tourné le dos à la progéniture. Il ne se soucie pas des enfants. C’est moi qui les nourrit et les soigne quand ils sont malades », confie la mère de famille.
Awa est depuis quelque temps confrontée à un un sérieux problème. Son fils lui en fait voir des vertes et des pas mûres. «Mon fils aîné a 17 ans. Il était à l’internat et a refusé d’y retourner quand il était venu passer la Korité en famille. Depuis lors, il est méconnaissable. Il s’en prend à ses sœurs en les frappant, il se bat et maintenant il ose même amener des filles dans ma propre chambre », se désole Awa qui se sent impuissante face à cette situation.
«J’ai même pensé à aller voir la police pour qu’on le corrige. Il y a quelques jours, quand j’ai reçu ma paie sur mon téléphone, il est allé retirer l’argent et a effacé toute traçabilité de la transaction », raconte la trentenaire qui pense avoir échoué en tant que mère. Elle en veut aussi énormément à son ex mari et à sa famille qui ne se soucient pas d’elle. «Les enfants auraient pu être bien éduqués si leur père gardait un œil sur eux. Depuis qu’il a construit une nouvelle famille, c’est comme s’il n’avait jamais été père. Je vis avec mes frères mais ils se comportent comme si j’étais leur colocataire. Je me sens seule », raconte-t-elle avec beaucoup d’amertume.
La jeune mère vit constamment dans la peur que son fils emprunte le chemin de la délinquance. «Mon fils est violent envers tout le monde et le fait qu’il commence à voler m’empêche de dormir car je sais que si je n’ai pas de l’aide, il va sombrer », confesse Awa.
Le cas de Absa Faye est tout aussi délicat. Son fils âgé maintenant de 21 ans ne lui adresse pas la parole depuis 5 ans. En effet, le jeune homme qui était âgé de 16 ans commençait à lui manquer de respect, à voler et à se droguer. Incapable de trouver seule une solution, elle est partie à la police pour porter plainte. « Il a été convoqué et les policiers lui ont fait peur. Même si depuis lors il a arrêté, nos relations se sont détériorées. Mon fils, qui avant était mon complice, est devenu froid et on vit comme des locataires », regrette-t-elle.
Absa fait tout pour retrouver la complicité qu’elle avait avec son aîné, mais ce dernier ne lui facilite pas la tâche. « Il quitte la maison très tôt et rentre tard. Parfois même, il passe la nuit dehors », confie la maman affligée.
«il est possible que l’absence d’un père dans le processus de maturation du jeune soit la cause de sa révolte contre ses proches »
Selon le psychologue Khalifa Diagne, les jeunes peuvent avoir un comportement inconcevable à l’endroit de leurs proches, en l’absence d’un père, pour différentes raisons. C’est pourquoi chaque cas doit être étudié individuellement.
“Toutefois, si l’on doit parler dans un cadre général, il faut comprendre que dans ce que nous considérons comme jeunesse chez nous, il y a la période d’adolescence qui est une période de révolte. C’est une période de crise parce que la personne vit une transition entre l’enfance et l’adulte”, analyse-t-il.
“Par conséquent, poursuit-il, il est bien possible que l’absence d’un père dans le processus de maturation du jeune soit effectivement la cause de sa révolte contre ses proches. Il peut en vouloir à sa mère et s’en prendre particulièrement à elle en la prenant comme un bouc-émissaire ou la coupable qui lui a privé d’un père. Pire, si le jeune pense ou découvre que son entourage, sa mère en premier, lui ment à propos de son père, c’est un facteur aggravant de sa mutinerie. Ce sont des cas qu’on rencontre malheureusement et régulièrement dans notre société puisqu’en l’absence d’un père pour diverses raisons (refus de reconnaissance, abandon, désaveu de paternité, ect.), certaines familles ont tendance à vouloir trouver des éléments de langage enveloppés par un tissu de mensonges pour étouffer le questionnement du jeune.”
L’absence d’une figure paternelle rend vulnérable la mère
Toujours selon le psychologue, dans une famille normale il faut un père et une mère. L’absence de l’une ou de l’autre complique toujours l’éducation en général et du jeune en particulier. “Dans une société comme la nôtre où l’autorité parentale est détenue par le père, vous comprenez aisément que son absence fragilise et rend vulnérable la mère en ce sens que le jeune cède plus facilement aux tentations de défiance”, observe-t-il.
Quelqu’un pour jouer le rôle de père ?
Selon Khalifa Diagne, les solutions doivent être adaptées à chaque cas. D’abord, estime-t-il, sur les raisons de l’absence du père, il faut trouver les éléments de langage adéquat pour en parler à l’enfant puisque cela ne peut pas manquer de faire l’objet de questionnement de sa part. « Même s’il garde le silence, il se questionne à ce propos. Ensuite, il s’agira, si possible, de trouver une personne de confiance qui pourrait jouer le rôle de père à côté de la mère », explique M. Diagne.
En marge de sa visite de travail au Nigeria, le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye a reçu le président de la Commission de la CEDEAO. Selon la présidence, Omar Alieu Touray s’est réjoui d’avoir reçu les orientations et l’engagement du Président Bassirou Diomaye Faye […]
afriqueEn marge de sa visite de travail au Nigeria, le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye a reçu le président de la Commission de la CEDEAO.
Selon la présidence, Omar Alieu Touray s’est réjoui d’avoir reçu les orientations et l’engagement du Président Bassirou Diomaye Faye à œuvrer pour l’unité de la CEDEAO et l’intégration régionale.
En visite de travail à Abuja, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a été chaleureusement accueilli par les autorités nigérianes à son arrivée à l’Aéroport International Nnamdi Azikiwe.
Le Sénégal s’oppose à toute tentative d’imposer la légalisation des pratiques LBGT. C’est en résumé le discours d’Ousmane Sonko ce jeudi à l’Ucad lors d’une conférence coanimée avec l’opposant français Jean Luc Mélenchon sur le thème « Echanges sur l’avenir des relations Afrique-Europe ». Cette question subitement […]
POLITIQUELe Sénégal s’oppose à toute tentative d’imposer la légalisation des pratiques LBGT. C’est en résumé le discours d’Ousmane Sonko ce jeudi à l’Ucad lors d’une conférence coanimée avec l’opposant français Jean Luc Mélenchon sur le thème « Echanges sur l’avenir des relations Afrique-Europe ».
Cette question subitement érigée en débat prioritaire au sein des opinions occidentales, corrélée à celle des nouveaux droits tels que ceux liés aux genres, cristallisent énormément de passion et d’incompréhension tant elle met face à face des cultures, des civilisations et des systèmes politiques à la vision diamétralement opposés.
Pour Ousmane Sonko, le Sénégal est un pays fondamentalement laïc, non pas dans le sens d’un Etat athée, mais plutôt d’un Etat équidistant et respectueux de tous les cultes et d’une tolérance ethnique, religieuse universellement saluée et donnée en exemple.
« Rien n’y personne ne remettra en cause ce model séculaire, qui précède même l’avènement de l’Etat sénégalais moderne », a-t-il déclaré face à Jean Luc Mélenchon, même s’il précise respecter le mode de vie occidental. « Même si nous partageons une ossature universelle de la laïcité, chaque société l’adapte à son contexte et à ses réalité socio-culturelle« , a-t-il dit.
La laïcité sénégalaise n’est pas faite de séparation rigide de l’Etat et la religion, « mais d’une complémentarité assumée faisant de l’Etat un acteur du fait religieux qu’il encadre et finance même, et des religieux, des régulateurs sociaux indispensables à l’apaisement et à la stabilisation de la vie politique« , poursuit le leader du Pastef.
Pour lui, chaque Etat a ses réalités socio-culturelles, et il faut que la communauté internationale apprenne à les respecter. Ousmane Sonko appelle le monde occidental à faire preuve de respect, de réciprocité et de tolérance. « Le mode de vie ne peut pas être uniforme et universel, il doit souffrir de quelques exceptions ça et là », a-t-il ajouté.
Sur les pratiques des LGBT, « le Sénégal et beaucoup de pays africains ne peuvent accepter une quelconque velléité de leur imposer la légalisation ce phénomène », a-t-il conclu clairement.
L’opposant français Jean Luc Mélenchon a défendu la cause de l’homosexualité devant le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko. Le leader de La France Insoumise s’exprimait ce jeudi 16 mai 2024, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, dans la conférence commune qu’il a tenue avec […]
SOCIETÉL’opposant français Jean Luc Mélenchon a défendu la cause de l’homosexualité devant le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko. Le leader de La France Insoumise s’exprimait ce jeudi 16 mai 2024, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, dans la conférence commune qu’il a tenue avec le leader de Pastef, chef du gouvernement.
« Je suis le premier législateur français qui ait déposé un texte de loi à propos de la possibilité du mariage homosexuel…Je suis hétérosexuel« , a fait savoir Jean Luc Melenchon.
Droit dans ses bottes, le français ajoute : « je pense que cette liberté d’amour devrait être ouvert à tous. J’assume cette position et je ne cherche pas à vous l’imposer (…) Je sais que la France n’a pas trop de leçons à donner sur la polygamie sur ce qui concerne les pratiques présidentielles, mais pour moi, pour mes compatriotes, nous ne sommes pas favorables…«
À la demande d’Abdoulaye Sylla, Administrateur de société, Maître Adama Dia, Huissier de Justice près les Tribunaux et la Cour d’Appel de Dakar, a délivré une citation directe à des chroniqueurs du Groupe Walfadjri, notamment Pape Sané et Omar Guèye, en sa qualité de complice. […]
justiceÀ la demande d’Abdoulaye Sylla, Administrateur de société, Maître Adama Dia, Huissier de Justice près les Tribunaux et la Cour d’Appel de Dakar, a délivré une citation directe à des chroniqueurs du Groupe Walfadjri, notamment Pape Sané et Omar Guèye, en sa qualité de complice.
Au cours d’une émission, Omar Guèye a déclaré que les travaux de Diamniadio n’ont pas été réalisés et qu’Abdoulaye Sylla a détourné des fonds destinés aux Sénégalais pour financer des influenceurs à son avantage, rapporte Leral.
Selon la même source, il est allégué que ces déclarations visaient à présenter Abdoulaye Sylla comme ayant détourné des centaines de milliards de francs appartenant au peuple sénégalais, en collusion avec l’État et certains ministres, et à les décrire comme des individus mafieux.
D’après le document, le sieur Pape Sané, brandissant des faits faux qu’ils essaient de faire passer pour vrais, dans le seul but de salir les requérants aux yeux de l’opinion et de les exposer à la vindicte populaire.