Le député Demba Diop Sy qui a fait l’amendement pour reporter la présidentielle au 15 décembre 2024, dit qu’il n’est pas d’accord que des élections soient reportées. Le maire de Tivaouane accuse le président de la République Macky Sall d’être le seul et unique responsable […]
ACTUALITE POLITIQUEUn accident s’est produit, ce mercredi 07 février 2024, vers 5 heures du matin, à hauteur du Rond-point Diassap, à la sortie de la commune Thiès-Ouest, sur la route de Tivaouane. «Un agent de police répondant au nom de Abdoulaye Ndiaye, en service au poste […]
ACTUALITE SOCIETÉLe drame s’est produit plus précisément entre Ngabou et Ndoulo. Le bilan provisoire est de 4 morts, informe leral.net, en plus des blessés graves.
ACTUALITE SOCIETÉUne explosion jeudi 21 avril dans une mosquée chiite de Mazar-i-Sharif, dans le Nord de l’Afghanistan, a fait au moins 25 victimes, a indiqué à l’AFP un responsable taliban local, deux jours après un attentat contre une école d’un quartier chiite de Kaboul.«Les informations préliminaires […]
ACTUALITE INTERNATIONAL SOCIETEUne explosion jeudi 21 avril dans une mosquée chiite de Mazar-i-Sharif, dans le Nord de l’Afghanistan, a fait au moins 25 victimes, a indiqué à l’AFP un responsable taliban local, deux jours après un attentat contre une école d’un quartier chiite de Kaboul.
«Les informations préliminaires confirment qu’il y a au moins 25 victimes», a déclaré à l’AFP Zabihullah Noorani, chef du service de l’Information et de la Culture de la province de Balkh, dont Mazar-i-Sharif est la capitale.
Pour les cinq représentants de l’Afrique, la préparation du Mondial 2022 va se chevaucher avec le début des qualifications de la CAN 2023, prévu en juin prochain. Dans ce contexte, le Sénégal entend faire d’une pierre deux coups. Considérer son entrée dans la course pour […]
ACTUALITE SPORTSPour les cinq représentants de l’Afrique, la préparation du Mondial 2022 va se chevaucher avec le début des qualifications de la CAN 2023, prévu en juin prochain.
Dans ce contexte, le Sénégal entend faire d’une pierre deux coups. Considérer son entrée dans la course pour la prochaine CAN comme son premier match de préparation pour le rendez-vous qatarien.
Mais la Direction technique nationale, le sélectionneur national, Aliou Cissé, et la Fédération sénégalaise de football (FSF) espèrent que les Lions pourront effectuer deux autres sorties amicales avant de jouer le match d’ouverture du Mondial, le 21 novembre prochain contre les Pays-Bas.
«En juin, c’est sûr, on aura un match. On va voir la formule pour pouvoir avoir un autre match en septembre et bien sûr (un troisième) au mois de novembre, juste avant la compétition», renseigne le président de la FSF, Augustin Senghor, repris par Source A dans son édition de ce jeudi.
Le patron du football sénégalais s’exprimait en marge de la cérémonie de dédicace de «Cœur de Lion ; l’épopée victorieuse du Sénégal au Cameroun», le livre du journaliste Babacar Khalifa Ndiaye consacré à la victoire des Lions à la CAN 2021.
Depuis quelques semaines, l’armée sénégalaise bombarde les positions rebelles situées dans le Nord-Sindian. En marge de ces opérations militaires, les attaques à mains armées contre les voyageurs se sont multipliées dans la zone. Pour leur éviter d’être la cible des braqueurs, la France a envoyé […]
ACTUALITE INTERNATIONAL SOCIETEDepuis quelques semaines, l’armée sénégalaise bombarde les positions rebelles situées dans le Nord-Sindian. En marge de ces opérations militaires, les attaques à mains armées contre les voyageurs se sont multipliées dans la zone. Pour leur éviter d’être la cible des braqueurs, la France a envoyé une alerte à ses ressortissants.
«Dans le contexte des opérations militaires en cours au Nord de la Casamance, il est fortement déconseillé de circuler, dans la zone comprise entre Bignona et la frontière gambienne», indique le ministère français des Affaires étrangères dans une note reprise dans l’édition de ce jeudi du journal Libération.
Le Quai d’Orsay d’ajouter : «La route nationale 5 reliant Bignona à la frontière gambienne et la route nationale 4 sur le tronçon reliant Bignona à la frontière gambienne sont également déconseillées.»
A quelques mois des élections législatives, Macky Sall ne badine pas. À preuve, des maires de l’opposition comme des indépendants, rallient en masse pour goûter aux délices du pouvoir. Il ne lésine pas sur les moyens. Tous les moyens sont bons pour le leader de […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEA quelques mois des élections législatives, Macky Sall ne badine pas. À preuve, des maires de l’opposition comme des indépendants, rallient en masse pour goûter aux délices du pouvoir. Il ne lésine pas sur les moyens.
Tous les moyens sont bons pour le leader de la majorité pour réduire l’opposition à sa plus simple expression. Avec les Locales perdues, il tente dans le cadre des élections législatives de démanteler les bases de l’opposition pour massifier la sienne et reconquérir les localités perdues. Bamba Fall de la Médina élu sous Gueum sa bopp, Djibril Wade de la Biscuiterie, élu sous la bannière de Wallu Sénégal, Dame Beye Ba de Ndiébel de la coalition Yewwi askan wi et Abdou Aziz Gueye de Ouakam, candidat indépendant sont les maires élus ou réélus sous la bannière de l’opposition ou sous une bannière neutre. Ils ont tous rejoint le camp de la majorité.
L’officialisation de leur ralliement remet au goût du jour la stratégie du régime en place pour démanteler des bases de l’opposition ou renforcer la majorité. Pour le cas Dame Beye Ba, c’est depuis la prison où il était détenu qu’il a fait l’annonce. Poursuivi pour escroquerie présumée dans une affaire civile par ses partenaires, son ralliement sonne comme une délivrance pour se tirer d’affaires.
Abdou Aziz Gueye, candidat indépendant, lui, orne le tableau de chasse de Macky Sall qui a en ligne de mire les Législatives. En disant oui à Macky Sall, la commune de Ouakam bénéficie d’une importante assiette foncière pour l’érection d’un stade. Du donnant du donnant, aux yeux des observateurs de la scène politique. Pour le cas Bamba Fall, d’aucuns brandissent la thèse de sa gestion jugée chaotique. L’on se rappelle qu’en 2021, l’ARMP l’avait été épinglé pour un marché de 193 millions de FCFA relatif à la réalisation de pavage pour la stabilisation des trottoirs.
Cette politique du ventre rappelle à bien des égards celle de l’ancien régime Abdoulaye Wade et n’est pas une assurance tout risque.
Après la nomination de Capitaine Touré, hier à la mairie de Dakar, c’est au tour de l’activiste Guy Marius Sagna d’être promu par le maire de Dakar, Barthélemy Dias. L’annonce a été faite par Barth lui-même sur sa page facebook. « Ce mercredi, c’est avec plaisir […]
ACTUALITE SOCIETEAprès la nomination de Capitaine Touré, hier à la mairie de Dakar, c’est au tour de l’activiste Guy Marius Sagna d’être promu par le maire de Dakar, Barthélemy Dias. L’annonce a été faite par Barth lui-même sur sa page facebook. « Ce mercredi, c’est avec plaisir que j’ai reçu Guy Marius Sagna, qui intègre désormais mon cabinet », informe le maire de Dakar. Ce dernier d’ajouter : « Guy Marius Sagna est nommé conseiller technique chargé des affaires sociales et de la réinsertion ».
Les travailleurs de la santé et de l’action sociale annoncent une grève de 24 heures demain. Ils réclament une enquête impartiale dans l’affaire Astou Sokhna. Ledit collectif dénonce par ailleurs les décisions qu’ils jugent hâtives dans le cadre de cette affaire notamment le limogeage du […]
ACTUALITE SOCIETELes travailleurs de la santé et de l’action sociale annoncent une grève de 24 heures demain. Ils réclament une enquête impartiale dans l’affaire Astou Sokhna. Ledit collectif dénonce par ailleurs les décisions qu’ils jugent hâtives dans le cadre de cette affaire notamment le limogeage du directeur de l’hôpital.
Le mari de la victime quant à lui salue l’avancée noté dans le dossier judiciaire avec la mise sous mandat de dépôt de quatre sages-femmes de L’hôpital de Louga. Toutefois, il demande à la justice d’aller jusqu’au bout. Il ne manque pas de dénoncer la levée de bouclier des travailleurs de la santé. Pour lui, ces travailleurs doivent laisser la justice faire son travail.
Modou Mboup : «Nous n’avons pas de problèmes avec les sages-femmes, tout ce que nous voulons c’est que justice soit faite. Nous nous réjouissons de l’avancée notée dans le dossier et espérons que la justice ira jusqu’au bout parce que ce n’est pas normal qu’une femme enceinte soit négligée par d’autre femmes au point de perdre la vie. C’est inacceptable ».
Le Saes, en effet, se dit « conscient de l’importance que représente le système sanitaire de notre pays ». Il « invite les autorités à réfléchir sur la nécessité de rationaliser et de contrôler les écoles de formation en santé », ajoutant considérer la santé comme « une question de […]
ACTUALITE SOCIETELe Saes, en effet, se dit « conscient de l’importance que représente le système sanitaire de notre pays ». Il « invite les autorités à réfléchir sur la nécessité de rationaliser et de contrôler les écoles de formation en santé », ajoutant considérer la santé comme « une question de haute importance sociale et de souveraineté nationale ».
Aussi, le Saes invite-t-il l’Etat « à repenser le modèle et la pertinence du transfert de cette compétence aux collectivités territoriales ». « Le Saes demande à l’Etat du Sénégal de travailler à la mise en place, dans le cadre d’une stratégie décennale, d’un plateau technique relevé et des conditions optimales d’exercice pour les professionnels de la santé », poursuit le communiqué.
En ce qui concerne l’affaire Astou Sokhna, décédée en couches le 1er avril dernier, le Saes déplore les circonstances de ce drame, mais « appelle au sens élevé des responsabilités des uns et des autres pour gérer au mieux cette situation regrettable ».
A ce propos, le syndicat demande que « l’enquête ouverte soit menée jusqu’à terme et que les mesures appropriées soient prises et appliquées ». Enfin, le Syndicat autonome des enseignants du supérieur invite les personnels de santé à « redoubler davantage d’efforts dans l’humanisme et l’empathie, devant la détresse des patients ».
Pour lutter contre les inondations, un programme d’urgence est en train d’être élaboré dans la ville sainte de Touba.Il s’agira de travaux de curage qui vont être réalisés dans les plus brefs délais. Ils concernent aussi bien les eaux usées que les eaux pluviales.Par ailleurs, […]
ACTUALITE SOCIETEPour lutter contre les inondations, un programme d’urgence est en train d’être élaboré dans la ville sainte de Touba.
Il s’agira de travaux de curage qui vont être réalisés dans les plus brefs délais. Ils concernent aussi bien les eaux usées que les eaux pluviales.
Par ailleurs, un processus de passation des marchés est déjà lancé selon, Pedre Sy, Directeur des Opérations de l’Office national de l’assainissement au Sénégal (ONAS).
Il s’est exprimé pendant une présentation des projets d’assainissement pour préparer l’hivernage et prévenir les inondations. Cela dans le cadre d’un conseil régional de développement qui réunit ce mercredi à Dakar tous les acteurs qui interviennent dans la lutte contre l’inondation.
Ces travaux, a relevé Pedre Sy, concernent également les régions de Dakar, Sédhiou, Kaolack, entre autres, où des problèmes d’inondation ont été enregistrés.
Les travailleurs de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga ont observé un sit-in ce matin dans l’enceinte de l’hôpital pour dénoncer l’arrestation des sages-femmes placées sous mandat de dépôt dans l’affaire Astou Sokhna décédée en couches à la maternité dudit hôpital. Ils ont décrété 72 heures […]
ACTUALITE SOCIETELes travailleurs de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga ont observé un sit-in ce matin dans l’enceinte de l’hôpital pour dénoncer l’arrestation des sages-femmes placées sous mandat de dépôt dans l’affaire Astou Sokhna décédée en couches à la maternité dudit hôpital.
Ils ont décrété 72 heures de grève renouvelable pour exiger la libération immédiate des sages-femmes arrêtées et la fermeture temporaire du service de la maternité. Ils ont par ailleurs réclamé la démission du ministre de la Santé et de l’action sociale Abdoulaye Diouf Sarr.
« Nous exigeons la libération de toutes les sages-femmes car leur place n’est pas à la prison », a laissé entre docteur Souleymane Loucar, porte-parole de l’intersyndicale des travailleurs de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga.
Le représentant du Ministère public a requis, hier, contre le couple Modou Fall et Ramatoulaye Sambou une peine de réclusion criminelle de 10 ans. Ces derniers sont jugés pour des faits d’association de malfaiteurs et de trafic de drogue. Ils seront fixés sur leur sort […]
ACTUALITE SOCIETELe représentant du Ministère public a requis, hier, contre le couple Modou Fall et Ramatoulaye Sambou une peine de réclusion criminelle de 10 ans. Ces derniers sont jugés pour des faits d’association de malfaiteurs et de trafic de drogue. Ils seront fixés sur leur sort le 03 mai prochain.
Le manque d’affection parentale, qui frappe les deux enfants du couple Fall, risque de persister si le juge de la Chambre criminelle applique les réquisitions du Ministère public. Ce dernier a requis, hier, une peine de réclusion criminelle de 10 ans à l’encontre des époux Modou Fall et Ramatoulaye Samb. Domicilié à la cité Millionnaire de Grand-Yoff, le couple est poursuivi pour des faits d’association de malfaiteurs et de trafic intérieur de drogue. Il comparaissait devant le juge de la Chambre criminelle de Dakar. En effet, Modou Fall et Ramatoulaye Sambou ont été arrêtés suite à une dénonciation anonyme. Les renseignements, qui ont été portés à la connaissance des gendarmes, faisaient état d’un réseau de trafic de chanvre indien animé par le couple. Pour démanteler les présumés trafiquants, les agents enquêteurs les ont pris en filature. En effet, les flics se sont rendus à Grand Yoff, près de la maison des suspects, pour y mettre en place un dispositif de surveillance. C’est deux jours après, le 09 février 2020, vers les coups de 22 heures, qu’ils ont aperçu l’accusée Rokhaya Sambou sortir de sa maison avec en sa possession un sachet contenant du chanvre indien pesant environ un kilogramme. Elle allait à la rencontre de Pierre Gomis à qui elle a remis le sachet. C’est ainsi qu’ils ont, tous les deux, été arrêtés et conduits à l’unité d’enquête. Ce, après avoir procédé à une perquisition du domicile de la dame qui s’est soldée par la découverte de 200 kilogrammes de chanvre indien.
Ramatoulaye confie en premier qu’elle s’approvisionnait en chanvre indien en Casamance, avant de le vendre à Dakar
Déjà en cours de route, Ramatoulaye est passée aux aveux. Elle déclare s’adonner à la vente du produit prohibé et s’approvisionnait en Casamance. Ce, avant de revenir dans ses déclarations pour imputer la paternité de la drogue à son époux. À l’en croire, elle ne faisait que livrer la drogue que son mari lui chargeait de remettre à ses clients. Entendu à son tour, Pierre Gomis a reconnu avoir fait la commande du kilogramme de drogue saisi lors de leur arrestation, Rokhaya et lui. Selon lui, c’est le nommé Nar, sans autres précisions, qu’il a connu dans une cellule de garde-à-vue qui lui avait donné le numéro de Ramatoulaye.
N’ayant pas été trouvé chez lui au moment de l’interpellation de son épouse, Modou Fall, lui, s’était fondu dans la nature. C’est quelques jours après qu’il a été alpagué à Fatick. Entendu, Modou Fall, lui aussi, a été constant aussi bien à l’enquête qu’à l’instruction. D’après lui, la marchandise venait de la Casamance et c’est le marabout Cheikh Abdou Mbacké qui l’avait convoyé à bord d’un véhicule. La perquisition de la maison de Cheikh Abdou Mbacké à Touba s’est révélée infructueuse.
Accusés d’association de malfaiteurs et de trafic de chanvre indien, le couple Fall a fait, hier, de la dénégation leur moyen de défense. Interrogée en première, l’épouse Ramatoulaye a battu en brèche ses déclarations faites à l’enquête préliminaire. Employée au restaurant Hong Kong, l’accusé indique que la drogue dont elle ignore la quantité a été retrouvée dans sa salle de bain et non par dévers elle. « Quand les policiers ont trouvé la drogue dans un sac noir, je leur ai dit de demander des comptes à mon appui parce que j’ignorais la provenance de la drogue. J’ai appelé celui-ci au téléphone et l’un d’eux a arraché l’appareil avant de me conduire dans leur véhicule », fait croire la dame, tout de noir habillée.
Jugé par le passé pour les mêmes faits, le commerçant Modou Fall a cassé du sucre sur le dos du marabout Cheikh Abdou Mbacké. Selon lui, c’est ce dernier qui lui a confié les deux sacs de chanvre. À la question du magistrat de savoir pourquoi il a pris la fuite dès qu’il a appris la présence des enquêteurs dans son domicile, l’accusé rétorque : « Je n’ai pas pris la fuite. Au moment de l’interpellation de mon épouse, je me rendais à Fatick. Quand elle m’a informé de la présence des gendarmes, je lui ai fait savoir que c’est Cheikh Abdou Mbacké qui m’a confié la drogue.»
Seul à reconnaître les faits d’offre et de cession de chanvre indien qui lui sont reprochés, le maçon Pierre Gomis révèle avoir acheté le kilogramme à 50.000 francs. Toutefois, il a quelquefois varié dans ses déclarations faites à l’enquête en contestant avoir acheté la drogue chez Ramatoulaye Sambou. Mieux, il soutient avoir été arrêté à Khar Yalla et non à Grand Yoff. « Celui qui m’a livré le chanvre s’appelle Nar. Je l’ai connu au commissariat de Grand Yoff lors d’un contrôle d’identité. C’est au moment où je mettais la drogue dans mon sac que les enquêteurs m’ont surpris. Ce sont ces derniers qui ont dit que c’est Ramatoulaye Sambou.»
Prenant la parole pour ses observations, le substitut du procureur estime qu’il n’y a pas de doute dans cette affaire. Car, soutient-il, non seulement la drogue appartenait au couple mais il procédait à un trafic. Du coup, déduit-il, leurs dénégations ne sauraient persister. Par conséquent, le ministère public indique qu’il y a lieu de les maintenir dans les liens de l’accusation. Concernant Pierre Gomis, le parquetier dit ne pas être convaincu par ses déclarations selon lesquelles il avait été arrêté à Khar Yalla. « À moins qu’il ait un don d’ubiquité, Pierre Gomis ne peut pas être à Grand Yoff et a Khar Yalla à la fois ». Au regard de toutes ces observations, le représentant du ministère public a requis contre chacun une peine de 10 ans de réclusion criminelle. Les conseils de la défense ont sollicité une application bienveillante de la loi en faveur de leurs clients respectifs. Délibéré le 03 Mai.