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ACTUALITE INTERNATIONAL POLITIQUE SOCIETE
Avec le crépitement des armes en Ukraine, le monde a découvert, brusquement, à quel point les Etats sont dépendants les uns des autres. Les domaines sont en effet variés où cette interdépendance se fait ressentir. Tous les domaines sont concernés mais l’énergie et les denrées alimentaires apparaissent comme les plus sensibles. Ainsi, le rapport que la Banque Mondiale vient de rendre public contient des prévisions très pessimistes. Les prix des denrées devraient atteindre un niveau record. Et parallèlement, il y aura probablement une baisse de production au niveau alimentaire du fait des hausses de prix concernant les intrants.
Une situation qui survient dans un contexte de Covid-19 où la faim et même la famine étaient observées dans de nombreuses zones du continent et concernaient plusieurs pays dont ceux du Sud du Sahara comme le Sénégal. Aujourd’hui, si l’on se réfère aux prévisions des experts du Cilss, même la capitale Dakar, en général épargnée, est sous tension alimentaire. Car, la vie est chère dans la capitale sénégalaise et beaucoup n’arrivent plus à s’y alimenter correctement. Les gargotes et autres lieux de vente d’aliments douteux se propagent y compris dans les quartiers résidentiels où il y a maintenant des vendeurs de couscous et de bouillis. Pis, la banlieue de Dakar étouffe sous le poids de la démographie et de la promiscuité avec un niveau de vie faible par rapport au reste de la ville. Là aussi, la tension alimentaire y est forte.
Pendant ce temps, traditionnellement, des régions comme celle de Kédougou, de Sédhiou, de Tambacounda et bien d’autres, connaissaient, déjà, depuis les années passées, des situations de faim pour ne pas dire de famine. Une situation due à plusieurs facteurs dont notamment le manque d’anticipation au niveau des politiques publiques pour asseoir les conditions, à portée de main, de l’autosuffisance alimentaire dans de nombreux domaines. Le riz est l’alimentation de base sans que nous puissions équilibrer la balance commerciale à ce niveau, laquelle est largement déficitaire. Il en est ainsi d’autres céréales comme le blé qui n’est pas produit sur place et du maïs dont la production est insuffisante.
En l’absence de politiques cohérentes pour obvier ces manquements et combler le gap, l’importation est restée la seule alternative. Ce qui nous a rendus encore plus dépendants du reste du monde. Or, il sera difficile, dans les prochains mois, de concilier un pouvoir d’achat faible et une augmentation exponentielle des prix des denrées. Cette situation risque, immanquablement, de générer des troubles sociaux importants avec des élections prévues durant une période relativement longue. Il est nécessaire alors, pour les pouvoirs publics, de savoir anticiper, dès à présent, pour éviter le pire. C’est ainsi que les dépenses de l’Etat devront être revues et les charges amoindries dès à présent pour se concentrer sur l’essentiel. Il faudra également penser anticiper les pénuries dont celle du carburant, que nous subissons actuellement, par une politique plus rationnelle de stockage.
Mieux, c’est dès à présent que le redressement tant souhaité en matière agricole doit se faire pour tenter, dans les prochains mois, de réduire la dépendance à l’extérieur. Car, la stratégie la mieux partagée aujourd’hui au niveau pratiquement de tous les Etats, c’est de tout faire pour compter sur soi-même.
Malheureusement, étant ‘’mal partie’’ comme le théorisait René Dumont, l’Afrique doit redresser le cap, revoir ses priorités, rationaliser ses dépenses et se retrousser les manches pour retrouver une agriculture de subsistance si nous ne voulons pas que des scènes de famine insoutenables soient observables sur le continent.
Le Sénégal vient de faire une levée de fonds record sur le marché de l’Uemoa. Il s’agit d’un emprunt obligataire (sukuk) de 330 milliards conforme aux principes de la finance islamique, selon un communiqué du ministère des Finances. « Cette levée de fonds a suscité […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELe Sénégal vient de faire une levée de fonds record sur le marché de l’Uemoa. Il s’agit d’un emprunt obligataire (sukuk) de 330 milliards conforme aux principes de la finance islamique, selon un communiqué du ministère des Finances. « Cette levée de fonds a suscité une forte adhésion des investisseurs de la sous-région et du Moyen-Orient avec un taux de couverture de l’émission supérieur à 110% en 3 jours de souscription », se félicite le ministère.
Selon les services d’Abdoulaye Daouda Diallo, il s’agit de « la plus grande émission en termes d’envergure réalisée, à date, sur le marché sous-régional ».
Dans le détail, cette opération se fait en trois tranches simultanées, « une tranche à 7 ans pour un montant de 55 milliards de francs CFA, une deuxième tranche à 10 ans pour le même montant et une troisième tranche de 15 ans pour un montant de 220 milliards de francs CFA. Ces différentes tranches ont une marge de profit respective de 5,80 %, 5,95 % et 6,10 % ».
Cette enveloppe permettra d’acheter les sphères ministérielles de Diamniadio, en lieu et place de la location actuellement en cours. Elle aidera également le Sénégal à avoir des participations dans des infrastructures telles que le port de Ndayane et l’autoroute à péage.
Le Président de la République, Son Excellence Macky SALL a présidé le Conseil des Ministres, ce mercredi 27 avril 2022, au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat a présenté les condoléances de la Nation à la famille et […]
ACTUALITE SOCIETELe Président de la République, Son Excellence Macky SALL a présidé le Conseil des Ministres, ce mercredi 27 avril 2022, au Palais de la République.
A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat a présenté les condoléances de la Nation à la famille et aux proches de Thierno Birahim NDAO, arraché à notre affection.
Thierno Birahim NDAO, fût un Administrateur civil hors pair et un grand serviteur de l’Etat ; Membre du Conseil de l’Ordre national du Lion, ancien Gouverneur de région et ancien Maire de Kaffrine, son engagement et son dévouement à la République, l’érigent en référence pour les générations actuelles et futures.
Abordant la question relative au renforcement de la sécurité routière et la nouvelle doctrine d’amélioration de la circulation sur les axes routiers et autoroutiers, le Président de la République présente, également, ses condoléances aux familles des victimes d’accidents de la route, qui ont fait huit (08) morts, la semaine dernière, dans la région de Fatick (dans la commune de Tattaguine), tout en souhaitant un prompt rétablissement aux blessés.
Le Chef de l’Etat demande, à ce sujet, au Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, d’accélérer l’application du nouveau code de la route et d’accentuer le déploiement des activités de l’Agence nationale de Sécurité routière (ANASER), pour renforcer la prévention par une sensibilisation efficace des usagers.
Le Chef de l’Etat souligne, dans le même esprit, la nécessité d’améliorer la signalisation des tronçons routiers, l’aménagement des ralentisseurs, d’aires de stationnement et de repos (avec toutes les commodités requises) sur des points officiels indiqués.
Le Président de la République invite, en outre, le Ministre chargé des routes, à actualiser le classement des routes (nationales, départementales, communales), compte tenu de leur fréquentation et du développement des établissements humains dans plusieurs localités.
Le Chef de l’Etat accorde, par ailleurs, une attention particulière à l’éclairage et à la sécurisation de la Voie de Dégagement Nord (VDN3) et rappelle (aux Ministres en charge des Finances, de la Coopération et des Infrastructures), l’urgence d’engager la poursuite rapide des travaux de la route des Niayes.
Le Président de la République signale, également, l’urgence de réviser avant fin juin 2022, le cadre de gouvernance de la circulation des véhicules, des bus de transport et des gros porteurs (camions) dans la capitale et le long des axes routiers et autoroutiers.
Le Président de la République invite, enfin, le Ministre en charge des Transports terrestres, à consolider la dynamique de concertation avec les professionnels des transports routiers, afin d’améliorer la mobilité urbaine et interurbaine et d’asseoir une économie des transports moderne.
Poursuivant sa communication, le Chef de l’Etat a abordé la nécessaire stabilité sociale durable dans le secteur de la santé et réitère son attachement à l’amélioration continue : (i) de la qualité des offres de soins et des prestations dans les structures sanitaires ; (ii) des conditions de travail des agents de la santé, toutes catégories confondues.
Le Président de la République demande, dès lors, au Gouvernement, d’impliquer davantage les Ordres professionnels (médecins, pharmaciens, sages-femmes, etc.) dans l’administration et la régulation des activités du secteur de la santé.
Le Chef de l’Etat invite, enfin, le Gouvernement à, d’une part, poursuivre le dialogue social avec les syndicats de santé et les organisations professionnelles et, d’autre part, prendre les dispositions appropriées pour assurer la continuité et la qualité du service dans les structures sanitaires du pays.
Sur la célébration de la fête du travail et sur la résilience des travailleurs, le Président de la République saisit l’occasion de ce Conseil, pour adresser ses félicitations et encouragements aux travailleurs, qui ne ménagent aucun effort, malgré la crise sanitaire et les chocs exogènes notés ces dernières années, pour renforcer la résilience économique et sociale du Sénégal.
Le Chef de l’Etat réaffirme son attachement à l’ancrage du dialogue social dans tous les secteurs et à la consolidation de la protection sociale à travers les dispositifs de solidarité en vigueur (couverture sanitaire universelle, bourses de sécurité familiale, carte d’égalité des chances, etc.).
Le Président de la République demande, à ce titre, au Ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions et au Haut Conseil du Dialogue social, d’intensifier, dans l’esprit du tripartisme (Gouvernement, Employeurs, Travailleurs), l’exécution du plan national de renforcement du dialogue social et d’assurer la mise en œuvre des conventions collectives et de la politique de santé et sécurité au travail.
Le Chef de l’Etat réitère la priorité qu’il accorde à la modernisation du système national de retraite avec : (i) la promotion de la retraite complémentaire, (ii) les efforts soutenus et continus de l’Etat pour généraliser la revalorisation notable des pensions et assurer les prestations sociales destinées aux retraités.
Le Président de la République invite, le Ministre en charge du Travail, à finaliser, dans le consensus, le projet de code unique de la sécurité sociale, texte fondateur qui permettra d’effectuer un saut qualitatif dans la gouvernance des relations de travail au Sénégal.
Le Chef de l’Etat informe, enfin, le Conseil qu’il recevra les centrales syndicales, le mardi 03 mai 2022, dans le cadre de la journée internationale du travail.
Abordant la question liée à la consolidation de l’inclusion sociale avec le lancement du programme spécial Cash Transfert, le Président de la République rappelle la priorité qu’il accorde à l’inclusion sociale dans la mise en œuvre des politiques publiques.
Le Chef de l’Etat salue, en particulier, le succès du programme national de bourses de sécurité familiale, qui a permis à plusieurs familles vulnérables de bénéficier du soutien financier régulier de l’Etat.
Le Président de la République magnifie la mise en place, pour la première fois au Sénégal, du Registre national Unique (RNU), instrument de pilotage qui vient consolider l’exhaustivité, la crédibilité et la transparence du système de solidarité nationale, notamment l’allocation des bourses de sécurité familiale.
Le Chef de l’Etat félicite, le Ministre des Finances et du Budget, le Ministre du Développement communautaire, de l’Equité sociale et territoriale et la Délégation générale à la Protection sociale et à la Solidarité nationale, pour le travail accompli vers les cibles.
Le Président de la République rappelle que les (542.956) ménages actuellement répertoriés dans le RNU vont recevoir de la part de l’Etat, un Cash Transfert exceptionnel d’un montant global de 43 milliards de francs CFA, à l’occasion d’une cérémonie de lancement de cette opération de solidarité nationale inédite, qu’il présidera, le 10 mai 2022, en présence des représentants des forces vives de la Nation.
Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat a insisté sur le point suivant :
la préparation de la fête de Korité : sur ce point le Président de la République après avoir adressé à la Oummah islamique et à la communauté musulmane du Sénégal, ses chaleureuses félicitations et ses meilleurs vœux, demande au Ministre de l’Intérieur de prendre les mesures idoines pour assurer le bon déroulement des célébrations au niveau des mosquées et lieux de culte concernés.
Le Chef de l’Etat invite, au demeurant, le Ministre du Commerce, en rapport avec les acteurs économiques, à veiller, par une sensibilisation de proximité des commerçants, à l’approvisionnement normal des marchés en produits et denrées essentiels, accessibles aux populations.
Le Président de la République a, par ailleurs, décidé, au regard du contexte géopolitique, de la mise en place d’un Comité interministériel de veille sur les impacts économiques et stratégiques de la crise internationale actuelle.
Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique et sur le suivi de la coopération et des partenariats.
AU TITRE DES COMMUNICATIONS
– Le Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République a fait le point sur le suivi des directives et instructions présidentielles ;
– Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur l’exécution budgétaire 2022 et les Assemblées annuelles du FMI et de la Banque Mondiale tenues à Washington du 19 au 23 avril 2022 ;
– Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ;
– Le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a fait une communication sur la situation des zones économiques spéciales ;
– Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur les résultats de l’évaluation des besoins des populations dans les neuf (09) villages de reclassement social ;
– Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait une communication sur les prévisions pour la saison des pluies 2022 et sur la campagne de commercialisation de l’arachide ;
– Le Ministre du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises (PME) a fait une communication sur : – la mise en service du Marché d’Intérêt national (MIN), – la Gare des Gros Porteurs (GGP), – la modernisation des marchés par le PROMOGEM et les mesures préconisées par le comité de veille pour l’approvisionnement correct du marché intérieur.
AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
Le Conseil a examiné et adopté :
– Le projet de loi abrogeant la loi n° 76 – 03 du 25 mars 1976 relative au traitement de la Lèpre et au reclassement social des lépreux guéris ou mutilés ;
– Le projet de décret portant rattachement de l’Ecole nationale de Développement Sanitaire et sociale (ENDSS) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Le ministre a tenu à rassurer les populations par rapport à l’embargo économique contre le Mali et ses conséquences sur le prix de la viande. S’il assure que le Sénégal est autosuffisant, cela ne se reflète pas dans les boucheries. Invité de l’émission Iftaar de […]
ACTUALITE SOCIETELe ministre a tenu à rassurer les populations par rapport à l’embargo économique contre le Mali et ses conséquences sur le prix de la viande. S’il assure que le Sénégal est autosuffisant, cela ne se reflète pas dans les boucheries.
Invité de l’émission Iftaar de iTv, mardi, le ministre de l’Elevage a tenu à rassurer la population sur l’autosuffisance en viande. Selon lui, le Sénégal consomme 300 000 tonnes de viande annuellement et est autosuffisant à 95%. Mais, dans la banlieue dakaroise, les bouchers « charcutent » cette affirmation de Aly Saleh Diop. Au marché Zinc de Pikine, il y a une place exclusivement réservée à la boucherie. Sur place, les marchandages entre bouchers et femmes de ménage vont bon train. « Ici, depuis quelque temps, les choses ont vraiment changé et la viande est devenue de plus en plus chère », a dit Mamadou Aliou Ba, délégué des bouchers du marché. « En ce moment, nous vivons une situation très difficile, surtout depuis la fermeture de notre frontière avec le Mali. Le bœuf qu’on achetait à 500 000 FCFA coûte maintenant entre 800 000 et 1000 000. C’est vraiment difficile d’avoir de la viande dans le marché », affirme-t-il.
Cette situation difficile, la plupart des bouchers la vivent au quotidien. « Nous ne savons pas d’où le ministre a tiré les informations qu’il a données mais, franchement, ce n’est pas visible sur le terrain », insiste Mouhamed Fall. Les bouchers peinent à sortir de ce calvaire et affirment « travailler à perte ». Ils demandent à l’Etat d’intervenir parce que le kilo de viande coûte 3800 francs depuis la fermeture des frontières. « Nous achetons le bœuf très cher pour revendre en détail très cher. On vit les conséquences de l’embargo sur le Mali et cela risque d’être davantage plus compliqué dans les jours à venir si cette situation perdure », s’inquiète M. Fall qui demande à l’Etat du Sénégal d’ouvrir ses frontières au peuple malien.
La Direction de l’information et des relations publiques des Armées (Dirpa), dans un communiqué publié hier, mardi 26 avril, rappelle que «la protection du secret à la défense nationale relève d’un régime juridique strict et est applicable à l’ensemble des citoyens aussi bien militaires comme civils». […]
ACTUALITE SOCIETELa Direction de l’information et des relations publiques des Armées (Dirpa), dans un communiqué publié hier, mardi 26 avril, rappelle que «la protection du secret à la défense nationale relève d’un régime juridique strict et est applicable à l’ensemble des citoyens aussi bien militaires comme civils».
Egalement, «les étrangers qui diffusent des informations sans en avoir la qualité sont visés au même titre que les citoyens, par les crimes et délits pour atteinte à la défense nationale visés par le Code pénal en ses articles 60 et ses subséquents et notamment l’article 64 qui vise toute personne qui dans l’intention de trahison ou d’espionnage aura porté à la connaissance d’une personne non qualifiée ou au public une information militaire non rendue publique par l’autorité compétente».
Ce mois de Ramadan est une période propice pour la Zakat ou aumône obligatoire versée annuellement en vertu des règles de solidarité de l’Islam. D’où la traite des mendiants. Pour preuve, « Le Témoin » quotidien a assisté à une scène insolite devant le magasin […]
ACTUALITE SOCIETECe mois de Ramadan est une période propice pour la Zakat ou aumône obligatoire versée annuellement en vertu des règles de solidarité de l’Islam. D’où la traite des mendiants. Pour preuve, « Le Témoin » quotidien a assisté à une scène insolite devant le magasin Auchan sis Dakar-Plateau face au siège de la société nationale La Poste.
Lundi, lorsqu’un dignitaire religieux habitant la rue a remis une enveloppe contenant une somme de 300.000 Cfa à un groupe de mendiants. La nouvelle de la remise a déclenché une ruée vers l’un des mendiants (une dame) chargé du partage équitable de l’argent. Pendant ce temps, un autre groupe de nécessiteux, alerté, a quitté son territoire de mendicité pour s’inviter au « festin » de la misère.
Dans la mêlée, une violente bagarre a éclaté au cours de laquelle les uns se sont servis de leurs béquilles pour s’acharner sur les autres. Alerté, un policier en faction est immédiatement intervenu pour tenter de rétablir l’ordre public troublé par cette enveloppe. Et n’eut été l’agent de la police, la dispute allait dégénérer en véritable affrontement sanglant. Car les passants peinaient à s’interposer pour séparer les groupes de mendiants belliqueux dont chacun était déterminé à imposer son autorité.
Pour la suite, « Le Témoin » a appris auprès d’un laveur de véhicules que le policier avait récupéré l’argent pour ensuite le remettre au généreux donateur. A défaut d’un partage équitable face à une meute d’ayants droits incontrôlables.
Une nouvelle coalition de partis et d’hommes politiques va voir le jour en vue des élections législatives du 31 juillet 2022 au Sénégal. Le leader du parti Awale, Abdourahmane Diouf , le président du mouvement Agir, Thierno Bocoum, le président du parti République des Valeurs, Thierno […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEUne nouvelle coalition de partis et d’hommes politiques va voir le jour en vue des élections législatives du 31 juillet 2022 au Sénégal.
Le leader du parti Awale, Abdourahmane Diouf , le président du mouvement Agir, Thierno Bocoum, le président du parti République des Valeurs, Thierno Alassane Sall , le leader du mouvement Ensemble, l’ancien juge Hamidou Dème , et l’ancien député, Cheikhou Oumar Sy vont mettre en place une coalition pour briguer les suffrages des Sénégal aux fins d’avoir le maximum de représentant à la 14e Législature de l’Assemblée nationale, selon un communiqué publié sur la page Facebook de l’ancien juge Dème.
« Les organisations dont les noms suivent, par ordre alphabétique, dans un processus inclusif de co-création, ont décidé de mettre en place une coalition en vue des élections législatives du 31 juillet 2022. Cette coalition s’ouvre à toutes les forces vives de la nation. Les partis politiques, mouvements et candidats indépendants intéressés peuvent contacter les signataires en vue de la mise en place effective de la coalition. Nous donnons rendez vous aux sénégalais d’ici et d’ailleurs, à la presse nationale et internationale, dans les prochains jours », lit-on dans le document.
Qui précise que: « Ont Signé (par ordre alphabétique) :
Thierno BOCOUM (AGIR)
Ibrahima Hamidou DEME (ETIC)
El Hadji Abdourahmane DIOUF (AWALÉ)
Thierno Alassane SALL (REPUBLIQUE DES VALEURS /REWOUM NGOR
Cheikh Oumar SY PRET ) »
Le slogan de la coalition sera: « PRÊT à AGIR avec ETIC pour AWALÉ Sénégal ci RÉEWUM NGOR ».
Une nouvelle coalition de partis et d’hommes politiques va voir le jour en vue des élections législatives du 31 juillet 2022 au Sénégal.
Le leader du parti Awale, Abdourahmane Diouf , le président du mouvement Agir, Thierno Bocoum, le président du parti République des Valeurs, Thierno Alassane Sall , le leader du mouvement Ensemble, l’ancien juge Hamidou Dème , et l’ancien député, Cheikhou Oumar Sy vont mettre en place une coalition pour briguer les suffrages des Sénégal aux fins d’avoir le maximum de représentant à la 14e Législature de l’Assemblée nationale, selon un communiqué publié sur la page Facebook de l’ancien juge Dème.
« Les organisations dont les noms suivent, par ordre alphabétique, dans un processus inclusif de co-création, ont décidé de mettre en place une coalition en vue des élections législatives du 31 juillet 2022. Cette coalition s’ouvre à toutes les forces vives de la nation. Les partis politiques, mouvements et candidats indépendants intéressés peuvent contacter les signataires en vue de la mise en place effective de la coalition. Nous donnons rendez vous aux sénégalais d’ici et d’ailleurs, à la presse nationale et internationale, dans les prochains jours », lit-on dans le document.
Qui précise que: « Ont Signé (par ordre alphabétique) :
Thierno BOCOUM (AGIR)
Ibrahima Hamidou DEME (ETIC)
El Hadji Abdourahmane DIOUF (AWALÉ)
Thierno Alassane SALL (REPUBLIQUE DES VALEURS /REWOUM NGOR
Cheikh Oumar SY PRET ) »
Le slogan de la coalition sera: « PRÊT à AGIR avec ETIC pour AWALÉ Sénégal ci RÉEWUM NGOR ».
Les présages de la banque mondiale, sur l’évolution des prix des denrées alimentaires et des produits pétroliers, ne sont pas rassurante du tout. Dans son rapport « Commodity Markets » rendu public ce mardi, la Banque mondiale informe que la guerre en Ukraine a provoqué un choc […]
ACTUALITE SOCIETELes présages de la banque mondiale, sur l’évolution des prix des denrées alimentaires et des produits pétroliers, ne sont pas rassurante du tout.
Dans son rapport « Commodity Markets » rendu public ce mardi, la Banque mondiale informe que la guerre en Ukraine a provoqué un choc majeur sur les marchés des produits de base et modifié la physionomie des échanges, de la production et de la consommation dans le monde. Elle signale que «les prix vont se maintenir à des niveaux historiquement élevés jusqu’à la fin de 2024».
Dans son document parcouru par iGFM, L’institution financière déclare que la hausse des prix de l’énergie au cours des deux dernières années, a été la plus importante depuis la crise pétrolière de 1973. « Globalement, il s’agit du plus grand choc sur les produits de base que nous ayons connu depuis les années 1970. Comme c’était le cas à l’époque, ce choc est aggravé par une recrudescence des restrictions au commerce des denrées alimentaires, du carburant et des engrais », explique Indermit Gill, vice-président à la Banque mondiale.
Hausse de plus de 50% des prix de l’énergie
Selon les prévisions de l’institution, les prix de l’énergie vont probablement grimper de plus de 50 % en 2022 avant de baisser en 2023 et 2024. Les couts des biens non énergétiques, notamment les produits agricoles et les métaux devraient aussi augmenter de près de 20 % en 2022.
«Les prix des produits de base devraient rester bien supérieurs à la moyenne des cinq dernières années et, en cas de guerre prolongée ou de nouvelles sanctions contre la Russie, ils pourraient devenir encore plus élevés et plus volatils que ce qui est actuellement prévu», présage-t-elle.
Les perturbations du commerce et de la production pourraient aussi pousser le cours du pétrole brut (Brent) vers «une moyenne de 100 dollars le baril en 2022.» Ce qui correspond à son plus haut niveau depuis 2013 et à une augmentation de plus de 40 % par rapport à 2021.
Les coûts du gaz seront deux fois plus élevés
«Les cours du gaz naturel (européen) devraient être deux fois plus élevés en 2022 qu’en 2021, tandis que les prix du charbon devraient être 80 % plus élevés, soit des sommets historiques dans les deux cas», ajoute l’institution financière.
Ayhan Kose, directeur de la division Perspectives de la Banque mondiale, qui a produit le rapport, signale que la hausse des prix des denrées alimentaires et de l’énergie, «risque de freiner les progrès en matière de réduction de la pauvreté. En outre, cette augmentation des prix des matières premières exacerbe les pressions inflationnistes déjà élevées partout dans le monde.»
Risques sur le cout du pain et des patisseries
Autre mauvaise nouvelle, les cours du blé qui devraient, selon les prévisions, «augmenter de plus de 40 % et atteindre un niveau record en valeur nominale cette année, ce qui pénalisera les économies en développement qui dépendent des importations de blé, notamment en provenance de Russie et d’Ukraine».
Selon la banque mondiale, la forte hausse des prix des intrants, tels que l’énergie et les engrais, pourrait provoquer une baisse de la production alimentaire, notamment dans nos économies en développement. Et l’utilisation réduite d’intrants pèsera sur la production et la qualité des aliments, «ce qui affectera les disponibilités alimentaires, les revenus des populations rurales et les moyens de subsistance des pauvres.»
Le procès des sages-femmes inculpées suite à la mort d’Astou Sokhna Kane est renvoyé au 5 mai. Les mises en cause devaient comparaître ce mercredi en flagrant délit au tribunal de grande instance de Louga. Les avocats de la partie civile ont requis un renvoi pour prendre […]
ACTUALITE SOCIETELe procès des sages-femmes inculpées suite à la mort d’Astou Sokhna Kane est renvoyé au 5 mai. Les mises en cause devaient comparaître ce mercredi en flagrant délit au tribunal de grande instance de Louga. Les avocats de la partie civile ont requis un renvoi pour prendre connaissance du dossier.
La tenue du procès est précédée par une médiation réussie du guide religieux Thierno Cheikhou Tall. A l’issue des discussions, la famille de la victime a décidé de retirer la plainte « non-assistance à une personne en danger ».
Mais, le retrait de la plainte n’entrave pas la poursuite de l’action judiciaire. Le ministère public pourrait bien retenir des charges contre les inculpées.
Un fort dispositif sécuritaire
Pour parer à toute éventualité de perturbations, un dispositif sécuritaire est, très tôt, mis en place. Le tribunal est quadrillé, l’accès au temple de Thémis trié au violet. Un nombre infime est autorisé à accéder au tribunal.
L’association des sages-femmes du Sénégal a tenu une forte mobilisation en soutien à leurs consœurs. Un mouvement de défense pour « justice à Astou Sokhna » avait aussi donné rendez-vous au tribunal.
L’arrestation des sages-femmes inculpées a provoqué un vaste mouvement de soutien du personnel médical. Une grève générale a eu le 21 avril. Les structures sanitaires sont de nouveau paralysées pour 48h c’est-à-dire les mardi 26 et mercredi 27.
Du nouveau dans l’affaire du meurtre de la petite Anta âgé de 8 ans avant-hier à Bargny. En effet, hier le principal suspect a été arrêté par la police quelques heures seulement après la publication du certificat du genre de mort. Le suspect est un […]
ACTUALITE SOCIETEDu nouveau dans l’affaire du meurtre de la petite Anta âgé de 8 ans avant-hier à Bargny. En effet, hier le principal suspect a été arrêté par la police quelques heures seulement après la publication du certificat du genre de mort.
Le suspect est un jeune de 17 ans, voisin de la fillette Anta Ndiaye. Ils habitent tous dans le même quartier. En ce moment, il est en train d’être entendu par les éléments de la police de Bargny mais il refuse de répondre aux questions d’après nos confrères de Rfm. Le présumé meurtrier a été appréhendé dans la nuit du mardi au mercredi. Pour le moment le mobil reste inconnu même si l’autopsie écarte la thèse du viol, il révèle que la victime est morte des suites asphyxie mécanique par étranglement associé à des lésions de coups et blessures par objet contondant.
Pour rappel, Anta Ndiaye est retrouvée morte ce 25 Avril dans un bâtiment en construction à Bargny. Elle a été perdue de vue après sa descente de cours dans une école coranique. Finalement son corps a été découvert par des collecteurs de ferrailles.