Membre de la mouvance présidentielle, l’ancien journaliste de Wal Fadjri, n’est pas en phase avec le ministre de la communication, des télécommunications et du Numérique, Moussa Bocar Thiam, qui a décidé de retirer la licence de la Télévision Walfadjri. Pour SJD, la fermeture de Walfadjri, […]
ACTUALITE MEDIASMacky Sall est le seul garant de la paix et de la sécurité dans ce pays, selon le parlementaire de la coalition Yewwi Askan Wi, Abass Fall. Invité de la “Matinale” de RFM, il a insisté sur le fait « qu’on parle de décrispation de […]
ACTUALITE POLITIQUELe président de la République n’était pas dans les dispositions physiques pour présider la réunion du Conseil des ministres à l’heure habituelle et en avait déjà informé le Premier ministre, a indiqué, jeudi, le patron du Groupe Avenir communication. Selon Madiambal Diagne, il n’y a […]
ACTUALITE POLITIQUELa Commission électorale nationale autonome (CENA) a publié son rapport sur l’organisation des élections législatives du 31 juillet dernier. Elle conclut que le Code électoral mérite d’être revu en profondeur. Dans ce sens, la Commission dirigée par Doudou Ndir, reprise par Bés Bi, a effectué une […]
ACTUALITE POLITIQUELa Commission électorale nationale autonome (CENA) a publié son rapport sur l’organisation des élections législatives du 31 juillet dernier. Elle conclut que le Code électoral mérite d’être revu en profondeur. Dans ce sens, la Commission dirigée par Doudou Ndir, reprise par Bés Bi, a effectué une série de recommandations dont certaines concernent le parrainage, qui fait débat.
La CENA plaide pour une baisse du nombre de parrains demandés aux élections présidentielle et législatives, la suppression des doublons, le versement des surplus dans le fichier général, la codification du principe du tirage au sort pour l’ordre de dépôt des parrainages et des candidatures.
Sommes-nous au terme de l’instruction dans le dossier «Sweet Beauty» ? En tout cas, selon Les Échos, le Doyen des Juges a presque fini de poser les actes d’instruction. Après les documents d’expertise, le magistrat instructeur a entendu presque tous ceux dont le témoignage pourrait […]
ACTUALITE SOCIETESommes-nous au terme de l’instruction dans le dossier «Sweet Beauty» ? En tout cas, selon Les Échos, le Doyen des Juges a presque fini de poser les actes d’instruction.
Après les documents d’expertise, le magistrat instructeur a entendu presque tous ceux dont le témoignage pourrait participer à la manifestation de la vérité.
À la suite du médecin Al Fousseynou Gaye qui avait examiné Adji Sarr, la première fois, le magistrat instructeur a entendu d’autres personnes du corps médical, notamment la sage-femme. Le mari de Ndèye Khady Ndiaye, la propriétaire du Salon Sweet Beauté, Mme Tall, Sidy Ahmed Mbaye, sont tous passés dans le bureau du Doyen des Juges.
Le journal rappelle que lors de son audition par le Doyen des juges d’instruction, Ousmane Sonko avait dit au magistrat que s’il bouclait son dossier sans auditionner Mamour Diallo, le capitaine Touré, et toutes les personnes qu’il a citées, dont il estime qu’ils font partie du complot, son instruction serait incomplète.
Certes, Oumar Maham Diallo n’a pas convoqué Me Dior Diagne, ni Me Pape So, mais il a auditionné le capitaine Touré, contre la volonté du Parquet, Baye Mbaye Niass dit Mc Niass ainsi que Mamour Diallo. Toutes ces personnes entendues ont fait des dépositions parfois contradictoires, dit «Les Échos».
Le juge d’instruction est-il maintenant assez édifié pour prendre une décision ? Me Dior Diagne et Me Pape So seront-ils entendus ? Lui seul en détient la réponse.
À présent, informe le journal, si le procureur ne fait pas un réquisitoire supplétif pour demander un complément d’information, le magistrat instructeur n’a plus autre chose à faire que de boucler le dossier et rendre son ordonnance définitive.
Maintenant, va-t-il rendre une ordonnance de non-lieu et classer cette affaire ? Ou bien va-t-il rendre une ordonnance de renvoi en jugement ? La balle est dans son camp.
Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly avait demandé, avant-hier, à Ousmane Sonko de freiner « ses militants qui insultent les chefs religieux et les hommes politiques ». Cette déclaration a mis les patriotes de Touba dans tous les états. En réaction, le député Cheikh Thioro Mbacké a apporté, hier, […]
ACTUALITE POLITIQUECheikh Abdou Mbacké Bara Dolly avait demandé, avant-hier, à Ousmane Sonko de freiner « ses militants qui insultent les chefs religieux et les hommes politiques ». Cette déclaration a mis les patriotes de Touba dans tous les états.
En réaction, le député Cheikh Thioro Mbacké a apporté, hier, une réplique salée à son collègue Cheikh Abdou Mbacké Bara dans cette vidéo.
Balla Gaye 2 affrontera Boy Niang 2 le 1er janvier prochain à l’Arène nationale. À moins de cinq jours de ce combat, le Lion de Guédiawaye a déserté son lieu d’entraînement habituel, à l’école 16 de la commune de Sam Notaire, antre de l’École de […]
ACTUALITE SOCIETE SPORTSBalla Gaye 2 affrontera Boy Niang 2 le 1er janvier prochain à l’Arène nationale. À moins de cinq jours de ce combat, le Lion de Guédiawaye a déserté son lieu d’entraînement habituel, à l’école 16 de la commune de Sam Notaire, antre de l’École de lutte Balla Gaye 2.
«Nous avons quelques réglages à peaufiner pour sa préparation et nous avons opté pour le huis-clos, renseigne son entraîneur, Lamine Faye, interrogé par L’Observateur. À l’école (16), on n’est pas à l’abri des regards. N’importe qui peut venir nous épier, nous prendre en photo ou en vidéo.»
Lamine Faye précise que Balla Gaye 2 a débuté les séances à huis-clos à un mois du combat. Il passe de temps à temps se ressourcer avant de retourner dans sa Tanière. Elle avait adopté la même stratégie pour son combat contre Gris Bordeaux. Celle-ci lui avait porté chance.
C’est, hier lundi, que les juges du Tribunal des flagrants délits de Dakar devaient rendre leur délibéré dans le dossier Amy Ndiaye. Lundi dernier, les deux députés du Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR), Massata Samb et Mamadou Niang, étaient jugés pour coups et […]
ACTUALITE justiceC’est, hier lundi, que les juges du Tribunal des flagrants délits de Dakar devaient rendre leur délibéré dans le dossier Amy Ndiaye. Lundi dernier, les deux députés du Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR), Massata Samb et Mamadou Niang, étaient jugés pour coups et blessures et menaces de mort. Finalement les prévenus seront fixés sur leur sort le 2 janvier.
Pour rappel, le ministère public avait requis, lors du procès, deux ans de prison ferme contre deux députés. Quant à la partie civile, elle avait réclamé 500 millions F CFA de dommages et intérêts.
Le journaliste, Momar Dieng demande au gouvernement de Macky Sall la libération immédiate de Pape Alé Niang avant que l’irréparable ne se produise. Selon Momar Dieng, nul Gouvernement ne sort indemne de la mort en détention d’un journaliste. « A côté de la responsabilité collective, une […]
ACTUALITE SOCIETELe journaliste, Momar Dieng demande au gouvernement de Macky Sall la libération immédiate de Pape Alé Niang avant que l’irréparable ne se produise.
Selon Momar Dieng, nul Gouvernement ne sort indemne de la mort en détention d’un journaliste. « A côté de la responsabilité collective, une chaine d’autorité politique et judiciaire serait directement impliquée dans un drame », estime-t-il..
Pour le journaliste, la libération de Pape Alé Niang est une nécessité vitale. Hic et nunc.
2022 rime avec couacs pour la compagnie aérienne nationale Air Sénégal, entre difficultés financières, retards des vols, et plusieurs pannes techniques. Le Directeur général de la compagnie, Alioune Badara Fall, a d’ailleurs concédé ses difficultés. “Oui, du 27 novembre au 4 décembre en particulier, nous […]
ACTUALITE SOCIETE2022 rime avec couacs pour la compagnie aérienne nationale Air Sénégal, entre difficultés financières, retards des vols, et plusieurs pannes techniques. Le Directeur général de la compagnie, Alioune Badara Fall, a d’ailleurs concédé ses difficultés. “Oui, du 27 novembre au 4 décembre en particulier, nous avons vécu une véritable série noire, reconnaît-il dans les colonnes de Jeune Afrique. Nous avons eu un avion cloué au sol à la suite d’un bird strike [collision avec un oiseau], un autre qui a percuté une passerelle à la suite d’une mauvaise manipulation des agents aux États-Unis et nos deux A321 n’ont pas pu être libérés de leur visite annuelle à temps parce que les centres de maintenance étaient surbookés. L’un de ces appareils nécessitait en plus des pièces pratiquement introuvables pour le train d’atterrissage. Tout cela fait qu’en six jours, pour différentes raisons, cinq avions ont été immobilisés. Or, en cette période de pointe, il est difficile de trouver des avions à louer au dernier moment”.
Pour autant, Alioune Badara Fall estime que ces contretemps ne sont pas dus à un problème de management ou de compétences au sein de la compagnie : “Nous avons eu comme cela une suite de soucis techniques, indépendants de la gestion d’Air Sénégal, qui ont créé des perturbations. Mais ces problèmes sont aujourd’hui totalement résorbés et tout notre réseau est couvert”.
Fin de partie pour un gang qui s’activait dans le vol avec violence ! Les éléments du commissariat central de Mbour viennent de mettre hors d’état de nuire 8 malfaiteurs. Selon des sources de Seneweb, ces agresseurs ont même attaqué un limier pour voler la […]
ACTUALITE SOCIETEFin de partie pour un gang qui s’activait dans le vol avec violence ! Les éléments du commissariat central de Mbour viennent de mettre hors d’état de nuire 8 malfaiteurs. Selon des sources de Seneweb, ces agresseurs ont même attaqué un limier pour voler la moto qu’il conduisait. En riposte, l’agent de Police a brandi son arme de service pour sortir des griffes de ses agresseurs. Détails !
Dans sa dynamique de lutter contre le sentiment d’insécurité sur la petite côte, la police de Mbour a démantelé une bande de malfaiteurs.
Les hommes du commissaire El Hadji Baïty Séne ont procédé à l’arrestation de 8 présumés agresseurs. Les malfaiteurs étaient en possession de 3 motos jakarta, du chanvre indien et de 300 000 F CFA.
Le gang incriminé a tenté d’agresser un policier pour voler la moto qu’il conduisait pour se rendre au poste de police. Mais, limier a tout bonnement dégainé son pistolet, sans tirer, pour sortir des griffes de ses agresseurs.
A.D a, également, été victime des agissements de cette bande. Le sac de cette femme a été emporté par les malfaiteurs.
Suite à des investigations, les éléments du commissariat central de Mbour ont arrêté les 8 mis en cause avant de retrouver ledit sac volé. La victime A.D a formellement identifié , dans les locaux de la police, S.F.G comme étant l’un de ses agresseurs.
Selon des sources de Seneweb, les malfaiteurs arrêtés par la police, étaient de passage à Mbour pour commettre des forfaits. Ils sont originaires entre Thiès et Louga.
Tout ce beau monde est poursuivi pour association de malfaiteurs, vol en réunion commis la nuit avec usage de moyen de locomotion, détention offre et cession de chanvre.
Etat, partenaires et experts insistent beaucoup sur la nécessité d’accompagner le secteur informel au Sénégal. Mais jusqu’ici, l’Etat n’a pas trouvé la bonne voie. Et d’après l’économiste Abou Kane, professeur titulaire à la Faseg, il se pose un problème d’approche. « L’inefficacité apparente de l’accompagnement […]
ACTUALITE économieEtat, partenaires et experts insistent beaucoup sur la nécessité d’accompagner le secteur informel au Sénégal. Mais jusqu’ici, l’Etat n’a pas trouvé la bonne voie. Et d’après l’économiste Abou Kane, professeur titulaire à la Faseg, il se pose un problème d’approche.
« L’inefficacité apparente de l’accompagnement du secteur informel au Sénégal est liée au fait qu’on essaie de le formaliser, alors qu’on doit le développer sachant que la mutation naturelle d’une activité rentable est la formalisation », explique-t-il dans un entretien avec le journal économique Lejecos dans son numéro hors série de décembre 2022.
L’enseignant insiste sur le fait que la formalisation n’est pas une question de papiers. Ce n’est pas des procédures administratives, mais plutôt une affaire de production, de productivité et de rentabilité. « Même si on accompagne des acteurs de l’informel pour avoir tous les documents possibles, alors que la productivité reste faible, ils resteront informels malgré tout », ajoute-t-il.
Pr Abou Kane pense même que cette stratégie pourrait être contreproductive, car elle risque de braquer les acteurs face à la perspective des taxes et impôts. « La concentration sur des problèmes de papiers juridiques renforce la méfiance des acteurs de l’informel en les confortant (à l’idée) que tout l’intérêt que l’Etat manifeste à leur égard ne se justifie que par des objectifs d’élargissement de l’assiette fiscale et de mobilisation de recettes fiscales supplémentaires ».
Pr Kane revient également avec Lejecos sur la situation économique du Sénégal, le Pap 2a, le secteur privé national et les politiques de la Bceao.
Le Président Macky Sall a reçu, samedi au Palais, un groupe de rappeurs. L’audience s’est déroulée en prélude au concert Taaru Rap Galsen (TRG), tenu le même jour. Le promoteur de cet événement culturel, l’ancien rappeur du groupe Da Brains Tapha Dieng, est l’initiateur de […]
ACTUALITE cultureLe Président Macky Sall a reçu, samedi au Palais, un groupe de rappeurs. L’audience s’est déroulée en prélude au concert Taaru Rap Galsen (TRG), tenu le même jour.
Le promoteur de cet événement culturel, l’ancien rappeur du groupe Da Brains Tapha Dieng, est l’initiateur de la rencontre avec le chef de l’État. «Nous avions d’abord été reçus par le ministre de la Culture, Aliou Sow. Ce dernier a rendu compte au président de la République et Macky Sall a jugé nécessaire de nous recevoir, révèle dans L’Observateur le PDG du label Sen Art Vision. C’est tout à fait légitime. Nous sommes des Sénégalais et il est le président de tous les Sénégalais.»
Tapha Dieng balaie d’un revers de main les soupçons de manœuvres politiciennes du pouvoir dont le but serait de diviser le mouvement hip hop et étouffer des voix discordantes comme Nitdof ou les rappeurs de Y en a marre. «L’audience n’a rien à voir avec de la politique, jure l’ancien rappeur. Tout ce qui est appartenance politique et appartenance religieuse est personnelle. Chacun est libre d’aller voir qui il veut.»
Le PDG de Sen Art Vision estime que «si le président de la République a reçu des promoteurs étrangers de l’événement Afrima, il est tout à fait normal qu’il reçoive des acteurs culturels de son pays».
Tapha Dieng et ses camarades ont quitté le Palais avec quelques retombées pour leur secteur. Le Fonds des cultures urbaines est passé de 300 millions à 1 milliard de francs CFA. Le bureau des cultures urbaines quitte le Palais pour être logé au ministère de la Culture. C’était une doléance des artistes. Cent cinquante emplois directs de l’État seront affectés aux fans des rappeurs. Aussi, pour la tournées nationale, africaine et mondiale de TRG, le chef de l’État a promis son appui, selon l’initiateur du projet.
«L’audience a été très intéressante», tranche Tapha Dieng. Qui ajoute : «Si je dois rencontrer le président de la République, je le ferai sans état d’âme.»